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L’hommage de Yan Pei-Ming aux victimes de la pandémie, Musée Unterlinden, interview de Frédérique Goerig-Hergott 5 jours ago
Natasha Marie Llorens : « Décentrer le regard curatorial pour se concentrer sur le contexte de l’art en Algérie et ses répercussions sur l’évolution esthétique et conceptuelle des diasporas » 6 jours ago
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Temps de lecture estimé : < 1minTOUTMois en coursDateTitrePosté Avril, 2021 Type d'événement ToutArt ContemporainArt VivantCinémaConférenceExpositionFestivalFoireLectures de PortfolioModePhotographieSalonSignature de LivreVenteVidéoWorkshop Type d'événement 2 ToutBourseCommandeConcoursEditionEntretienExpositionFestivalFormationMasterclassMentoratPrixRésidenceSalonService civiqueSubvention Lieu de l'événement Tout104 – CENTQUATRE Paris19 rue Paul Fort193 Gallery24 Centre culturel & bar associatif24Beaubourg31 rue Meslay361° - Espace d'Art Contemporain5 rue des Haudriettes59 RIVOLI67 rue de ClichyÀ La Non Galerie / Studio PhotoInfographicA pp rocheA. 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Ceux-là veulent déchiffrer le ciel ou les tableaux, passer derrière ces fonds d’étoiles et ces toiles peintes, et comme des mioches cherchant les fentes d’une palissade, tâchent de regarder par les failles de ce monde. » — George Bataille LE BAL présente le travail photographique de la première période (1968-1992) de l’artiste brésilien Miguel Rio Branco, figure majeure de l’art contemporain dans son pays, connu dans le monde entier pour ses installations et oeuvres multimédias. De ses débuts en noir et blanc à New York en 1970, où son attention se porte sur les quartiers déshérités de la ville, à son travail couleur essentiel réalisé au Brésil notamment à Salvador de Bahia, jusqu’aux images du Mexique au milieu des années 1980, l’exposition restituera l’évolution de son regard photographique, intrinsèquement lié à sa pratique picturale. « Je ne suis pas un coloriste comme Matisse, ma vision est plus sombre, à la manière de Goya » dira Miguel Rio Branco. Dépassant une simple lecture formelle de son travail, le choix des oeuvres – pour la plupart tirages d’époque jamais exposés en France – mettra en avant les télescopages permanents de matières et de gestes opérés dans ses images. Auscultant les corps et leur inscription dans l’espace, rendant visibles les marques du temps et des structures sociales, ses images rendent compte d’une vision viscérale immergée dans la noirceur et la violence de son temps. LE COUTEAU PAR TERRE EXTRAITS DU TEXTE INÉDIT DE JEAN-PIERRE CRIQUI PUBLIÉ DANS LE LIVRE QUI ACCOMPAGNE L’EXPOSITION. Dans la mesure où elle découpe à même le vivant, la photographie se laisse envisager comme étant d’ordre sacrificiel : tel un papillon épinglé, ce qu’elle prélève est toujours simultanément exalté et immolé. Il y va du sauvetage, de la sauvegarde, mais aussi de la conjuration ou de la perdition. Cette tension extrême, en permanence au bord du déchirement, hante les images de Miguel Rio Branco. C’est leur basse continue. * Les photographies de Miguel Rio Branco (qui est aussi peintre, et l’a été avant de devenir photographe) nous proposent un vaste catalogue de matières, assemblé avec un oeil sensible à la transmutation esthétique des motifs les plus humbles ou les plus vils. On pense ici à Baudelaire et son évocation du chiffonnier dans Les Paradis artificiels : « Tout ce que la grande cité a rejeté, tout ce qu’elle a perdu, tout ce qu’elle a dédaigné, tout ce qu’elle a brisé, il le catalogue, il le collectionne. Il compulse les archives de la débauche, le capharnaüm des rebuts. » L’excès est ce qui caractérise ici la matière – d’où cette « asphyxie » dont Miguel Rio Branco a parlé au sujet de la photographie : excès de la vie qui s’agite en tous sens, et de la mort au travail qui en forme l’inséparable envers. * Apothéose des sols, les photographies de Miguel Rio Branco regardent plus volontiers vers le bas que vers le haut. Peu de ciels ou d’horizons dans ces vues où la terre attire tel un aimant, jusqu’à l’engloutir, tout ce qu’elle supporte. Royaume des traces et des ombres, plaque sensible où le temps laisse inlassablement son empreinte : deux hommes s’y étreignent, lutte ou jeu, aux pieds d’un troisième qui projette sur eux sa silhouette; les déchets les plus dérisoires, les plus mirifiques, y convergent; les imprimés viennent s’y disperser en masse, les animaux y mourir. Le sol célébré par Miguel Rio Branco exhale toujours un avant-goût du séjour des disparus. C’est le lieu par excellence de l’inquiétude, voire de l’affolement. C’est aussi le motif où se concentre un éventail de résonances esthétiques : Dirt Painting et Combines (par leur goût du rebut et de l’horizontalité) de Rauschenberg, Matériologies et Texturologies de Dubuffet, plastiques, bois et tôles brûlés par Alberto Burri, scatter pieces de Robert Morris. Jean-Pierre Criqui est conservateur au service des collections contemporaines du Musée national d’art moderne. Dates Septembre 16 (Mercredi) 12 h 00 min - Octobre 30 (Samedi) 19 h 00 min LieuLE BAL6, Impasse de la défense 75018 Paris LE BAL6, Impasse de la défense 75018 ParisLE BAL est une plateforme indépendante d’exposition, d’édition, de réflexion et de pédagogie, dédiée Mercredi 12h - 22h Nocturne. Jeudi 12H - 19H Soirées BAL LAB 20H-22H (Fermeture de l'exposition à 19H) et le Vendredi, samedi, dimanche 12H - 19H. Fermé le Lundi et Mardi CalendrierGoogleCal sam19sep(sep 19)10 h 00 min2021ven30avr(avr 30)18 h 00 minPortraits en piedMichel MonteauxArboretum de la Vallée aux Loups, 102 Rue de Chateaubriand, 92290 Châtenay-Malabry Détail de l'événementCette exposition est réalisée avec l’équipe du Domaine de la Vallée aux Loups à Châtnay-Malabry et le photographe Michel Monteaux. Il s’agissait de photographier à la chambre 4×5 dix des magnifiques Détail de l'événement Cette exposition est réalisée avec l’équipe du Domaine de la Vallée aux Loups à Châtnay-Malabry et le photographe Michel Monteaux. Il s’agissait de photographier à la chambre 4×5 dix des magnifiques bonsaïs de la collection. Nous avons monté un studio de prises de vues avec un grand cyclo blanc dans la serre tropicale de l’Arboretum. Pieds nus, chaque arbre a posé et s’est présenté tel qu’il l’entendait. Ces arbres ont une véritable présence. La séance de portrait terminée, un d’entre eux a relâché une pierre qu’il embrassait dans son écorce depuis bien des années. Catherine Nesa, qui accompagne et veille sur la collection depuis plus de trente ans, nous a fait écouter les vibrations qu’ils émettent traduites en sonorités. L’Arboretum qui abrite la serre des bonsaïs offre une visite enthousiasmante et facile d’accès depuis Paris. Dates Septembre 19 (Samedi) 10 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 18 h 00 min LieuArboretum de la Vallée aux Loups102 Rue de Chateaubriand, 92290 Châtenay-Malabry CalendrierGoogleCal jeu01octToute la journée2021jeu30sepPrix L’Equipe / Richard Martin des meilleures photos d’action de sport 2020/2021 Organisateur: L'Equipe Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Prix Détail de l'événementPour honorer la mémoire de Richard Martin, photographe emblématique de L’Équipe décédé le 7 juillet 2020, L’Équipe créé un concours international qui récompensera chaque année les meilleures photos d’action de Détail de l'événement Pour honorer la mémoire de Richard Martin, photographe emblématique de L’Équipe décédé le 7 juillet 2020, L’Équipe créé un concours international qui récompensera chaque année les meilleures photos d’action de sport. La première édition de ce prix se tiendra en 2021. L’Équipe tient ainsi à saluer le talent et l’obsession du détail de Richard, qui a offert parmi les plus belles photographies du journal et du magazine. La Coupe du Monde de football en 2018, les Jeux Olympiques plusieurs fois et tout le travail effectué sur ses disciplines de prédilection, la natation, le tennis et le patinage artistique. REGLEMENT DU CONCOURS PHOTOS 2020/2021 PRIX L’EQUIPE / RICHARD MARTIN ARTICLE 1 : L’ORGANISATEUR La société L’EQUIPE, située 40-42 quai du Point du jour 92250 Boulogne Billancourt (ci-après l’« Organisateur »), organise du 1er février 2021 au 30 septembre 2021, le grand prix international de la photographie de sport intitulé « Prix L’EQUIPE / Richard Martin » (ci-après le « Concours »), dont la remise des Prix se déroulera au mois de novembre 2021. ARTICLE 2 : MODALITES D’INSCRIPTION Le Concours est gratuit, l’inscription s’effectuera sur la plateforme de l’Organisateur accessible à l’adresse suivante : https://blog.lequipe.fr/prix/ Les participants pourront s’inscrire jusqu’au 30 septembre 2021, 23h59 (heure de Paris, France), date à laquelle les inscriptions seront closes. La carte de presse ou un justificatif d’appartenance à un organisme de presse ou à une agence de presse sera exigé lors de l’inscription au Concours. ARTICLE 3 : CONDITIONS DE PARTICIPATION Le Concours est ouvert aux photographes professionnels du monde entier. Une seule participation par personne est acceptée, étant entendu que chaque participant pourra présenter jusqu’à 3 (trois) photographies dans un seul et même envoi. Les photographies devront représenter une action de sport réalisée lors d’une compétition officielle et devront avoir été prises entre le 1er octobre 2020 et le 30 septembre 2021. Critères techniques : – Les photographies devront être au format .jpeg avec profil couleur RVB. – La taille du fichier de chaque image ne devra pas dépasser les 5 MB. – Les dimensions du fichier devront être d’un maximum de 1920 pixels en largeur pour le côté le plus long (qu’il soit vertical ou horizontal) pour une résolution de 300 dpi. Autres critères : Les photographies devront comporter : – La date et le lieu de la prise de vue. – Une légende. – Le nom et le prénom de l’auteur. – Le numéro de la carte de presse ou le nom de l’organisme de presse qu’il représente. Manipulation digitale des images : Il est possible de recourir à la manipulation digitale (luminosité, contraste, balance de couleur) pour optimiser l’image ainsi qu’au recadrage et à l’effacement des pétouilles. Mais il est interdit d’ajouter ou d’enlever un élément important de la composition qui serait susceptible de dénaturer la photographie. Le jury aura la faculté de refuser toute image qui, selon son appréciation, a été trop retouchée par rapport à l’image originale. Il sera demandé aux « finalistes » d’envoyer les fichiers RAW ou les originaux pour la validation finale. Le participant enverra sa ou ses photographie(s) à l’adresse mail suivante : prixrichardmartin2021@lequipe.fr. ARTICLE 4 : COMPOSITION DU JURY 1er Jury Ce jury est composé de 5 (cinq) membres dont les compétences sont compatibles pour participer à une sélection de photos. Ce jury va évaluer toutes les photos inscrites et procéder à la pré-sélection de 100 (cent) photographies ci-après les « Photographies Sélectionnées ». Grand Jury Les 9 (neuf) membres de ce jury sont représentatifs des filières de la photographie, de la presse et de la culture : – Le Président : Monsieur Franck Seguin (2 voix), – Le Coordinateur général : Monsieur François Gille (1 voix), – Un représentant de la rédaction (1 voix), – Un représentant du monde sportif (1 voix), – Un représentant du monde de la culture et un représentant des médias (tv/presse régionale ou nationale/presse photo) (2 voix), – Un abonné de L’Equipe (1 voix) – Deux représentants partenaires (Canon/radio France) (2 voix). Ce jury va évaluer les Photographies Sélectionnées et procèdera à une première sélection de 20 (vingt) photographies, ci-après les « Photographies Nominées », et à une seconde sélection pour sélectionner la photographie gagnante. Les photographies seront évaluées sur leur valeur technique, artistique et journalistique par le jury. La décision du jury du Concours est définitive. L’Organisateur se chargera de renommer les photographies sous une forme anonyme (chiffres) avant leur évaluation par le jury. ARTICLE 5 : LE PRIX Le lauréat du Concours recevra le trophée « Prix Richard Martin » ainsi que du matériel photo de la marque Canon d’une valeur de 5000€ (Cinq mille euros). Le photographe lauréat peut renoncer au prix sans pouvoir exiger aucune autre forme d’indemnisation. Dans ce cas, le prix sera réaffecté selon le classement établi par le Jury. Le résultat du Concours sera rendu public la première semaine de novembre 2021. Le résultat sera publié sur le site web de l’organisateur du Concours ainsi que sur ses réseaux sociaux. Les 20 (vingt) finalistes seront informés par le Grand Jury par mail, afin qu’ils renvoient les Photographies Nominées en Haute définition. La Cérémonie de remise du prix est prévue entre le 15 et 30 novembre 2021, au siège de la société L’EQUIPE. Le prix devra être retiré par le lauréat à ce moment-là, ou par une autre personne qu’il aura déléguée par écrit. ARTICLE 6 : DROIT D’AUTEUR Chaque auteur est responsable du contenu des photographies. Les participants au Concours doivent être dépositaires des droits liés à l’image et avoir l’autorisation des personnes identifiables sur la photo. Chaque participant déclare et garantit l’Equipe être l’auteur de la photographie soumise. Il reconnaît également avoir obtenu préalablement les autorisations nécessaires à sa diffusion. Les photographies Nominées en ce compris la photographie gagnante, seront mises à la disposition des organes de presse avec leur copyright. ARTICLE 7 : EXPLOITATION DES PHOTOGRAPHIES Par son inscription au Concours, le participant cède à l’Organisateur pendant 2 (deux) ans à compter du 1er novembre 2021 ses droits d’exploitations sur les Photographies Nominées pour les finalités promotionnelles liées au Concours. Ladite cession comprend : – le droit de reproduction : le droit de reproduire, sans limitation de nombre, les photographies par tout procédé technique et sur tout support connu ou à venir, dont les supports presse et internet et, notamment : par impression, par production de supports graphiques, magnétiques, vidéographiques, numériques, ou électroniques, media en ligne et hors ligne, pour tous types de publication tels que, non limitativement : les journaux, livres, magazines, catalogues, mailings, éditions et créations de produits dérivés; – Le droit de représentation : le droit de représenter, de rendre accessible, d’exposer, de diffuser ou de communiquer directement ou indirectement au public les photographies en tout lieu public et/ou privé, par tous modes et procédés connus ou à venir, gratuits ou payants, ainsi que de traduire les légendes le cas échéant. A titre d’illustration, la photographie gagnante fera l’objet d’une double page dans l’Equipe Magazine, Les Photographies Nominées seront exposées lors de la cérémonie de la remise des prix, feront l’objet d’une exposition dans la cantine d’entreprise de l’Organisateur, ainsi qu’une diffusion sur le site internet de l’Organisateur. Il est précisé que les Photographies Nominées et la photographie gagnante resteront visibles à titre d’archives sur les supports digitaux de l’Equipe pendant 5 (cinq) ans à compter du 1er Novembre 2021. ARTICLE 8 : RESPONSABILITÉS L’Organisateur ne pourra être tenu responsable de tout problème lié au déroulement du Concours qu’il s’agisse d’une erreur humaine, informatique ou de quelque autre nature. En cas de force majeure, l’Organisateur se réserve le droit de modifier le présent règlement, de reporter ou d’annuler le Concours. Sa responsabilité ne saurait être engagée du fait de ces modifications. ARTICLE 9 : OBLIGATIONS La participation au Concours implique l’acceptation du présent règlement par les participants. Son non-respect entraînera l’annulation de la candidature. Toute contestation relative à l’interprétation et à l’application du présent règlement sera étudiée par l’Organisateur, dans l’esprit qui a prévalu à la conception du Concours. ARTICLE 10 – TRAITEMENT DES DONNÉES PERSONNELLES • FINALITÉS ET MODALITÉS DU TRAITEMENT DES DONNÉES A CARACTÈRE PERSONNEL Les données à caractère personnel (ci-après « les Données ») que vous nous fournissez en participant au Concours feront l’objet d’un traitement pour la finalité suivante : participer au Concours. • DONNÉES PERSONNELLES COLLECTÉES Les Données qui seront collectées sont les suivantes : – Le nom et le prénom des photographes ayant soumis leur photographie au Jury, – L’adresse mail du photographe qui sera visible lors de l’envoi des photographies, • CONSÉQUENCES DE LA NON-FOURNITURE DES DONNÉES La non-fourniture des Données marquées comme obligatoire vous empêchera de participer au Concours. • DESTINATAIRES DES DONNÉES Les Données peuvent être traitées par l’Organisateur et les sociétés appartenant au Groupe Amaury. • CONSERVATION DES DONNÉES Les Données traitées seront conservées pendant toute la durée du Concours. • RESPONSABLE DU TRAITEMENT ET DÉLÉGUÉ A LA PROTECTION DES DONNÉES Le Responsable du Traitement est l’Organisateur. Conformément aux articles 15 à 21 du RGPD et à la loi « Informatique et libertés » du 6 janvier 1978, modifiée par la Loi n°2018-493 du 20 juin 2018, le participant peut exercer les droits suivants : a. droit d’accès qui signifie le droit d’obtenir de l’Organisateur la confirmation que vos Données sont ou ne sont pas traitées et, lorsqu’elles le sont, l’accès auxdites Données ; b. droit de rectification et droit à l’effacement qui signifient le droit d’obtenir la rectification de Données inexactes et/ou incomplètes, ainsi que l’effacement de Données ; c. droit à la limitation du traitement qui signifie le droit de demander la suspension du traitement ; d. droit à la portabilité des données qui signifie le droit d’obtenir des Données dans un format structuré, couramment utilisé et lisible, ainsi que le droit de transférer des Données à d’autres responsables de traitement sur votre demande écrite uniquement ; e. droit d’opposition qui signifie le droit de s’opposer au traitement des Données lorsque la demande est légitime, y compris lorsque les Données sont traitées pour le marketing ou le profilage ; f. droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle en cas de traitement illégal des Données. Pour en savoir plus sur notre traitement des Données, consultez notre charte des données personnelles accessible via l’adresse suivante : https://www.lequipe.fr/Page/Politique-de-confidentialite/1183897. Ces droits peuvent être exercés en écrivant à DPO Groupe Amaury – 40-42 Quai du Point du Jour – 92100 Boulogne-Billancourt ou à l’adresse e-mail suivante dpo@amaury.com. ARTICLE 12 – LITIGES Le présent règlement est soumis à la loi française. Pour être prises en compte, les éventuelles contestations relatives au concours doivent être formulées par courriel à prixrichardmartin2021@lequipe.fr et au plus tard quatre-vingt-dix (90) jours après la date limite de participation au Concours tel qu’indiqué au présent règlement. En cas de désaccord persistant sur l’application ou l’interprétation du présent règlement, et à défaut d’accord amiable, tout litige sera soumis au tribunal ayant droit, auquel compétence exclusive est attribuée. DatesOctobre 1 (Jeudi) - Septembre 30 (Jeudi) Organisateur L'Equipe CalendrierGoogleCal ven02oct2021mar01juiParis années 50Frank HorvatMaison de la Photographie Robert Doisneau, 1, rue de la Division Général Leclerc 94250 GentillyType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementAu début des années 1950, Frank Horvat est alors un jeune photographe qui navigue dans les différentes sphères du métier. Tour à tour reporter, illustrateur et bientôt photographe de mode Détail de l'événement Au début des années 1950, Frank Horvat est alors un jeune photographe qui navigue dans les différentes sphères du métier. Tour à tour reporter, illustrateur et bientôt photographe de mode reconnu, il refuse dès cette époque de choisir, de se limiter à une spécialité ou de s’enfermer dans un genre. C’est donc avec un certain goût pour l’expérience et une curiosité aiguisée qu’il déambule dans Paris, la ville où il a choisi de s’installer. Cette exposition présente ainsi deux séries réalisées durant la même décennie avec la capitale pour toile de fond ou pour sujet et qui révèle la large palette expressive maîtrisée par le photographe dès ses débuts. Le premier ensemble d’images, qui pourrait s’apparenter à une forme documentaire, montre un Paris de nuit, fait de night-clubs et de cabarets fréquentés par les touristes étrangers en quête de strip-tease à la française. En réalisant ses premières prises de vues, Frank Horvat ne souhaite pas en faire le thème d’un travail au long cours mais répond simplement à la commande d’un magazine américain. S’il photographie le spectacle et le public du Sphinx à Pigalle, son culot l’introduit rapidement derrière le rideau où il rejoint les danseuses dans leurs loges. Ces instantanés, pourtant réalisés dans une certaine hâte, nous plongent dans une promiscuité intime où les corps dénudés se laissent approcher pour un instant de pose et où les regards complices croisent volontiers ceux du jeune photographe. Quelques années plus tard, cette série ainsi que d’autres clichés (pris au Crazy Horse notamment) font l’objet d’une publication intitulée J’aime le Strip-Tease. La seconde série d’images exposée ici montre davantage un Paris au grand jour où s’affichent la physionomie, le dessin et même le « graphisme » de la ville ainsi que les mouvements qui l’animent. Frank Horvat utilise un téléobjectif pour réaliser certains de ses clichés qui, à l’époque, ne font pas non plus l’objet d’un thème spécifique. De ce travail résulte des séquences étonnantes, riches de surprises formelles voire abstraites, où les plans impitoyablement martelés en aplats affirment les lignes, les contours et les matières des lieux ou des visages. À ravers cet ensemble, cette recherche esthétique libre, Frank Horvat dévoile sa vision de Paris faite à la fois d’individus, anonymes ou célèbres, de foules, de points de vue et d’ambiances insolites mais aussi de pauses et d’accélérations, de silences et d’effervescences. Michaël Houlette Photo : © Frank Horvat Toits, Paris, 1956 Téléobjectif Dates Octobre 2 (Vendredi) 13 h 30 min - Juin 1 (Mardi) 18 h 30 min LieuMaison de la Photographie Robert Doisneau1, rue de la Division Général Leclerc 94250 Gentilly Maison de la Photographie Robert Doisneau1, rue de la Division Général Leclerc 94250 GentillyEntrée Libre. Ouvert du mercredi au vendredi : 13h30 - 18h30 et le samedi et dimanche : 13h30 - 19h Dermée les jours fériés CalendrierGoogleCal sam03oct(oct 3)10 h 00 min2021dim02mai(mai 2)19 h 00 minTracehumance | Cheminement photographiqueJacques PuginMusée gruérien de Bulle, Rue de la Condémine 25 1630 Bulle, SuisseType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementDu 3 octobre 2020 au 31 janvier 2021, le Musée gruérien vous invite à découvrir la première rétrospective de Jacques Pugin. Un parcours thématique en cinq chapitres retrace les différentes Détail de l'événement Du 3 octobre 2020 au 31 janvier 2021, le Musée gruérien vous invite à découvrir la première rétrospective de Jacques Pugin. Un parcours thématique en cinq chapitres retrace les différentes phases d’une oeuvre qui couvre plus de quarante ans de création plastique. Depuis ses débuts, dans les années 1970, Jacques Pugin pratique une photographie véritablement expérimentale, en utilisant tous les outils à sa disposition (light painting, photographie numérique, webcams, drones). Ses recherches plastiques se mêlent à une réflexion sur le temps, l’espace et la relation complexe que l’homme entretient avec la nature. Ses travaux les plus connus sont Les cavaliers du diable – une intervention sur des images satellitaires de la guerre civile du Darfour et Sacred Sites – des images de sites culturels et naturels réalisées sur les cinq continents. Une photographie de la série Glaciers a fait le tour du monde. Elle représente le glacier du Rhône protégé par des bâches. Acquisition Comme son auteur, la dernière série de Jacques Pugin est née dans la région bulloise. “Désalpe 2.0” fait défiler des troupeaux dans un paysage numérique tiré de Google Earth. Ce travail soulève des questions similaires à celles qui mobilisent le Musée gruérien. La place actuelle de l’agriculture, la permanence des traditions sont des sujets qui nous poussent à penser la ruralité face au monde de demain. C’est pourquoi la Société des Amis du Musée gruérien a réalisé cette importante acquisition. Quinze tirages de grand format et un ensemble de vidéos collectant la parole d’agriculteurs viennent enrichir les collections du musée ainsi que nos réflexions. L’exposition L’exposition a pour ambition de dégager les lignes de forces et le caractère innovant de l’œuvre de Jacques Pugin. Elle comprend des images en grand format, des séquences en plus petit format et des installations vidéo. L’accrochage ne se contente pas de présenter des séries sur un mode chronologique; il met en évidence les œuvres phares, les documente et les relie aux autres travaux du photographe. Il s’agit aussi d’assumer un point de vue contemporain, de mettre en lumière les images et les réflexions que Jacques Pugin peut transmettre aux visiteurs de 2020. Pour cette réalisation le Musée gruérien collabore avec la galerie de photographie contemporaine Esther Woerdehoff (Paris) et la commissaire d’exposition Audrey Hoareau (Chalon-sur-Saône). Christophe Dutoit, journaliste et photographe (Bulle), réalise des entretiens vidéo avec Jacques Pugin. L’auteur Jacques Pugin est né en 1954 à Riaz (Fribourg, Suisse). Il vit et travaille à Paris depuis 2013. Sa renommée est internationale et son oeuvre fait partie de grandes collections publiques, notamment la collection du Centre George Pompidou à Paris, le Musée Nicéphore Niepce à Chalon-sur-Saône, le Musée d’art et d’histoire de Fribourg, la Collection de la Banque du Gothard et le Musée de l’Elysée à Lausanne. Il est également représenté dans de grandes collections privées. Il a reçu trois années consécutives la Bourse fédérale des beaux-arts (Swiss Art Award). Dates Octobre 3 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 2 (Dimanche) 19 h 00 min LieuMusée gruérien de BulleRue de la Condémine 25 1630 Bulle, Suisse Musée gruérien de BulleRue de la Condémine 25 1630 Bulle, SuisseOuvert du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 13h30 à 17h00. Le samedi de 10h à 17h et le dimanche de 13h30 à 17h CalendrierGoogleCal mar06oct(oct 6)10 h 00 min2021dim09mai(mai 9)18 h 00 minPostponedIci mieux qu’en faceLaurence AëgerterEn attente de la réouverture des muséesPetit Palais, 5, avenue Dutuit 75008 ParisType d'événement:Art Contemporain,Exposition,Photographie Détail de l'événementAu sein d’un parcours articulé autour d’une cinquantaine d’œuvres distillées dans les différents espaces du musée, Laurence Aëgerter invite le public à découvrir ou redécouvrir les collections du Petit Palais, Détail de l'événement Au sein d’un parcours articulé autour d’une cinquantaine d’œuvres distillées dans les différents espaces du musée, Laurence Aëgerter invite le public à découvrir ou redécouvrir les collections du Petit Palais, dans un vis-à-vis mêlant poésie et sensibilité. Laurence Aëgerter cultive depuis l’enfance une passion pour les tableaux et les antiquités, les encyclopédies et les manuels pratiques, les catalogues de musées et les images. En 1993, elle quitte la France pour les Pays-Bas, où elle vit et travaille depuis, pour poursuivre des études d’histoire de l’art puis d’arts visuels. Fascinée par les chefs-d’œuvre comme par les plus petits objets du quotidien, elle s’émerveille sans relâche de la beauté des choses et de l’infinité de leurs perceptions. La proposition de l’artiste au sein du Petit Palais reflète son insatiable curiosité pour un lieu avec lequel elle a entretenu pendant plus de deux ans une correspondance visuelle, sensible et poétique. Imprégnée tant de son architecture que de ses collections, elle s’immisce de salle en salle jusqu’au jardin, et invente des vis-à-vis troublants et stimulants avec les œuvres. Touchée par leur grâce mais aussi par leur fragilité, elle vient prendre soin de ces objets endormis et leur offre de nouvelles vies. Les dispositifs qu’elle imagine participent d’un même désir d’échappatoire. C’est en révélant l’envers du réel, entre illusion et réalité, qu’elle construit des histoires. Ses scénarios provoquent des collisions et des glissements et le hasard et l’imaginaire s’invitent à sa table de création. Sur le principe du miroir ou du trompe-l’œil, elle aime retourner les situations et ouvrir d’autres champs des possibles à la représentation du monde. La permanence de la mémoire, le chemin du temps et la précarité de nos existences ne cessent de l’habiter. Comme pour mieux les exorciser, elle échafaude une promenade joyeuse qui joue des superpositions, des dédoublements et des métamorphoses. Les photographies, sculptures et œuvres textiles qu’elle nous livre sont la preuve qu’il est possible de jouer avec les fantômes de notre passé. Dans ce voyage inattendu, Laurence Aëgerter nous accompagne à travers plusieurs siècles de l’histoire de l’art et réinvente un musée pour y souffler un vent de liberté. Commissariat : Fannie Escoulen (commissaire invitée), Susana Gallego-Cuesta, Christophe Leribault, Clara Roca (commissaires du Petit Palais) Dates Octobre 6 (Mardi) 10 h 00 min - Mai 9 (Dimanche) 18 h 00 min LieuPetit Palais5, avenue Dutuit 75008 Paris Petit Palais5, avenue Dutuit 75008 ParisOuvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Entrée gratuite CalendrierGoogleCal sam24oct(oct 24)9 h 30 min2021dim25avr(avr 25)17 h 45 minAzimut, Une marche photographique du collectif Tendance FloueMusée Nicéphore Niépce, 28 quai des messageries 71100 Chalon-sur-SaôneType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événement2017, un vent de liberté souffle sur la photographie française. Las du carcan des commandes, avides de retrouver l’idée d’indépendance autour de laquelle le collectif s’est agrégé, les affranchis de Détail de l'événement 2017, un vent de liberté souffle sur la photographie française. Las du carcan des commandes, avides de retrouver l’idée d’indépendance autour de laquelle le collectif s’est agrégé, les affranchis de Tendance Floue décident de prendre la route. Sans parcours préétabli, avec nulle autre contrainte que de transmettre chaque jour ses impressions par l’image et les mots, les photographes parcourent la France et se passent le relais sur 4 000 km. L’exposition rendra compte de cette généreuse et fantasque marche de 32 photographes, aventure collective par essence pleine d’imprévus et de surprises. Une grande fresque photographique revisitera les productions de chaque auteur au fil du relais. Un regard libre sur le territoire français et une exploration d’autant de territoires intimes. Avec : Bertrand Meunier, Grégoire Eloy, Gilles Coulon, Meyer, Antoine Bruy, Pascal Aimar, Alain Willaume, Patrick, Tourneboeuf, Mat Jacob, Kourtney Roy, Pascal Dolémieux, Michel Bousquet, Julien Magre, Stéphane Lavoué, Léa Habourdin, Fred Stucin, Marine Lanier, Clémentine Schneidermann, Mouna Saboni, Guillaume Chauvin, Yann Merlin, Gabrielle Duplantier, Olivier Culmann, Bertrand Desprez, Julien Mignot, Thierry Ardouin, Yohanne Lamoulère, Marion Poussier, Denis Bourges, Flore-Aël Surun, Laure Flammarion et Nour Sabagh. Photo : © Grégoire Eloy Dates Octobre 24 (Samedi) 9 h 30 min - Avril 25 (Dimanche) 17 h 45 min LieuMusée Nicéphore Niépce28 quai des messageries 71100 Chalon-sur-Saône Musée Nicéphore Niépce28 quai des messageries 71100 Chalon-sur-SaôneOuvert tous les jours sauf le mardi et les jours fériés de 9h30 à 11h45 et de 14h à 17h45 CalendrierGoogleCal ven30oct(oct 30)14 h 00 min2021dim23mai(mai 23)18 h 00 minStudio ZgoreckiJeu de Paume - Château de Tours, 25, avenue André Malraux 37000 ToursType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementIssue d’un fonds photographique retrouvé en 1989 dans une maison familiale à Rouvroy, au cœur de l’ancien bassin minier du nord de la France, cette exposition présente une sélection d’environ Détail de l'événement Issue d’un fonds photographique retrouvé en 1989 dans une maison familiale à Rouvroy, au cœur de l’ancien bassin minier du nord de la France, cette exposition présente une sélection d’environ 100 tirages modernes ainsi que 140 tirages d’époque du studio de Kasimir Zgorecki (1904-1980), réalisés d’après des négatifs-verre. Par-delà la qualité esthétique indéniable de ses images, Studio Zgorecki sera l’occasion de mettre en lumière sa pratique quasi ethnographique qui accompagne et scande, au jour le jour, la vie de la communauté polonaise du Pas-de-Calais. La redécouverte de cet important corpus renvoie immédiatement à l’esthétique de la pose et atteste du changement de statut de la photographie de studio, de l’illustration familiale au documentaire et à l’œuvre d’art. Dates Octobre 30 (Vendredi) 14 h 00 min - Mai 23 (Dimanche) 18 h 00 min LieuJeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 Tours Jeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 ToursMardi à dimanche : 14 h-18 h / Fermeture le lundi - Tarif plein: 4 € / Tarif réduit: 2 € CalendrierGoogleCal dim15nov0 h 00 min2021sam15mai23 h 59 minLe Prix de la Photographie Industrielle 2021Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Prix Détail de l'événementLa Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale prolonge le concours photo étudiant sur LE SAVOIR-FAIRE EN MOUVEMENT jusqu’au 15 mai 2021. Encourager, transmettre, valoriser, conserver sont les valeurs auxquelles la Société Détail de l'événement La Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale prolonge le concours photo étudiant sur LE SAVOIR-FAIRE EN MOUVEMENT jusqu’au 15 mai 2021. Encourager, transmettre, valoriser, conserver sont les valeurs auxquelles la Société d’Encouragement adhère depuis 220 ans et souhaite encore aujourd’hui promouvoir. Grâce à ce concours photo, la Société d’Encouragement et ses partenaires souhaitent encourager les étudiants à s’intéresser davantage aux entreprises, aux innovations, aux métiers, aux technologies, mais aussi aux Hommes et Femmes qui les développent. Dates : 15 novembre 2020 au 15 mai 2021 À GAGNER : – Un chèque de 1000 € pour le lauréat «coup de coeur» du jury – Le prix étudiant de la meilleure photographie Industrielle 2021 – Un an d’exposition itinérante des photographies des lauréats à l’Hôtel de l’Industrie (Paris VIème) et en France. Inscriptions sur photoindustrie.fr La Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale s’entoure de plusieurs partenaires, tous acteurs incontournables et porteurs de l’industrie et des savoir-faire Made in France. DatesNovembre 15 (Dimanche) 0 h 00 min - Mai 15 (Samedi) 23 h 59 min CalendrierGoogleCal sam05déc(déc 5)15 h 00 min2021dim25avr(avr 25)19 h 00 minInsideExposition CollectiveGalerie Joëlle Kem Lika, 44, Grande rue 89310 Sainte-VertuType d'événement:Art Contemporain,Exposition,Photographie Détail de l'événementJoëlle Kem lika peintre “océane” joue avec cette technique de peinture fluide, éclatement d’une vague, rayon de soleil, remous dans l’océan ou reflet de lumière… elle s’évade dans ces harmonies Détail de l'événement Joëlle Kem lika peintre “océane” joue avec cette technique de peinture fluide, éclatement d’une vague, rayon de soleil, remous dans l’océan ou reflet de lumière… elle s’évade dans ces harmonies de couleurs pétillantes que lui permet l’abstrait. Regards croisés entre peintures et photographies Philip Provily photographe. pose son oeil délicat sur les fleurs Joëlle Dollé se concentre sur les contrastes et mouvements des feuillages d’automne Joëlle Kem Lika / Joëlle Dollé / Philip Provily Samedi et dimanche 15h / 19h En semaine sur rendez-vous : Tel 03 86 75 39 01 Photo : © Philip Provily Dates Décembre 5 (Samedi) 15 h 00 min - Avril 25 (Dimanche) 19 h 00 min LieuGalerie Joëlle Kem Lika44, Grande rue 89310 Sainte-Vertu CalendrierGoogleCal lun07déc0 h 00 min2021ven07mai0 h 00 minIls restaurent Notre-DameDomaine National du Palais-Royal, 8 Rue de Montpensier, 75001 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementDepuis le terrible incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris du 15 avril 2019, les clichés de l’intérieur ont été rares. De ce constat, le ministère de la Culture présente Détail de l'événement Depuis le terrible incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris du 15 avril 2019, les clichés de l’intérieur ont été rares. De ce constat, le ministère de la Culture présente depuis le lundi 7 décembre une exposition au domaine national du Palais-Royal montrant l’ampleur du chantier en cours et à venir à travers des clichés inédits pour la grande majorité réalisés par Edouard Bierry. Quelques jours après l’incendie, il a pu entrer dans ce chaos, pour témoigner de l’étendue des dégâts à travers son oeil rempli d’émotion à la vue des amas de pierres, poutres brûlées, et de sa nef ouverte aux cieux. Plus d’une dizaine de photographies montrant une partie de son travail sur ce chantier du siècle sont à découvrir dans cette exposition en accès libre et gratuit – Domaine national du Palais Royal – 5 rue de Valois, 75001 Paris (dans le respect des recommandations COVID 19) (Date de fin estimée) Dates Décembre 7 (Lundi) 0 h 00 min - Mai 7 (Vendredi) 0 h 00 min LieuDomaine National du Palais-Royal8 Rue de Montpensier, 75001 Paris CalendrierGoogleCal lun07déc(déc 7)10 h 00 min2021lun03mai(mai 3)18 h 00 minHistoires possiblesMarc RiboudLe Musée National des Arts Asiatiques – Guimet, 6 Place d'Iéna, 75116 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementL’exposition consacrée au photographe Marc Riboud (1923-2016) marque l’entrée de l’intégralité de son oeuvre dans les collections nationales, conformément à son souhait. Figure éminente de la photographie, Marc Riboud a Détail de l'événement L’exposition consacrée au photographe Marc Riboud (1923-2016) marque l’entrée de l’intégralité de son oeuvre dans les collections nationales, conformément à son souhait. Figure éminente de la photographie, Marc Riboud a marqué la seconde moitié du 20e siècle par son regard profondément personnel sur le monde. Photographe plus que reporter, il laisse derrière lui plus de 50 000 photographies (négatifs, diapositives et épreuves sur papier) où l’Asie domine. Qui d’entre nous ne s’identifie pas à telle ou telle image qu’il a toujours connue, et n’a le sentiment ainsi de feuilleter avec l’album du monde celui de sa famille ? De l’immédiat après-guerre à la Chine atemporelle des monts Huang Shan, c’est à un parcours de plus de cinquante ans sur tous les continents, avec une place privilégiée pour l’Asie, qu’invite cette exposition rétrospective sur l’oeuvre de Marc Riboud. Marc Riboud réalise ses premiers reportages à l’étranger sur les recommandations de Robert Capa et Henri Cartier-Bresson, fondateurs de l’agence Magnum qu’il a rejointe en 1953 et dont il démissionnera en 1979 en conservant des liens amicaux. Il fait d’abord ses armes dans la France et l’Angleterre de l’après-guerre et crée d’emblée des images qui habitent notre imaginaire collectif dont le fameux Peintre de la tour Eiffel, des images iconiques de Paris ou encore l’un des derniers portraits de Sir Winston Churchill. Puis c’est un périple en Europe orientale. Après la Yougoslavie, géopolitique d’un autre siècle, et les milieux ouvriers de l’Angleterre (1953-1954), son premier voyage vers l’Orient islamique commence en 1955 par la Turquie avant de partir pour l’Asie en voiture. Au terme d’un voyage de trois ans qui le porte jusqu’au Japon, la grande révélation de sa vie de photographe sera la Chine, alors presque fermée. Il y effectuera tout au long de sa vie de nombreux voyages. De ses longs séjours en Asie du Sud-Est, en Chine, au Japon, en Afghanistan, en Inde, au Népal, il rapporte des images essentielles, saisissant un continent en pleine mutation, à travers des images empruntes d’une rigoureuse géométrie et d’une profonde sensibilité. Loin de tout sensationnalisme son regard accueille l’humain, dans son universalité comme dans le tourbillon des grands bouleversements qui ont ponctué l’histoire de la seconde moitié du 20e siècle. Grande rétrospective embrassant tout l’oeuvre du photographe disparu en 2016, l’exposition met en évidence le parcours d’une vie, depuis ses premières photographies prises à Lyon – la ville de son enfance – et dans la France de l’après-guerre, jusqu’aux ultimes photographies faites en Chine, notamment dans les montagnes du Huang Shan. La photographe Sarah Moon l’y accompagne et porte un regard tout différent ; il offre avec celui de Marc Riboud un frappant contre-point. Sans rien négliger de l’art de la composition, il forge une oeuvre où s’exprime une sensibilité profonde à l’être humain, dans sa solitude comme dans ses aventures collectives. Il saisit tout au long de son parcours, de puissantes images de foules. Puis vient le reste du monde : l’Alaska, le Maghreb et l’Afrique – aux temps des indépendances –, Cuba, les États-Unis. C’est à Washington en 1967 qu’il photographie la Jeune fille à la fleur, devenue une image manifeste contre la guerre du Vietnam qui fit le tour du monde. La dernière partie de l’exposition est consacrée à l’Asie : les tourments de l’histoire devaient y être documentés. Que ce soit au Vietnam, au Bangladesh ou encore au Cambodge, Marc Riboud s’en charge avec dignité, produisant des images contenues, bouleversantes et universelles. La Chine enfin, se raconte en noir et blanc mais aussi en couleurs. Marc Riboud y retourne régulièrement pour y chercher les témoignages des évolutions et des paradoxes d’un régime politique qui fait entrer sa société dans de profondes mutations. Dans la région de l’Anhui, il capte l’essence impalpable de la beauté des rochers en pain de sucre chargés d’écharpes de brouillard, de nuages et de pins élancés. En s’approchant ainsi de la sensibilité d’un lettré, il livre une moderne interprétation de la peinture au lavis d’encre sur papier. Photo : La jeune fille à la fleur Manifestation contre la guerre au Vietnam Washington, États-Unis, 21 octobre 1967 © Marc Riboud / Fonds Marc Riboud au MNAAG Dates Décembre 7 (Lundi) 10 h 00 min - Mai 3 (Lundi) 18 h 00 min LieuLe Musée National des Arts Asiatiques – Guimet6 Place d'Iéna, 75116 Paris Le Musée National des Arts Asiatiques – Guimet6 Place d'Iéna, 75116 ParisOuvert de 10h à 18h tous les jours sauf le mardi CalendrierGoogleCal ven11déc(déc 11)11 h 00 min2021dim25avr(avr 25)18 h 00 minL’intérieur du paysNele Van CanneytMusée Bruges, Dijver 12, 8000 BruggeType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementAu printemps 2020, pendant la première vague de coronavirus, la photographe Nele Van Canneyt erre à travers Bruges, ses alentours et Zeebrugge. Tout a l’air abandonné. Quel effet une telle Détail de l'événement Au printemps 2020, pendant la première vague de coronavirus, la photographe Nele Van Canneyt erre à travers Bruges, ses alentours et Zeebrugge. Tout a l’air abandonné. Quel effet une telle crise a-t-elle sur une ville et ses habitants ? Quel est son impact sur les images d’une photographe ? Au cours de ses promenades, elle découvre des endroits secrets et fait des rencontres inattendues. Ses photos font le récit de ces explorations, mais laissent en même temps beaucoup de questions ouvertes. Le silence est-il menaçant ou apaisant ? Le vide est-il chargé de mélancolie ou est-il porteur d’espoir pour l’avenir ? La nuit, le monde se fige. Une ombre ou un rai de lumière sont les seules traces d’activité humaine. Les reflets, les volets et les rideaux fermés, les murs aveugles créent un sentiment d’isolement, d’impénétrabilité. Où se trouve la photographe, le spectateur : à l’intérieur ou à l’extérieur ? Qu’est-ce qui se joue derrière les murs ? Pendant ses promenades, Nele Van Canneyt découvre un intérieur du pays qu’elle ne connaissait pas, avec une spatialité et des nuances de couleur insoupçonnées. Dans ses images arrêtées, la tension est latente. Ses photos jouent sur la dualité entre le monde visible et ce qui se cache derrière lui. Un rêve sur pellicule. Ou la réalité ? Dates Décembre 11 (Vendredi) 11 h 00 min - Avril 25 (Dimanche) 18 h 00 min LieuMusée BrugesDijver 12, 8000 Brugge CalendrierGoogleCal mar05jan(jan 5)10 h 00 mindim30mai(mai 30)22 h 00 minSahelPhilippe de PoulpiquetParc de l’Hôtel de Ville, Palaiseau, Avenue du 8 Mai 1945, 91120 PalaiseauType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementExposition présentée dans le cadre du PHOTOCLUBBING#14, Mois palaisien de la photo. En novembre 2019, j’ai suivi, embarqué avec des militaires français, envoyé spécial pour la rédaction du journal Le Parisien, Détail de l'événement Exposition présentée dans le cadre du PHOTOCLUBBING#14, Mois palaisien de la photo. En novembre 2019, j’ai suivi, embarqué avec des militaires français, envoyé spécial pour la rédaction du journal Le Parisien, l’opération Bourgou IV dont l’objectif était de lutter contre les « groupes armés terroristes » au Sahel. J’ai photographié cette guerre dans une continuité historique avec les périodes les plus sombres du désert. J’ai choisi l’intemporalité du noir et blanc pour couvrir ce conflit, qui semble n’avoir ni début, ni fin, et qui s’étend dans le temps sur un territoire grand comme cinq fois la France. Une guerre XXL, avec ses paysages à perte de vue, ses conditions extrêmes et hostiles. Au Sahel, où l’espace et le temps paraissent sans limite, l’argentique, son aspect organique, et le panoramique se sont ici naturellement imposés dans ma démarche photographique pour couvrir cette guerre sans contour. Philippe de Poulpiquet est né en 1972. Après des études cinématographiques, il part vivre au Cameroun en 1994 sous contrat en Coopération du Service National. De retour en France en 1996, il devient photographe indépendant et travaille pour la presse magazine. En 2000, il entame sa collaboration avec le quotidien Le Parisien / Aujourd’hui en France, où il est aujourd’hui grand reporter. Ces 20 dernières années, il a couvert les principaux conflits d’Afrique ou du Moyen-Orient. Depuis 2000, il a été envoyé spécial pour la couverture de la crise et du conflit en Côte d’Ivoire, il a couvert la guerre en Afghanistan et en Irak, les opérations militaires et le blocus à Gaza, la guerre au Liban, le tremblement de terre en Haïti, les Printemps arabes en Tunisie, en Egypte, en Libye et en Syrie, l’opération Sangaris en République centrafricaine, l’opération Serval au Mali, la guerre en Ukraine, l’ouragan Katrina en Floride ou l’ouragan Haiyan aux Philippines… Son travail a été récompensé par le « Prix Sergent Sébastien Vermeille » de l’Armée de Terre en 2019, en 2012 par un « Award of Excellence » du prix Pictures of the Year aux États-Unis et distingué par le « Best of Photojournalism » 2012, « Grand prix des quotidiens nationaux » en 2011 pour son reportage dans les tunnels de Gaza. Projeté à plusieurs reprises au festival international de photojournalisme Visa pour l’Image, en particulier pour son travail sur les soldats français blessés tués en Afghanistan (Afghanistan : la guerre d’après), résumé dans un livre intitulé « pour la France… », publié en 2013, un travail qui a fait l’objet d’une acquisition pour les collections du musée de l’Armée à Paris. Dates Janvier 5 (Mardi) 10 h 00 min - Mai 30 (Dimanche) 22 h 00 min LieuParc de l’Hôtel de Ville, PalaiseauAvenue du 8 Mai 1945, 91120 Palaiseau En savoir plus CalendrierGoogleCal jeu07jan(jan 7)11 h 00 mindim09mai(mai 9)19 h 00 minDistance ArdenteExposition CollectiveMrac - Musée Régional d'Art Contemporain Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, 146 Avenue de la Plage, 34410 SérignanType d'événement:Art Contemporain,Exposition,Photographie Détail de l'événementExposition collective conçue pour la Saison Africa2020 Artistes : Mariam Abouzid Souali, Mustapha Akrim, Zainab Andalibe, Mohamed Arejdal, Hicham Ayouch, Hassan Bourkia, Diadji Diop, Simohammed Fettaka, Moataz Nasr, Khalil Nemmaoui, Fatiha Détail de l'événement Exposition collective conçue pour la Saison Africa2020 Artistes : Mariam Abouzid Souali, Mustapha Akrim, Zainab Andalibe, Mohamed Arejdal, Hicham Ayouch, Hassan Bourkia, Diadji Diop, Simohammed Fettaka, Moataz Nasr, Khalil Nemmaoui, Fatiha Zemmouri Curator : Hicham Daoudi Dans le cadre de la Saison Africa2020, le curator marocain Hicham Daoudi, invité par le Musée régional d’art contemporain (Mrac) à Sérignan propose l’exposition « Distance Ardente » à partir du 10 octobre 2020. À l’heure où des idéologies fabriquent encore de la peur, du doute et de la méfiance, l’exposition « Distance Ardente » est centrée sur la question du dialogue des mémoires, des identités et des cultures. L’exposition tente de présenter les défis qu’il reste à surmonter pour construire une relation forte et débarrassée des stigmates du passé entre les états africains et la France. Le titre appelle d’une certaine façon « à mesurer la distance » qui sépare la France et les populations du continent africain. Dans la littérature et la poésie francophones, le terme «ardent» renvoie au brasier amoureux, celui qui consume les amants tandis que dans d’autres expressions populaires il témoigne de l’impatience, et parfois même de la violence qui régit certaines situations. À travers trois grandes étapes « Corps invisibles », « Routes, Exils, et Imaginaires » et « Attraction et Déchirement », l’exposition réunit des oeuvres produites spécifiquement pour l’exposition. Dans ce contexte, l’exposition « Distance Ardente » est une invitation à tous les publics et une célébration de ce qui nous enrichit : la mixité. Photo : Khalil Nemmaoui, Sans titre, 2018. Épreuve d’artiste Tirage UV sur plexiglas, contrecollé sur dibond 180 x 240 cm Courtesy de l’artiste et du Comptoir des Mines Galerie Dates Janvier 7 (Jeudi) 11 h 00 min - Mai 9 (Dimanche) 19 h 00 min LieuMrac - Musée Régional d'Art Contemporain Occitanie/Pyrénées-Méditerranée146 Avenue de la Plage, 34410 Sérignan CalendrierGoogleCal jeu07jan(jan 7)14 h 00 mindim16mai(mai 16)18 h 00 minEtats des LieuxGeorges RousseBonisson Art Center, 177 route des Mauvares 13840 RognesType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementDepuis le Noël de ses 9 ans où il reçut en cadeau le mythique Brownie Flash de Kodak, l’appareil photo n’a plus quitté Georges Rousse. Alors qu’il est étudiant en Détail de l'événement Depuis le Noël de ses 9 ans où il reçut en cadeau le mythique Brownie Flash de Kodak, l’appareil photo n’a plus quitté Georges Rousse. Alors qu’il est étudiant en médecine à Nice, il décide d’apprendre chez un professionnel les techniques de prise de vue et de tirage puis de créer son propre studio de photographie d’architecture. Mais bientôt sa passion le pousse à se consacrer entièrement à une pratique artistique de ce médium sur la trace des grands maîtres américains, Steichen, Stieglitz ou Ansel Adams. C’est avec la découverte du Land Art et du Carré noir sur fond blanc de Malevitch que Georges Rousse choisit d’intervenir dans le champ photographique établissant une relation inédite de la peinture à l’Espace. Il investit alors des lieux abandonnés qu’il affectionne depuis toujours pour les transformer en espace pictural et y construire une œuvre éphémère, unique, que seule la photographie restitue. Pour permettre aux spectateurs de partager son expérience de l’Espace il présente, dès le début des années 80, ses images en tirages de grand format. Cette œuvre forte et singulière qui déplace les frontières entre les médias traditionnels s’est immédiatement imposée dans le paysage de l’art contemporain. Depuis sa première exposition à Paris, à la galerie de France en 1981, Georges Rousse n’a cessé d’exposer et d’intervenir dans le monde entier, en Europe, en Asie (Japon, Corée, Chine, Népal.), aux Etats-Unis, au Québec, en Amérique latine…, poursuivant son chemin artistique au-delà des modes. Il a participé à de nombreuses biennales – Biennale de Paris, Biennale de Venise, Biennale de Sidney. – et reçu des prix prestigieux : 1983 Villa Médicis « Hors Les Murs », New York (USA) 1985-1987 Villa Médicis, Prix de Rome (Italie) 1988 Prix ICP (International Center of Photography), New York (USA) 1989 Prix de Dessin du Salon de Montrouge 1992 Bourse Romain Rolland à Calcutta (Inde) 1993 Grand Prix National de la Photographie 2008 Georges Rousse succède à Sol Lewitt comme Membre associé de l’Académie Royale de Belgique Il est représenté par plusieurs galeries européennes et ses œuvres font partie de collections majeures. Dates Janvier 7 (Jeudi) 14 h 00 min - Mai 16 (Dimanche) 18 h 00 min LieuBonisson Art Center177 route des Mauvares 13840 Rognes CalendrierGoogleCal jeu14jan(jan 14)15 h 00 mindim09mai(mai 9)19 h 00 minLes Règles du jeElina Brotherus & Sara ImloulGalerie Confluence, 45 rue de Richebourg 44000 NantesType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementIl y a des images trop pleines d’histoires, tellement lourdes de récits qu’elles les laissent tranquillement se répandre comme les couleurs s’étalent sur le monde. Ces images coulent et, face Détail de l'événement Il y a des images trop pleines d’histoires, tellement lourdes de récits qu’elles les laissent tranquillement se répandre comme les couleurs s’étalent sur le monde. Ces images coulent et, face à elles, nous sommes pris.e.s dans un flot de mots possibles et de mondes cachés. Il y a une certaine magie à traverser ces images, on vole d’un espace à l’autre sans jamais se cogner car il y a trop de choses à dire, des chants plein les oreilles, des paysages plein le nez. Les images d’Elina Brotherus, photographe et vidéaste finlandaise, jouent sans cesse avec les règles de ce jeu qui peut aussi s’écrire « je » et qui passe, sans se lasser, du mot au vu, du vu au poème, du poème à tout ce qui dans le cadre peut rire en silence. Elina se met en scène dans ses photographies en travaillant autant la mise en abîme que la dérision. Elle voyage ainsi avec désinvolture de l’autofiction au regard sur le paysage, de la réappropriation de l’histoire de l’art à des inventions formelles mêlant image fixes et images en mouvement. Alors oui, le travail d’Elina Brotherus racontent des histoires qui pourraient s’apparenter à des contes oubliés. La fable d’une balle rouge saisie dans son envol pour Baldessari Assignements (2016- ), celle des femmes seules de la maison Carré (2015-2018) et la comptine éternelle de l’artiste et son modèle qu’elle module à foison en se dédoublant. Dans les histoires d’Elina Brotherus l’image s’inscrit toujours à la lisière d’une forêt où l’ironie et la mélancolie se côtoient avec bienveillance. Il y a une douceur dans ce regard, quelque chose qui donne aux formes bêtes de l’existence des allures de roman. Ce roman silencieux s’écrit aussi comme un écho en négatif dans les jeux de mises en scène de Sara Imloul, jeune photographe française. Sara construit des images en noir et blanc réinterprétant toujours un peu plus follement ce qu’ouvraient les surréalistes dans les années 1920. Dans Passages, elle plonge dans une archéologie contemporaine en installant des objets qui, du simple fait de leur position, racontent les mystères fous de tout ce que l’on ne voit pas. À la manière de Brassaï, elle réinvente les signes en les domptant dans son cadre. Montage infini des formes, passage de relais entre ce que l’on voit et tout ce qui pourrait être si on se donnait un tout petit temps pour la magie. Et il y a tant de magie dans ces images pleines d’histoires, celles qui détournent le réel pour mieux entendre son rire. Emilie Houssa Dates Janvier 14 (Jeudi) 15 h 00 min - Mai 9 (Dimanche) 19 h 00 min LieuGalerie Confluence45 rue de Richebourg 44000 Nantes Galerie Confluence45 rue de Richebourg 44000 NantesOuvert du mercredi au samedi, de 15H à 19H et sur RDV CalendrierGoogleCal lun18jan(jan 18)0 h 00 minmar25mai(mai 25)23 h 59 min3ème édition de la Bourse Laurent Troude Organisateur: Bourse Laurent Troude Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Prix Détail de l'événementL’Association Laurent Troude et nos partenaires la Société des auteurs des arts visuels et de l’image fixe (SAIF), Libération, Divergence Images, ImageSingulières, annoncent le lancement de la troisième Détail de l'événement L’Association Laurent Troude et nos partenaires la Société des auteurs des arts visuels et de l’image fixe (SAIF), Libération, Divergence Images, ImageSingulières, annoncent le lancement de la troisième édition de la Bourse Laurent Troude de la nouvelle photographie de presse. L’appel à candidatures court du 18 janvier au 19 avril 2021. La Bourse Laurent Troude est destinée à soutenir des photographes de moins de 30 ans qui s’intéressent à ce qui se passe sur le territoire français, quelle que soit la thématique, politique, sociale, sportive ou culturelle. Elle récompense un(e) photographe d’une dotation de la SAIF et de Libération d’un total de 8000 euros, d’un droit d’entrée et d’un an d’abonnement gratuits à Divergence Images, d’une exposition à Sète en 2022. Les modalités de participation, le règlement et les informations sont disponibles sur sa page Facebook. > Télécharger le formulaire d’inscription > Télécharger règlement Photo : Théo Combes, «Noire Méditerranée» lauréat de la première bourse Laurent Troude en 2019 DatesJanvier 18 (Lundi) 0 h 00 min - Mai 25 (Mardi) 23 h 59 min Organisateur Bourse Laurent Troudebourselaurenttroude@gmail.com CalendrierGoogleCal lun18janmar01juiConcours photo du Festival de l’Image du Dévoluy Organisateur: Festival de l’image du Dévoluy Type d'événement:Festival,PhotographieType d'événement 2:Concours Détail de l'événementLe Festival de l’Image du Dévoluy revient pour une 2e édition, du 16 au 18 juillet 2021. Les inscriptions au concours photo sont ouvertes sur festival-image-devoluy.com ! Cette année, le thème est Détail de l'événement Le Festival de l’Image du Dévoluy revient pour une 2e édition, du 16 au 18 juillet 2021. Les inscriptions au concours photo sont ouvertes sur festival-image-devoluy.com ! Cette année, le thème est Les animaux sauvages. Pris en milieu montagnard, marin, dans les airs, une forêt ou autre, les clichés devront dépeindre une faune sauvage et libre en milieu naturel. Les inscriptions sont gratuites et jusqu’au 1er juin 2021. Il existe deux catégories : amateur et professionnel. Le prix professionnel est doté de 1500€; le prix amateur, d’un week-end pour le brame du cerf, à l’automne 2021 Le jury sélectionnera 5 finalistes dans chaque catégorie, dont les images seront exposées pendant le Festival. Les lauréats seront dévoilés lors de la remise des prix du Festival. A travers ce concours, l’Office de Tourisme du Dévoluy et les membres du jury souhaitent mettre en valeur l’excellence des photographes de nature et mettre en avant le regard artistique et personnel qu’ils portent sur le vivant qui nous entoure. « Nous défendons la photographie animalière éthique, n’ayant pas subi de manipulation numérique excessive, accompagnées par des descriptions honnêtes et démontrant un respect total des animaux et de leur environnement. » Les photographes qui participent à ce concours contribueront à la protection de la faune et de ses habitats et ouvriront l’esprit du public, nous l’espérons, à une meilleure compréhension et à un plus grand sens des responsabilités à la nature qui nous entoure. Pour la seconde année consécutive, le photographe professionnel Mickaël Arzur est le parrain de l’événement. Le Festival de l’Image du Dévoluy a pour but de mettre en valeur la vision personnelle et artistique des photographes, au travers des clichés de passionnés de la nature. Cet événement est également une manière plus ludique et artistique de faire découvrir et de sensibiliser le public à la faune, la flore, et son environnement. Le festival s’articulera autour d’un programme complet et divers, entre concours photo, exposition, masterclass, conférences, test de matériel avec le partenaire officiel Camara Grenoble, sorties encadrées, etc. Toutes les informations et inscriptions sur festival-image-devoluy.com et sur l’événement Facebook. Photo : Le lagopède blanc ©Laurent Chaix DatesJanvier 18 (Lundi) 0 h 00 min - Juin 1 (Mardi) 23 h 59 min Organisateur Festival de l’image du Dévoluy En savoir plus CalendrierGoogleCal mar19jan(jan 19)11 h 00 mindim25avr(avr 25)19 h 00 minRescheduledVoir ParisEugène AtgetDans l'attente de la réouverture des lieux culturelsFondation Henri Cartier Bresson, 79, rue des Archives 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementEnviron deux générations séparent les deux photographes. Le premier, Eugène Atget, abandonne sa carrière de comédien, le deuxième, Henri Cartier-Bresson, celle de peintre, au profit d’un art relativement nouveau, l’enregistrement Détail de l'événement Environ deux générations séparent les deux photographes. Le premier, Eugène Atget, abandonne sa carrière de comédien, le deuxième, Henri Cartier-Bresson, celle de peintre, au profit d’un art relativement nouveau, l’enregistrement photographique. Dans une double exposition exceptionnelle et des approches inédites, la Fondation HCB (du 17 novembre 2020 au 21 février 2021) et le musée Carnavalet – Histoire de Paris (au printemps 2021), s’associent pour montrer, à partir de leurs collections, l’essence de la capitale dans l’oeuvre de ces deux grandes figures de la photographie française. Henri Cartier-Bresson, subjugué par l’approche d’Eugène Atget, l’imitera jusqu’au moment où il découvre le Leica et pratique l’image à la sauvette. « Prendre la poudre d’escampette » après avoir enregistré ce qu’il a vu, comme le disait souvent Cartier-Bresson, reste sa provocation favorite alors que pour Atget, dès l’aube, son lourd chargement sur le dos, l’enregistrement est très réfléchi ; on y devine peu de hasards mais un plaisir de la vision qui s’affirme avec le temps. Atget, plus intéressé par la ville, depuis l’architecture la plus classique jusqu’aux cours les plus reculées, a mis en images de façon obsessionnelle un Paris marqué par l’histoire, proposant ses tirages à des peintres ou des bibliothèques. Les personnages qui s’invitent dans le cadre se fondent dans le décor. Henri Cartier-Bresson, après avoir fréquenté les surréalistes dans les années vingt, se découvre voyageur au long cours, avec Paris comme port d’attache. Plus que la ville, c’est l’Homme qui l’intéresse, il le saisit dans la rue ou à l’occasion de rencontres. Son boitier ne le quitte pas, photographier est une respiration, une affirmation, une protestation parfois, avec de temps en temps une velléité documentaire mais sans satisfaction. Atget n’a rien dit ou presque sur son travail. Des propos rapportés ont servi à définir un projet essentiellement documentaire mais son approche directe et emprunte de poésie a fasciné nombre de ses contemporains, d’où les commentaires les plus contradictoires sur cette oeuvre atypique. Cartier-Bresson, dont le musée Carnavalet possède une belle collection, a beaucoup commenté son travail et surtout en opposition à ce que l’on voulait lui faire dire. Il en résulte une autre complexité confirmée par l’examen de ses archives conservées au sein de sa fondation. Photographes, Atget et Cartier-Bresson sont aussi de grands lecteurs. Ces deux figures foncièrement indépendantes, un brin austères, n’ont cultivé ni concepts intellectuels ni principes artistiques pour se fonder sur la valeur de l’expérience. Ils invitent à exercer notre regard, à considérer la complexité de ce monde comme la source même de notre faculté imaginaire. L’Histoire a voulu que ces deux oeuvres, émancipatrices de la photographie, soient d’abord reconnues aux États-Unis, avant de laisser chacune une postérité immense. Les deux commissaires ont voulu que cette sélection originale reflète la dimension poétique des deux auteurs. À l’occasion de la réouverture du musée Carnavalet et du deuxième anniversaire de l’arrivée dans le Marais de la Fondation HCB, c’est une célébration de Paris par des regards singuliers, un siècle avant qu’elle ne devienne la ville la plus photographiée au monde. COMMISSARIAT DES DEUX EXPOSITIONS Anne de Mondenard, responsable du département Photographies et Images numériques, musée Carnavalet – Histoire de Paris Agnès Sire, directrice artistique, Fondation HCB Dates Janvier 19 (Mardi) 11 h 00 min - Avril 25 (Dimanche) 19 h 00 min LieuFondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisLa Fondation est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h. Plein tarif 10 € / Tarif réduit 5 € (sur justificatif) CalendrierGoogleCal jeu21jan(jan 21)0 h 00 minven30avr(avr 30)23 h 59 minAppel à projets : Artistes, bénévoles, lieux. En Hauts ! Transphotographiques 2021 Organisateur: Transphotographiques Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Festival Détail de l'événementLES 20 ANS ! Juin Septembre 2021 Save The Date ! Le festival Transphotographiques est un événement culturel fortement attaché au territoire qui l’a vu naître en 2001 sous Détail de l'événement LES 20 ANS ! Juin Septembre 2021 Save The Date ! Le festival Transphotographiques est un événement culturel fortement attaché au territoire qui l’a vu naître en 2001 sous le parrainage de Willy Ronis. Au cours de 14 éditions successives, le festival a visité tous les champs de la photographie contemporaine, à travers des expositions photographiques dans de nombreux lieux de la métropole et de la Région Hauts-de-France, créant ainsi un maillage fort et un réel parcours émotionnel et culturel. Convaincus que la pérennité et la pertinence d’un festival n’est pas le monopole des politiques, nous voulons démontrer que cet événement appartient avant tout aux habitants, aux visiteurs, aux passionnés et surtout aux artistes. C’est pourquoi, à l’occasion de ses 20 ans, l’ambition des Trans2021 est intacte, identique à celle qui prévalait aux débuts du festival. Il s’agit cette année d’enrichir l’expérience culturelle et artistique par des démarches collaboratives partagées, populaires et solidaires, au sortir d’une crise sanitaire et économique mondiale qui impacte fortement nos sociétés, les structures culturelles et surtout nos artistes, ceux qui créent et entretiennent notre lien social. APPEL À PROJET 2021 ARTISTES, BÉNÉVOLES ET LIEUX Vous êtes un artiste, photographe, ou créateur dans les arts visuels et avez travaillé sur la région Hauts-de-France ? Vous détenez un travail artistique, des images, des livres photo, une collection liée à notre Région ? Vous gérez un lieu culturel, une boutique, un local original, situé en Hauts-de-France ? Vous êtes un(e) passionné(e) qui souhaite soutenir la création artistique et photographique, en apportant un peu de temps ou même une idée ? A partir de septembre 2021, les expositions et les événements seront présentés à Lille, tout comme dans de nombreuses villes de toute la Région Hauts-de-France, tant dans des espaces confirmés et partenaires de la Maison Photographie depuis longtemps, que dans des nouveaux lieux originaux, innovants et même décalés : espaces culturels, espaces cultuels désacralisés, galeries, espaces de restauration, extérieurs, plages, jetées, parcs…. Le festival se caractérisera en 2021 par un thème “HAUTS-DE-FRANCE”, et par une programmation plurielle ; fidèle à son ADN, il présentera de grands noms de la photographie, favorisera l’émergence de nouveaux talents, mettra en lumière les travaux d’artistes et de collectifs européens et internationaux. Il s’ouvrira également aux artistes issus d’autres champs artistiques. Sociale, historique, émergente, graphique, la photographie sous toutes ses formes sera présente, avec une place toute particulière accordée comme depuis 2001, à la création régionale, à travers un appel à projet lancé début 2021. Avec un budget extrêmement réduit, mais souhaitant célébrer les 20 ans du Festival et recréer des moments culturels partagés, nous voulons que cette édition 2021 viennent réellement soutenir et valoriser les artistes et créateurs, et en particulier ceux de notre région. Nous lançons un appel à projet : 1/ aux artistes qui voudraient proposer leurs travaux et être exposés en 2021: envoi dossier PDF avec Bio / 10 à 20 photos basse def / Texte de présentation du projet 2/ aux bénévoles, qui auraient envie d’apporter leur pierre à l’édifice pour ces 20 ans du Festival : envoi Bio/compétences/ Motivation 3/ aux structures culturelles, boutiques, entreprises, ou lieux qui auraient envie d’accueillir une expo : contactez-nous 4/aux villes ou agglomérations, petites ou grandes, qui voudraient s’associer au festival pour faire partie de ce parcours régional DatesJanvier 21 (Jeudi) 0 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 23 h 59 min Organisateur Transphotographiquestransphotographiques@gmail.com CalendrierGoogleCal jeu21jan(jan 21)12 h 00 mindim25avr(avr 25)18 h 00 minPhotoBrussels Festival 05hangar photo art center gallery, 18, Place du Châtelain 1050 BrusselsType d'événement:Festival,Photographie Détail de l'événementAprès le succès de la 4ème édition en 2019, Hangar, le centre photographique de Bruxelles lance la 5ème édition de PhotoBrussels Festival. Depuis sa création en 2016 par Delphine Dumont, Détail de l'événement Après le succès de la 4ème édition en 2019, Hangar, le centre photographique de Bruxelles lance la 5ème édition de PhotoBrussels Festival. Depuis sa création en 2016 par Delphine Dumont, PhotoBrussels Festival se déploie sur les 1000 m2 du Hangar avec une exposition thématique et propose un parcours photographique dans la ville (35 lieux) ainsi que différents évènements (conférences, workshops…). Hangar a ainsi accueilli une première édition sur le thème du paysage (« Landscape », 2016 ) et successivement mis en avant le portrait (« Portrait », 2017), la ville (« City », 2018) et la nature morte (« Still Life », 2019). PhotoBrussels Festival 05 fera mémoire de l’année 2020 : 420 artistes confinés en Europe ont répondu au « Call for European Photographers » lancé pendant le confinement (mars-juin 2020). Un jury d’experts a sélectionné vingt-sept projets lauréats – dont douze artistes français – qui seront présentés au Hangar : une mission photographique comme souvenir et une scénographie immersive rappelant la condition de « confiné ». A travers vingt-sept sensibilités photographiques et/ou vidéographiques différentes, Hangar dévoile les germes de la résilience humaine. Chaque artiste présente sa vision du « monde intérieur », faisant ainsi voler en éclat l’univers pesant de la quarantaine. Créativité, humour, empathie, réflexion, amour, inspiration de la nature sont autant de principes promettant une guérison rapide et un « après » meilleur. Le lauréat du « Coup de coeur Leica » (choisi parmi les sélectionnés) recevra un Leica Q2 le jour du vernissage. Les vingt-sept lauréats : Gérome Barry, Lucile Boiron, Marguerite Bornhauser, Ferhat Bouda, Bruno Boudjelal, Sarah Bouillaud, Jean-Marc Caimi & Valentina Piccinni, Gonçalo Fonseca, Julia Fullerton-Batten, Gabriele Galimberti, Nick Hannes, Giovanni Hänninen, Philip Hatcher-Moore, Pierre Jarlan, Kíra Krász, Yann Laubscher, Lucas Leffler, Edgar Martins, Alisa Martynova, Patrick Messina, Alice Pallot, Elea Jeanne Schmitter & Le Massi, Alexandra Serrano, Frédéric Stucin, Mattia Sugamiele, Simon Vansteenwinckel, Laure Vasconi Dates Janvier 21 (Jeudi) 12 h 00 min - Avril 25 (Dimanche) 18 h 00 min Lieuhangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 Brussels hangar photo art center gallery18, Place du Châtelain 1050 BrusselsOuvert du mardi au samedi de 12:00 à 18:00 CalendrierGoogleCal ven22jan(jan 22)11 h 00 minmar15jui(jui 15)17 h 00 minWabi-sabi, la beauté dans l’imperfectionSteve McCurryMusée Barbier-Mueller, Rue Jean-Calvin 10, 1204 Genève, SuisseType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementLe musée Barbier-Mueller a invité le célèbre photographe Steve McCurry à élaborer une exposition qui reflète deux valeurs qu’ils partagent, leur ouverture sur l’humanité et leur forte sensibilité à la Détail de l'événement Le musée Barbier-Mueller a invité le célèbre photographe Steve McCurry à élaborer une exposition qui reflète deux valeurs qu’ils partagent, leur ouverture sur l’humanité et leur forte sensibilité à la beauté. Steve McCurry explore la philosophie du wabi-sabi (la beauté des choses imparfaites, impermanentes et incomplètes) à travers trente de ses œuvres. Le musée Barbier-Mueller associe aux images de l’artiste des objets de ses propres collections sélectionnés sur des critères formels. Proposant un nouveau regard sur le travail d’une des voix pionnières de la photographie, cette juxtaposition engendre des échos non seulement esthétiques mais aussi narratifs. Un catalogue accompagne cette exposition. Magnifique objet offrant des reproductions d’excellente qualité des photos de Steve McCurry et des pièces du musée exposées, il comporte également des notices descriptives de ces œuvres (en vente à l’accueil du musée et sur notre boutique en ligne) ! Dates Janvier 22 (Vendredi) 11 h 00 min - Juin 15 (Mardi) 17 h 00 min LieuMusée Barbier-MuellerRue Jean-Calvin 10, 1204 Genève, Suisse CalendrierGoogleCal sam23jan(jan 23)10 h 00 mindim30mai(mai 30)18 h 00 minPaysages de mémoireExposition collectiveLe Centre du Patrimoine Arménien, 14 rue Louis Gallet, 26000 ValenceType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementPrésentée du 23 janvier au 30 mai 2021, cette exposition sonde les espaces naturels qui nous entourent et fait émerger les histoires douloureuses qui les habitent, à partir des traces Détail de l'événement Présentée du 23 janvier au 30 mai 2021, cette exposition sonde les espaces naturels qui nous entourent et fait émerger les histoires douloureuses qui les habitent, à partir des traces plus ou moins visibles qui s’y sont disséminées au fil du temps… Présentation : Les paysages sont dépositaires d’une mémoire. Celle des regards qui s’y sont posés, des pas qui les ont foulés, des gestes de ceux qui les ont façonnés. Celle des événements tragiques qui s’y sont déroulés… Ces traces s’effacent et ressurgissent, éradiquées par les auteurs des crimes, recréées par ceux qui investissent le paysage. Elles se déplacent, elles muent. Témoin impassible des violences qui s’y déroulent, le paysage n’en garde pas moins les stigmates. Faisant dialoguer le travail de nombreux photographes, cette exposition explore les labyrinthes, les failles, les « non-dits » des espaces qui nous sont contemporains. Elle fait émerger leurs blessures, leur mémoire, telle qu’elle s’est déposée dans les forêts, les fleuves, les pierres, la mer, ou encore les murs et les pavés des villes. Des ruines d’Ani à Tchernobyl, de Birkenau à la frontière pyrénéenne, les images présentées questionnent un paysage palimpseste, et laissent une place importante à celui qui les regarde et leur donne sens. Dates Janvier 23 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 30 (Dimanche) 18 h 00 min LieuLe Centre du Patrimoine Arménien14 rue Louis Gallet, 26000 Valence Le Centre du Patrimoine Arménien14 rue Louis Gallet, 26000 ValenceLe Cpa est ouvert du mardi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h / Samedis et dimanches de 14h à 18h (fermé les jours fériés, le 7 mai et le 24 décembre 2019) CalendrierGoogleCal lun01fev10 h 00 minmer19mai(mai 19)18 h 00 minJuke Joint BluesAlain KelerMaison des Associations Rennes, 6 cours des Alliés 35000 RennesType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementPour l’année 2021, l’Espace d’exposition de la Maison des associations ouvre sa programmation avec l’exposition Juke Joint Blues du photographe Alain Keler. Elle s’inscrit dans le cadre du Festival Travelling Détail de l'événement Pour l’année 2021, l’Espace d’exposition de la Maison des associations ouvre sa programmation avec l’exposition Juke Joint Blues du photographe Alain Keler. Elle s’inscrit dans le cadre du Festival Travelling organisé par l’association Clair Obscur. Incontournable berceau du blues entre Memphis et Vicksburg, le Delta du Mississippi est considéré comme l’une des régions les plus défavorisées économiquement des États-Unis. Comme dans la majorité des États du Sud, la ségrégation y était très présente et les Noirs américains en subissaient lourdement les conséquences. Avec cette série de clichés capturés durant l’année 1986, le prestigieux photographe français Alain Keler nous invite à découvrir cette région à travers un voyage photographique rythmé par les clubs de blues locaux, les Juke Joint. Un moment contemplatif riche en histoire « là où la musique rythme les danses accompagnées de rires et d’une liberté que personne ne pourra contester. » Entrée libre – Port du masque obligatoire Des visites guidées de l’exposition sont prévues le 17 février et le 10 mars à 15h30, 16h30, 17h30 (réservation conseillée) Dates Février 1 (Lundi) 10 h 00 min - Mai 19 (Mercredi) 18 h 00 min LieuMaison des Associations Rennes6 cours des Alliés 35000 Rennes CalendrierGoogleCal mar02fev(fev 2)10 h 00 minven30avr(avr 30)18 h 00 minParuresChristine MathieuBibliothèque Romain-Rolland, 1 Avenue Aimé Césaire, 93500 PantinType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementMes photographies sont un hommage rendu à ce travail de patience intense et exigeant. Ces femmes, tout en continuant humblement leurs travaux domestiques, ont transcendé leur condition par l’expression de Détail de l'événement Mes photographies sont un hommage rendu à ce travail de patience intense et exigeant. Ces femmes, tout en continuant humblement leurs travaux domestiques, ont transcendé leur condition par l’expression de leur savoir-faire. Elles nous ont laissé ces pièces magnifiques. Ce sont, pour moi, des fées de l’ordinaire, des magiciennes du quotidien, elles ont fait entrer dans les foyers, par la perfection de leur pratique, le goût de la beauté, le respect des valeurs associées à la créativité. Pour évoquer la difficulté et la beauté de cette transcendance, j’ai fabriqué un ensemble de coiffes à l’aide de trames métalliques ordinaires : grillage à moutons, grillage à garde-manger… Découpes, montages, laçages, piquages, mes assemblages à réminiscences archaïques évoquent l’exotisme des formes de ces coiffes, parfois si étranges qu’elles semblent provenir d’un ailleurs, puissant et magique. Ces créations sont photographiées sur fond noir, elles complètent un corpus d’images ou transitent silencieusement coiffes et pièces de dentelles. Ombres, spectres, elfes, corps et visages sont suggérés, comme suspendus dans une atmosphère de recueillement. Il me paraît important de réinscrire dans le courant de la création artistique contemporaine ces témoignages d’une expérience intime liée à l’histoire de la condition des femmes. Bib. Romain Rolland. Mar 2 février > sam. 27 février. Bib. Elsa Triolet. Mar 2 mars > sam. 27 mars. Ven. 19 mars à 18h, visite guidée de l’exposition par la photographe. Sur inscription. Bib. Jules Verne. Mar 30 mars > ven. 30 avril Dates Février 2 (Mardi) 10 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 18 h 00 min LieuBibliothèque Romain-Rolland1 Avenue Aimé Césaire, 93500 Pantin CalendrierGoogleCal mer03fev(fev 3)0 h 00 minven30avr(avr 30)23 h 59 minPrix du reportage photo scientifique ! Organisateur: AJSPI (Association des journalistes scientifiques pour la presse d’information- Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Prix Détail de l'événementL’AJSPI lance son appel à candidatures pour le Prix du reportage photo scientifique de l’année ! Ce premier prix consacré au photojournalisme scientifique récompensera le travail d’un journaliste ou d’un Détail de l'événement L’AJSPI lance son appel à candidatures pour le Prix du reportage photo scientifique de l’année ! Ce premier prix consacré au photojournalisme scientifique récompensera le travail d’un journaliste ou d’un photographe professionnel. Ce prix vise à «promouvoir l’excellence et la créativité dans le photojournalisme scientifique». Les lauréats doivent être source «d’inspiration et d’innovation». Le gagnant remportera 1 000 euros, voire qui sait, la gloire et la fortune ! 🙂 Et la remise du prix aura lieu à l’AG de juin. Il est ouvert à tous les photographes et journalistes même non-membres. Alors n’hésitez pas à diffuser l’info au sein des agences photo, des collectifs, etc. COMMENT PARTICIPER ? Chaque participant est appelé à envoyer par mail à contact@ajspi.com un portfolio de 12 à 20 photos sur un même sujet scientifique. En détail : Un fichier au format .pdf contenant : – biographie de l’auteur (900 signes maximum espaces compris) et coordonnées (adresse complète, email et téléphone, date et lieu de naissance) – texte résumé de présentation général du sujet (900 signes maximum espaces compris) et note d’intention (3000 signes maximum espaces compris) – titre et légende pour chaque photographie (300 signes maximum espaces compris) – Et bien sur les photos… Format des images (JPG, compression 8, résolution 72 dpi, 2 Mo maximum par photo, bord large : 1920 pixels si image horizontale, et 1080 pixels si image verticale). Les fichiers doivent être nommés sous le format : nomduphotographe_01.jpg à nomduphotographe_XX.jpg. Le jury du Prix, constitué de professionnels de la photographie et du journalisme scientifique, se réunira en mai et les résultats seront annoncés en juin, lors de l’Assemblée générale de l’AJSPI. Clarisse Rebotier chapeaute et préside ce prix. Les dossiers complets doivent arriver avant le 30 avril 2021 minuit ! Bonne chance à toutes et à tous ! Le règlement complet et tous les détails sont ici. photo © Clarisse Rebotier DatesFévrier 3 (Mercredi) 0 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 23 h 59 min Organisateur AJSPI (Association des journalistes scientifiques pour la presse d’information-contact@ajspi.com CalendrierGoogleCal jeu04fev(fev 4)0 h 00 minsam29mai(mai 29)0 h 00 minMemoria : Récits d'une autre histoireFrac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, Corto Maltese, La MÉCA 5 parvis, 33800 BordeauxType d'événement:Art Contemporain,Exposition,PhotographieType d'événement 2:Bourse Détail de l'événementDans le cadre du Focus Femmes de la Saison Africa 2020 et du programme régional d’expositions Vivantes ! à l’initiative du Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA L’exposition Memoria : récits d’une autre Détail de l'événement Dans le cadre du Focus Femmes de la Saison Africa 2020 et du programme régional d’expositions Vivantes ! à l’initiative du Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA L’exposition Memoria : récits d’une autre Histoire c’est l’idée d’une mémoire collective composée d’une myriade de récits, d’histoires, de questionnements et d’expériences éparpillées dans nos mémoires individuelles, personnelles, intimes. Elle est ici révélée à travers les œuvres de quatorze artistes dont le travail renvoie à la (re)construction d’un tout commun, d’un tout universel, qui renouvelle notre regard sur la création contemporaine issue d’Afrique et de ses diasporas. Les œuvres sélectionnées explorent la peinture, le textile, la sculpture, la vidéo ou encore la performance. Elles composent un parcours faisant écho d’une part à une lecture démystifiée de pans d’Histoire et de croyances communément divulgués au sujet du continent africain, et d’autre part à la manière dont les dispositifs d’histoires imaginaires sont encore à l’œuvre et notamment dans les domaines économiques et de redistribution des ressources. Le fil conducteur de l’exposition est celui de la mémoire ; un fil qui se déroule tout au long des récits partagés, au travers de trois thématiques abordées : De l’intime à l’universel, Quand la mémoire fait œuvre politique, et enfin Fabulations, fictions et autres imaginaires. Comment révéler l’Histoire pour construire le futur ? Dans ce long processus de reconstruction, la place de la mémoire est primordiale : quelle(s) mémoire(s) pour quelle(s) Histoire(s) ? Commissariat : Artness I Nadine Hounkpatin & Céline Seror L’exposition sera accompagnée d’un catalogue. Parution aux éditions Acte Sud en février 2021 Artistes : Dalila Dalléas Bouzar, Ndidi Dike, Enam Gbewonyo, Bouchra Khalili, Gosette Lubondo, Georgina Maxim, Tuli Mekondjo, Myriam Mihindou, Wangechi Mutu, Otobong Nkanga, Josèfa Ntjam, Selly Raby Kane, Na Chainkua Reindorf, Mary Sibande. Photo : Gosette Lubondo, Imaginary Trip II, 2017. © musée du Quai Branly – Jacques Chirac, Dist. RMN-Grand Palais / image musée du Quai Branly – Jacques Chirac Dates Février 4 (Jeudi) 0 h 00 min - Mai 29 (Samedi) 0 h 00 min LieuFrac Nouvelle-Aquitaine MÉCACorto Maltese, La MÉCA 5 parvis, 33800 Bordeaux Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCACorto Maltese, La MÉCA 5 parvis, 33800 BordeauxOuvert du mardi au samedi de 13h à 18h30 CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)10 h 00 mindim16mai(mai 16)18 h 00 minSunset MemoryPeter WaterschootLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementPeter Waterschoot nous convie à un voyage immobile, dans ce qui pourrait être le récit recomposé d’une étrange nuit se déroulant en des espaces clos, aux lumières tamisées autant que Détail de l'événement Peter Waterschoot nous convie à un voyage immobile, dans ce qui pourrait être le récit recomposé d’une étrange nuit se déroulant en des espaces clos, aux lumières tamisées autant que dans la ville qui les héberge. Au cours de séjours de trois ou quatre jours consécutifs, à Ostende, Bruxelles, Venise, Osaka ou Berlin, Peter Waterschoot a photographié en reclus les signes du temps et de l’absence dans des chambres, des couloirs, des salons, des dancings dépeuplés… Ici et là, on aperçoit des lits et fauteuils abandonnés, des papiers peints défraichis, des verres oubliés et des réveils arrêtés. Peter Waterschoot ne nous dévoile pas seulement le récit hypothétique d’attentes mystérieuses dans ces lieux clos, il se fait également l’oeil indiscret de rues désertées, qu’un faible éclairage seul anime. L’exposition présentera des photographies extraites de sa précédente série At the Skin of Time mais également sa série plus récente Sunset Memory. Ces images ont été réalisées entre 2012 et 2020. De rouge sang, de bleu ou de jaune, ses photographies poudrées aux teintes nuancées accentuent le caractère nostalgique voire mélancolique d’une présence absente. Réconfortantes parfois, elles n’en trahissent pas moins un sentiment d’inquiétude, de tension. Dates Février 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 16 (Dimanche) 18 h 00 min LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueLe musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)10 h 00 mindim16mai(mai 16)18 h 00 minBack to NeverlandJulie Gasemi / Nicolas DufranneLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementDans le cadre de leur partenariat, Le Soir et le Musée de la Photographie ont lancé la Galerie du Soir. Parallèlement à chaque nouvelle grande exposition du Musée, la Galerie Détail de l'événement Dans le cadre de leur partenariat, Le Soir et le Musée de la Photographie ont lancé la Galerie du Soir. Parallèlement à chaque nouvelle grande exposition du Musée, la Galerie du Soir présente un jeune artiste à découvrir. Un pari sur l’avenir décliné en quatre volets: un accrochage réduit mais significatif au Musée, un portfolio dans la revue Photographie Ouverte, une présentation du photographe dans les pages du Soir et une sélection de son travail sur le site www.lesoir.be. Pour cette nouvelle édition de la Galerie du Soir, notre choix s’est porté sur Bruno Oliveira. Fraîchement sorti de La Cambre avec un master en photographie, Bruno Oliveira a très tôt connu l’exil, passant d’un minuscule village du Portugal au Grand-Duché de Luxembourg. S’il y suit une scolarité normale, il s’intéresse assez vite au domaine de l’image. « J’ai commencé à faire de petits jobs comme figurant pour des courts et longs métrages. Ça a été l’élément déclencheur car je me suis rendu compte que je préférais être derrière la caméra ». À 18 ans, ses parents lui achètent son premier appareil photo. « Je l’utilise toujours aujourd’hui » glisse-t-il simplement. Tandis qu’il se lance dans des études d’éducateur puis obtient un boulot dans un foyer scolaire pour enfants, il continue à explorer sa passion pour l’image après ses journées de travail. Le deuxième élément déclencheur sera un concours, une sorte de téléréalité pour artiste à laquelle il participe sur Télé Luxembourg. Sans la moindre formation artistique, Bruno Oliveira parvient aux portes des demi-finales. « Là, je me suis dit que je devais continuer dans cette voie et j’ai décidé de faire des études de photo. En un mois, j’ai tout quitté et je me suis inscrit à La Cambre ». Sa décision inquiète son entourage : « On me disait : Tu n’as jamais rien fait en art avant, tu n’as aucune chance ! J’ai voulu essayer quand même. Lors des examens d’entrée, j’étais désespéré car c’était effectivement très poussé. Moi, j’étais autodidacte. Je savais qu’il me manquait les bases artistiques. J’ai fait comme je le sentais en me dirigeant vers le portrait, la personne, le documentaire… Et j’ai été pris. » A partir de là, tout s’accélère. Bruno s’installe à Bruxelles et revient le week-end à Luxembourg. « Tandis que j’étais en 3e année à La Cambre, je voyais que mes amis au Luxembourg avançaient très vite dans le quotidien. Ils commençaient à acheter une voiture, une maison… Un jour, en visitant Disneyland avec des amis, on a joué à s’attribuer les noms des personnages de la parade. Une copine m’a dit : toi, tu serais Peter Pan. Tu es celui d’entre nous qui se permet de rêver, de faire des choses qu’on n’aurait pas faites. A partir de là, je me suis mis à faire des photos de mes amis au quotidien, souvent dans les fêtes. Des images un peu mélancoliques. Ҫa reflète ce que je ressens par rapport à mon entourage. » A Luxembourg, le Casino, centre d’art contemporain, lance une triennale consacrée à la jeune création. « J’ai décidé de participer et de travailler sur les Millennials, cette génération Y, née entre 1980 et 1996, dont je fais partie. J’ai donc continué à photographier mes amis, au Luxembourg, à Bruxelles, mais aussi en voyage. Au Japon notamment. » Le résultat ? Des images surgissant souvent de la nuit mais pleines de couleurs. « L’idée, c’était de créer un pays imaginaire. » Normal pour un gamin portugais exilé au Grand-Duché et venant étudier à Bruxelles. « Dans mes images, il y a la notion d’exil, les communautés, le voyage. Les intérieurs de maison aussi qui m’influencent beaucoup. » Fidèle à Peter Pan, il va où le vent le mène. « La majorité de mes images sont faites sur le vif. Les éléments qui peuvent donner une impression de mise en scène, c’est généralement un accident, une maladresse qui rend le truc plus intéressant. Je ne planifie pas ce que je fais. » Cerise sur le gâteau, pour sa série Back to Neverland, il a choisi de réaliser ses tirages en format poster, façon chambre d’ado. Histoire de marquer un peu plus encore le côté générationnel. Dates Février 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 16 (Dimanche) 18 h 00 min LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueLe musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)10 h 00 mindim16mai(mai 16)18 h 00 minTraunsteinJulie Gasemi / Nicolas DufranneLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueType d'événement:Exposition,Photographie Dates Février 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 16 (Dimanche) 18 h 00 min LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueLe musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)10 h 00 mindim16mai(mai 16)18 h 00 minWelcome to Camp AmericaDebi CornwallLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementHormis les tenues oranges des prisonniers, peu d’images circulent sur ce qui se cache réellement derrière les murs de Guantanamo, la base militaire américaine située à la pointe Est de Détail de l'événement Hormis les tenues oranges des prisonniers, peu d’images circulent sur ce qui se cache réellement derrière les murs de Guantanamo, la base militaire américaine située à la pointe Est de Cuba tristement célèbre pour être un lieu de tortures et d’incarcérations. Entre mars 2014 et janvier 2015, durant trois séjours, la photographe newyorkaise Debi Cornwall a été autorisée à entrer dans l’enceinte de Guantanamo – Gitmo, comme l’ont surnommé ses occupants – pour réaliser un reportage photographique à la condition impérative de respecter strictement certaines règles. Interdiction de photographier le visage des soldats, de prendre la moindre image des dispositifs de surveillance, obligation d’être perpétuellement escortée et de faire valider chaque jour les prises de vues enregistrées sur la carte SD de l’appareil et… de développer dans la foulée les négatifs pour qu’ils puissent être inspectés, ce qu’elle réalisera dans la baignoire de sa chambre d’hôtel, sous le regard attentif de son escorte. Sur base de ses photographies ayant reçu l’aval des militaires, Debi Cornwall a construit un travail engagé grâce à son expérience d’avocate ayant exercé durant douze années au barreau de New York. Apparaissent alors des photographies d’un Gitmo que peu de personnes auraient imaginé que la photographe a classées en trois séries distinctes, autant de visages de ce lieu où personne n’a vraiment choisi de vivre. « Gitmo at home, Gitmo at play » aborde l’univers carcéral et les conditions de vie des détenus (cellule minimaliste, kit de vêtements réduit à l’essentiel, tapis de prière en caoutchouc… ) mais pas seulement… Elle propose à notre plus grand étonnement des images des lieux de loisirs de la base navale réservés au personnel militaire et à leurs familles ainsi qu’aux travailleurs étrangers qui y sont employés. Ces images, qui semblent celles d’un « club Med » (transats en bord de mer, terrains de jeu et piscines…) surprennent par leur caractère plutôt incongru. « Gitmo on sale » reprend les photographies d’objets souvenirs mis en vente à la boutique de la base. On y trouvera pour les nostalgiques du lieu une figurine de Fidel Castro dodelinant de la tête, des mugs évoquant l’ancien camp provisoire X-Ray, des verres à liqueur, des animaux en peluche tels un vautour, un iguane rasta ou un rat. Dernière série « Beyond Gitmo » nous montre enfin des anciens détenus, terroristes présumés, ayant retrouvé la liberté chez eux ou déplacés vers des pays étrangers. Tout comme l’armée avait interdit à Debi Cornwall de photographier des visages à Guantanamo Bay, Debi Cornwall a parcouru le monde pour en photographier plus d’une dizaine de manière presque identique, apparaissant tous « sans visages »… photographiés de dos ! Dates Février 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 16 (Dimanche) 18 h 00 min LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueLe musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)10 h 00 mindim16mai(mai 16)18 h 00 minLe Grand Atelier de Joël-Peter WitkinLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événement« La vertu principale de l’oeuvre de Joel-Peter Witkin, puisque de vertu il pourrait être question ici, est peut-être par-delà sa fascination pour la laideur et la différence, d’en vouloir Détail de l'événement « La vertu principale de l’oeuvre de Joel-Peter Witkin, puisque de vertu il pourrait être question ici, est peut-être par-delà sa fascination pour la laideur et la différence, d’en vouloir exalter la beauté, de la rendre acceptable au regard de l’autre et de rendre familières ces figures troublantes à travers les monuments de l’art et de la mythologie. Les dieux antiques revêtaient diverses apparences pour mystifier les mortels, les laissant en proie au doute, aux questions. Celles que l’on ne manquera pas à présent de se poser devant l’ambiguïté de ces photographies, leur part d’artifice et de réalité. » Xavier Canonne Célèbre pour ses photographies provocantes et controversées mettant en exergue le morbide, l’érotique et le religieux, Joel-Peter Witkin, titulaire d’un master en histoire de l’art de l’Université d’Albuquerque où il étudiera également la photographie, témoigne dans son travail d’une connaissance approfondie de la peinture et de la sculpture classiques autant que de la photographie et de la mythologie. Joel-Peter Witkin est né en 1939 à Brooklyn, New York, d’un père juif d’origine russe et d’une mère catholique pratiquante d’origine italienne. Ce métissage eut un grand impact dans sa réflexion religieuse, spirituelle et philosophique. Enfant, il est témoin d’un accident de voiture au cours duquel la tête d’une petite fille roule à ses pieds. Cette image, qui le marquera à vie, lui donnera un certain goût pour le macabre et les images fortes. À l’adolescence, sous l’influence de son frère peintre refoulé, il se lance dans la photographie. Il devient assistant de quelques photographes et part au Vietnam en tant que reporter de guerre. En 1970, ses premières photographies intègrent les collections du MoMA à New-York. Il fait des études à la Cooper Union, où il obtient sa licence en Beaux-Arts, puis poursuit avec un master à l’université d’Albuquerque, Nouveau-Mexique, ville dans laquelle il vit et travaille depuis lors. « Joel-Peter Witkin élabore ses photographies avec minutie. S’enclenche un long processus créatif — entre six mois et un an — entre les premiers dessins préparatoires, la prise de vue qui leur sera fidèle et le tirage final » explique son galeriste et ami Baudoin Lebon. Photographe et plasticien par les techniques qu’il emploie, il se distingue par l’originalité de ses sujets, les mythes qu’il traite et recrée, mais également par ses nombreuses références et ses emprunts aux oeuvres majeures de l’histoire de l’art, depuis l’Antiquité jusqu’à l’époque contemporaine. L’exposition Le grand Atelier de Joel-Peter Witkin présente une sélection d’une centaine de photographies et de quelques dessins opérée par le Musée de la Photographie au sein d’un vaste ensemble de son oeuvre conservé par la galerie Baudoin Lebon. Articulée autour de ses thématiques de prédilection que sont la mort, la religion, le mythe et l’allégorie, l’exposition Le grand Atelier de Joel-Peter Witkin démontre toute la maitrise technique et atypique de ce photographe, sans conteste l’un des plus singuliers des 20e et 21e siècles. Fascination et répulsion, compassion et voyeurisme sont autant de réactions possibles face aux photographies de Joel-Peter Witkin qui semblent être les tableaux d’une « monstrueuse parade » mettant en exergue un monde desouffrance, de mutilations, de désincarnations, sans exclure une forme de dérision. Mutilés, androgynes, transexuels, cadavres démembrés empruntés aux morgues réinterprètent des figures mythologiques ou bibliques, magnifiés par le travail d’artisan orfèvre de Witkin, une pratique excluant toute manipulation digitale. ! Le Musée de la Photographie tient à avertir les visiteurs que certaines images sont susceptibles de heurter leur sensibilité. Dates Février 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 16 (Dimanche) 18 h 00 min LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, BelgiqueLe musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)10 h 00 minjeu11nov(nov 11)18 h 00 minDerrière les imagesPhotographier la guerreMemorial 14 18 Notre Dame de Lorette, 102 Rue Pasteur Parking par/by, Chemin de Lens, 62153 SouchezType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementLa Grande Guerre marque un tournant majeur dans l’usage de la photographie. En moins de quatre ans, elle s’impose comme un outil d’information de masse : des dizaines de milliers Détail de l'événement La Grande Guerre marque un tournant majeur dans l’usage de la photographie. En moins de quatre ans, elle s’impose comme un outil d’information de masse : des dizaines de milliers de photographies, prises par des photographes officiels ou amateurs, reflètent la mobilisation d’un pays. Toute l’année, le Mémorial 14-18 présente des centaines de photographies dans son Centre d’Histoire. Mais connaissez-vous les histoires qui se cachent derrière ces images ? L’exposition “Derrière les images : Photographier la guerre“ révèle le parcours d’une image pendant la Grande Guerre, depuis sa production jusqu’à sa diffusion, et son héritage dans la photographie contemporaine, à travers une sélection de photographies issues des fonds de l’ECPAD. Complémentaires du parcours du Mémorial, ces images montrent sous un nouvel angle les territoires du Nord et du Pas-de-Calais dans la tourmente du conflit mondial. À cette occasion, le Mémorial 14-18 présente également le travail du photoreporter Édouard Elias, dont les photographies prises en Ukraine pendant la guerre du Donbass en 2018 résonnent de manière troublante avec les images de la Première Guerre mondiale. ———————————————————————————————————————————————— A une quinzaine de kilomètres de Lens, le Mémorial 14-18 Notre-Dame-de-Lorette est un site de mémoire géré par l’office de tourisme de Lens-Liévin. Il rassemble 3 sites uniques permettant de comprendre la Première Guerre Mondiale en Nord-Pas-de-Calais et de rendre hommage aux hommes et aux femmes qui ont sacrifié leur vie pour la paix. Ces sites permettent de partir sur les traces de leurs histoires et de la grande Histoire pour mieux comprendre le présent. LE CENTRE D’HISTOIRE Au pied de la colline Notre-Dame-de-Lorette, à Souchez, un édifice de béton noir et de verre conçu par l’architecte Pierre-Louis Faloci accueille le centre d’Histoire. Ici, la photographie, appuyée par une collection d’objets et un propos rigoureux, permet de comprendre le conflit mondial. LA NÉCROPOLE NATIONALE MILITAIRE DE NOTRE-DAME-DE-LORETTE La basilique et la tour lanterne de la plus grande nécropole française veillent sur plus de 42 000 soldats français morts pendant la Grande Guerre sur le front de l’Artois et des Flandres françaises et belges. L’ANNEAU DE LA MÉMOIRE Mémorial international à l’architecture unique, l’Anneau de la Mémoire de l’architecte Philippe Prost rassemble les noms de près de 580 000 soldats tombés sur le sol du Nord Pas-de-Calais entre 1914 et 1918. Ils sont unis dans une fraternité posthume, sans distinction de nationalités, de grades ou de religions. Dates Février 6 (Samedi) 10 h 00 min - Novembre 11 (Jeudi) 18 h 00 min LieuMemorial 14 18 Notre Dame de Lorette102 Rue Pasteur Parking par/by, Chemin de Lens, 62153 Souchez CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)13 h 30 mindim16mai(mai 16)19 h 00 minRhizomesExposition collectiveBase sous Marine, 284 Boulevard Alfred Daney, 33300 BordeauxType d'événement:Art Contemporain,Exposition,Photographie Détail de l'événementL’exposition “Rhizomes”, présentée du 6 février au 16 mai 2021, dans les espaces d’exposition de la Ville de Bordeaux à la Base Sous-Marine, s’inscrit dans le cadre de la Saison Détail de l'événement L’exposition “Rhizomes”, présentée du 6 février au 16 mai 2021, dans les espaces d’exposition de la Ville de Bordeaux à la Base Sous-Marine, s’inscrit dans le cadre de la Saison Africa2020, dédiée aux 54 états du continent africain, initiée par Emmanuel Macron, Président de la République et coordonnée par l’Institut Français. “Rhizomes” propose une cartographie alternative, subjective et poétique des imaginaires contemporains de 17 artistes en mouvement, issus du continent africain et de la diaspora, aux pratiques résolument polymorphes et hybridées par l’ère digitale. L’exposition interroge la place et l’influence des nouvelles technologies sur la production artistique contemporaine et leur utilisation pour ré-imaginer le présent, questionner le futur et (re)contextualiser les récits officiels. Invités à s’approprier les espaces monumentaux de la Base sous-marine, les artistes y dévoilent des pratiques plurielles qui s’inscrivent dans un flux global, rhizomique et futuriste, se jouant des disciplines, des frontières et des esthétiques. Autant de regards croisés qui questionnent les modalités de construction et de dissémination du savoir, le rôle et l’importance de l’oralité au XXIème siècle et s’interrogent sur les bouleversements majeurs issus de l’avènement d’internet et de la sphère digitale dans la création artistique actuelle. “Rhizomes” développe une narration ouvertement fluide, fragmentée et non linéaire, et dessine, entre installations, son, musique, radiophonie, photographie et arts numériques, une contre-cartographie de la pensée contemporaine et des futurs imaginaires. L’exposition est née du dialogue entre les deux commissaires et emprunte son nom autant à la botanique qu’à la « théorie du Rhizome », que l’on retrouve dans la conception d’Edouard Glissant d’une identité plurielle en opposition à celle de racine unique. A l’instar du rhizome, l’exposition créée une antithèse au récit unique et figé pour donner à voir au-delà des racines, un réseau d’associations inattendues entre pensée, images, son et vidéo. “Rhizomes” est agencée autour des axes conceptuels suivants : Histoire et dissémination du savoir , avec des œuvres qui questionnent le statut incertain de l’oralité en tant que vecteur essentiel de mémoire et de transmission de valeur au XXIe siècle; Spiritual Networks, qui aborde les conditions matérielles et immatérielles de la colonisation mais aussi l’impact écologique des révolutions numériques sur le continent africain, enfin Les Mondes Imaginaires qui convoque des œuvres mêlant utopies humanistes et univers alternatifs. Parmi les œuvres présentées, quatre sont des productions inédites, pensées in situ pour l’exposition : Entre flashs temporels et échos sonores, l’installation audio-visuelle “Ellipsis” de César Schofield Cardoso dévoile un questionnement subtil sur la mémoire des relations entre la France et l’Afrique basé sur une analyse sensible et méthodiques de films historiques. Artiste, poète, musicien et réalisateur, Baloji crée pour l’exposition “Triste Tropisme”, une installation multimedia aussi onirique qu’immersive, qui se plait à jouer avec les codes du cinéma, de la mode ou d’un marché africain. Nastio Mosquito, vidéaste, photographe et musicien angolais, baigne la Grande Cathédrale de lumière et de projections de photographies réalisées pendant sa résidence à Bordeaux en 2020. Pedro Coquenao orchestre pour l’exposition une physicalité inédite de son passionnant projet musical et radiophonique Batida, avec une installation-monde composée de postes radios vintage collectés, mixés et augmentés, pour une carte sonore et musicale renversante de l’Afrique. Les commissaires : Paula Nascimento : co-commissaire de l’exposition, architecte et commissaire indépendante, lauréate du Lion d’or de la Biennale d’architecture de Venise pour le pavillon angolais en 2015. Stéphane Moginot : co-commissaire de l’exposition, directeur de projets culturels et conseiller artistique, chef de service à la Direction Générale des Affaires Culturelles de la Ville de Bordeaux. Les artistes invités Malala Andrialavidrazana, Alun B, Baloji, Cesar Schofield Cardoso, Pedro Coquenão, Nolan Oswald Dennis, Omar Victor Diop, Olalekan Jeyifous, Cyrus Kabiru, Selly Raby Kane, Grada Kilomba, François Knoetze, Maurice Mbikayi, Emo de Medeiros, Mohau Modisakeng, Nástio Mosquito, João Renato Orecchia Zúñiga. Les espaces d’exposition de la Ville à Base sous-marine Après 13 mois de travaux de réhabilitation, pilotés par la Direction générale des Affaires Culturelles de la Ville de Bordeaux, les espaces d’expositions de la Ville à la Base sous-marine, ouvrent à nouveau à l’occasion de l’exposition “Rhizomes”. Ces travaux s’inscrivent dans une volonté de faire de la Base sous-marine une plateforme de collaborations culturelles et artistiques. La Base sous-marine La Base sous-marine est l’une des cinq bases construites sur le littoral atlantique durant la Seconde Guerre mondiale. De sa construction à sa transformation en lieu d’art avec Sigma, les grandes traversées, et l’accueil d’expositions uniques et monumentales, la Base sous-marine de Bordeaux se réinvente à travers le projet BASE 3 en 1, un projet culturel global et ambitieux, visant à terme l’exploitation des 41 000m² de la Base sous-marine par 3 entités. Dates Février 6 (Samedi) 13 h 30 min - Mai 16 (Dimanche) 19 h 00 min LieuBase sous Marine284 Boulevard Alfred Daney, 33300 Bordeaux CalendrierGoogleCal sam06fev(fev 6)14 h 00 mindim09mai(mai 9)19 h 00 minJeunesse délaisséeTish MurthaLa Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image, 4 place d'Austerlitz 67000 StrasbourgType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementLes photographies de Patricia Anne « Tish » Murtha se placent dans la tradition de la documentation de la classe ouvrière britannique. Murtha ne s’est jamais considérée comme une photojournaliste, Détail de l'événement Les photographies de Patricia Anne « Tish » Murtha se placent dans la tradition de la documentation de la classe ouvrière britannique. Murtha ne s’est jamais considérée comme une photojournaliste, dont le quotidien serait de faire le portrait de figures politiques ou de footballeurs. Elle souhaitait photographier la vie très ordinaire dans les rues de Newcastle. Tish Murtha est née le 14 mars 1956 à South Shields, ville déjà passablement délabrée du district de Tyneside, au Nord de l’Angleterre. À 16 ans déjà, elle quitte l’école et enchaîne les petits jobs. Elle vient à la photographie grâce à un cours du soir à Newcastle, où son professeur Mick Henry la persuade de s’inscrire à un cours de film documentaire à l‘université. À l’âge de 20 ans, elle quitte sa ville natale pour étudier sous la direction d’un photographe de l’agence Magnum, David Hurn, à l’école de photographie documentaire de l’université de Wales à Newport. Elle meurt à seulement 56 ans des suites d’une rupture d’anévrisme. L’oeuvre de Tish Murtha s’articule principalement autour de la documentation de groupes sociaux marginaux. En tant que photographe locale, elle suit des jeunes gens dans leur enfance, et plus tard dans leurs périodes de chômage, et montre à quel point ceux-ci doivent se montrer flexibles pour subsister. Par son travail, elle se sent engagée auprès de ces personnes et de leurs problèmes. Elle s’attache à souligner le préjudice social dont elle a elle-même fait l’expérience dans son enfance. En nous remémorant les années Thatcher et son libéralisme dur, les images de Tish Murtha résonnent avec la période contemporaine. Aujourd’hui, après une longue période de résignation et le désastre du Brexit, la jeunesse s’intéresse à nouveau à la politique et aux défis sociaux actuels. Benjamin Ochse Visite de l’exposition Tish Murta en privatisant des créneaux de 45mn – 7j/7 https://www.la-chambre.org/expo/jeunesse-delaissee/ Dates Février 6 (Samedi) 14 h 00 min - Mai 9 (Dimanche) 19 h 00 min LieuLa Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 StrasbourgEspace d'exposition : mercredi > dimanche : 14h - 19h ou sur rdv Fermé les jours feriés CalendrierGoogleCal jeu11fevsam01maiL'Alchimie du PaysageChuck KeltonGalerie Miranda, 21 rue du Château d’Eau 75010 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementLa Galerie Miranda est très heureuse de présenter une exposition personnelle d’œuvres de l’artiste américain Chuck Kelton (né en 1952). Son titre, l’Alchimie du paysage fournit une clé de compréhension Détail de l'événement La Galerie Miranda est très heureuse de présenter une exposition personnelle d’œuvres de l’artiste américain Chuck Kelton (né en 1952). Son titre, l’Alchimie du paysage fournit une clé de compréhension sur les œuvres : utilisant de la chimie photographique, souvent du 19e siècle, l’artiste manipule et écrit sur du papier photosensible pour créer des œuvres abstraites et sensibles qui rappellent des canyons, des montagnes, des océans et des forets. Toutes ses œuvres sont uniques. Chuck Kelton travaille hors de la chambre noire, passant des mois à faire des esquisses et à concevoir chaque œuvre. Maître imprimeur, Kelton est également un collectionneur passionné de photographies, de manuels pratiques et d’équipements de la photographie du 19è siècle. Une partie de son matériel et de ses techniques tels la chlorure d’or et le sélénium, sont utilisés dans sa pratique artistique en même temps que la chimie photographique classique, afin de révéler une palette de couleurs chaudes sur des papiers argentiques. Kelton décrit son approche comme de la ‘calligraphie avec la chimie’ et il croise différentes techniques, notamment le photogramme – crée en exposant du papier photosensible à la lumière, ou ‘écrire avec de la lumière’ et le chémogramme, crée en exposant du papier photo sensible au révélateur et au fixateur, ou ‘écrire avec la chimie’. Il plie souvent le papier en deux – acte interdit dans la photographie – créant ainsi une rupture visuelle entre les deux parties de la feuille, rupture qui devient pour le spectateur une ligne d’horizon qui organise une profondeur de champs de l’image. Maitre imprimeur depuis plus de 35 ans, Chuck Kelton a collaboré avec les grands photographes de notre époque Danny Lyon, Saul Leiter, Helen Levitt, Mary Ellen Mark, Larry Clark et Lillian Bassman. Son œuvre personnelle a figuré dans de nombreuses expositions et publications et elle est rentrée dans les collections permanentes des musées le Museum of Fine Arts Boston; la Bibliothèque Nationale de France; le Norton Museum of Art, West Palm Beach, Florida; l’International Center of Photography, New York; et le New York Public Library. En 2020, le Getty Museum de Los Angeles a acquis quelques-unes de ses œuvres. L’artiste vit et travaille à̀ Jersey City, NJ. Le Berman Museum, Pennsylvania, présente actuellement une exposition monographique majeure de son travail. Dates Février 11 (Jeudi) 12 h 00 min - Mai 1 (Samedi) 19 h 00 min LieuGalerie Miranda21 rue du Château d’Eau 75010 Paris Galerie Miranda21 rue du Château d’Eau 75010 ParisOuvert du mardi au samedi de 12h à 19h ou sur rendez-vous CalendrierGoogleCal ven12fev(fev 12)14 h 00 minven30avr(avr 30)19 h 00 minLes voyages d'Hélène, Une vie à documenter le mondeHélène Roger-ViolletGalerie Roger-Viollet, 6 rue de Seine 75006 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementHélène Roger-Viollet, équipée de ses Rolleiflex, parcourt le monde dans les années 1950-1970 : l’Amérique, l’Asie, l’Afrique… Fille ainée d’Henri Roger, ingénieur et photographe amateur, elle grandit avec les expériences photographiques Détail de l'événement Hélène Roger-Viollet, équipée de ses Rolleiflex, parcourt le monde dans les années 1950-1970 : l’Amérique, l’Asie, l’Afrique… Fille ainée d’Henri Roger, ingénieur et photographe amateur, elle grandit avec les expériences photographiques de son père, se forme au journalisme et crée l’Agence photographique Roger-Viollet en 1938 avec son mari Jean Fischer. Ses voyages autour du monde sont un prétexte à compléter, documenter et enrichir les archives existantes.Hélène Roger-Viollet n’est pas en quête de sensationnel, mais témoigne au gré de ses rencontres, dans un format carré, de la vie, du quotidien, des coutumes de peuples éloignés à la manière d’un ethnologue, à une époque où voyager n’était pas aussi aisé. La photographe le souligne dans un documentaire réalisé en 1981 : « Nous n’avons pas fait du reportage mais réalisé des documents pour enrichir les collections des documents qui manquaient ». Au fil de ses 30 années de photographie, Hélène Roger-Viollet a constitué une oeuvre qui allie le témoignage documentaire et une esthétique qui lui est propre. En 1985, à 84 ans, elle décède tragiquement, assassinée par son mari. Le fonds photographique est alors légué à la Ville de Paris et actuellement conservé par la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris. Dates Février 12 (Vendredi) 14 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 19 h 00 min LieuGalerie Roger-Viollet6 rue de Seine 75006 Paris CalendrierGoogleCal lun15fev(fev 15)0 h 00 minmer30jui(jui 30)23 h 59 minParticipez à la 8ème édition de l'Automne photographique en Champsaur 2021 Organisateur: Automne photographique en Champsaur Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Festival Détail de l'événementCette manifestation bénéficie du soutien et de la participation de Lawrence Gasquet : Professeur des Universités – Littérature & esthétique britanniques – Université Jean Moulin – Lyon 3 – Auteur Détail de l'événement Cette manifestation bénéficie du soutien et de la participation de Lawrence Gasquet : Professeur des Universités – Littérature & esthétique britanniques – Université Jean Moulin – Lyon 3 – Auteur d’une thèse “De l’esprit à la lettre : forme et graphisme dans l’oeuvre de Lewis Carroll” – Auteur notamment des ouvrages “Lewis Carroll et les mythologies de l’enfance” et “Lewis Carroll et la persistance de l’image”. Elle travaille également sur l’histoire de la photographie. Si vous souhaitez participer à ce dialogue photographique, vous pouvez nous faire parvenir votre dossier de candidature avant le 30 juin 2021. NB : les personnes déjà retenues lors de l’appel à participation lancé en 2020 n’ont pas a renouveler leur candidature, elles sont sélectionnées d’office. Tous les documents de l’appel à participation sont disponibles en téléchargement sur cette page. DatesFévrier 15 (Lundi) 0 h 00 min - Juin 30 (Mercredi) 23 h 59 min Organisateur Automne photographique en Champsaurcontact@regards-alpins.eu CalendrierGoogleCal lun15fev(fev 15)0 h 00 minven30avr(avr 30)23 h 59 minAppel à Candidatures pour le Prix HCB 2021Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Prix Détail de l'événementDécerné par la Fondation Henri Cartier-Bresson, le Prix HCB est une aide à la création qui permet à un photographe de réaliser ou de poursuivre un projet qu’il ne pourrait Détail de l'événement Décerné par la Fondation Henri Cartier-Bresson, le Prix HCB est une aide à la création qui permet à un photographe de réaliser ou de poursuivre un projet qu’il ne pourrait mener à bien sans ce soutien. Il est destiné à un.e photographe confirmé.e, ayant déjà accompli un travail significatif dans une sensibilité proche du documentaire. Le candidat doit être présenté par une institution (galerie, musée, éditeur, revue ou commissaire indépendant). Le Prix HCB est attribué tous les deux ans à la fin du mois de juin et offre au lauréat une bourse d’un montant indivisible de 35 000 euros. Un comité de présélection examine l’ensemble des dossiers. Lors des délibérations finales, chaque membre du jury peut accéder à tous les dossiers de candidature. Le lauréat est désigné par un jury international composé de sept personnalités éminentes du monde des arts. Chaque membre du jury dispose d’une voix. La décision du jury est sans appel. Au printemps 2023, le projet du lauréat réalisé grâce à cette bourse sera exposé à la Fondation Henri Cartier-Bresson à Paris et un ouvrage sera publié à cette occasion. CALENDRIER – Du 15 février au 30 avril 2021 : Appel à candidatures Dossier à télécharger sur cette page dès le 15 février : https://www.henricartierbresson.org/prix-hcb/le-prix/ – 30 avril 2021 : Date limite d’envoi des candidatures, le cachet de la Poste faisant foi – Juin 2021 : Annonce du lauréat du Prix HCB 2021 – Juillet 2021 : Retour des dossiers non retenus – 2023 : Publication et exposition à la Fondation HCB du projet du lauréat 2021 La Fondation d’entreprise Hermès est le mécène du Prix HCB. Photo : Lonchamp, Paris, 1969 © Fondation Henri Cartier-Bresson / Magnum Photos DatesFévrier 15 (Lundi) 0 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 23 h 59 min CalendrierGoogleCal jeu18fev(fev 18)12 h 00 minven30avr(avr 30)19 h 00 minDear AmericaRémi NoëlGalerie Thierry Bigaignon, 9 rue Charlot 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementAu moment où nous ne pouvons plus nous rendre en Amérique, c’est l’Amérique qui vient à nous ! L’exposition « Dear America » qui présente, pour la première fois à Détail de l'événement Au moment où nous ne pouvons plus nous rendre en Amérique, c’est l’Amérique qui vient à nous ! L’exposition « Dear America » qui présente, pour la première fois à la Galerie Thiery Bigaignon, les travaux de Rémi Noël, nous offre une vision tendre, poétique et truculente de l’Amérique. Et cela ne pouvait pas mieux tomber ! Nourri de culture photographique et littéraire, Rémi Noël est un poète, un poète qui conjugue les images comme on conjugue les mots. Il ne se prive pas de jouer littéralement avec les mots au sein même de ses images, et, ce faisant, entre fréquemment en dialogue avec ses maîtres (Kerouac, Courbet, Fontana, Hopper et tant d’autres). Sa photographie, empreinte de cette liberté si chère aux voyageurs, mêle habilement l’imaginaire et le réel. Avec un sens aigu de la mise en scène, Rémi Noël s’attache à raconter des histoires empruntes de poésie et d’humour, des histoires qu’un simple coup d’œil suffit à saisir, des haikus visuels qui provoquent le sourire du spectateur, des images qui en caressent l’âme. L’exposition « Dear America » présente un ensemble de 29 photographies prises aux Etats-Unis ces 25 dernières années, de 1994 à 2019. Dates Février 18 (Jeudi) 12 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 19 h 00 min LieuGalerie Thierry Bigaignon9 rue Charlot 75003 Paris Galerie Thierry Bigaignon9 rue Charlot 75003 ParisLa Galerie Thierry Bigaignon est exclusivement dédiée à la photographie. La galerie met l’accent sur une programmation internationale et entend défendre une certaine vision de la photographie : une photographie classico-contemporaine, une photographie éclectique et exigeante. Ouvert du mardi au samedi de 12h à 19h CalendrierGoogleCal mer24fev(fev 24)10 h 00 minlun21jui(jui 21)18 h 00 minDes images et des hommes, Bamiyan 20 ans aprèsLe Musée National des Arts Asiatiques – Guimet, 6 Place d'Iéna, 75116 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementLe 11 mars 2001, les Talibans qui avaient pris le pouvoir en Afghanistan, organisaient la destruction de deux bouddhas monumentaux de 38 et 55 m de haut, sculptés dans les Détail de l'événement Le 11 mars 2001, les Talibans qui avaient pris le pouvoir en Afghanistan, organisaient la destruction de deux bouddhas monumentaux de 38 et 55 m de haut, sculptés dans les roches des hautes falaises de Bamiyan. Des oeuvres d’une valeur universelle, témoins de l’extraordinaire vitalité de l’art boudhique de cette vallée, située sur la route de la soie et ouverte à toutes les influences, indienne, grecque, romaine… Diffusées par les Talibans, les images de la destruction firent le tour du monde, six mois avant celles des tours jumelles du World Trade Center à New York. Ces deux événements ont marqué notre entrée dans le 21ème siècle. L’atteinte à la mémoire des hommes, à leur patrimoine et la mémoire où ils s’enracinent, est reconnue depuis comme un crime contre l’humanité. 20 ans plus tard, le Musée national des arts asiatiques – Guimet a choisi de commémorer la destruction du site de Bamiyan à travers une exposition présentant des oeuvres archéologiques majeures retrouvées sur cette falaise afghane. Des photographies du plasticien Pascal Convert éclairent la richesse de ce patrimoine de façon contemporaine. L’exposition rend hommage à Joseph et Ria Hackin, archéologues de Bamiyan et conservateurs du musée, disparus il y a 80 ans. Des oeuvres archéologiques exceptionnelles, en miroir de photographies contemporaines. Le MNAGG présentera une série d’oeuvres archéologiques uniques retrouvées dans cette falaise afghane, du Gandhara à la période islamique. On y découvrira notamment deux mains de bouddhas monumentaux ayant conservé des restes de feuilles d’or. Accompagnant ces oeuvres, les photographies de Pascal Convert, dont le Panoramique de la falaise de Bâmiyan et la Grotte sanctuaire de Bâmiyan détruite par les Talibans, offriront un regard plus contemporain. À travers les vestiges archéologiques, les relevés de peintures et vestiges de peintures originales, les créations contemporaines de Pascal Convert, les films et les documents d’archives (documents de fouilles, lettre de ralliement des Hackin au Général de Gaulle) présentés, l’exposition raconte l’histoire du site de Bamiyan et sa vitalité culturelle du VIème au XIIIème siècle, la base doctrinale qui a conduit à la destruction du site en 2001 mais aussi la terrible actualité des faits avec les destructions d’autres sites inscrits au patrimoine de l’humanité. L’ensemble des oeuvres sera installée au premier étage du musée, dans la salle sino-tibétaine aménagée pour l’occasion. Le rôle majeur de l’école archéologique française. La France est particulièrement liée à la préservation de l’archéologie et de la mémoire de l’Afghanistan, pays où elle a créé en 1922 la délégation archéologique – devenue Direction Archéologique de l’Afghanistan, et aujourd’hui encore seul institut archéologique étranger implanté de façon permanente en Afghanistan. Dominant la vallée, les falaises de Bamiyan sont situées sur l’une des plus importantes routes de commerce reliant l’Asie centrale au sous-continent indien. Comme celles de Dunhuang en Chine, elles sont constituées de loess, matériau qui se prête à la sculpture – ou plus exactement au modelage sur une armature – d’effigies monumentales dont la surface était, à l’origine, dorée. Dans ce lieu d’art et de culture exceptionnel, les premières fouilles ont été françaises. Alfred Foucher, historien de l’art et spécialiste du monde bouddhiste, étudia le site dès 1922. André Godard, architecte, archéologue et historien de l’art français, et son épouse Edda s’attèlent ensuite aux premiers relevés des peintures au cours de l’hiver 1923, en dépit du froid atroce qui sévissait dans la vallée. L’exposition déploie un certain nombre de leurs relevés. Conservés au MNAAG et jamais montrés, ils révèlent la vivacité de couleurs et l’accomplissement esthétique de la peinture bouddhique à Bamiyan. Les Godard poursuivront leurs travaux en 1924 avec Joseph Hackin* alors conservateur au musée Guimet et publieront la première étude sur l’art bouddhique de Bamiyan, éditée en 1928. De nouvelles fouilles auront lieu en 1930 sous la conduite de Joseph Hackin, désormais directeur du musée Guimet, et accompagné de son inséparable ami l’architecte Jean Carl. De retour à Paris, Hackin travaillera à une nouvelle publication sur Bamiyan en 1933. Revenu en Afghanistan en 1934, il s’établit à Kaboul avec son épouse Ria, également archéologue, et rédige alors le premier guide de visite du site, désormais consacré comme un des hauts lieux de l’art bouddhique. Joseph et Ria Hackin**, unis à la ville et dans le travail, se rallient dès la première heure au général de Gaulle depuis l’Afghanistan. A Londres, Joseph et Ria sont investis d’importantes responsabilités. C’est lors d’une mission confiée par le Général que les Hackin trouvent une fin tragique dans le torpillage de leur bateau, le 24 février 1941. *Joseph Hackin (né en 1886 et mort le 24 février 1941, en mer lors du torpillage de son bateau près des îles Féroé) est un archéologue français d’origine luxembourgeoise, résistant, compagnon de la Libération. En 1907, il est secrétaire de l’industriel Émile Guimet. Il apprend le sanscrit et tibétain à l’École Pratique des Hautes Études dont il est diplômé. En 1912, il est nommé conservateur adjoint au Musée Guimet et en 1923, après avoir poursuivi ses travaux de recherche il en deviendra conservateur. **Ria Hackin (née en 1941 sous le nom de Marie Parmentier, morte le 24 février 1941) est une archéologue et résistante française de la Seconde Guerre mondiale. Officier des Forces Françaises libres, elle participe à l’organisation du Corps des Volontaires françaises au sein de la France libre. Disparue en mer avec son mari, à la suite d’un torpillage elle est faite compagnon de la Libération à titre posthume et reçoit la croix de guerre 1939-1945 avec palme. Dates Février 24 (Mercredi) 10 h 00 min - Juin 21 (Lundi) 18 h 00 min LieuLe Musée National des Arts Asiatiques – Guimet6 Place d'Iéna, 75116 Paris Le Musée National des Arts Asiatiques – Guimet6 Place d'Iéna, 75116 ParisOuvert de 10h à 18h tous les jours sauf le mardi CalendrierGoogleCal mer24fev(fev 24)11 h 00 minlun28jui(jui 28)18 h 00 minRescheduledCivilization. Quelle époque!Dans l'attente de réouverture des musées…Mucem, 7 promenade Robert Laffont (esplanade du J4) 13002 MarseilleType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événement« Civilization – Quelle époque ! » est une exposition de photographie internationale, d’envergure monumentale, qui présente le travail de plus de 100 photographes d’Asie, d’Australie, d’Europe, d’Afrique et du Détail de l'événement « Civilization – Quelle époque ! » est une exposition de photographie internationale, d’envergure monumentale, qui présente le travail de plus de 100 photographes d’Asie, d’Australie, d’Europe, d’Afrique et du continent américain. De jeunes talents côtoient des photographes renommés (notamment Massimo Vitali, Pieter Hugo, Lauren Greenfield, Wang Qingsong, Raphaël Dallaporta, Valérie Belin, Thomas Struth, Candida Höfer…). Près de 280 tirages originaux sont présentés, en tant qu’œuvres autonomes ou dans le cadre de séries. Depuis « The Family of Man » d’Edward Steichen, il y a plus de 60 ans, aucune exposition n’a abordé l’activité humaine dans un sens aussi large : logement, travail, loisir, transport, communication, éducation, art, science et technologie. Commissariat: William A. Ewing, commissaire d’exposition indépendant et Holly Roussell, commissaire d’exposition indépendante Photo : Olaf Otto Becker, Point 660, 2, 08/2008 67°09’04’’N, 50°01’58’’W, Altitude 360M, de la série “Above Zero”, 2008 Dates Février 24 (Mercredi) 11 h 00 min - Juin 28 (Lundi) 18 h 00 min LieuMucem7 promenade Robert Laffont (esplanade du J4) 13002 Marseille Mucem7 promenade Robert Laffont (esplanade du J4) 13002 MarseilleOuvert de 11h à 18h tous les jours sauf le mardi CalendrierGoogleCal mer24fev(fev 24)13 h 00 mindim23mai(mai 23)19 h 00 minLooking for the Masters in Ricardo’s Golden ShoesCatherine BaletLe Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse, 1, Place Laganne 31300 ToulouseType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementCatherine Balet rend hommage aux grands maîtres de la photographie avec son modèle Ricardo Martinez Paz, qu’elle met en scène en rejouant avec lui des clichés célèbres de l’histoire de Détail de l'événement Catherine Balet rend hommage aux grands maîtres de la photographie avec son modèle Ricardo Martinez Paz, qu’elle met en scène en rejouant avec lui des clichés célèbres de l’histoire de la photographie. Diplômée de l’Ecole nationale des Beaux-Arts de Paris, Catherine Balet a débuté sa carrière artistique comme peintre avant de passer à la photographie au début des années 2000. Son travail photographique prend alors une dimension sociologique. Sa série de portraits d’adolescents « Identity », comme sa série « Strangers in the Light », ancrent son travail dans la réalité contemporaine. De 2013 à 2016, Catherine Balet oeuvre sur sa série « Looking for the Masters in Ricardo’s Golden Shoes » en rendant un vibrant hommage aux maîtres de la photographie. De Nadar aux tendances contemporaines en passant par Man Ray et Martin Parr, Catherine Balet s’est ainsi emparée de l’histoire de la photographie et recherche des pistes de réflexion quant à son devenir. Avec sa série « Moods in a Room », Catherine Balet poursuit sa démarche d’expérimentation en réinvestissant les transformations techniques du médium photographique et s’interroge sur la frontière qui sépare la peinture de la photographie. Photo : © Catherine Balet, « Looking for the Masters in Ricardo’s Golden Shoes », en collaboration avec Ricardo Martinez Paz, (Hommage à Willy RONIS, « Le Petit Parisien, 1952 »), 2014. Courtesy Galerie Thierry Bigaignon Dates Février 24 (Mercredi) 13 h 00 min - Mai 23 (Dimanche) 19 h 00 min LieuLe Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse1, Place Laganne 31300 Toulouse Le Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse1, Place Laganne 31300 ToulouseOuvert de 13h à 19h du mardi au dimanche CalendrierGoogleCal sam27fev(fev 27)10 h 00 minsam29mai(mai 29)19 h 00 minIlse BingPhotographs (1928 - 1935)Galerie Karsten Greve, Paris, 5 Rue Debelleyme, 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementLa Galerie Karsten Greve est heureuse d’annoncer sa nouvelle exposition dédiée à la photographe allemande Ilse Bing. Photographs 1928 – 1935 met en lumière une importante sélection de photographies réalisées Détail de l'événement La Galerie Karsten Greve est heureuse d’annoncer sa nouvelle exposition dédiée à la photographe allemande Ilse Bing. Photographs 1928 – 1935 met en lumière une importante sélection de photographies réalisées à Francfort et Paris entre 1928 et 1935, qui illustrent les recherches avant-gardistes menées par celle que l’on surnomme « la Reine du Leica ». Autodidacte, Ilse Bing ne se limite pas à un genre en particulier et fait preuve d’une grande liberté dans le choix de ses sujets, s’intéressant aussi bien au portrait, qu’à la mode, la danse ou la nature morte. Elle trouve également beaucoup de motifs d’inspiration dans la ville, que ce soit dans l’architecture, dans les scènes de la vie quotidienne jusque dans ses détails que l’on jugerait insignifiant (Dead Leaf and Tramway Ticket On Sidewalk, Frankfurt, 1929). Ses clichés marqués par des plans rapprochés, des perspectives et des cadrages audacieux ainsi que l’attention portée aux détails de la vie urbaine sont très représentatifs du style de la Nouvelle Vision. Ce courant moderniste qui émerge en photographie dans les années vingt est porté par Berenice Abbott, André Kertész, Eli Lotar, Sasha Stone et Florence Henri, figure emblématique de cette modernité dont la leçon de géométrie résonne parfaitement chez Ilse Bing. Cependant, cette dernière innove dans la délicatesse et la poésie qu’elle insuffle à ses oeuvres grâce à des jeux de contraste et de lumière et à la spontanéité de ses prises de vue. Cette spontanéité est rendue possible grâce à sa maitrise du Leica, qu’elle commence à utiliser en 1929. Dans une époque où les formats 9 x 16 cm dominent la production photographique, Ilse Bing est l’une des premières à l’utiliser et presque la seule à ne travailler exclusivement qu’avec cet appareil qui dispose d’une caméra 35mm. Très simple et très pratique d’utilisation car petit et léger, le Leica emploi un nouveau mode de cadrage qui implique une connexion directe entre la vision du photographe et son sujet. Avec cet appareil, la photographie devient naturellement une extension du regard. Cette spontanéité lui permet de devenir l’outil privilégie du photojournalisme et de la presse illustrée moderne. Après avoir fait ses premières armes en Allemagne, Ilse Bing quitte Francfort en 1930 pour Paris où se trouve dorénavant le coeur de la photographie d’avant-garde. Elle y passera les dix années les plus fructueuses de sa carrière. Si le Leica était privilégié par les photojournalistes en Allemagne comme outil idéal du reportage, il est redéfini à Paris comme un instrument poétique. Il devient en effet l’appareil parfait pour capturer ce que Cartier Bresson appelle « les moments décisifs ». A Paris, Ilse Bing forge son style qui réconcilie poésie et réalisme, enchantement du rêve et netteté de la modernité. Elle cherche des contrastes et des juxtapositions originales qui transforment la réalité banale de la vie quotidienne en une idée nouvelle. Sa préoccupation pour la géométrie est toujours omniprésente et se mélange avec le rendu du temps et du mouvement que sa maitrise du Leica lui permet de retranscrire à la perfection et qui s’illustre notamment dans sa représentation de la danse. Dans sa première représentation de danseuses de cancan, Ilse Bing transcende l’aspect anecdotique du sujet pour en faire une pure représentation du mouvement : c’est une vraie rupture stylistique. Son oeuvre sera sélectionnée par la Galerie de la Pléiade pour faire partie de son exposition annuelle de photographie. Elle sera remarquée par le critique Emmanuel Sougez qui pointe le dynamisme de ses danseurs et la publiera dès lors à chaque occasion dans la revue L’Illustration et Arts et Métiers Graphiques. Avec Gerard Willem van Loon, le fils de son mécène, elle perfectionne sa représentation du mouvement. Dans Willem Gerard Van Loon, 1932 elle capture sa figure aérienne qui se découpe dans le ciel, dans un bond qui semble figé dans le temps et suspendu dans les airs. Son talent attire l’attention de George Balanchine qui lui demande de photographier la répétition générale de son ballet Errante, joué pour la première fois en juin 1933. Dans cette série, les photographies de Bing convoquent à la fois la qualité expressive des lumières avec l’évanescence de la beauté de la chorégraphie. C’est est un tour de force de délicatesse et de vivacité dans sa volonté de documenter la performance d’un ballet comme un tout continu et sans lumière additionnelle. Cette maitrise de la lumière et de l’éclairage est un autre élément clé du style d’Ilse Bing qui donne à ses photographies leur aura poétique. Elles semblent comme sorties d’un rêve même lorsqu’elles représentent l’environnement le plus ordinaire. Un de ses exemples le plus iconique est le Salut de Schiaparelli, 1934, publicité réalisée pour un parfum du soir de la couturière Elsa Schiaparelli. Dans ce cliché, un modèle endormi sur un lit de lys baigne dans la lueur argentée du clair de lune. Ilse Bing montre ici toute sa maitrise des jeux d’ombres et de l’éclairage dans des contrastes saisissants. La connexion est évidente entre le goût de la photographe pour la beauté fantastique et l’enchantement des créations surréalistes de Schiaparelli. Ilse Bing joue sur les jeux de contraste, de lumière et trouve dans la photographie de nuit le moyen d’exprimer sa vision onirique de la réalité. Grande expérimentatrice, elle va challenger cette représentation grâce à la technique de la solarisation qu’elle expérimente pour la première fois en 1934. Découverte au 19ème siècle et réinventée par Man Ray, cette technique appréciée des Surréalistes permet d’inverser partiellement les valeurs positives et négatives dans l’épreuve finale. Dans ce type de cliché, les objets semblent briller d’une aura super-naturelle et la frontière entre le rêve et la réalité se dissout. Place de la Concorde, 1934 est surement une des expressions les plus radicales de ce monde imaginaire créé par Ilse Bing. Prise en contre-jour, la fontaine devient ici une figure obscure auréolée par une eau qui se transforme en rideau de lumière. Née à Francfort, Allemagne, le 23 mars 1899, dans une famille bourgeoise juive, Ilse Bing est une photographe de l’avant-garde autant qu’une pionnière du photojournalisme. Elle reçoit une éducation solide et étudie les mathématiques et les sciences avant de se tourner vers l’histoire de l’art. Passionnée de photographie et véritable autodidacte, elle réalise ses premiers clichés dès l’âge de 14 ans et développe son talent pour les besoins d’illustration de sa thèse. En 1929, elle quitte définitivement l’université pour faire de sa passion un métier et choisit son instrument de prédilection : le Leica qui ne la quittera plus pour les 20 ans à venir. Elle fait ses armes dans le photojournalisme et travaille pour des magazines illustrés allemands puis français, tels que le American Harper’s Bazaar, Paris Vogue ou le Monde illustré. Entre 1930 et 1940, elle vit à Paris et est alors internationalement reconnue comme l’une des principales représentantes de la photographie moderne française. Elle expose régulièrement à la galerie La Pléiade aux côtés de Brassaï, Henri Cartier-Bresson, Florence Henri, André Kertész, Germaine Krull et Man Ray. En 1931, elle fait la rencontre de Hendrik Willem van Loon, qui sera décisive pour sa carrière. Véritable mécène, il fait connaitre son oeuvre aux Etats-Unis ; en 1932, Ilse Bing est exposée à la Julien Levy Gallery de New York, qui fera don par la suite de ses photos les plus emblématiques à L’art Institute de Chicago. La même année, elle tient sa première exposition personnelle à la Galerie Trittler à Francfort. Elle participe en 1936 à la première exposition de photographie moderne au Louvre et l’année suivante, ses oeuvres sont montrées dans le cadre de la rétrospective majeure Photography 1839 – 1937 organisée au Museum of Modern Art à New York. Son statut de femme juive la force à trouver refuge aux Etats-Unis au début de la guerre en 1940,. Elle y restera jusqu’à sa mort en 1998. À la fin des années 50, Bing abandonne la photographie pour entreprendre des recherches poétiques et plastiques. Son oeuvre photographique est redécouverte en 1976 grâce à l’exposition des acquisitions récentes du MoMa de New York. Ses oeuvres feront par la suite l’objet de nombreuses expositions et figurent dans les collections des plus grands musées, dont le Met et le MoMa à New York, le San Francisco Museum of Fine Art, l’Art Institute de Chicago, ou encore le Victoria and Albert Museum à Londres. Dates Février 27 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 29 (Samedi) 19 h 00 min LieuGalerie Karsten Greve, Paris5 Rue Debelleyme, 75003 Paris CalendrierGoogleCal sam27fev(fev 27)11 h 00 minsam15mai(mai 15)19 h 00 minGainsbourg - Toujours - 30 ansImages iconiques et inéditesGalerie HEGOA, 16, rue de Beaune 75007 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementUn hommage en images à Serge Gainsbourg, dans son quartier de la rue de Verneuil, pour honorer celui qui est toujours une icône populaire et une référence pour le monde Détail de l'événement Un hommage en images à Serge Gainsbourg, dans son quartier de la rue de Verneuil, pour honorer celui qui est toujours une icône populaire et une référence pour le monde de la musique, 30 après sa disparition. Gainsbourg est né le 2 avril 1928 et s’est éteint il y a 30 ans, exactement le 2 mars 1991, dans sa maison sise 5 bis rue de Verneuil à Paris 7ème, après avoir diné au Bistrot de Paris du 33 rue de Lille. C’est dans ce quartier où il vécut pendant 22 ans, dont 10 avec Jane Birkin qui donnera naissance à Charlotte en 1971, que la galerie HEGOA rend hommage à cet illustre voisin. La galerie HEGOA, guidée par la poésie et la sensualité, n’est pas une galerie d’icônes. Cet hommage est rendu pour célébrer la mémoire d’un grand artiste, comme en 2016, pour les 25 ans de sa disparition. Pour cette édition de 2021, nous avons à nouveau réuni les images de Gainsbourg et de Gainsbarre qui ont marqué notre mémoire collective. L’exposition rassemble donc des photographies iconiques comme celle avec le drapeau français signée Jean-Jacques Bernier (acquise pas Pascal Obispo en 2016), celle du billet de 500 francs brûlé sur le plateau de 7/7 de Michel Giniès, celle de la pochette du disque « Love on the beat » sous la houlette de William Klein (en partenariat avec la galerie Polka), et pour la première fois cette année les images du couple mythique « Jane et Serge » prises par le frère de Jane, Andrew Birkin. Sans oublier la photographie de profil avec son chien Nana dont il disait qu’elle lui ressemblait et que nous avons choisie comme emblème. Nous avons proposé à Charlotte Gainsbourg qui souhaite enfin pouvoir transformer la maison du 5 bis rue de Verneuil en musée, de reverser 5% des recettes pour ce projet et d’offrir un tirage à la maison. Comme il y a 5 ans, j’ai tenté de restituer à travers l’exposition la force et la fragilité de ce personnage qui a marqué son époque et qui reste toujours une source d’inspiration. Nathalie Atlan Landaburu Photographes : Claude Azoulay – Jean Jacques Bernier – Andrew Birkin – Jean-Claude Deutsch – Claude Gassian – Michel Giniès – Frédérique Guin-Laurent – William Klein – Odile Montserrat – Bruno Mouron & Pascal Rostain – Yannick Ribeaut – Pierre Terrasson – Alain Trellu – Lolita, dessinatrice. Photo : Serge Gainsbourg, Charlotte, Jane Birkin et Kate Barry, rue de Verneuil, Paris, 30 sept. 1976 © Claude Azoulay Dates Février 27 (Samedi) 11 h 00 min - Mai 15 (Samedi) 19 h 00 min LieuGalerie HEGOA16, rue de Beaune 75007 Paris Galerie HEGOA16, rue de Beaune 75007 ParisOuvert du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h CalendrierGoogleCal lun01mar0 h 00 minven30avr(avr 30)23 h 59 minAppel à candidature pour l'Atelier de l'Achille Organisateur: Direction Culture Pôle Culturel La Grande Passerelle Type d'événement:Art Contemporain,PhotographieType d'événement 2:Résidence Détail de l'événementLa Ville de Saint-Malo souhaite soutenir la création artistique en mettant à disposition, pendant la saison estivale, un atelier d’artiste avec logement au sein même du Parc de la Briantais. Détail de l'événement La Ville de Saint-Malo souhaite soutenir la création artistique en mettant à disposition, pendant la saison estivale, un atelier d’artiste avec logement au sein même du Parc de la Briantais. Cet appel à candidature s’adresse aux artistes du domaine des arts visuels. Le parc de la Briantais, trésor du patrimoine malouin, domaine de 27 hectares, réaménagé au 19e siècle par les frères Bülher, avec des vues imprenables sur l’estuaire de la Rance, la Tour Solidor et la Baie de Saint-Malo, offre un cadre exceptionnel pour la création artistique. Le château, ancienne propriété de Guy La Chambre – ancien Ministre d’Etat, député, maire de Saint-Malo – a été cédé à l’association diocésaine de Rennes. La Ville de SaintMalo en a fait acquisition en 1999. OBJECTIFS – Mettre à disposition des artistes un espace de création dans un environnement naturel et au cœur du patrimoine malouin. – Permettre aux artistes de séjourner à Saint-Malo pendant leur temps de création – Soutenir et diffuser la création artistique à Saint-Malo – Faciliter les échanges entre les artistes et le public – Offrir aux artistes une visibilité auprès de tous les publics CONDITIONS D’ACCUEIL – Occupation sur une période de 3 mois : 1er juillet au 30 septembre 2021 – L’atelier-logement offre un espace de travail et un hébergement meublé, avec connexion internet. Il se compose de la manière suivante : Au rez-de-chaussée : un atelier de 26m², une cuisine, un espace de convivialité, un espace de stockage de 13m² et un accès direct au jardin A l’étage : deux chambres et une salle de bain – Localisation : quartier Saint-Servan, à 15 min en vélo de l’Intra-Muros et de la chaussée du Sillon. – Accessibilité : l’atelier-logement ne répond pas, pour le moment, aux normes actuelles d’accessibilité aux personnes en situation de handicap, mais nous faisons le nécessaire pour l’avenir. – Les frais liés à la vie courante (nourriture, transport, entretien, …) sont à la charge de l’artiste. – Les frais d’eau et d’électricité sont pris en charge par la Ville de Saint-Malo. CRITERES DE SELECTION – L’appel à candidature s’adresse à tous les artistes sans limite d’âge – Le projet devra répondre aux objectifs fixés par la Ville de Saint-Malo – Une attention sera portée sur la qualité du projet artistique – Faisabilité du projet Une commission composée de personnalités qualifiées étudiera les candidatures et procédera à la sélection des artistes. DIFFUSION / INTERVENTIONS – Le travail de l’artiste, produit notamment durant les 3 mois de création, pourra être diffusé au cours de la saison culturelle 2022, dans le cadre d’une exposition ou à travers une publication. – Il pourra être demandé à l’artiste de mener des actions de sensibilisation auprès de différents publics : présentation d’une étape de travail, ouverture au public de l’atelier, rencontre avec le public. Ces interventions feront l’objet d’une rémunération. – L’artiste pourra envisager de céder à la Ville de Saint-Malo une œuvre, dans des conditions à définir, afin d’en permettre sa diffusion au-delà des restitutions envisagées (exposition, publications, …) DEPOT DES CANDIDATURES Les artistes souhaitant se porter candidat sont invités à envoyer avant le 30 avril 2021. – Un CV / bio – Un dossier artistique présentant les projets passés – Une présentation du projet que le candidat souhaite développer pendant son temps d’occupation dans l’atelier – Un portfolio des créations déjà réalisées ou du projet en résidence DatesMars 1 (Lundi) 0 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 23 h 59 min Organisateur Direction Culture Pôle Culturel La Grande Passerelleculture@saint-malo.fr 2 rue Nicolas Bouvier 35400 Saint-Malo CalendrierGoogleCal lun01mar8 h 00 minven10sep(sep 10)12 h 59 minPrix Picto de la Mode 2021 Organisateur: PICTO Foundation Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Prix Détail de l'événementPicto Foundation est heureux d’annoncer le lancement de la 23ème édition du Prix Picto de la Photographie de Mode. Distinction de référence pour les talents émergents dans le domaine de la Détail de l'événement Picto Foundation est heureux d’annoncer le lancement de la 23ème édition du Prix Picto de la Photographie de Mode. Distinction de référence pour les talents émergents dans le domaine de la mode, le Prix Picto de la Photographie de Mode a le plaisir de lancer son nouvel appel à candidatures, après une année 2020 riche en nouveautés. En plus de l’exposition produite par PICTO, de la campagne d’affichage offerte par JCDecaux, le Lauréat du Prix Picto de la Photographie de Mode recevra un appareil photo Leica. De même, la dotation 19M de la Photographie des Métiers d’art désignera un lauréat qui bénéficiera d’une commande photographique d’une valeur de 5 000 € réalisée pour le compte d’une des 12 maisons rassemblées au sein du 19M, Métiers d’Art de Chanel. Paolo Roversi remettra la dotation Filippo Roversi qui mettra en lumière l’originalité d’un savoir-faire technique mis en avant par un photographe. Enfin, partenaire du Prix Picto de la Photographie de Mode depuis 2017, le Palais Galliera permet aux photographes primés d’entrer dans une collection publique reconnue. Avec le soutien de ses partenaires, le Prix Picto de la Photographie de Mode entend renforcer sa volonté de faire découvrir et progresser de nouveaux talents. PREMIER PRIX : GRAND PRIX PICTO DE LA PHOTOGRAPHIE DE MODE – Un appareil photo Leica Q2 d’une valeur de 4 990 €. – La fabrication d’une exposition pour une valeur de 2 000 €. – Une campagne d’affichage JCDecaux à Paris. – La possibilité d’intégrer les collections publiques du Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris. DEUXIÈME PRIX : DOTATION 19M DE LA PHOTOGRAPHIE DES MÉTIERS D’ART – Une commande photographique d’une valeur de 5 000 € réalisée pour le compte d’une des 12 maisons rassemblées au sein du 19M. – La mise à disposition d’un studio pour une journée de prises de vues par Studio Daguerre – La possibilité d’intégrer les collections publiques du Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris. TROISIEME PRIX : DOTATION FILIPPO ROVERSI – Un workshop d’une journée avec Paolo Roversi. – Un tirage signé de Paolo Roversi. – 1 000 € d’aide à la réalisation auprès des services PICTO. – La possibilité d’intégrer les collections publiques du Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris. Appel à candidatures jusqu’au 10 Septembre 2021 : > Télécharger le formulaire de candidature 2021 (Français) > Et le règlement 2021 > Download registration form 2021 (English) > Download regulations 2021 Photo : Flamin Asia n°4 © Chiron Duong. 1er Prix PICTO de la Photographie de Mode 2021 DatesMars 1 (Lundi) 8 h 00 min - Septembre 10 (Vendredi) 12 h 59 min Organisateur PICTO Foundationpictofoundation@picto.fr 53 bis rue de la roquette 75011 Paris CalendrierGoogleCal lun01mar9 h 00 mindim25avr(avr 25)23 h 59 minTraversées, Aide au maintien dans l’activité artistiqueType d'événement:Art Contemporain,PhotographieType d'événement 2:Bourse Détail de l'événementLe CIPAC, la FRAAP et le réseau Diagonal se mobilisent en faveur des artistes-autrices et artistes-auteurs des arts visuels, et mettent en œuvre le programme « TRAVERSÉES » : plus de 300 bourses Détail de l'événement Le CIPAC, la FRAAP et le réseau Diagonal se mobilisent en faveur des artistes-autrices et artistes-auteurs des arts visuels, et mettent en œuvre le programme « TRAVERSÉES » : plus de 300 bourses de 3000 euros, complétées par un accompagnement professionnel et des rendez-vous individuels avec des expert·e·s. Ce programme a été préparé en concertation avec les organisations syndicales représentatives des artistes-autrices et artistes-auteurs et bénéficie du soutien du ministère de la Culture (Direction générale de la création artistique). Alors que la crise sanitaire a fortement accru les difficultés rencontrées par les artistes, en particulier dans leurs premières années d’activité, ce programme vise à soutenir les plus fragilisé·e·s en leur donnant les moyens de réaliser un ou des projet(s) en cours. Retrouvez l’appel à candidature complet et déposez votre dossier de candidature sur : traversees.art Date limite de candidature : 25 avril 2021. Pour tout renseignement complémentaire : coordination@traversees.art Télécharger l’appel DatesMars 1 (Lundi) 9 h 00 min - Avril 25 (Dimanche) 23 h 59 min CalendrierGoogleCal lun01mar10 h 00 minsam15mai(mai 15)23 h 59 minAppel à Candidature Phot'Aix 2021 : Regards Croisés ItalieGalerie Fontaine Obscure, 24 avenue Henri Poncet 13090 Aix-en-Provence Organisateur: Fontaine Obscure Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Festival Détail de l'événementLa 21e édition du Festival photographique d’Aix en Provence, organisé par la Fontaine Obscure, lance ses appels à candidatures pour Regards Croisés avec l’Italie et Les Parcours. Tous les photographes, Détail de l'événement La 21e édition du Festival photographique d’Aix en Provence, organisé par la Fontaine Obscure, lance ses appels à candidatures pour Regards Croisés avec l’Italie et Les Parcours. Tous les photographes, amateurs et professionnels, sont invités à candidater avec un regard d’auteur et une série cohérente. Regards Croisés avec l’Italie : une exposition photographique qui met en regard cinq artistes italiens et cinq artistes résidant en France. Découvrez les séries des cinq photographes italiens sélectionnés et proposez un travail en regard d’une série de votre choix avec laquelle sera établi un lien dans la démarche artistique, la forme et/ou dans la thématique explorée. Les Parcours : des expositions photographiques sont présentées sous forme de parcours à thèmes à travers la ville, dans des lieux très divers, la photographie venant à la rencontre d’un public fidèle et averti. 5 thèmes sont proposés : * Le voyage en Italie * La photo minimaliste * L’envers du décor * Insolite * Thème libre ouvert aux jeunes photographes du Pays d’Aix (collégiens, lycéens, étudiants) Des expositions photographiques sont présentées sous forme de parcours à thèmes à travers la ville, la photographie venant à la rencontre d’un public averti, qui ne raterait pour rien au monde les expositions et les visites commentées. Dans ce but, un appel à candidatures est lancé aux photographes intéressés. 5 THÈMES : Le voyage en Italie Jeunes photographes du Pays d’Aix (Thème libre ouvert aux collégiens, lycéens, étudiants) La photo minimaliste L’envers du décor Insolite Pour participer Les candidats doivent adresser à la Fontaine Obscure, avant le 15 mai 2021, un dossier comprenant : – une fiche de renseignements sur l’auteur, dûment remplie – une série cohérente de 10 à 15 photographies exprimant un vrai regard d’auteur – une note d’intention sur le projet proposé – une note d’intention sur le projet proposé – une brève présentation de l’auteur – les caractéristiques techniques des tirages (formats, support …) – le règlement signé LE PRIX FONTAINE OBSCURE A l’issue du festival, les équipes des Parcours et de la Fontaine Obscure désigneront un lauréat parmi les photographes de la sélection 2021. Le lauréat se verra offrir l’opportunité d’exposer à la galerie Fontaine Obscure pendant un mois lors du festival PHOT’AIX 2022. Lien pour l’appel à auteurs et plus : https://fontaineobscure13.wixsite.com/photographie/appel-a-candidature Télécharger le règlement. Photo : © Mario Lasalandra Dates Mars 1 (Lundi) 10 h 00 min - Mai 15 (Samedi) 23 h 59 min LieuGalerie Fontaine Obscure24 avenue Henri Poncet 13090 Aix-en-Provence Organisateur Fontaine Obscurecontact@fontaine-obscure.com 24 rue Henri Poncet, 13090 Aix en Provence Galerie Fontaine Obscure24 avenue Henri Poncet 13090 Aix-en-ProvenceDu mardi au vendredi de 14h à 18h (octobre-mars) et de 15h à 19h (avril-septembre). Le samedi de 10h à 12h En savoir plus CalendrierGoogleCal mar02mar(mar 2)15 h 00 minsam29mai(mai 29)18 h 30 minMarcher dans l'imageAndré KertészGalerie l'Imagerie, 19, rue Jean Savidan 22300 LannionType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementVoir à l’œuvre André Kertész, le photographe le plus apprécié des photographes, à travers des séquences de prises de vues que nous révèlent ses négatifs, accompagner les déambulations de son Détail de l'événement Voir à l’œuvre André Kertész, le photographe le plus apprécié des photographes, à travers des séquences de prises de vues que nous révèlent ses négatifs, accompagner les déambulations de son objectif dans le Paris des années 1930, partager sa joie de pouvoir marcher dans l’image tout en laissant les corps et les visages entrer dans le cadre de son viseur […]. L’exposition nous conte, en mots et en images, ce moment singulier où un homme adopte un appareil novateur, le Leica, et permet à la photographie de se découvrir une vocation alors inexplorée : recueillir sur le trottoir l’attention qui nous relie les uns aux autres. Commissariat : Cédric de Veigy André Kertész (1894-1985) compte parmi les regards qui ont ouvert des chemins nouveaux dans la photographie du XXe siècle. Amateur inspiré à 18 ans, artisan des recherches optiques de la Nouvelle Vision à 28 ans, défricheur des enjeux médiatiques du reportage à 36 ans, il a largement contribué aux évolutions esthétiques et professionnelles du médium. Si plusieurs générations de photographes ont été marquées par sa démarche et ses images c’est parce qu’il est celui qui, sans effet ni étalage, a démontré la possibilité de poursuivre une oeuvre sereine tout au long d’une vie de photographe, à l’écart des courants et en marge des commandes, en laissant libre cours aux flâneries du regard. Dès 1959, Henri Cartier-Bresson, au comble de sa renommée, déclarait que tous les photographes étaient redevables à Kertész. En 1973, John Szarkowski, conservateur du MoMA de New York, estimait que : « Plus peut-être que tout autre photographe, André Kertész a compris l’esthétique particulière de l’appareil portatif et l’a rendue manifeste », et de nombreux historiens reconnaissent depuis en lui le « père de la photographie au 24×36 mm ». À la fin de sa vie, Kertész a pris soin de rendre accessible l’ensemble de ses images à travers le don à la France de ses négatifs. Pour autant, aucune recherche n’est venue distinguer les clichés qui, entre 1930 et 1936, marquent les débuts de sa pratique du Leica, appareil novateur avec lequel il initie des déambulations photographiques qui renouvellent son intelligence de la prise de vue. Une étude minutieuse menée sur les négatifs originaux conservés par la Médiathèque de l‘architecture et du patrimoine a permis de reconstituer pour la première fois la continuité chronologique des images que le photographe a prises en 1930 et 1936 avec son Leica. Fruit de cette recherche, l’exposition, présentée à Stimultania du 3 avril au 26 juillet 2020 propose de remonter à ce moment de la prise de vue et d’observer ces quelques pas de Kertész auprès de ceux qu’il photographie. Photo : Canal Saint Martin, Paris, vers 1934 Sélection de 2 prises de vues d’après bandes négatives originales 35 mm numérisées. © Donation André Kertész, Ministère de la Culture – Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, diff. RMN-GP Dates Mars 2 (Mardi) 15 h 00 min - Mai 29 (Samedi) 18 h 30 min LieuGalerie l'Imagerie19, rue Jean Savidan 22300 Lannion Galerie l'Imagerie19, rue Jean Savidan 22300 LannionD’octobre à juin : ouvert du mardi au samedi, de 15h à 18h30. Le jeudi : de 10h30 à 12h30 et de 15h à 18h30. En juillet, août et septembre : ouvert du mardi au samedi, de 10h30 à 12h30 et de 15h à 18h30. Sauf jours fériés. Entrée libre CalendrierGoogleCal mer03mar(mar 3)14 h 00 mindim09mai(mai 9)19 h 00 minGardiens des CîmesMichel EisenlohrCentre d'Art Contemporain Briançon, 3 Place d'Armes, 05100 BriançonType d'événement:Exposition,Photographie Dates Mars 3 (Mercredi) 14 h 00 min - Mai 9 (Dimanche) 19 h 00 min LieuCentre d'Art Contemporain Briançon3 Place d'Armes, 05100 Briançon CalendrierGoogleCal jeu04mar(mar 4)10 h 00 mindim06jui(jui 6)19 h 00 minFerme n°4233Tomas WüthrichMusée gruérien de Bulle, Rue de la Condémine 25 1630 Bulle, SuisseType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementUn couple de paysans balayés par la politique agricole au tournant du millénaire Le reportage Ferme n°4233 – Un long adieu a été réalisé par Tomas Wüthrich d’avril 1999 à Détail de l'événement Un couple de paysans balayés par la politique agricole au tournant du millénaire Le reportage Ferme n°4233 – Un long adieu a été réalisé par Tomas Wüthrich d’avril 1999 à avril 2000. Dépassés par les exigences de la politique agricole et l’évolution du marché, ses parents cessent d’exploiter leur ferme à Chiètres. Photographe, leur fils documente ce douloureux épisode. Ses images témoignent des profonds bouleversements de l’agriculture et acquièrent une portée universelle. «La ferme portant le numéro officiel 4233 était située à Chiètres, au bord du Grosse Moos dans le Seeland fribourgeois. Elle appartenait à mes parents Hans et Ruth Wüthrich. Pendant près de trente ans, ils y ont élevé des vaches laitières et cultivé des terres arables. La ferme n’était plus rentable depuis des années. En avril 2000, ils ont dû l’abandonner le coeur lourd. Je les ai accompagnés avec mon appareil photo pendant leur dernière année d’exploitation et, en plus du travail quotidien, j’ai capté certains moments décisifs: la signature du contrat avec le nouveau locataire, le départ des vaches, le dernier grand nettoyage dans l’écurie vide. Ces photos ont été prises il y a vingt ans, mais elles n’ont rien perdu de leur actualité. Aujourd’hui encore, deux fermes disparaissent chaque jour en Suisse. En 1905, il y avait plus de 240000 exploitations agricoles en Suisse. Aujourd’hui, elles sont au nombre de 50000. Depuis 1900, la proportion d’agriculteurs dans la population est passée de 31% à 2,5%. Le terme «mort de la ferme» est absent de toutes les annonces officielles; on préfère parler de changement structurel. La profession d’agriculteur traditionnel est remplacée par celle d’entrepreneur agricole et de jardiniers paysagiste à temps partiel. L’État veut une agriculture compétitive et encourage les exploitations agricoles disposant de beaucoup de terres et de grosses machines. Dans le même temps, l’agriculture devrait devenir plus écologique. Il est difficile de ne pas y voir une contradiction. L’extinction progressive des espèces, la contamination de l’eau potable et le compactage des sols montrent que les choses vont dans la mauvaise direction.» Dates Mars 4 (Jeudi) 10 h 00 min - Juin 6 (Dimanche) 19 h 00 min LieuMusée gruérien de BulleRue de la Condémine 25 1630 Bulle, Suisse Musée gruérien de BulleRue de la Condémine 25 1630 Bulle, SuisseOuvert du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 13h30 à 17h00. Le samedi de 10h à 17h et le dimanche de 13h30 à 17h CalendrierGoogleCal jeu04mar(mar 4)10 h 00 minven30avr(avr 30)18 h 00 minDes Formes et l'HistoireExposition collectiveGalerie Gradiva, 9 quai Voltaire 75007 ParisType d'événement:Art Contemporain,Exposition,Photographie Détail de l'événementQuatre artistes, chacun à leur manière, s’emparent de l’événement historique. Il est question d’interroger la représentation de l’Histoire mais aussi celle du présent comme du futur et d’envisager comment les Détail de l'événement Quatre artistes, chacun à leur manière, s’emparent de l’événement historique. Il est question d’interroger la représentation de l’Histoire mais aussi celle du présent comme du futur et d’envisager comment les œuvres se meuvent dans un propos qui relate, qui conserve, qui archive ou fictionne. Quatre artistes dotés de quatre écritures ; un simple panel de possibles à l’Histoire. L’exposition s’accompagnera de rendez-vous de lecture et de projection. « Je peux dire qu’un de mes combats les plus constants, (…), vise à favoriser l’émergence d’une science sociale unifiée, où l’histoire serait une sociologie historique du passé et la sociologie une histoire sociale du présent » déclarait Pierre Bourdieu. En d’autres termes, que l’objet social est historique et que l’inverse l’est également. S’il est question de rebattre le principe de modernité et de l’envisager non plus en « grand signifiant » globalisant comme nous y invite Jacques Rancière mais bien comme une nouvelle visibilité de l’art – car « le nouveau ne se sépare pas de l’histoire » – c’est au travers des notions de « représentation » que cette exposition engage sa visée, notamment quant à sa façon d’apprécier l’Histoire dans l’Art. Par le biais de réagencements nous dit le philosophe, et de re-« disposition des images (…) en faisant entrer ce qui ne relevait pas de ces catégories », l’art se permet alors des combinaisons abstraites, formelles et de signes où le passé, le présent et le futur se croisent, se mêlent à une représentation qui serait considérée comme en dehors de lui même, connecté à l’ensemble des réalités et disciplines. Loin d’un régime exclusivement esthétique de l’art, la question de la mémoire nous montre aussi qu’elle se distingue du travail de deuil. Qu’est l’événement ? Que contient-il et comment l’extraire de son historicité ? Si la Second Guerre Mondiale est un sujet central dans le travail de Nicolas Daubanes, comme celui de Raphaël Denis, le passé n’est pas seul à faire action. Dans cette même logique, le présent saisit. La série « Virus » d’Antoine d’Agata réalisée durant le confinement nous fait passer par ce présent qui vit en intérieur et en extérieur, le drame de la Covid et de l’isolement. Ceci nous conduit ensuite avec Julien Prévieux aux gestes du futur dont nous demeurons sans cesse les ignorants en passe de savoir. Ce réagencement des signes par l’art semble participer de la production de l’Histoire au même titre que son étude. Quatre artistes, chacun avec leurs intentions, s’emparent de « l’événement ». Une façon de questionner conceptuellement et formellement la représentation du cours de l’Histoire mais aussi la manière dont les formes se meuvent à travers un propos qui relate, qui conserve, qui archive ou fictionne. Comment s’articule le récit ou l’information, le temps et l’action. Quelle œuvre pour quel discours ? Quatre artistes dotés de quatre écritures constituent ici un panel de possibles à l’Histoire. Une façon d’observer les torsions produites ou à venir du temps dans un mouvement avec les manifestations qu’elles génèrent, quitte à venir à « dé-former » le récit officiel. Fanny Lambert (Extrait du texte de l’exposition) Antoine d’Agata I Nicolas Daubanes I Raphaël Denis I Julien Prévieux Lun-Ven – 10h-18 Sam – 13h-18h sur rendez-vous Photo : Antoine d’Agata, France. Bordeaux. Avril 2020. Hôpital de Bagatelle durant la pandémie du Covid-19, 2020. (c) Antoine d’Agata/ Magnum Photos Dates Mars 4 (Jeudi) 10 h 00 min - Avril 30 (Vendredi) 18 h 00 min LieuGalerie Gradiva9 quai Voltaire 75007 Paris CalendrierGoogleCal jeu04mar(mar 4)15 h 00 minsam29mai(mai 29)17 h 00 minCavaleNicolas CommentGalerie Polka, 12, rue Saint-Gilles 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementPhotographe, poète et musicien, Nicolas Comment est un habitué des voyages sentimentaux et autres errances photobiographiques. Ses séries ont pour théâtre Mexico, Prague ou Tanger, ces lieux mythiques, antres littéraires… Détail de l'événement Photographe, poète et musicien, Nicolas Comment est un habitué des voyages sentimentaux et autres errances photobiographiques. Ses séries ont pour théâtre Mexico, Prague ou Tanger, ces lieux mythiques, antres littéraires… Cavale s’inscrit dans cette tradition de la “déambulation psychogéographique”. Balade géopolitique, fiction intime. Nous sommes en 2019. Laura Serrani, directrice artistique du festival Planches Contact invite Nicolas Comment en résidence artistique à Deauville. Ainsi commence Cavale : une série photo-littéraire protéiforme qui se lit comme un tableau à entrées multiples. Des photographies, accompagnées d’un texte mis en musique, le “ciment qui relie les images entre elles”. Mais surtout un cénacle d’écrivains, de cinéastes, de poètes et autres voyous en référence. Nicolas Comment photographie au passé un Deauville hanté de fantômes illustres. Dates Mars 4 (Jeudi) 15 h 00 min - Mai 29 (Samedi) 17 h 00 min LieuGalerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 Paris Galerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 ParisOuvert du mardi au samedi de 11h à 19h00 ou sur rendez-vous CalendrierGoogleCal jeu04mar(mar 4)15 h 00 minsam29mai(mai 29)17 h 00 minIn Search of ElsewhereSteve McCurryGalerie Polka, 12, rue Saint-Gilles 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementL’exposition propose une plongée dans l’oeuvre du photographe américain et revient sur ses plus grands succès – certains, comme le portrait de l’Afghane aux yeux verts ayant le statut d’icônes Détail de l'événement L’exposition propose une plongée dans l’oeuvre du photographe américain et revient sur ses plus grands succès – certains, comme le portrait de l’Afghane aux yeux verts ayant le statut d’icônes –, mais aussi quelques images inédites, le tout commenté par l’artiste. Pour accompagner chaque image, Steve McCurry a rédigé des légendes permettant aux visiteurs de plonger dans l’intimité du moment de la prise de vue et de mieux appréhender « la quête d’ailleurs » du photographe. Chaque photo a son histoire et Steve McCurry qui se définit comme un « storyteller », un conteur des temps modernes, est désormais loin du photojournalisme qui a marqué le début de sa carrière. McCurry a en effet travaillé pour la presse après des études au département d’art et d’architecture de l’université de Pennsylvanie. Il veut alors « voir le monde, explorer de nouvelles cultures » et part en voyage muni de son appareil photo. Europe, Asie et Afrique… Mais sa carrière se lance lorsqu’il passe clandestinement la frontière afghane, habillé en pachtoune, quelques mois avant l’invasion russe de 1979. Premier sur place, Steve McCurry produit un reportage qui sera publié dans le monde entier et gagne la Robert Capa Gold Medal ainsi qu’une renommée internationale. Ensuite, il va arpenter les terrains de guerre mais pas seulement, s’attachant à saisir ce qu’il appelle la « condition humaine ». Son travail est très largement récompensé avec, entre autres, quatre premiers prix World Press Photo et le Prix Leica Hall of Fame. Lors de son dernier voyage en Afghanistan, en 2016, alors que les enlèvements de journalistes se multiplient, il s’inquiète pour sa sécurité. Il remet alors en question ses choix de vie. Inspiré par le Wabi Sabi, philosophie japonaise qui prône la vie dans l’instant, mais aussi par ses études artistiques et le travail de la lumière de peintres tels que Le Caravage ou Rembrandt, Steve McCurry se détache peu à peu de la presse et voyage désormais exclusivement pour sa pratique personnelle. Cette liberté lui permet de se consacrer à sa vision artistique. « Depuis quelques années, j’ai dû définir dans quelle catégorie de photographe je me rangeais : je suis un conteur visuel. Un poète, non pas avec les mots, mais en images. Ce qui me rend libre de faire ce que je veux avec mes images, en terme d’esthétique et de composition. […] Un artiste doit trouver les histoires qui le passionnent lui, personnellement, aller là où cela le chatouille, là où il a envie de creuser. » Steve McCurry. L’exposition « In Search of Elsewhere » donne la parole à l’un des grands coloristes contemporains et questionne la frontière entre le photojournalisme et l’art : à quel moment une document photographique devient une oeuvre ? Dates Mars 4 (Jeudi) 15 h 00 min - Mai 29 (Samedi) 17 h 00 min LieuGalerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 Paris Galerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 ParisOuvert du mardi au samedi de 11h à 19h00 ou sur rendez-vous CalendrierGoogleCal ven05mar(mar 5)10 h 00 minsam24avr(avr 24)20 h 00 minMoritz Loewy, Pierre-Henri Puiseux, Juliette AgnelNouvel accrochageGalerie Françoise Paviot, 57 rue Sainte-Anne 75002 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementConfiants dans le pouvoir des images, Moritz Loewy et Pierre-Henri Puiseux dévoilent à nos yeux des documents d’une incomparable précision mais aussi des paysages à la matérialité fragile et incertaine. Détail de l'événement Confiants dans le pouvoir des images, Moritz Loewy et Pierre-Henri Puiseux dévoilent à nos yeux des documents d’une incomparable précision mais aussi des paysages à la matérialité fragile et incertaine. Dans les territoires du grand Nord ou dans les régions les plus reculées du Soudan, Juliette Agnel, quant à elle, pratique une exploration de l’extrême. Pour passer d’un monde à l’autre, elle ne nous convie pas à défier héroïquement le seuil de l’inconnu, c’est dans l’immobilité de la contemplation que doit s’opérer le passage. Que ce soit la troublante beauté des ciels étoilés ou la surface abstraite et étrange de la lune, les scientifiques et la photographe, à quelques dizaines d’années de lumière de distance, offrent au spectateur des vues irrationnelles, si proches et si lointaines. La révélation de l’inconnu qu’ils opèrent chacun à leur façon, transcende la réalité des lieux et se charge d’une symbolique mystique et cosmique. Moins de soixante ans après l’apparition de la photographie, Moritz Loewy (1833-1907) et Pierre-Henri Puiseux (1855-1928), assistés de Charles Le Morvan, entreprennent une série de clichés de la Lune et de la surface lunaire. Leur œuvre, qui va durer pendant presque quatorze années, fera autorité jusqu’à ce que les sondes spatiales ne rendent le procédé obsolète dans les années 1960. Entre 1894 et 1909, les deux astronomes consacrent environ 500 soirées d’observations à la prise de plus de 6000 clichés de la Lune. Ces photographies avaient pour ambition de permettre une étude plus approfondie de la Lune, indépendante de toute erreur de perception ou de jugement, et de pouvoir ainsi constituer une carte générale de qualité supérieure en regard des reproductions dessinées et de l’observation directe. Les meilleurs clichés réalisés au grand équatorial coudé ont fait l’objet de la publication de l’Atlas photographique de la Lune. Edité entre 1896 et 1910 par l’Observatoire de Paris et imprimé par l’Imprimerie nationale à Paris, il sera l’aboutissement des travaux de Loewy et Puiseux. Il comprend douze fascicules, planches (héliogravures de onze clichés et soixante et onze agrandissements) et textes (description des objets les plus remarquables, examen de leur nature et de leur origine). La plupart des reproductions photographiques par héliogravure ont été confiées à M.Fillon qui exerça successivement chez Heuse, Gaultier et Schutzenberger. L’Atlas et les clichés de la Lune seront dévoilés au public pour la première fois. Les agrandissements sur papier ornent la salle d’exposition du Ministère de l’instruction publique, lors de l’Exposition Universelle qui se tient à Paris en 1900. Cette exposition est visible sur rendez-vous jusqu’au 24 avril 2021. Dates Mars 5 (Vendredi) 10 h 00 min - Avril 24 (Samedi) 20 h 00 min LieuGalerie Françoise Paviot57 rue Sainte-Anne 75002 Paris Galerie Françoise Paviot57 rue Sainte-Anne 75002 ParisOuvert du jeudi au samedi de 14h30 à 19h et sur rendez-vous CalendrierGoogleCal sam06mar(mar 6)10 h 00 minsam24avr(avr 24)18 h 00 minRêves acidulésMélanie DornierCentre Culturel des Fosses d'Enfer, Route de Caen, 14570 Saint Rémy sur OrneType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementEntrer dans un univers à la cassure de la réalité, où une intimité et une relation à la nature se dessinent. Les notions de temps et de trace Détail de l'événement Entrer dans un univers à la cassure de la réalité, où une intimité et une relation à la nature se dessinent. Les notions de temps et de trace des individus ont été explorées sous deux angles et différents procédés photographiques. Dans la série MIROIR DE POUDRE MAGIQUE, une histoire intime se raconte et dans L’EMPREINTE DE L’OUBLI, matériaux et impressions au cynaotype se mélangent. Une conversation s’opère entre l’image et sa matérialité, le vivant et son déclin, l’enfance et son identité. Les deux séries nous emmènent dans un monde où la luxuriance de la nature côtoie le déclin. Entre bizarre et étrange, nous entrons dans une errance personnelle, des personnages évoluent devant nos yeux, nous envoient des messages. La couleur bleue nous guide. A propose de Mélanie Dornier Mélanie Dornier, photographe auteure, puise son inspiration photographique dans la rencontre et le dialogue avec l’autre. Son travail questionne les notions d’identité et de trace à travers une narration visuelle empreinte de délicatesse. www.melaniedornier.com melanie@melaniedornier.om Dates Mars 6 (Samedi) 10 h 00 min - Avril 24 (Samedi) 18 h 00 min LieuCentre Culturel des Fosses d'EnferRoute de Caen, 14570 Saint Rémy sur Orne CalendrierGoogleCal sam06mar(mar 6)10 h 00 minsam08mai(mai 8)18 h 00 minCarte Blanche à Omar Victor DiopLa galerie MAGNIN-A, 118, boulevard Richard Lenoir 75011 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementDu 6 mars au 8 mai 2021, André Magnin confie les rênes de sa galerie à Omar Victor Diop pour une exposition consacrée aux grands portraitistes africains. Héritier du studio photographique Détail de l'événement Du 6 mars au 8 mai 2021, André Magnin confie les rênes de sa galerie à Omar Victor Diop pour une exposition consacrée aux grands portraitistes africains. Héritier du studio photographique africain, dont les codes sont parfois réinvestis au sein de ses autoportraits, Omar Victor Diop a sélectionné pour cette carte blanche une cinquantaine de clichés des photographes qui l’ont marqué. Mama Casset, Seydou Keïta, Malick Sidibé, J. D. ‘Okhai Ojeikere, Jean Depara ou encore Ambroise Ngaimoko (Studio 3Z/3C) dialoguent avec les images oniriques et colorées du photographe sénégalais. À travers ce parcours d’oeuvres historiques, l’exposition « HERITAGE » tisse les liens sensibles entre l’oeuvre de Diop et l’héritage artistique dans lequel sa photographie s’inscrit. De Jean Depara, dont il retient les extérieurs-nuits de Léopoldville en effervescence pendant les années d’indépendance de l’ancien Congo-Belge, à l’esthétique de la coiffe d’Ojeikere dont il admire le travail de mémoire, Diop s’inscrit dans une Afrique consciente du talent de ses ainés, mais aussi dans une Afrique en mouvement, pleine d’avenir et d’énergie. Parmi ces photographes de référence, c’est certainement le travail de Malick Sidibé qui trouve le plus d’écho dans la démarche de Diop. Les cinquante ans qui les séparent sont réduits par leur impulsion commune, celle d’être les continuateurs de la tradition du studio à l’africaine, tout en saisissant les modes, les vitalités et les évolutions de la vie moderne. « Malick Sidibé a subtilisé des moments de vérité, de solennité, de rêve, et construit une mosaïque de petites histoires qui, à leur tour, s’enchevêtrent pour se fondre en une seule et unique histoire, celle de son peuple. J’aimerais que l’on dise cela un jour à mon propos. En ce sens, Malick Sidibé est un modèle. » commente Omar Victor Diop. Les maîtres de Sidibé sont aussi ceux de Diop : Keïta dont il observe les témoignages sur la société malienne ; Mama Casset chez qui le grand-père de Diop fait son portrait. Omar Victor Diop est plongé très tôt dans cet univers studio qui ne cesserai de nourrir ses recherches. Portraits posés et mises en scènes diffèrent selon le style du photographe. Sans trop d’artifice pour le malien Sidibé, plus foisonnant pour le jeune dakarois. Mais du yéyé à la pop culture, chaque génération lègue à la suivante un regard précis et intelligent sur le beau africain. Les choix d’Omar Victor Diop honorent cet art du portrait qui magnifie un continent dynamique. Le métissage s’opère entre couleurs et noir et blanc, du Mali des sixties au Sénégal contemporain. Les photographes deviennent les ambassadeurs d’une Afrique qui respire ; tissus ancestrales et tissus modernes, jeunesse optimiste et émancipée, noblesse du féminin et du masculin… « Laisser la voix aux artistes », c’est le sens de la carte blanche donnée par la galerie d’André Magnin, pour qui « promouvoir l’art contemporain africain passe par la reconnaissance et la valorisation des artistes talentueux ». Temps fort du printemps 2021, « HERITAGE » met en lumière des collections peu visibles, pour la première fois réunies, dans l’optique de montrer la vitalité et la beauté de la photographie africaine, dont les grandes figures ont été révélées par André Magnin dès 1991. 30 ans ! Photo : Gauche : Seydou Keïta – Sans titre, 1959 – Tirage argentique baryté © Seydou Keïta / SKPEAC – Courtesy Galerie MAGNIN-A, Paris Droite : Jean Depara – Femme devant l’Afro Negro Club, 1955 © Droits réservés – Courtesy Galerie MAGNIN-A, Paris. Dates Mars 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mai 8 (Samedi) 18 h 00 min LieuLa galerie MAGNIN-A118, boulevard Richard Lenoir 75011 Paris CalendrierGoogleCal