Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024
Partager Partager L'EditionPhoto Marronnages, Lignes de fuites aux éditions Loco Ericka Weidmann16 avril 2019 Temps de lecture estimé : 2minsLes éditions Loco viennent de publier un ouvrage qui a attisé notre curiosité. Sur une couverture noire mate, du texte imprimé en relief avec pour titre « Marronnages ». Ce nom remonte à l’époque coloniale, il désignait la fuite d’un esclave hors de la propriété de son maître. Le fugitif était lui-même appelé marron. Vous l’aurez compris, ce livre nous ramène aux périodes sombres de l’esclavage, et plus précisément aux Antilles, sur l’île de la Gouadeloupe au 19ème siècle… Au fil des pages, on découvre en alternance des fac-similés d’avis de marronnage (avis de recherche d’esclaves) parus dans la Gazette de la Guadeloupe entre 1788 et 1847, avec les photographies contemporaines de Bernard Gomez. Ces annonces de tentatives de fuite, de périlleuses échappées publiées au milieu d’autres annonces (prix du café, du sucre ou du coton), par leur banalité, renforcent la violence ordinaire vécue par les esclaves aux XVIIIe et XIXe siècles. Les images en noir et blanc, dépouillées de toute présence humaine, viennent nous restituer le souvenir d’un passé qui ne doit pas être oublié. Pour accompagner cet ouvrage, un texte introductif écrit par Sylvaine Dampierre suivi d’un glossaire rédigé avec Frédéric Régent au centre du livre, pour nous apporter un regard plus historique et pédagogique sur les termes utilisés dans les annonces. Passionnant et… effrayant ! INFORMATIONS PRATIQUES Marronnages, Lignes de fuites Editions Loco Photographies Bernard Gomez Textes : Sylvaine Dampierre et Frédéric Régent 96 pages / 60 reproductions en bichromie ISBN : 978-2-84314-003-7 30€ http://www.editionsloco.com/MARRONNAGES Favori0
Rencontre avec Joanne Snrech, conservatrice musée des Beaux arts de Rouen, co-commissaire La Ronde #4
News Carolle Benitah, devenue l’éternelle Il y a 5 ans tout juste, sortait l’ouvrage « Jamais je ne t’oublierai » aux éditions L’Artière. Aujourd’hui ces mots résonnent d’une façon ...
Photo Masterclass Oeildeep : « Entre deux mondes » par Clémentine Courcelle Cette semaine, nous poursuivons la restitution de la dernière Masterclass Oeildeep, qui a été encadrée par Laura Sérani, Stefano de Luigi et ...
News Quelles perspectives pour les États Généraux de la Photographie ? Pour clôturer ces deux journées de restitution publique des États Généraux de la Photographie, les huit structures associatives et professionnelles organisatrices ont ...
L'Edition Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne
Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024