Février, 2019
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Art Contemporain
Cinéma
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Foire
Lectures de Portfolio
Photographie
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Workshop
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Concours
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104 – CENTQUATRE Paris
19 rue Paul Fort
31 rue Meslay
À La Non Galerie / Studio PhotoInfographic
A pp roche
A. Galerie
Agence Oralia
Aiguillage (aux Frigos)
Alley Gallery
Anis Gras - Le lieu de l'autre
Après L’École, café-cantine & galerie
Archives Nationales - Pierrefitte-sur-Seine
Archives nationales Paris
Arsenal de Metz
Atelier Néerlandais
Bateau Concorde Atlantique
Beaux-Arts de Paris
Bibliothèque Edmond Rostand
BnF - Bibliothèque nationale de France
box galerie
BOZAR
C12
Caisse D’épargne Masséna
CAL Clermont-de-l'Oise
Campredon Centre d'Art
Carreau du Temple
Carrousel du Louvre
Casa de Pat
Centre Camille-Claudel
Centre Culturel Irlandais
Centre Culturel Marcel Pagnol de Fos-sur-Mer
Centre d'art municipal La Graineterie
Centre d'Art Sacré de Lille - Crypte de la Treille
Centre de la Photographie - Genève
Centre d’art Contemporain de la Matmut
Centre International de Photojournalisme
Centre Photographique Marseille
Centre photographique Rouen Normandie
Centre Pompidou
Centre social et culturel Pierre Perret
Centre tchèque de Paris
Château de Courcelles
Château des Ducs de Bretagne Courtine Saint-Pierre (chemin de ronde sur les remparts)
Château Palmer
Chez Lola Gassin
CHRD Centre d’histoire de la Resistance et de la Déportation
christian berst art brut paris
Cinéma Le Beverley
Cité de l'Architecture et du Patrimoine
Cloître et médiathèque de Condom
Collège Jacques Cartier
Columbia Global Centres - Paris
Contact Galerie Madé
CRI des Lumières
CRP/ Centre régional de la photographie Hauts-de-France
Curieuse Galerie
De Markten, Oude Graanmarkt
Deyrolle
DIDAM
Domaine de Chantilly
Domaine de Chaumont-sur-Loire Centre d'Art et de Nature
École nationale supérieure d'architecture - Paris Malaquais
Église des Célestins
ENSA Paris-Malaquais
Esox Lucius - La Gare / le Quai (294M9)
Espace Art Absolument
Espace Bernard Palissy
Espace Culturel Séraphine Louis
Espace des fabriques
Espace des femmes - Antoinette Fouque
Espace GUSS
Espace Krajcberg
Espace Niemeyer
Espace Oppidum
Espace Photo du Perche
Espace Photographique du Leica Store
Espace Saint-Cyprien
Fabrique des Savoirs
Fabrique du métro
Fahey/Klein Gallery
Faux Mouvement
Fermé le Lundi, Espèce d'Espace Photographique
Ferrari Art Gallery
Festival Barrobjectif
Festival Images Vevey
Festival Planche(s) Contact
FESTIVINI - Comité d'Organisation des Evènements Viticoles du Saumurois (COEVS)
Fisheye Gallery
Flair Galerie
Foam Fotografiemuseum
Fondation A Stichting
Fondation Cartier pour l'art contemporain
Fondation Henri Cartier Bresson
Fondation Zinsou
FRAC Île-de-France, Le Plateau
FRAC Poitou-Charentes
Friche la Belle de Mai
Galerie
GALERIE &CO119
Galerie 127
Galerie 1900-2000
Galerie 65 (ESADHaR)
Galerie Agathe Gaillard
Galerie Annie Gabrielli
Galerie ARCTURUS
Galerie Argentic
Galerie Arondit
Galerie Art : Concept
Galerie Artphotoby/Sophie Leiser
Galerie Azzedine Alaïa
Galerie Barrès-Rivet
Galerie Baudoin Lebon
Galerie Berthet-Aittouarès
Galerie Binome
Galerie Camera Obscura
galerie Canopy
Galerie Catherine Issert
Galerie Ceysson & Bénétière - Paris
Galerie Christophe Gaillard
Galerie Cinéma - Anne-Dominique Toussaint
Galerie Claude-Samuel
Galerie Clémentine de la Féronnière
Galerie Confluence
Galerie de l'UPP
Galerie de la Clé
Galerie de La Filature
Galerie De Lumière et de Vent
Galerie de L’Escale
Galerie Depardieu
galerie Dilecta
Galerie Dina Vierny
Galerie du Canon
Galerie du Crous
Galerie du lycée Joliot Curie
Galerie Espaces 54
Galerie Esther Woerdehoff
Galerie FAIT & CAUSE
Galerie Folia
Galerie Françoise Besson
Galerie Françoise Paviot
Galerie Frangulyan
Galerie Frank Elbaz
Galerie Frédéric Got
Galerie GADCOLLECTION
Galerie Garage Turenne
Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois
Galerie Gimpel & Müller
Galerie Goutal
Galerie Gradiva
Galerie HEGOA
Galerie Hussenot
Galerie Intervalle
Galerie Isabelle Gounod
Galerie Jean Denis Walter
Galerie Jean Denis Walter (Hors les Murs)
Galerie l'inlassable
Galerie La Forest Divonne - Brussels
Galerie La Forest Divonne Paris
Galerie Laure Roynette
Galerie Le Carré d’Art - Centre Culturel Pôle Sud
Galerie Le Lieu
Galerie Le Minotaure
Galerie Le Réverbère
Galerie Lehalle
Galerie Les filles du calvaire
Galerie Liusa Wang
Galerie Loevenbruck
Galerie Lumière des roses
Galerie Macadam - Institut Culturel Roumain
Galerie Madé
Galerie Mandarine
Galerie Maubert
Galerie Mélanie Rio
Galerie Meyer Oceanic & Eskimo Art
Galerie Miranda
Galerie Mondapart
Galerie municipale Jean-Collet
Galerie Nadar - Médiathèque André Malraux de Tourcoing
Galerie Nicolas Deman
Galerie Noëlle Aleyne
Galerie Papillon
Galerie PARALLAX - Créations photographiques
Galerie Paris-Beijing
Galerie Patrick Gutknecht
Galerie Perrotin
Galerie PhotoSaintGermain
Galerie Pixi - Marie-Victoire Poliakoff
Galerie Polka
Galerie Rature
Galerie Remp-arts
Galerie RX - Rodrigue + Dereumaux
Galerie Salle Principale
Galerie Sator
Galerie Ségolène Brossette
Galerie SIT DOWN
Galerie Sophie Scheidecker
Galerie Sparts
Galerie Suzanne Tarasieve
Galerie Templon
Galerie Thaddaeus Ropac
Galerie Thierry Bigaignon
Galerie Valeria Cetraro chez Galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico
Galerie Voies Off
Galerie VU'
Galerie Wanted
Galerie Xippas Genève
Galerie Xippas Paris
Galeroe Mélanie Rio
GESTE Paris
Gobelins, l'Ecole de l'Image
Goethe-Institut de Paris
Graine de photographe
Grilles du Jardin d’Été
H Gallery
Halles du Boulingin
Hameau des Baux
hangar art center gallery
Hélène Aziza
Hôpital de Gap
Hôtel & Spa La Belle Juliette
Hôtel Crillon
Hôtel de l'Industrie
Hotel de Sauroy
Hôtel de ville de Levallois
Hôtel de Ville de Paris
Hôtel Jules & Jim
Image/Imatge Centre D’art
in camera galerie
Institut culturel italien
Institut des Cultures d’Islam
Institut du Monde Arabe - Tourcoing
Item l'atelier
Jardins de Bichat
Jeu de Paume
Jeu de Paume - Château de Tours
Jousse Entreprise
Julio Artist-run Space
K 41 - NordiKeye Project
Kehrer Galerie Berlin
Kiosque culturel
L'abbaye Saint-Germain
L'Espace Jemmapes
L'Imagerie
L'Oeil du Douard
La Capsule, Centre culturel André Malraux
La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image
La Cinémathèque Française - Musée du Cinéma
La Cité Miroir
La Colline – théâtre national
La Douëra
La Friche Artistique des Prés-de-Vaux (Grande Halle)
La Galerie de l'Europe
La Galerie de l’Instant
La Galerie L’Entrée des Artistes
La Galerie Particulière
La Grande Arche
la Halle aux sucres
La Hune
La librairie des Puf
La Maison des Photographes
La Maison Européenne de la Photographie
La nouvelle chambre claire
La Photographie Marseille Association LES ASSO(S)
La Scam
La Sucrière
La Verrière, Brussels
La Villette
LABANQUE
Le 61
LE BAL
Le Bleu du Ciel - Centre de photographie et d'image contemporaine
Le Carré Amelot
Le Cellier
Le Cercle des Voyageurs
Le Château d’Eau - Pôle photographique de Toulouse
Le Cloître ouvert - Couvent de l’Annonciation
Le Grand Palais
Le Liberté Grand Hôtel
Le Loft
Le Molière
Le Musée de l'Image
Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Le Musée National des Arts Asiatiques – Guimet
Le Pangolin
Le Parvis, Espace culturel E.Leclerc
Le Percolateur
Le Plac'Art Photo
Le Point du Jour, centre d’art/éditeur
Le quadrilatère
Le salon H
Leica Store
Les Abattoirs - Musée FRAC Occitanie Toulouse
Les Archives départementales de la Marne
Les Créacteurs en Puisaye
Les Docks Village
Les Douches la Galerie
Les halles du Faubourg
Les Rencontres d'Arles
Les Salins, scène nationale de Martigues
Librairie Charlemagne
Librairie des Alpes
Librairie La Comète
Light Motiv
LOO & LOU GALLERY - GEORGE V
Lumière d'Encre
LUX Scène Nationale de Valence
L’Abbaye Royale de l’Épau
L’Espace Dupon-Phidap
L’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94
L’Institut Giacometti
MAC - Maison des Arts de Créteil
MAC - Musée d'Art Contemporain
MAC VAC - La Maison du Combattant, de la Vie Associative et Citoyenne
Magnum Print Room
mahJ - Musée d'art et d'Histoire du Judaïsme
Mains d'Œuvres
Mairie de Bayeux
Mairie de Carry-le-Rouet
Mairie de Rodez
Mairie du 1er arrondissement
Mairie du 3ème de Paris
Mairie du 9e
Maison Auguste Comte
Maison de l'Argentine - Cité universitaire
Maison de la Culture d'Amiens
Maison de la Photographie Lille
Maison de la Photographie Robert Doisneau
Maison de l’Amérique latine
Maison de l’image Documentaire - Cétàvoir
Maison des Métallos
Maison du Danemark
Maison du département
Maison Folie Moulins
Maison Nationale des Artistes
MAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropole
MAMM - Multimedia Art Museum Moscow
MARe / le Musée d'Art Récent
Mathilde Hatzenberger Gallery
MBAL - Musée des beaux-arts Le Locle
Médiathèque Hélène Berr
Mémoire de l'Avenir
Mémorial de Dormans
Mémorial de la Shoah
Mémorial du Camp de Rivesaltes
Mfc-Michèle Didier
Mind's Eye - Galerie Adrian Bondy
Mudam Luxembourg - Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean
MuMa – Musée d’art moderne André Malraux
Musée Alfred-Canel
Musée d'art contemporain de la Haute-Vienne. Château de Rochechouart
Musée d'art de Joliette
Musée de l'Homme
Musée de la musique | Philharmonie de Paris
Musée de la Photographie André Villers
Musée de l’Elysée
Musée de Minéralogie MINES ParisTech
Musée Denon
Musée départemental Georges de La Tour
Musée des Avelines
Musée des Beaux-arts de Rouen
Musée Dobrée
Musée du château des ducs de Wurtemberg
Musée d’art contemporain du Val-de-Marne
Musée d’Art moderne de la Ville de Paris
Musée Français de la Carte à Jouer & Galerie d'Histoire de la Ville
Musée national de l'histoire de l'immigration
Musée national Eugène-Delacroix
Musée national Fernand Léger
Musée Nicéphore Niépce
Musée Rodin
Musée suisse de l’appareil photographique
Museu di Bastia
Museum of Photographic Arts (MOPA)
Myriam Bouagal Galerie
Myriam Bouagal Galerie.com
NEGPOS
New York University à Paris
Nexstreet Gallery
Office Tourisme de Deauville
Opiom Gallery
Orangerie du Domaine de Madame Elisabeth
Palais de l’Institut de France
Palais des Congrès de Perpignan
Palais des Nations
Passerelle ME+YOU=NOUS
Pavillon Carré de Baudouin
Pavillon Populaire // Espace d'art photographique de la Ville de Montpellier
Pavillon Wagram
PCP Laboratoire Photographique Professionnel
Petit Palais
Photo Doc. Galerie
Photo12 Galerie
Pierre-Yves Caër Gallery
Plateforme
Poltred, La Maison des Photographes
Ravestijn Gallery
RVB Books
SAGE Paris
School Gallery / Olivier Castaing
Shakirail
Somerset House
STIMULTANIA Pôle de photographie
Studio Galerie B&B
Studio Willy Rizzo
Superette Gallery
Théâtre La passerelle
Tiwani Contemporary
Under Construction Gallery
Vanities Gallery
Vieille Église Saint-Vincent
Villa Bissinger
Villa des Arts
Villa du Parc, centre d'art contemporain Parc Montessuit
villa Noailles - centre d’art d’intérêt national
Visa pour l’Image - Perpignan
VOZ'Galerie
Zoème
Organisateur de l'événement:
Tout
Tout
Agrandisseur Fisheye
AKAA - Contemporary Art Events
All About Photo
Association Festival de l’image
Association Pour Que l'Esprit Vive - SOPHOT
Association Sténopé +
Audi Talent
Biennale d'Issy
BIT20 • Paris
BMW Art & Culture
Bourse Laurent Troude
CéTàVOIR
Chroniques Nomades, Claude Geiss
CIPGP / Collège International de Photographie du Grand Paris
Diaphane, pôle photographique en Hauts-de-France
Eurazeo
Festival InCadaques
Festival International de Mode, de Photographie et d'accessoire de mode à hyères
Festival MAP Toulouse
FIDAL
Fondation Carmignac
Fontaine Obscure
fotofever
FOTOLIMO
Foundation Philip Jones Griffiths
Galerie Jean Denis Walter
GESTE Paris
HandiPlume
Havas Gallery
Institut pour la Photographie
International Women Photographers Association
Julia Margaret Cameron Award
L'Emoi Photographique
L'Été Indien
L'Institut Français
L'Oeil Urbain
La Scam - Société civile des auteurs multimedia
Le Champ des Impossibles
Le Cnap
Le Couloir de Camille Editions
Leica Oskar Barnack Award
Les Amis du musée Albert-Kahn
Les Boutographies
Librairie Fontaine Haussmann
Lucas Dolega Association
Lumière d'Encre
Maison de l’Image Documentaire
ManifestO
Monovisions Photography Awards
Ooshot
Paris Photo - Reed Expositions
Photo Is:rael
PhotoSaintGermain
PICTO
PICTO Foundation
PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE
Prix HSBC pour la Photographie
Résidence 1+2 Toulouse
SAIF
The Andrei Stenin International Photo Contest
Vannes Photo Festival
WMA Masters
YellowKorner
Détail de l'événement
L’exposition JAVA – Art Energy plonge dans la vitalité créatrice de l’île de Java, centre artistique de l’archipel. Avec des oeuvres pour la plupart jamais montrées en Europe, les artistes
Détail de l'événement
L’exposition JAVA – Art Energy plonge dans la vitalité créatrice de l’île de Java, centre artistique de l’archipel. Avec des oeuvres pour la plupart jamais montrées en Europe, les artistes réunis par l’ICI posent leur regard sur la disparition de la biodiversité, le lien entre nature et spiritualité, la montée de l’islam radical et le poids du colonialisme néerlandais. Ils expriment la complexité, les paradoxes et les vibrations de cette île aux multiples influences.
De nombreux événements ponctuent l’exposition et donnent un aperçu de ce foisonnement culturel. Les arts de la scène mêlent théâtre d’ombres, conte, musique électro, danses traditionnelles et art martial indonésien. Pour le jeune public, l’ICI propose des ateliers de pratique artistique allant de la création de marionnettes javanaises à l’initiation au gamelan, en passant par la fabrication du batik. Quant aux rencontres, films et débats, ils apportent un éclairage sur l’organisation sociale et politique de ce pays musulman qui reconnaît six religions officielles et doit faire face au développement de mouvements islamistes.
Toute l’équipe de l’ICI tient à remercier les partenaires et les membres de cette nouvelle saison culturelle. Grâce à leur soutien, JAVA – Art Energy est la première exposition collective de cette envergure consacrée à l’art contemporain indonésien à Paris.
Avec les oeuvres de Yovista AHTAJIDA, MARYANTO, Muhammad Zico ALBAIQUNI, Eko NUGROHO, GUDXSKUL (RUANGRUPA+ SERRUM + GRAFIS HURU HARA), Agung «Agugn» PRABOWO, Saleh HUSEIN, Adhya RANADIREKSA, Soni IRAWAN, Eddy SUSANTO, Mella JAARSMA, Muhammad UCUP YUSUF, Maharani MANCANAGARA.
Commissariat
Dates
Septembre 27 (Jeudi) 11 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 19 h 00 min
Institut des Cultures d’Islam56, rue Stephenson 75018 ParisL’ICI est ouvert du mardi au dimanche de 11h à 19h sauf le vendredi de 16h à 20h. L’ICI est fermé le lundi et les jours fériés.
Détail de l'événement
Romuald Ducros a choisi de pointer son objectif sur les marchés rémois pendant une année. Au fil des saisons, le photographe a réalisé 216 portraits d’anonymes avec un aliment tiré
Détail de l'événement
Romuald Ducros a choisi de pointer son objectif sur les marchés rémois pendant une année. Au fil des saisons, le photographe a réalisé 216 portraits d’anonymes avec un aliment tiré de leur cabas, fraichement glané sur les étalages. L’expérience photographique participative s’est déplacée sur différents marchés en centre-ville et dans les quartiers. Ces portraits sont exposés, à Reims, autour des avant-gardistes halles du Boulingrin à partir du 28 septembre et jusqu’en mars 2019.
Si le coeur du projet baptisé Duo des Halles se concentre sur les halles du Boulingrin, le studio mobile de Romuald Ducros a également sillonné le marché Jean-Jaurès, le marché de la place Luton, et ceux des quartiers Saint-Anne et Wilson. Résultat : 216 visages cosmopolites, singuliers, solennels parfois, immortalisés dans un style rappelant les portraits de la Renaissance.
Le marché, lieu de rencontre authentique
A l’origine de ce projet original, soutenu par la ville de Reims, Romuald Ducros est un photographe multicarte. Avec Duo des halles, il cultive le goût de la sobriété en proposant des portraits où les habitants adoptent tous la même pose, qu’ils soient jeunes, vieux, carnivores, végétariens ou épicuriens. En plus de l’exposition, qui débute le 28 septembre, ce travail donnera lieu à l’édition d’un ouvrage d’art.
Pour le photographe, le marché représente un lieu de partage où les liens sociaux sont forts :
« L’objectif de cette expérience est de retrouver le plaisir simple dans notre rapport à la vie, un instant de vérité, d’authenticité porté par les valeurs de la terre, sa variété, sa beauté, sa générosité. »
La magie des halles et ses chefs étoilés
Le singulier marché couvert du Boulingrin est une prouesse de l’ingénieur Eugène Freyssinet datant de 1929. Ces halles, construites entièrement en béton armé, offrent un écrin Art-déco unique à quatre marchés hebdomadaires. Elles témoignent du foisonnement architectural qui a marqué la ville de Reims après-guerre. Reconstruction oblige !
Aujourd’hui, les halles du Boulingrin constituent le navire amiral de la gastronomie rémoise. Sous ce dôme emblématique, les grands chefs étoilés proposent des démonstrations culinaires : Jacky Louaze pour le Foch vendredi 14 septembre et Philippe Mille pour les Crayères vendredi 5 octobre.
Rénovées et inaugurées en septembre 2012, les halles représentent également un lieu de rendez-vous culturels avec ses marchés aux livres et d’artisanat d’art et des expositions ponctuellement proposées en mezzanine.
Dates
Septembre 28 (Vendredi) 10 h 00 min - Mars 20 (Mercredi) 19 h 00 min
Lieu
Halles du Boulingin
50 Rue de Mars, 51100 Reims
Halles du Boulingin50 Rue de Mars, 51100 ReimsLe marché est ouvert trois fois par semaine : mercredi (7 h-13 h), vendredi (7 h-13 h et 16 h-20 h) et samedi (6 h-14 h)
Détail de l'événement
En 2018, le musée national Fernand Léger a souhaité mettre en lumière les riches correspondances thématiques et plastiques qui existent entre la peinture de Fernand Léger (1881-1955), pionnier de l’avant-garde
Détail de l'événement
En 2018, le musée national Fernand Léger a souhaité mettre en lumière les riches correspondances thématiques et plastiques qui existent entre la peinture de Fernand Léger (1881-1955), pionnier de l’avant-garde de la première moitié du XXe siècle, et l’œuvre photographique de Stéphane Couturier, artiste français né en 1957.
La rencontre de Stéphane Couturier avec l’œuvre du peintre a donné lieu à la création de photographies inédites, inspirées par la collection du musée : Stéphane Couturier a choisi le tableau intitulé Le Grand remorqueur, paysage industriel des bords de Seine peint par Fernand Léger en 1923, point de départ pour le photographe de nouvelles prises de vue, réalisées dans la ville de Sète à l’automne 2017.
L’exposition présente également des œuvres plus anciennes de Stéphane Couturier, qui établissent un dialogue in situ avec les tableaux de Fernand Léger. Les deux artistes partagent une même fascination pour les profondes mutations de la ville, un intérêt commun pour le monde du travail, l’esthétique industrielle ou l’architecture moderne, notamment celle de Le Corbusier. Mais, tandis que Fernand Léger exprime, après la Seconde Guerre mondiale, sa foi dans le progrès, la modernité et la reconstruction, Stéphane Couturier documente, à partir des années 1990, la disparition progressive de la société industrielle et la transformation de l’espace urbain qui en découle, dans les métropoles mondiales (Paris, Berlin, Séoul, Brasilia, Salvador da Bahia, Alger).
Dans sa série inédite, conçue en écho à l’œuvre de Léger, Stéphane Couturier utilise la superposition de plusieurs photographies numériques, technique initiée en 2004 dans ses premières séries intitulées « Melting Point ». L’artiste fait naître une réalité hybride, à partir de la fusion de deux ou trois images. Cette synthèse entre deux réalités produit une multitude de détails, où l’œil du spectateur se perd et provoque une impression de mouvement et de dissolution du sujet, au sein d’une composition monumentale.
Aujourd’hui, l’œuvre photographique de Stéphane Couturier, jouant des potentialités infinies de l’outil numérique, allie une approche documentaire à un traitement complexe de la composition. A la manière d’un tableau cubiste, elle puise dans le réel, le fragmente et, grâce au rythme et aux contrastes entre lignes, formes et plans colorés, le dépasse pour en offrir une nouvelle perception.
Stéphane Couturier interroge ainsi la nature prétendument objective du médium photographique : la
prise de vue devient un matériau. De ce matériau naît une machine à construire une combinatoire des
formes qui réactualise en permanence le réel enregistré.
Dates
Octobre 6 (Samedi) 10 h 00 min - Mars 4 (Lundi) 18 h 00 min
Musée national Fernand LégerChemin du Val de Pôme 06410 BiotTous les jours sauf le mardi, les 25 décembre et 1er janvier. De mai à octobre, de 10h à 18h De novembre à avril, de 10h à 17h
Détail de l'événement
La Fondation Cartier pour l’art contemporain célèbre, avec l’exposition Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu, la richesse et la variété des motifs, couleurs et figures dans l’art
Détail de l'événement
La Fondation Cartier pour l’art contemporain célèbre, avec l’exposition Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu, la richesse et la variété des motifs, couleurs et figures dans l’art latino-américain. De l’art populaire à l’art abstrait, de la céramique à la peinture corporelle en passant par la sculpture, l’architecture ou la vannerie, cette exposition rassemble près de 250 oeuvres de plus de 70 artistes, de la période précolombienne jusqu’aux productions les plus contemporaines. Elle explore les formes multiples de l’abstraction géométrique en Amérique latine, qu’elles trouvent leurs sources dans l’art précolombien, les avant-gardes européennes ou les cultures autochtones encore vivantes aujourd’hui. Créant des dialogues inattendus, Géométries Sud tisse des liens visuels entre les époques, les territoires et les cultures, et invite à une rêverie au coeur de ces univers.
Dates
Octobre 14 (Dimanche) 11 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 20 h 00 min
Fondation Cartier pour l'art contemporain261, boulevard Raspail 75014 ParisLa Fondation Cartier est ouverte tous les jours de 11 h à 20 h, sauf le lundi. Nocturne le mardi jusqu’à 22 h. PLEIN TARIF : 10,50 € / 7 € (réduit)
Détail de l'événement
Cette première grande exposition monographique en France de l’artiste allemande Melanie Manchot porte un regard sur 20 ans de création, à travers une sélection d’œuvres réalisées de 1998 à 2018,
Détail de l'événement
Cette première grande exposition monographique en France de l’artiste allemande Melanie Manchot porte un regard sur 20 ans de création, à travers une sélection d’œuvres réalisées de 1998 à 2018, et ouvre son champ grâce à de nouvelles productions.
Melanie Manchot place au cœur de sa pratique artistique les liens, relations et tensions entre l’individu et la communauté, en multipliant les expériences individuelles et collectives. Artiste allemande vivant à Londres, cette citoyenne européenne porte un regard ouvert, généreux et original sur le monde et sur le rapport de l’individu au groupe. Son œuvre est traversée par la relation qu’entretient le corps (social) à l’espace (public). Elle manie le portrait comme genre en développant une sensibilité particulière de la relation des figures à leur environnement. Dans un processus généralement performatif, elle met en scène des situations propices à la rencontre d’inconnus et de communautés habituellement séparés, dans des lieux qui agissent comme des révélateurs d’un contexte politique, social, spatial, institutionnel, pour mieux questionner leur rapport aux autres, au contexte et au monde. L’œuvre de Melanie Manchot rend visible l’idée d’une harmonie possible de différences et de diversités.
Dates
Octobre 20 (Samedi) 10 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 18 h 00 min
Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-Seine
Détail de l'événement
La veille du vernissage de PARIS PHOTO, nous présenterons avec fierté un ensemble important de tirages anciens de John Gossage et de Guido Guidi, continuité du dialogue
Détail de l'événement
La veille du vernissage de PARIS PHOTO, nous présenterons avec fierté un ensemble important de tirages anciens de John Gossage et de Guido Guidi, continuité du dialogue vieux de 25 ans entre deux amis.
Comme le dit Guido, John Gossage et lui, sont frères, et puisqu’aucun d’eux ne parle la langue de l’autre, ils parlent «la langue photographie». Lorsque l’on regarde leurs œuvres on comprend immédiatement pourquoi.
Leurs œuvres soulignent toujours l’importance de ce qui semble banal, de ce qui est invisible jusqu’à ce qu’elles attirent votre attention sur cette invisibilité. Et tout cela à travers une pureté émotionnelle, esthétique et poétique rare.
Comme Guido Guidi le dit : «L’esprit réside dans la simplicité, pas dans la rhétorique.»
Dates
Novembre 6 (Mardi) 13 h 00 min - Mars 16 (Samedi) 19 h 00 min
SAGE Paris1 bis avenue de Lowendal, 75007 ParisOuvert du mardi au vendredi de 13h à 19h et le samedi de 14h à 18h et sur rendez-vous. La galerie n'étant pas visible depuis la rue, veuillez téléphoner au 01 47 05 05 20 pour avoir les codes d'accès.
Détail de l'événement
Le photographe Jean-Christophe Hanché explore la notion universelle de guerre, entre mémoire de la Première guerre mondiale et plongée photographique dans des zones de conflit plus actuelles. A l’origine de
Détail de l'événement
Le photographe Jean-Christophe Hanché explore la notion universelle de guerre, entre mémoire de la Première guerre mondiale et plongée photographique dans des zones de conflit plus actuelles. A l’origine de ce travail présenté au Cellier, à Reims, du 9 novembre 2018 au 24 février 2019, l’histoire familiale de l’artiste, puis sa découverte de conflits plus contemporains notamment en Afghanistan. Par-delà les époques et les continents, Jean-Christophe Hanché livre une réflexion intimiste sur la guerre, replaçant l’homme au centre du sujet.
Dans une installation aux formes multiples, Jean-Christophe Hanché propose une immersion à travers les guerres qui ont émaillé, pendant 18 ans, sa vie de photographe : Libéria, Sierra-Leone, Somalie, Israël, Irak, Afghanistan. L’histoire personnelle de l’artiste se mêle à ses reportages, les sensations brutes succédant aux sentiments poétiques.
L’origine de ce travail associant photographies, images d’archive, vidéos, objets et collages, est fondée sur la mémoire familiale de l’artiste rémois et notamment un exemplaire d’une édition de l’Illustration datant de 1917 transmis par ses grands-parents. Jean-Christophe Hanché dévoile au Cellier une installation immersive, fruit du travail réalisé durant deux années de résidence à La Fileuse, friche artistique de la ville de Reims.
Seul(s) engage le visiteur dans une progression lente, propice à l’introspection… L’installation conjugue images fixes et en mouvement, écriture et son. Ces éléments entrent en résonance de façon suggestive. L’artiste propose un parcours contraint, investissant les quelques 600 m2 de travées souterraines du Cellier, ancien cellier d’expédition de champagne dont la façade exceptionnelle est inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1997.
Dates
Novembre 9 (Vendredi) 14 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 18 h 00 min
Le Cellier4bis Rue de Mars, 51100 ReimsOuvert de 14h à 18h du mercredi au dimanche
Détail de l'événement
D’octobre 1940 à mai 1946, plus de 6 500 personnes, en majorité française dont un grand nombre d’enfants, ont été internées dans plus d’une trentaine de camps pour nomades situés
Détail de l'événement
D’octobre 1940 à mai 1946, plus de 6 500 personnes, en majorité française dont un grand nombre d’enfants, ont été internées dans plus d’une trentaine de camps pour nomades situés sur l’ensemble du territoire métropolitain. En octobre 2016, le président François Hollande, dans un discours sur le site du camp de Montreuil-Bellay, admet la responsabilité de la République dans ces moments sombres de son histoire.
« On a souvent établi des parallèles entre la communauté juive et les communautés Sinti et Roma. Ne serait-ce que par le destin de stigmatisation, de mise au ban de la société, depuis des millénaires, jusqu’à l’idéologie nazie distinguant la race aryenne de toutes les autres races dites « inférieures » dont faisaient partie les Juifs et les Tsiganes. »
Simone Veil, discours prononcé à l’occasion de la remise du prix européen des droits civiques Sinti et Roma*, Berlin, Allemagne, 2010
Avec cette exposition-événement, le Mémorial de la Shoah propose pour la première fois un éclairage complet sur la politique menée par la France entre 1939 et 1946 envers ceux que la loi française désignait sous le terme de Nomades. Si elle fut différente de la politique allemande menée dans le reste de l’Europe envers les « Zigeuner » (Tsiganes), cette politique constitue un épisode parmi les plus dramatiques de la Seconde Guerre mondiale sur notre territoire, une page terrible dont la mémoire fut longtemps occultée.
Au-delà de l’Occupation et de la présence allemande, la persécution des nomades est une histoire française qui s’amorce au tournant du 20e siècle. Dès 1895, l’Etat opère un recensement général et un fichage de tous les « nomades, bohémiens et vagabonds ». À partir de 1912, les autorités françaises identifient les familles nomades et surveillent leurs déplacements avec la mise en place du carnet anthropométrique, du carnet collectif et du carnet forain.
Assignés à résidence, enfermés dans des camps, les nomades, hommes, femmes et enfants sont spoliés, internés dans des conditions indignes, empêchés de travailler librement, sous-alimentés et contraints aux travaux forcés. Nombre d’entre eux décèdent dans ces camps. A partir de 1943, certains internés sont déportés vers l’Allemagne dans le cadre du travail forcé. D’autres, libérés des camps français, sont raflés dans le nord de la France et déportés vers Auschwitz en 1944. L’internement des nomades se poursuit après la fin de la guerre et le dernier camp français ferme en mai 1946.
Cette histoire tragique est évoquée dans l’exposition par le biais de témoignages et photographies inédits, de documents d’archives personnels ou administratifs, qui attestent de la souffrance morale et du dénuement matériel des internés. Demandes de libération, pétitions collectives, tentatives d’évasions, actes de rébellion sont autant de manifestations de résistances et de solidarités déployées par les familles internées dans les camps.
Après les expositions Le premier génocide du XXe siècle – Herero et Nama dans le sud-ouest africain allemand (1904-1908), Le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman : stigmatiser, détruire, exclure et Rwanda 1994 : le génocide des Tutsi, le Mémorial de la Shoah perpétue avec L’internement des nomades, une histoire française (1940-1946) sa mission primordiale pour l’étude et la mémoire de tous les génocides.
*Les Sinti désignent à l’heure actuelle les membres de la minorité vivant en Europe occidentale et centrale et les Roms ceux d’origine orientale et sud-européenne. Roma est utilisé comme un nom pour la minorité complète en dehors des régions germanophones.
Dates
Novembre 14 (Mercredi) 10 h 00 min - Mars 17 (Dimanche) 18 h 00 min
Mémorial de la Shoah17 rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 ParisDe 10h à 18h tous les jours, sauf le samedi. Nocturne jusqu’à 22h le jeudi. Fermetures annuelles : le 1er janvier, le 1er mai, le 14 juillet, le 15 août, le 25 décembre. Fermetures certains jours de fêtes juives
Détail de l'événement
L’exposition Génération 40. Les jeunes et la guerre dresse le portrait d’une jeunesse multiple, transformée par l’expérience de la guerre et de l’Occupation. Des jeunes présentés à travers leurs choix et engagements, mais
Détail de l'événement
L’exposition Génération 40. Les jeunes et la guerre dresse le portrait d’une jeunesse multiple, transformée par l’expérience de la guerre et de l’Occupation. Des jeunes présentés à travers leurs choix et engagements, mais aussi des contraintes, des mots d’ordre et des sollicitations dont ils furent constamment l’objet.
Fruit d’un vaste travail de recherche et de collecte – comprenant témoignages directs mais aussi objets – l’exposition Génération 40. Les jeunes et la guerre vise à dresser le portrait d’une classe d’âge, les « J3 », qui vécurent leur adolescence ou l’entrée dans l’âge adulte au cours des quatre années de l’Occupation.
Au-delà des engagements de certains, les jeunes qui vivent les épreuves de l’Occupation et de la Collaboration composent un groupe hétérogène, dans lequel chacune et chacun ont conscience d’appartenir à une classe, un milieu social déterminé. Jeunesse populaire et jeunesse bourgeoise ne se côtoient guère, quand la séparation des sexes paraît aller de soi, idée entretenue par la Révolution nationale portée par le gouvernement de Vichy.
En dépit de ces distinctions, que viendront atténuer les circonstances, les jeunes ont en commun d’avoir été l’objet de multiples sollicitations et tentatives d’encadrement, au sein de leur famille, mais aussi par Vichy qui place en eux sa grande œuvre de régénération.
Les diverses organisations de jeunesse créées par le gouvernement de Vichy dans le cadre de sa campagne de Révolution Nationale, l’attention portée à l’enseignement, aux apprentissages, à la formation morale, sportive et professionnelle témoignent ainsi de son intérêt pour la « jeunesse ».
Encadrer et enrégimenter les jeunes constituaient la toile de fond de l’action politique du régime de Vichy, renforcée et soutenue par les exigences allemandes. À partir de 1942, les jeunes commencèrent à subir de lourdes contraintes. L’une d’elle concerna l’institution par la loi du 16 février 1943 du service du travail obligatoire (STO) pour les jeunes hommes âgés de 20 à 22 ans, événement qui devait signifier pour certains la fuite dans le maquis et l’entrée dans la Résistance.
Afin de retracer ces parcours, le CHRD a lancé en vue de l’exposition Génération 40, une vaste campagne de collecte. Ces témoignages directs, objets, photographies, archives, parfois des inédits, viendront enrichir les collections du musée par la suite.
Le CHRD est ainsi allé à la rencontre d’une vingtaine de témoins clefs, qui avaient entre 13 et 25 ans durant la période dont :
- Le futur ministre des Affaires Étrangères de François Mitterrand, Roland DUMAS (18 ans en 1940), y relate avec précision la manifestation du 19 mai 1942 contre le concert de l’Orchestre de la Philharmonie de Vienne, programmé le soir même salle Rameau par le régime de Vichy. Première manifestation contre Vichy en zone libre, la manifestation contre la Philharmonie associait étudiants résistants missionnés par le général de Gaulle depuis Londres – « empêcher par tous moyens la tenue du concert » – et des Lyonnais scandalisés par la provocation.
- Issue d’une famille d’origine juive convertie au protestantisme depuis trois générations, le traducteur et romancier Georges-Arthur GOLDSCHMIDT (12 ans en 1940) se souvient des raisons qui poussèrent ses parents à l’envoyer, lui et son frère, depuis Hambourg en Italie avant qu’ils ne trouvent, in extremis, un refuge temporaire dans un pensionnat savoyard de Megève. Quasi livrés à eux-mêmes, il raconte le sadisme de certains de ses camarades, la solidarité d’un village montagnard, la montée de la peur, l’embrigadement de la jeunesse allemande, y compris sur son frère aîné, et comment la langue nazie raidit alors les nuques et redresse les corps.
- Alors jeune fille de la bourgeoisie lyonnaise, Marie-Thérèse MORAT (14 ans en 1940) se souvient des expériences nouvelles – telles qu’aller faire du vélo du vélo dans les fermes, jouer dans les champs – que représenta cette période de pénurie et de bouleversement des usages habituels.
- La résistante, Jeannine PEYSSON (17 ans en 1940) raconte comment elle intégra le réseau Polytechnique. Recrutée par Mme Brunschwig, sa professeure de philosophie, à la suite d’une dissertation sur la notion de « liberté puis arrêtée en juillet 44 place Bellecour, elle sera brutalisée par Klaus Barbie puis emprisonnée au fort de Montluc, jusqu’à la libération de Lyon, le 24 août 1944.
- L’ancien joueur de football professionnel des « Verts », Émile ROBERT (18 ans en 1940), raconte comment il fut rattrapé par la réquisition du STO et envoyé en Autriche dans le massif du Dachstein construire des barrages à 2.000 m d’altitude.
Dates
Novembre 15 (Jeudi) 10 h 00 min - Septembre 5 (Samedi) 18 h 00 min
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Pour la deuxième édition de Chaumont-Photo-sur-Loire, cinq photographes de renom ont été invités à présenter, du 17 novembre 2018 au 28 février 2019, leur travail dans les Galeries du Château
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Pour la deuxième édition de Chaumont-Photo-sur-Loire, cinq photographes de renom ont été invités à présenter, du 17 novembre 2018 au 28 février 2019, leur travail dans les Galeries du Château et celles de la Ferme.
Artistes en résidence ou invités, les photographes de cette deuxième saison ont en commun, outre le rapport poétique qu’ils entretiennent avec la nature, de par les techniques qu’ils utilisent, une démarche expérimentale très exigeante.
Deux expositions résultent d’une résidence sur le site et d’un projet original, où les technologies d’aujourd’hui sont à l’origine d’images singulières portant sur les arbres, les paysages et les parcs du Domaine.
C’est ainsi que Davide Quayola, artiste italien résidant à Londres, a réalisé des captations et des tirages photographiques en très haute définition qui, comme une radiographie, révèlent la géométrie des arbres et la complexité de la nature, en quelque sorte, l’essence dont sont faites les choses.
L’Américain Robert Charles Mann a posé, pendant six mois, du solstice d’hiver au solstice d’été, en divers points du Domaine, ses “solargraphes” recueillant l’empreinte mouvante des courbes du soleil.
Quant au photographe finlandais Santeri Tuori, il utilise également pour ses “forêts” une technique particulière de surimpression, mêlant parfois la couleur et le noir et blanc, pour aboutir à des images irréelles d’une fascinante intemporalité.
La grande aventurière du regard qu’est Juliette Agnel dévoile, pour sa part, la profondeur et le sublime de paysages de l’extrême, aux confins de l’Arctique ou dans les ciels du Maroc, qui sont autant de reflets de sa riche intériorité.
Enfin, en avant-première des événements liés à la célébration du 500ème anniversaire de la Renaissance, une mission particulière a été confiée au grand photographe américain Alex MacLean, qui sait si bien capter l’essence des paysages : révéler, par des clichés aériens, la puissance et la grâce de l’intemporelle architecture des châteaux de la Renaissance en Val de Loire.
Dates
Novembre 17 (Samedi) 0 h 00 min - Février 28 (Jeudi) 0 h 00 min
Lieu
Domaine de Chaumont-sur-Loire Centre d'Art et de Nature
Ferme du Château 41150 Chaumont-sur-Loire
Domaine de Chaumont-sur-Loire Centre d'Art et de NatureFerme du Château 41150 Chaumont-sur-LoireLe Domaine de Chaumont-sur-Loire ouvre tous les jours de l’année, dès 10h00, y compris les jours fériés (sauf le 1er janvier et le 25 décembre). Il ouvre exceptionnellement ses portes à 9h30 en juillet et août 2018
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Koen Wessing a témoigné dans son travail de l’histoire de l’après-guerre : la décolonisation, la violence et la barbarie en Amérique latine, la désintégration du bloc soviétique, la guerre en
Détail de l'événement
Koen Wessing a témoigné dans son travail de l’histoire de l’après-guerre : la décolonisation, la violence et la barbarie en Amérique latine, la désintégration du bloc soviétique, la guerre en Yougoslavie, l’apartheid en Afrique du Sud ou encore la résurgence de la Chine. Dans l’exposition « Koen Wessing. L’Image indélébile », le Jeu de Paume – Château de Tours présente un ensemble de 80 tirages, ainsi que des projections et un entretien filmé avec le cinéaste et directeur de la photographie néerlandais Kees Hin.
Dates
Novembre 17 (Samedi) 14 h 00 min - Mai 12 (Dimanche) 18 h 00 min
Jeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 ToursMardi à dimanche : 14 h-18 h / Fermeture le lundi - Tarif plein: 4 € / Tarif réduit: 2 €
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Naïade Plante, avec son ami photographe et éditeur, François Louchet (www.fleditions.com), a publié son premier livre de photographies, "Masala Colors", un voyage intime et universel entre l'Inde et la France.
Détail de l'événement
Naïade Plante, avec son ami photographe et éditeur, François Louchet (www.fleditions.com), a publié son premier livre de photographies, « Masala Colors », un voyage intime et universel entre l’Inde et la France. Des images de son livre sont exposées à Deauville Tourisme.
Masala Colors est un dialogue entre deux continents, un pont entre deux cultures, des rencontres extraordinaires, des échanges enrichissants et précieux. Masala en hindi signifie mélange, synergie, association, combinaison, alchimie, ensemble ! Il est aussi une invitation au voyage comme un conte en images. Ce livre dévoile sept années de transhumance entre l’Inde et la France, Goa et la Normandie, rythmées par la mousson. « Transhumance que nous avons vécu comme une exploration, une plongée étourdissante et magique. »
Au delà des couleurs et des impressions, il y a aussi une invitation au voyage plus intérieur, à ressentir la beauté du monde vivant, les liens, les messages, les symboles, et à voir l’intelligence de notre monde. L’idée est de lier grâce aux images le présent avec l’émergence d’un nouveau champ, un chant de conscience, celui du changement en cours, plus universel, d’une terre de plus en plus fragile, la réalité d’un monde sensible.
« Le bateau de mes parents a fait naufrage en mer rouge, au large Charm el-Cheikh en chemin pour les Seychelles. ma naissance était prévue à Djibouti, je suis née à Jérusalem. Une enfance bercé et imprégnée par la mer et l’aventure, par le large et l’horizon m’ont sûrement amenée à apprécier le medium de la photographie avec cette envie accrochée à mon coeur de témoigner de ce qui fait sens pour le meilleur dans un monde complexe et de toutes les beautés du monde vivant. En 1996, je me forme aux métiers de la photographie au Centre Iris et de l’audiovisuel à la Sorbonne, et obtiens le 1er Prix Rolleiflex, deviens directrice artistique du Off du Festival Chroniques Nomades à Honfleur. En 1998, je sillonne l’Inde pour l’association « Aide et Action » et capte le travail des ONG en faveur de la scolarisation des enfants. Ces émotions photographiques marquent le début de mon itinéraire professionnel. Commandes institutionnelles, reportages, mariages, portraits et prises de vues publicitaires enrichissent aussi son expérience. Après plusieurs années partagée entre l’Inde et la France, en famille et avec passion, je pose mes valises en Normandie. »
Dates
Novembre 23 (Vendredi) 10 h 00 min - Mars 10 (Dimanche) 18 h 00 min
Détail de l'événement
Nous étions partis pour comprendre la société fidjienne et son histoire Pour vivre, à notre tour, dans cette société mélanésienne comme l’ont fait les grandes
Détail de l'événement
Nous étions partis pour comprendre la société fidjienne et son histoire Pour vivre, à notre tour, dans cette société mélanésienne comme l’ont fait les grandes figures de l’anthropologie du Pacifique de Bronilaw Malinowski à Marshall Sahlins…
Comment le cannibalisme, le don de femmes, les royautés, le christianisme, le cargo-cult, le colonialisme, la présence d’une importante communauté Indo-Fidjienne et l’indépendance de 1970 ont posé leur empreinte sur le quotidien et la vie politique d’aujourd’hui ?
Est-ce que l’histoire récente et mouvementée – quatre coups d’Etat (1987(2)-2000-2006), la prise en otage du parlement en mai 2000 – est la conséquence du passé colonial ségrégationniste et paternaliste ou de l’ethno-nationalisme entretenus par les chefferies traditionnelles ?
Ces questions liées aux traditions culturelles et à une « identité nationale » nous concernent en propre comme au figuré. Comment parler de leur versus fidjien ?
Le voyage n’est qu’une façon de composer avec notre vie, il correspond à nos besoins présents.
Voici donc l’histoire d’un artiste qui, grâce à une location trouvée sur Airbnb, va participer à l’ouverture de la première galerie « fine art » dans la capitale, sous la houlette du fils d’une illustre famille fidjienne de Bau.
Dates
Novembre 23 (Vendredi) 14 h 30 min - Février 23 (Samedi) 19 h 00 min
Lieu
Le Bleu du Ciel - Centre de photographie et d'image contemporaine
12, rue des fantasques 69001 Lyon
Le Bleu du Ciel - Centre de photographie et d'image contemporaine12, rue des fantasques 69001 LyonOuverture du mercredi au samedi de 14h30 à 19h Entrée gratuite
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Le Prix Picto de la Mode est organisé dans le cadre des programmes de Picto Foundation. Le fonds de dotation des laboratoires Picto rassemble les initiatives soutenues par le labo
Détail de l'événement
Le Prix Picto de la Mode est organisé dans le cadre des programmes de Picto Foundation. Le fonds de dotation des laboratoires Picto rassemble les initiatives soutenues par le labo en répondant aux principales attentes perçues de la part des photographes : promouvoir, partager et préserver la photographie.
– Avoir moins de 35 ans, tous pays.
– Proposer obligatoirement 2 séries de 8 à 10 images maximum par série.
– Envoyer le dossier de candidature complet à prixpictodelamode@picto.fr comprenant :
– le formulaire de candidature à télécharger.
– L’envoi des photos par wetransfer ou lien de téléchargement en basse définition (1,5 Mo – 300 DPI max) et en Haute Définition (20 Mo – 300 DPI max) en format jpg. Nommer ses images de la manière suivante : NOM DU CANDIDAT_NOM DE LA SERIE_N° DE LA PHOTO_BD et NOM DU CANDIDAT_NOM DE LA SERIE_N° DE LA PHOTO_HD
– une biographie/parcours du photographe (15 lignes maximum) en version Word.
– Un texte de présentation des deux séries.
Envoi des dossiers par mail à prixpictodelamode@picto.fr avant la date limite fixée au 28 février 2019.
TOUT DOSSIER INCOMPLET ET NE RESPECTANT PAS LES CONDITIONS NE SERA PAS ÉTUDIÉ
Dates
Décembre 1 (Samedi) 0 h 00 min - Février 28 (Jeudi) 0 h 00 min
Détail de l'événement
Que ce soit pour décorer, protéger, rassurer, adorer ou rappeler des souvenirs plaisants, les raisons d’accrocher des images sur les murs sont nombreuses. Depuis le 15e siècle, les images populaires sont le
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Que ce soit pour décorer, protéger, rassurer, adorer ou rappeler des souvenirs plaisants, les raisons d’accrocher des images sur les murs sont nombreuses. Depuis le 15e siècle, les images populaires sont le miroir des mœurs et des usages de leur époque.
Si l’étude des images a été le sujet des expositions du musée depuis son ouverture, la question de leur accrochage n’a jamais vraiment été abordée.
C’est une découverte exceptionnelle, soixante images du 17e au 19esiècle retrouvées sur une cloison d’une maison à Bessans en Savoie, cloison prêtée par le Musée Savoisien, qui est à l’origine de cette exposition.
D’autres témoignages, coffres, portes d’armoire, estampes, tableaux et extraits littéraires viennent enrichir cette exposition et permettent d’explorer les multiples usages des images, dans un voyage qui mène de Bessans à Pont-Aven, en passant par Écouen.
En connivence, les oeuvres photographiques de nombreux artistes contemporains, dont Christian Boltanski, Sabine Weiss et Jean-Luc Tartarin accompagneront cette exploration inédite dans nos imaginaires.
Voyagez parmi les œuvres de Christian Boltanski / Luigi Ghirri / Thomas Struth / Jean-Luc Tartarin / Sabine Weiss
Photo : Série Etude photographique sur les habitants du Val-de-Marne , 1986. Collection MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine © Sabine Weiss Photo/ © Jacques Faujour
Dates
Décembre 1 (Samedi) 9 h 30 min - Septembre 29 (Dimanche) 18 h 00 min
Le Musée de l'Image42 Quai de Dogneville, 88000 ÉpinalOuvert tous les jours 9h30 - 12h / 14h - 18h (fermé le lundi matin) Vendredi 9h30 - 18h Dim. et jours fériés 10h - 12h / 14h - 18h. Fermeture exceptionnelle le 25 décembre et le 1er janvier.
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Après un an passé à la tête de ce musée, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est une première lecture de cette immense et exceptionnelle collection. Une sélection s’est opérée
Détail de l'événement
Après un an passé à la tête de ce musée, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est une première lecture de cette
immense et exceptionnelle collection. Une sélection s’est opérée sur plus de 20 000 oeuvres acquises entre 1833 et 2019,
couvrant plusieurs siècles et toutes les disciplines, entre peinture, sculpture, dessin, gravure, photographie, design,
installation, embrassant l’art ancien, moderne et contemporain.
Avec 275 oeuvres de plus de 135 artistes réparties sur plus de 1000 m2, cette exposition se veut le reflet d’une collection multiple regardée par les yeux d’une femme1, racontant vingt-quatre heures de la vie d’une autre femme, imaginaire.
L’exposition propose un cheminement dans les espaces sous la forme d’un tour horaire, dans le sens des aiguilles d’une
montre, figurant l’écoulement du temps, depuis le matin jusqu’à la nuit. En dix sections – L’éveil ; Le bain ; Dehors, le
monde ; Le travail ; Le déjeuner ; Le repos ; La promenade ; La rencontre ; La fête ; La nuit, les rêves – le visiteur parcourt le quotidien d’une femme aux mille visages, tantôt ouvrière, secrétaire ou oisive bourgeoise. Les oeuvres réunies traduisent des actions, des gestes, des habitudes à différents moments de la journée, donnent le ton de lieux foulés ou d’intérieurs au mobilier soudain familier, mais convoquent aussi des souvenirs, des images surgies de l’esprit d’une jeune femme indépendante.
Chaque section, dans sa thématique, rapproche des oeuvres très différentes, jouant sur la mise en perspective d’attitudes
de personnages, d’effets de matières, de compositions, de chromatismes, donnant ainsi au spectateur la possibilité de
sentir ou de vivre certains moments de la journée ou de la nuit, revêtant une autre peau. Vingt-quatre heures de la vie
d’une femme, titre emprunté au livre éponyme de Stefan Zweig, déconstruit les catégories esthétiques habituelles ou
chronologiques pour raconter une autre histoire de l’art, par le biais d’une fiction.
L’exposition, dans cette forme volontairement narrative, a pour but de montrer la proximité étonnante des artistes de ces
siècles derniers dans leur approche formelle et sensible : une lithographie maculée de Dubuffet semble dans la droite
lignée d’un tableau postimpressionniste d’Henri Lebasque. La nonchalance d’un nu photographié par Nadar résonne dans
un tableau moderne de Marcel Gromaire. L’hésitation dans la rencontre de deux carrés d’André Valensi se retrouve dans ce
couple dansant pour la première fois d’André Lhote. La nuit, les constellations du tableau de Lucio Fontana semblent surgir d’un paysage au clair de lune d’Albert Gosselin, de 1900, à moins que ce soit l’esprit étoilé de cette femme aux yeux fermés, photographiée par Walker Evans, dans le métro.
La narration comme cheminement, plutôt que l’histoire de l’art dans sa stricte chronologie : c’est un parti pris de
commissaire, dans la volonté d’examiner les oeuvres autrement, de les montrer au public autrement, peut-être dans un
élan plus proche du quotidien de chacun, en reconnectant l’art au présent. Il s’agit de raconter une autre histoire de l’art, par le prisme du sensible, de l’émotion et de la vie.
Dates
Décembre 1 (Samedi) 10 h 00 min - Septembre 22 (Dimanche) 18 h 00 min
Lieu
MAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropole
rue Fernand Léger 42270 Saint-Priest-en-Jarez
MAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropolerue Fernand Léger 42270 Saint-Priest-en-JarezOuvert tous les jours de 10 h à 18 h sauf les mardis
Détail de l'événement
Digital After Love. Que restera-t-il de nos amours ? par Ruppert Pupkin, compositrice-interprète et Oan Kim, photographe, lauréats de la troisième édition du Prix Swiss Life à 4 mains Cette édition exceptionnelle du Prix Swiss Life à
Détail de l'événement
Digital After Love. Que restera-t-il de nos amours ?
par Ruppert Pupkin, compositrice-interprète et Oan Kim, photographe, lauréats de la troisième édition du Prix Swiss Life à 4 mains
Cette édition exceptionnelle du Prix Swiss Life à 4 mains a récompensé le photographe Oan Kim et la compositrice-interprète Ruppert Pupkin. Ils présenteront Digital After Love.
Que restera-t-il de nos amours ? leur création photo-musique à l’hiver 2018 au Musée de la musique-Philarmonie de Paris, dans le cadre de l’exposition Doisneau et la musique du 4 décembre 2018 au 28 avril 2019, et dans un livre disque édité chez Actes Sud.
Ruppert Pupkin et Oan Kim étaient respectivement marrainés par Clémentine Deroudille et Laetitia Guillemin.
Une bourse de 15 000 euros a été attribuée à chacun des lauréats du Prix. Le duo d’artistes a imaginé en sons et en images le récit d’un amour révolu (passé) retrouvé dans les vestiges numériques d’un vieux smartphone.
De la découverte d’un smartphone endommagé, les deux artistes tentent d’ordonner, comme un puzzle, les pièces d’une histoire d’amour contemporaine : d’un côté une femme, que l’on découvre en images et en sons, de l’autre un partenaire invisible, qui la photographie inlassablement. De leurs sms, e-mails et messages vocaux morcelés, pixélisés, rendus partiellement illisibles par l’altération des données, transparaît une histoire d’amour marquée par l’errance, entre réalité et fiction.
Un kaléidoscope musical et photographique reconstitué à partir de ruines numériques, d’où surgit le fantôme d’une obsession amoureuse à travers notre monde urbain d’aujourd’hui.
Exposition du Prix au Musée de la musique-Philarmonie de Paris L’oeuvre photo – musique des lauréats, Digital After Love. Que restera-t-il de nos amours ?, sera exposée dans le cadre de l’exposition Doisneau et la musique, organisée par le musée de la Musique – Philharmonie de Paris du 4 décembre 2018 au 28 avril 2019. Le commissariat de l’exposition est assuré par Clémentine Deroudille, petite fille du célèbre photographe.
Voir l’exposition Doisneau et la Musique
https://www.9lives-magazine.com/events/doisneau-et-la-musique/
Dates
Décembre 4 (Mardi) 13 h 00 min - Avril 28 (Dimanche) 18 h 00 min
Musée de la musique | Philharmonie de Paris221 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris
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La carrière de Robert Doisneau a été ponctuée de rencontres musicales, toutes inspirantes pour son œil d’artiste. Des bals populaires aux fanfares, en passant par les cabarets, il a croisé
Détail de l'événement
La carrière de Robert Doisneau a été ponctuée de rencontres musicales, toutes inspirantes pour son œil d’artiste. Des bals populaires aux fanfares, en passant par les cabarets, il a croisé musiciens de jazz et vedettes de son époque. Les photographies de ces instants, souvent inédites, sont rassemblées pour la première fois dans cette exposition.
En ethnographe de son époque, Robert Doisneau eut la curiosité d’aller partout. Muni de son inséparable appareil photo, il a sillonné Paris et sa banlieue dans tous les sens. Des bals populaires aux fanfares, en passant par les cabarets, il a croisé musiciens de jazz et vedettes de son époque. Homme de spectacle, pour qui l’image devait être mise en scène, il répondait toujours avec bonheur aux commandes de journaux pour immortaliser Georges Brassens, Juliette Gréco, Charles Aznavour, Claude François… et, bien sûr, son ami le violoncelliste Maurice Baquet.
Maurice, ami dans la vie et complice des balades buissonnières du photographe, et son violoncelle ont été des modèles merveilleux. Une large centaine de photographies est ici rassemblée. Au-delà de la facétie et des rires qui s’en dégagent, l’exposition rassemble toute la magie du travail de l’artiste : montages, trucages, photomontages, collages, déformations et fractionnements.
Loin de la nostalgie, l’exposition permet de découvrir une autre facette du photographe, plus inattendue : un homme résolument tourné vers demain, heureux d’immortaliser une nouvelle génération de musiciens dans les années 1980, comme les Rita Mitsouko, Les Négresses vertes, ou encore Pierre Schaeffer et Pierre Boulez.
Toutes ces photographies nous dévoilent un homme au travail qui a passé sa vie à courir derrière l’imprévisible et la surprise. Conçue par Clémentine Deroudille, petite-fille du photographe et, notamment, commissaire de l’exposition Barbara, cette joyeuse balade sera mise en musique par les Moriarty et mise en scène par Stephan Zimmerli, musicien et graphiste du groupe.
Egalement à la Philharmonie :
https://www.9lives-magazine.com/events/troisieme-editio…s-life-a-4-mains/
Dates
Décembre 4 (Mardi) 13 h 00 min - Avril 28 (Dimanche) 18 h 00 min
Musée de la musique | Philharmonie de Paris221 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris
Détail de l'événement
Inscrite dans l’opération « Métamorphoses, Issy se [ré]invente », cette exposition associe deux grands noms, le photographe Raymond Depardon et l’artiste Jean-Michel Alberola, chargé de la scénographie avec sa fille
Détail de l'événement
Inscrite dans l’opération « Métamorphoses, Issy se [ré]invente », cette exposition associe deux grands noms, le photographe Raymond Depardon et l’artiste Jean-Michel Alberola, chargé de la scénographie avec sa fille Théa, un duo inédit et complice qui vous dévoile son regard sur le territoire à travers une quarantaine de photographies. Elle offre un panorama significatif de l’évolution urbaine et de l’innovation architecturale à Issy-les-Moulineaux dans les trente dernières années.
Immortalisée sous l’objectif de Robert Doisneau au début du XXe siècle, Issy-les-Moulineaux est passée d’une banlieue industrielle à une ville moderne pleinement ancrée au cœur du Grand Paris qui a accueilli des signatures architecturales prestigieuses : Christian de Portzamparc, Jean Nouvel, Jean-Michel Wilmotte, Daniel Libeskind, Winy Maas et Françoise Raynaud, entre autres, participent pleinement de l’attractivité de la Ville reconnue pour son audace et ses projets avant-gardistes.
A l’aube du XXIe siècle, elle s’offre au regard de Raymond Depardon, artiste reconnu mondialement pour son œuvre photographique et cinématographique, notamment récompensé par le Prix Louis-Delluc, le César du meilleur film documentaire… Ses photographies mettent à l’honneur une quinzaine d’édifices et de sites emblématiques : « c’est en quelque sorte la photographie de notre modernité » dit-il.
Ainsi, vous pourrez découvrir sa vision du Vaisseau (« V-SO ») par Jean Nouvel (1992), Galéo (Bouygues Immobilier) par Christian De Portzamparc (2009), EOS (Campus Microsoft) par Bridot-Willerval et Arquitectonica (2009), Zenora (Yves Rocher) par Jean-Paul Viguier (2014), Isséane par Marc Landowski (2008), l’ École Française du Barreau par Jean-Michel Wilmotte (2013), la Piscine Feng Shui Aquazena par les Sœurs Mikou (2015), l’École Justin Oudin par Pascal Gontier (2013), l’opération Pont d’Issy -Aquarel par Françoise Raynaud (2017/19). En effet, l’architecture, pour Raymond Depardon, « nous permet de se confronter avec notre temps, d’une manière à la fois contemporaine et terre à terre (…) ».
Plusieurs événements accompagnent cette exposition exceptionnelle : conférences, vidéo mapping. Programmation à découvrir sur sortir-issy.com
Une riche programmation accompagne cette exposition exceptionnelle du 5 décembre au 30 juin 2019. Vernissage le mercredi 5 décembre à 18h30.
Dates
Décembre 5 (Mercredi) 11 h 00 min - Juin 30 (Dimanche) 17 h 00 min
Lieu
Musée Français de la Carte à Jouer & Galerie d'Histoire de la Ville
16 Rue Auguste Gervais, 92130 Issy-les-Moulineaux
Musée Français de la Carte à Jouer & Galerie d'Histoire de la Ville16 Rue Auguste Gervais, 92130 Issy-les-MoulineauxMercredi, jeudi et vendredi : de 11h à 17h, Samedi et dimanche : de 14h à 18h. Juillet : du mercredi au dimanche de 13h à 18h & Août: fermé
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Avec cet accrochage photographique, le Musée de l’Homme plonge le visiteur dans un phénomène social : l’accueil et l’intégration des immigrés. La photographe, Clarisse Rebotier, présente dans son exposition Hic &
Détail de l'événement
Avec cet accrochage photographique, le Musée de l’Homme plonge le visiteur dans un phénomène social : l’accueil et l’intégration des immigrés.
La photographe, Clarisse Rebotier, présente dans son exposition Hic & Nunc des portraits de personnes sereines et souriantes sur l’Esplanade des Droits de l’Homme, en arrière-plan, la Tour Eiffel symbole d’ancrage dans le temps et dans un lieu. La Tour Eiffel est à tout le monde. Ces personnes ont fui les guerres et sont aujourd’hui réfugiées en France. « Ils sont joyeux. Ce sont des battants ! Je voulais montrer que les personnes réfugiées sont d’abord des citoyens, incroyablement emplis d’émotions et de vie. » confie Clarisse Rebotier. Pour cette série, la photographe a souhaité monter un projet participatif : les sujets sont devenus auteurs, ils ont tiré eux-mêmes leur portrait en chambre noire.
Si l’accueil de la diversité et l’intégration des réfugiés sont actuellement un défi pour l’Europe et pour la France, ils mobilisent également des principes humanistes et universalistes chers au Musée de l’Homme. Ces photographies deviennent un plaidoyer pour la solidarité, dans lequel les préjugés sur les immigrés sont déconstruits peu à peu.
Dates
Décembre 8 (Samedi) 10 h 00 min - Juin 30 (Dimanche) 10 h 00 min
Musée de l'Homme17 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 ParisOuvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi.
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La participation de Sebastião Salgado à la saison En droits ! est exceptionnelle et montre non seulement son adhésion à la Déclaration universelle des droits de l’Homme mais aussi son
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La participation de Sebastião Salgado à la saison En droits ! est exceptionnelle et montre non seulement son adhésion à la Déclaration universelle des droits de l’Homme mais aussi son attachement au Musée de l’Homme, institution qui cherche à comprendre l’humain dans toute sa complexité.
Pour le Musée de l’Homme, Sebastião Salgado raconte l’histoire des droits de l’Homme telle qu’il l’a ressentie tout au long de ses 40 ans de carrière dans une vingtaine de pays. Le photographe et la commissaire ont porté un regard rétrospectif sur son œuvre et a sélectionné 30 photographies réalisées dans 20 pays : Afghanistan, Angola, Algérie, Bosnie, Brésil, Éthiopie, France, Hong Kong, Inde, Indonésie, Italie, Kenya, Mexique, Mozambique, Philippines, Rwanda, Somalie, Soudan et Tanzanie. Il témoigne ainsi de la nécessité de faire vivre au quotidien les droits énoncés dans la Déclaration quelle que soit la région du monde concernée, soulignant ainsi la portée universelle de ce texte. Ces images illustrent, entre autres, le droit à la vie, le droit à l’asile, à la liberté de pensée, de conscience et de religion ou le droit au travail et répondent aux œuvres des street artistes qui feront leur apparition dans le musée entre janvier et février 2019.
photo © Moment de prière dans les grandes dunes de sable à Maor, Tadrart. Sud de Djanet. Algérie. 2009. © Sebastião Salgado
Dates
Décembre 8 (Samedi) 10 h 00 min - Juin 30 (Dimanche) 18 h 00 min
Musée de l'Homme17 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 ParisOuvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi.
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Le CRP/ consacre une exposition personnelle à l’artiste ukrainien Boris Mikhaïlov, figure internationale de la photographie contemporaine. Ce dernier présentera dans la galerie du CRP/ la série Promzona produite en 2012
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Le CRP/ consacre une exposition personnelle à l’artiste ukrainien Boris Mikhaïlov, figure internationale de la photographie contemporaine.
Ce dernier présentera dans la galerie du CRP/ la série Promzona produite en 2012 pour la Biennale de Kiev en regard d’autres séries et de nouvelles productions photographiques réalisées dans la Région.
Dès les années 60, il raconte, par le biais de sa production photographique, l’Histoire et les histoires d’un pays marqué par le régime communiste, puis par les difficultés de sa reprise sociale et économique. Originaire de la vallée industrielle sud-ukrainienne, l’une des plus importantes de l’ex-bloc soviétique qui fut le cœur de l’industrie sidérurgique, l’artiste est revenu en 2011 sur les sites désertés de production minière dans la région de Donetsk pour réaliser la série Promzona.
L’architecture industrielle est ici au cœur au cœur de ce projet. Cet environnement lui est aussi familier car il fut ingénieur dans une usine soviétique dans les années 1960. Il sʼétait alors vu confier un appareil photographique afin de réaliser un reportage sur son lieu de travail. Il revient sur ces mêmes sites aujourdʼhui en friche. Ici le choix des cadrages, la structuration des images renvoie délibérément au constructivisme de Rodchenko et au cubisme de Braque ou Picasso. Cette série rend hommage à ces espaces témoins d’une ère révolue, d’une industrie jadis glorieuse et dorénavant victime des mutations socio-économiques. Boris Mikhailov oscille ainsi entre la nostalgie qu’il éprouve devant une photo évoquant un passé vécu et la recherche d’une esthétique reflétant un « ici et maintenant ».
Boris Mikhailov, né en 1938 à Kharkov en Ukraine est l’un des plus importants artistes photographes contemporains de sa génération. Ce dernier bénéficie d’une reconnaissance internationale après avoir exposé dans les plus grands musées du monde et avoir représenté son pays à la 57ème Biennale de Venise en 2017. Il est aussi le seul artiste ukrainien, et le seul de lʼex-URSS, couronné par le prestigieux prix Hasselblad en 2000.
Dates
Décembre 8 (Samedi) 13 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 17 h 00 min
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CAMELEON est une association humanitaire de lutte contre les violences sexuelles sur enfants, créée en 1997. Elle protège et réinsère des petites et jeunes filles victimes de violences
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Le photographe Pedro Lombardi a mis son talent au service de cette cause et a partagé pendant un été le quotidien de ces jeunes filles. En immersion avec elles, saisi par la force vitale de leurs regards, il a construit une proximité avec ses sujets qui dépasse la simple approche documentaire. Sur la frontière entre l’enfant et l’adulte, l’individu et le groupe, la peur et la confiance, ces jeunes filles sont des équilibristes qui continuent à avancer malgré les obstacles et CAMELEON les aide à prendre des risques pour grandir et s’épanouir. Les photographies de Pedro Lombardi décrivent leur solidarité, leurs émotions, leur force et leur résilience. Vives et colorées, ces grandes photographies portent un message d’espoir pour ces jeunes filles et nous transmettent leur joie de vivre et leur énergie lumineuse.
Né en Uruguay, le photographe Pedro Lombardi vit depuis 30 ans à Paris. Grand curieux des choses et des gens, il a réalisé des reportages dans le monde entier. Photographe indépendant, il a travaillé auprès de créateurs de musique, de théâtre et de danse. Ces dernières années, l’humain est devenu le sujet principal de son oeuvre, par des travaux photographiques avec l’Institut Curie ou l’association Asmae et le développement d’ateliers sur l’estime de soi à travers le portrait photographique.
La collection HPRG est très sensible aux actions menées par l’association CAMELEON. Organiser une exposition dans ses hôtels est un moyen de mettre en avant l’association, et le travail de Pedro Lombardi, et de sensibiliser le public à leurs projets menés aux Philippines. 20 photos de l’exposition « Frontières » seront ainsi présentées et disponibles à la vente dans 5 hôtels du groupe Hôtels Paris Rive Gauche. Ces photographies d’art sont tirées à 11 exemplaires et numérotés et signés par Pedro Lombardi. Leur vente se fera au bénéfice de l’association.
Pour plus d’informations :
– Le site de l’association CAMELEON
– Le site du photographe Pedro Lombardi
– Le site des Hôtels Paris Rive Gauche
Dates
Décembre 10 (Lundi) 10 h 00 min - Février 28 (Jeudi) 19 h 00 min
Hôtel & Spa La Belle Juliette92 rue du Cherche-Midi 75006 Paris
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Bien sûr, le photographe américain, Milton H. Greene est principalement connu pour sa relation unique et son travail avec Marilyn Monroe dans les années 50...la célèbre série au tutu en
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Bien sûr, le photographe américain, Milton H. Greene est principalement connu pour sa relation unique et son travail avec Marilyn Monroe dans les années 50…la célèbre série au tutu en 1954, le magnifique « Black Sitting » à New York en 1956, avec une Marilyn débridée, en collant résille et chapeau melon, ou encore la série autour de Bus Stop à Hollywood…toutes ces images figurent parmi les plus belles de la star…
Mais je souhaitais aussi présenter d’autres images, peut être moins connues, mais non moins belles… Par exemple, cette sublime série en 1952 avec la grande Marlene Dietrich, d’une féminité bouleversante ; ou bien cette image de Sophia Loren, prise en Italie en 1963 dans un décor de rêve, lui donnant un air de Vénus sortie des eaux…ou encore Romy Schneider à Monte Carlo en 1963 aussi, toute jeune, mais déjà d’une troublante sensualité, laissant présager la femme qu’elle deviendra.
Toutes ces photographies ont en commun une approche réaliste des artistes photographiés, et même si les femmes sont d’une beauté et d’un glamour affolant, elles ne doivent pas ce glamour aux robes, maquillages ou scénographie les entourant, mais bien à leur personnalité, et leur grâce qui transparait de ces portraits. C’est là que réside à mon sens le talent de Milton H. Greene, ce mélange de beauté et de sincérité. Il est évident qu’il respectait ses modèles, et en faisait ressortir le meilleur, c’est-à-dire la profondeur, l’intensité et le plus important : l’émotion, qui finalement est ce qui nous marque le plus en regardant ces images extraordinaires !
Dates
Décembre 12 (Mercredi) 14 h 00 min - Février 27 (Mercredi) 19 h 00 min
La Galerie de l’Instant46, rue de Poitou 75003 ParisLe lundi de 14h à 19h du mardi au samedi de 11h à 19h et le dimanche de 14h30 à 18h30
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BMW Art & Culture annonce le lancement du neuvième appel à candidatures pour la Résidence BMW à GOBELINS. - Une carte blanche, dédiée à l’innovation photographique et la transmission, offerte à
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BMW Art & Culture annonce le lancement du neuvième appel à candidatures pour la Résidence BMW à GOBELINS.
– Une carte blanche, dédiée à l’innovation photographique et la transmission, offerte à des talents contemporains.
– Réception des candidatures jusqu’au 29 mars 2019.
– Le jury nommera le lauréat en mai.
BMW Art & Culture permet, chaque année depuis 2011, à un artiste photographe de réaliser un projet photographique au cours d’un séjour de trois mois de résidence. Le projet est réalisé à GOBELINS, l’école de l’image, partenaire depuis deux ans, après six ans de partenariat avec le musée Nicéphore Niépce.
La Résidence BMW aboutit à la production d’oeuvres réalisées avec le soutien de François Cheval, directeur artistique et de l’équipe de GOBELINS. Une sélection des oeuvres produites en résidence sera exposée dans deux évènements photographiques majeurs dont BMW est partenaire : aux Rencontres d’Arles*, de la semaine d’ouverture en juillet à fin août 2020 et à Paris Photo* 2020.
Les oeuvres réalisées pendant la Résidence BMW seront présentées dans un livre aux éditions Trocadéro dans la collection BMW Art & Culture. La Résidence BMW se déroulera de septembre à décembre 2019
Le projet présenté par les candidats pour la Résidence BMW devra être riche de sens, orienté sur l’innovation et l’expérimentation pour proposer une vision renouvelée de notre monde en transition, par tous procédés : techniques, narratifs, documentaires, humoristiques … en s’appuyant sur les ressources de GOBELINS et l’expertise de François Cheval.
Le projet doit être original et exclusif pour la Résidence BMW et ne doit pas avoir été montré, même partiellement au moment de la candidature, et ne devra pas être exposé avant les Rencontres d’Arles* ni Paris Photo* 2020.
L’appel à candidatures pour la prochaine résidence est téléchargeable sur les sites internet de BMW France et de GOBELINS à partir du 13 décembre 2018 :
www.bmw.fr/candidatures-residencebmw-2019 ou www.gobelins.fr/residencebmw2019
BMW offre au lauréat(e) de la Résidence à GOBELINS une bourse de 8000 €, l’accompagnement d’un directeur artistique et de professionnels experts dans les domaines de l’image, de l’édition et de la scénographie, la production d’une exposition personnelle aux Rencontres d’Arles* et à Paris Photo*, l’édition d’un livre vendu en librairie et un accompagnement de communication.
L’artiste est choisi(e) sur dossier, par un comité de sélection, après avoir répondu à l’appel à candidatures. Le comité de sélection est constitué de personnalités du monde de la photographie.
La production des oeuvres, composée d’une sélection choisie entre l’artiste et le directeur artistique de la Résidence BMW est répartie en trois lots :
– le premier, le jeu d’exposition, est remis à l’artiste.
– le second est une sélection d’oeuvres remise à BMW pour sa collection d’entreprise.
– le troisième composé de l’image retenue pour la communication autour du projet du lauréat est remis à GOBELINS.
Les dossiers de candidatures devront être composés d’une biographie, d’un dossier présentant la démarche générale de l’artiste, de séries de travaux aboutis ainsi que d’une note d’intention sur le projet artistique envisagé.
Dix photographes seront retenus dans une présélection. Il leur sera demandé de se rendre disponible une demi-journée pour un entretien avec le jury et présenter des tirages photographiques et travaux réalisés.
Les candidats doivent remettre leur dossier, par voie numérique sur Picter.com, en utilisant le lien: https://contests.picter.io/bmw-residency-2019 avant le 29 mars 2019 (23 :59 CET).
Le jury se réunira en mai pour une annonce du lauréat. Les prises de vue devront être effectuées avant fin décembre, la production et la réalisation avant le 1er mars 2020.
Consulter le règlement en cliquant ici.
© Emeric Lhuisset / Lauréat 2018
Dates
Décembre 13 (Jeudi) 0 h 00 min - Mars 29 (Vendredi) 23 h 59 min
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L’exposition Jacques Henri Lartigue. La vie en couleurs dévoile une partie inédite de l’œuvre du photographe français (1894-1986) en Suisse. Alors que la couleur est omniprésente dans les albums qu’il
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L’exposition Jacques Henri Lartigue. La vie en couleurs dévoile une partie inédite de l’œuvre du photographe français (1894-1986) en Suisse. Alors que la couleur est omniprésente dans les albums qu’il a constitués toute sa vie, celle-ci n’a jamais été montrée ou exposée en tant que telle de son vivant. Après une exposition consacrée à ses photographies en noir et blanc en 1986, le Musée de l’Elysée a donc souhaité s’associer à nouveau à la Donation Lartigue pour revisiter l’exposition conçue par Martine d’Astier et Martine Ravache. Présentée en France en 2015, celle-ci voyage depuis sous l’égide de diChroma photography. La version lausannoise de ce projet intègre, elle, des œuvres inédites avec l’ambition de mettre en évidence le lien que l’artiste établit depuis toujours entre ses notes, ses dessins et ses photographies.
Porté par sa curiosité et sa recherche perpétuelle de l’innovation, Lartigue adopte les procédés couleurs peu de temps après leur commercialisation. Aux autochromes de ses débuts (datés de 1912), succèdent les Kodachromes (24 x 36) et les Ektachromes (6×6) qui ont ravi les photographes du XXe siècle, amateurs comme professionnels. La couleur ajoute dès lors une nouvelle dimension à la vitesse et l’instantanéité qui sont au cœur de l’œuvre de Lartigue. Son œil de peintre trouve dans cette pratique, qui lui permet de prendre des « notes » visuelles à retravailler par la suite, une formidable transcription de ses recherches picturales.
Sa prédilection va aux sujets de son environnement immédiat : sa vie au sein de sa famille, ses jeux au château de Rouzat, les sports en tout genre. Fasciné par la nature dans son ensemble, et particulièrement par les fleurs, l’artiste en fixe continuellement les nuances changeantes, tant sur toile que sur pellicule. Cette obsession se retrouve également dans la répétition des vues de sa fenêtre à Opio (Alpes-Maritimes), et dans les nombreuses images de Florette, son épouse pendant quarante ans.
Peu à peu, Lartigue s’ouvre à d’autres sujets, s’appliquant à témoigner de la vie quotidienne des privilégiés et des classes plus populaires. Cela coïncide avec une période d’ouverture au monde : dès 1955, Lartigue multiplie les voyages, découvrant de nouveaux paysages et se confrontant à l’inconnu. Délaissant les stations balnéaires où il avait pour habitude de passer ses vacances (Pays Basque, Côte d’Azur ou encore Normandie), ce sont l’Italie, le Venezuela, le Mexique et Cuba qui sont photographiés tour à tour en noir et blanc et en couleurs par Jacques Henri Lartigue.
Dates
Décembre 13 (Jeudi) 10 h 00 min - Mars 10 (Dimanche) 18 h 00 min
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Depuis onze ans, la BnF présente les photographies lauréates de la Bourse du Talent, qui récompense de jeunes photographes. Organisée par Photographie.com et Picto, cette exposition qui prend pour thèmes
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Depuis onze ans, la BnF présente les photographies lauréates de la Bourse du Talent, qui récompense de jeunes photographes. Organisée par Photographie.com et Picto, cette exposition qui prend pour thèmes le paysage, le reportage, le portrait et la mode, est devenue un moment incontournable de la reconnaissance des talents émergents. Afin de contribuer à sauvegarder la mémoire de la création, qui deviendra patrimoine au fil du temps, les partenaires font don à la BnF de tirages qui viennent enrichir la collection de photographie contemporaine du département des Estampes et de la photographie.
Commissariat :
Héloïse Conesa, conservatrice au département des Estampes et de la photographie, BnF.
© Nathalie Déposé
Dates
Décembre 14 (Vendredi) 0 h 00 min - Mars 3 (Dimanche) 0 h 00 min
BnF - Bibliothèque nationale de FranceQuai François Mauriac 75013 ParisOuvert du mardi au samedi de 9h à 20h, le dimanche de 13h à 19h et le lundi de 14h à 20h
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Vous êtes réalisateur, artiste et vous avez une création en réalité virtuelle ? L’appel à candidatures est lancé pour la 4e édition du VR Arles Festival, vous
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Vous êtes réalisateur, artiste et vous avez une création en réalité virtuelle ? L’appel à candidatures est lancé pour la 4e édition du VR Arles Festival, vous avez jusqu’au 5 mai 2019 pour tenter votre chance.
Le VR Arles Festival, créé par BNP Paribas, les Rencontres d’Arles et Fisheye, a eu l’honneur de récompenser Treehugger : Wawona du collectif Marshmallow Laser Feast et Dinner Party d’Angel Manuel Soto lors de sa dernière édition. Pour l’édition 2019, le festival lance un appel à candidatures. Que vous réalisiez des films documentaires, de fiction ou des créations artistiques, artistes VR, vous avez jusqu’au 5 mai pour candidater. L’appel est ouvert à tous : professionnels, artistes, jeunes diplômés, étudiants, etc.
Comment participer ?
Il vous suffit de remplir un formulaire sur le site du VR Arles Festival. Il vous faudra également envoyer une copie de votre film via WeTransfer. Les fichiers doivent peser moins de 2 Go, en h264 et doivent faire entre 30 et 50 FPS, avec une résolution minimum de 3k.
Si le format de l’expérience comprend une mise en scène particulière, vous pouvez contacter directement le festival par mail au contact@vrarlesfestival.com.
Les récompenses :
Les expériences sélectionnées seront présentées à Arles du 1er juillet au 8 septembre 2019.
Dates
Décembre 20 (Jeudi) 0 h 00 min - Mai 5 (Dimanche) 0 h 00 min
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A l’occasion de la sortie de son dernier livre intitulé “Endangered”, l’artiste Anglais Tim Flach, détenteur du 54ème prix Cannes Lion’s et Opiom Gallery présentent du 21 décembre 2018 au
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A l’occasion de la sortie de son dernier livre intitulé “Endangered”, l’artiste Anglais Tim Flach, détenteur du 54ème prix Cannes Lion’s et Opiom Gallery présentent du 21 décembre 2018 au 28 février 2019, une exposition de 20 photographies exclusive en France. Ces images dressent un constat visuellement poignant de la façon dont les animaux et leurs écosystèmes sont confrontés à des défis toujours plus graves afin de maintenir leur survie. Au-delà du répertoire d’espèces menacées, ce corpus constitue une expérience unique portant sur le rôle que peut avoir l’image dans notre approche émotionnelle des animaux et de leur habitat. Le but de cette démarche est d’inspirer, d’informer et de déclencher une action positive auprès du visiteur.
L’oeuvre de Tim Flach se concentre exclusivement sur le monde animal. Portant une attention égale à toutes les espèces, sa vision se traduit toujours selon un style distinctif dérivé de son attachement à l’anthropomorphisme et l’anthropocentrisme. “La façon dont nous nous figurons les animaux et les messages inhérents à cette image” est au cœur de son portfolio. Il peut s’agir de “leur intérêt génétique, tel qu’avec le poulet sans plumes, ou symbolique tel qu’avec la signification que nous attachons à la Colombe, autrement différente de celle associée aux pigeons des villes nous évoquant plutôt des rats volants”. Flach souhaite que les images qu’il crée éclairent la relation entre humains et animaux afin de questionner notre vision anthropocentrique selon un contexte éthique, historique, scientifique ou politique. Ses photographies ont été décrites comme un système de pensée reposant sur la construction et le questionnement de l’imagerie animale: le prix Nobel de littérature Elias Canetti décrit un aphorisme qui pourrait être aisément appliqué à Flach: “une personne qui réfléchit aux animaux tels que d’autres réfléchissent à des concepts”.
Le style photographique de Flach déconstruit notre conception classique de la photographie animalière. Il nous en défamiliarise grâce à des portraits pris en studio, des gros plans délibérément ambigüs afin de présenter le sujet sous des angles inhabituels pour mieux déclencher un questionnement. Autour de chacune de ces images s’articule, tel un filtre ou un écran, le concept de Umwelt – soit la variété d’expériences de ressenti du “monde propre” ou environnement selon les espèces. Le travail de Flach est à la fois intellectuel, délicatement politique, tout en demeurant visuellement plaisant. Il suscite chez le regardeur de nombreuses interrogations nous confrontant à notre attitude vis-à-vis des autres êtres vivants avec lesquels nous partageons notre planète.
Dates
Décembre 21 (Vendredi) 10 h 00 min - Février 28 (Jeudi) 18 h 00 min
Opiom Gallery11 Chemin du Village, 06650 OpioOuvert du mardi au vendredi, 10h - 18h, samedi 11h - 18h
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Le Andrei Stenin International Photo Contest est un concours annuel destiné aux jeunes photojournalistes âgés de 18 à 33 ans. Cet prix permet de découvrir les nouveaux photojournalistes et leur
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Le Andrei Stenin International Photo Contest est un concours annuel destiné aux jeunes photojournalistes âgés de 18 à 33 ans. Cet prix permet de découvrir les nouveaux photojournalistes et leur permettre de se faire connaître sur la scène mondiale du photojournalisme. En 2018, environ 6000 jeunes photojournalistes venus de 77 pays ont participé au concours. Les lauréats ont été exposés dans le monde entier. En 2016, les expositions ont eu lieu à Moscou, Istanbul, Le Cap, Le Caire, Berlin, Shanghai, Rome, etc.
La période de soumission annuelle commence le 22 décembre.
Ce concours est nommé en mémoire au photojournaliste de Rossiya Segodnya, Andrei Stenin, décédé en mission.
Le grand gagnant recevra près de 9000 €. Les lauréats des 2e et 3e places recevront respectivement 1 280 € et 640 €. Tous seront exposés dans le cadre d’une exposition itinérante dans le monde entier.
Pour participer vous avez jusqu’au 28 février 2019 :
https://stenincontest.com/register/
Dates
Décembre 22 (Samedi) 0 h 00 min - Février 28 (Jeudi) 0 h 00 min
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Pour le dernier volet du cycle "Poésie balistique" initié en 2016 à La Verrière, l’espace bruxellois de la Fondation d’entreprise Hermès, le commissaire Guillaume Désanges présente une exposition personnelle de
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Pour le dernier volet du cycle « Poésie balistique » initié en 2016 à La Verrière, l’espace bruxellois de la Fondation d’entreprise Hermès, le commissaire Guillaume Désanges présente une exposition personnelle de l’artiste belge Jacqueline Mesmaeker.
« Depuis le milieu des années 1970, après des débuts dans la mode, l’architecture et le design, Jacqueline Mesmaeker développe une oeuvre aussi discrète qu’originale, mêlant installations, dessins, films, sculptures, photographies et éditions. Partant d’intentions analytiques et de protocoles expérimentaux liés au regard et à la représentation, ses formes restent ancrées dans un univers littéraire et poétique, incluant des références à Lewis Carroll, Mallarmé, Melville ou Paul Willems. Minimal, parfois proche de la disparition, ce travail rare et précis n’en est pas moins proliférant. Il s’empare volontiers de l’espace, jouant avec l’architecture réelle et symbolique dont il révèle les structures et les lignes de force, mais aussi les failles, en déjoue les perspectives ou vient les corriger par touches délicates. Du tissu rose soulignant les interstices d’un lieu domestique jusqu’à une serre impénétrable support de projection de films, des dessins microscopiques à partir des anfractuosités des murs jusqu’à des dispositifs de cinéma multi-écrans présentant des plans d’oiseaux en vol ou une partie de football : c’est à partir d’une attention portée aux détails, aux incidents et aux situations imperceptibles que l’oeuvre de Jacqueline Mesmaeker s’insère dans le réel de manière subreptice et clandestine, opérant à différentes échelles de visibilité et d’invisibilité. » Guillaume Désanges
Dates
Janvier 1 (Mardi) 12 h 00 min - Mars 30 (Samedi) 18 h 00 min
Lieu
La Verrière, Brussels
Boulevard de Waterloo 50, 1000 Bruxelles, Belgique
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L'Appel à Auteurs du Grand Prix MAP I Conseil Départemental 31 2019 est destiné à toute personne physique majeure, sans limite d’âge, de toutes nationalités, répondant à la thématique 2019.
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L’Appel à Auteurs du Grand Prix MAP I Conseil Départemental 31 2019 est destiné à toute personne physique majeure, sans limite d’âge, de toutes nationalités, répondant à la thématique 2019. Il concerne les photographes émergents, considérés comme jeunes talents en début de carrière et/ou en écoles de photographie, d’art, de communication visuelle et de journalisme. La Bourse MAP offre aux jeunes talents du monde entier la possibilité de mettre en avant leur savoir-faire et leur sens artistique en s’exprimant à travers une série de photographies cohérentes sur un sujet dédié.
Du photojournalisme à la photographie documentaire ou plasticienne, la thématique MAP 2019 à interpréter est « POP! ».
Les photographes en début de carrière sont invités à nous raconter leur vision pop à travers une série de 20 images (minimum) – 25 images (maximum) répondant à la thématique 2019 dans une totale liberté photographique.
Le jury, composé de professionnels de la photographie, attend d’être surpris, étonné et de découvrir les talents de demain.
La lauréat percevra une bourse de 4000€.
Envoyez vos photos
+ 1 texte de présentation du projet photographique
+ 1 mini biographie
+ coordonnées complètes
http://festivalmap.wetransfer.com/
(© Photo : Marie Rouge, Charlie She)
Dates
Janvier 3 (Jeudi) 0 h 00 min - Mars 15 (Vendredi) 0 h 00 min
Détail de l'événement
Le festival regroupera 13 expositions dont 6 seront choisies suite à cet appel à candidatures. En plus une dizaine de travaux seront retenus pour projection. Le festival FotoLimo se donne pour
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Le festival regroupera 13 expositions dont 6 seront choisies suite à cet appel à candidatures. En plus une dizaine de travaux seront retenus pour projection.
Le festival FotoLimo se donne pour objet d’étude la frontière au sens le plus large du mot.
La frontière a des conséquences humaines, dans le paysage, l’économie, la psyché et ce destin géographique et métaphysique est le cadre, assez vaste, proposé aux auteurs au sein du festival.
Date limite d’envoi des dossiers : Lundi 25 février 2019.
Dates du festival FotoLimo : du 20 septembre 2019 au 29 septembre 2019
Lieu Cerbère et PortBou.
Week-end de vernissage du vendredi 20 au dimanche 22 septembre 2019
Modalités de participation :
Le festival est ouvert à tout photographe sans condition d’âge, de nationalité ou de statut. Les projets collectifs sont acceptés. Un seul dossier sera accepté par personne/collectif. Chaque auteur ou collectif des 6 propositions sélectionnées pour être exposées percevra un droit d’auteur d’un montant de 300 euros (trois cents euros).
Thématique : La frontière, une ouverture, un lieu des possibles.
Les candidatures seront examinées par un jury professionnel ; les lauréats seront choisis sur la qualité de leur pratique artistique et sur la cohérence de leur travail. Sur les 6 travaux ainsi choisis pour être exposés, 2 au moins concerneront des photographes de la région Occitanie. Date limite d’envoi des dossiers : Lundi 25 février 2019. Les photographes sélectionnés seront exposés lors du festival FotoLimo à Cerbère ou PortBou pendant l’intégralité du temps du festival et pourront être également exposés sur le territoire du Pays Pyrénées Méditerranée dans l’année suivante.
N. B. Les lauréats doivent acheminer leurs tirages (aller et retour) par leurs propres moyens.
Leur présence sera nécessaire lors de la soirée publique de vernissage du samedi 21 septembre 2019 et des événements associés pendant le weekend d’ouverture les 20 au 22 septembre 2019. Une liste des possibilités d’hébergements à moindre coût sera disponible auprès de l’équipe du festival.
Le dossier de candidature complet, sous la forme d’un seul fichier PDF, devra être envoyé à l’adresse suivante : lumieredencre@free.fr
Dossier de candidature :
Un dossier numérique sous forme de deux fichiers :
1°) Un fichier unique au format PDF, comprenant :
– le travail proposé
– le texte explicatif de la démarche
– une courte biographie de l’auteur
– note à propos de la scénographie, si nécessaire
– le formulaire de candidature complété et signé en deux exemplaires à télécharger ici
2°) Un second dossier comprenant :
– Le texte explicatif et la biographie au format .doc ou .odt ou .txt (pas de pdf)
– les images en haute résolution (2400 pixels sur le plus petit côté, jpeg sans compression)
– les images en basse définition (600 pixels sur le plus petit côté, jpeg qualité supérieure)
Remarque : les images doivent être nommées «NOM_Numéro d’ordre sous la forme 01 »
Seuls les dossiers remplissant l’ensemble des conditions ci-dessus seront examinés par le jury. Adresse mél. pour l’envoi des dossiers de candidature et pour tout renseignement : lumieredencre@free.fr
L’usage d’un service d’envoi de gros fichiers est recommandé (WeTransfer, Grosfichiers, Transfernow, Sendbox, Google drive, Hubic, Dropbox, MailBigFail, Nextsend, Free, Mediafree, 1fichier…).
Le festival FotoLimo :
FotoLimo est un festival pluridisciplinaire dédié aux arts visuels (photographie, cinéma et multimédia) en collaboration avec la recherche universitaire. Il se donne pour objet d’étude la frontière au sens le plus large du mot. Sa première édition a eu lieu à la frontière franco-espagnole, à Cerbère et Portbou entre septembre et octobre 2016.
FotoLimo est porté par deux structures phares de la région Occitanie-Pyrénées Méditerranée :
Lumière d’Encre (http://www.lumieredencre.fr)
Negpos (http://www.negpos.fr)
Pour plus d’informations, vous pouvez prendre contact avec l’équipe à l’adresse :
lumieredencre@free.fr
© Maxime Taillez, exposant 2018
Dates
Janvier 5 (Samedi) 0 h 00 min - Février 25 (Lundi) 0 h 00 min
Détail de l'événement
Photographes adeptes du noir et blanc ? Vous pouvez participer à l’appel à candidatures pour le Monovisions Photography Awards jusqu’au 12 mai 2019. Afin de mettre en lumière les meilleurs photographes monochromes du
Détail de l'événement
Photographes adeptes du noir et blanc ? Vous pouvez participer à l’appel à candidatures pour le Monovisions Photography Awards jusqu’au 12 mai 2019. Afin de mettre en lumière les meilleurs photographes monochromes du monde, ce prix récompense la meilleure photographie et la meilleure série de l’année avec une dotation de 5000$.
Attention ! La souscription des photographies est payante ! 30$ pour soumettre une série et 25$ pour une photographie.
© Michel Kirch
Dates
Janvier 8 (Mardi) 0 h 00 min - Mai 12 (Dimanche) 0 h 00 min
Détail de l'événement
En 2017 / 2018 pour sa première programmation à La Colline – théâtre national, Wajdi Mouawad avait souhaité mettre en résonnance et en tension le travail de l’artiste photographe Sarah
Détail de l'événement
En 2017 / 2018 pour sa première programmation à La Colline – théâtre national, Wajdi Mouawad avait souhaité mettre en résonnance et en tension le travail de l’artiste photographe Sarah Moon avec celui du graphiste-typographe Pierre di Sciullo. Pour l’année 2019, c’est Alain Willaume, photographe, qui sera aux côtés de Pierre di Sciullo dans les pages de l’almanach aussi bien que sur les murs du métro et ceux du théâtre.
Mélancolie des collines, l’installation photographique inédite d’Alain Willaume, sera présentée dans les espaces publics du théâtre à partir du 8 janvier 2019.
Les photographies, en grand format, seront accompagnées d’écritures nomades, textes de passages, changeant au gré des jours. Ils seront autant ceux des poètes, dramaturges, romanciers, philosophes ou essayistes, que ceux du public, de 2 à 110 ans.
« Nature aime se cacher1 » et celui qui montre, qui dévoile, ne trahit pas forcément cet amour de l’esquive. Montrer n’est pas toujours obscène quand montrer est offrir du mystère, inviter le regard à revenir pour raconter mille histoires, pour se perdre dans la puissance des formes, ou la profondeur des noirs, la générosité bouleversante des gris à l’infini. Le monde ne chute pas, il montre son insomnie et dans son épuisement, il nous raconte l’épuisement des humains. Instantanéité de notre harassement comme de notre fragilité. Beaucoup en font l’expérience, quand le paysage qui s’ouvre au regard révèle ce que nous ignorions de nous-mêmes. « Nature aime se cacher », jouer à la débusquer ne peut être qu’un dépassement, une bonté supérieure, un acte de bravoure.
Wajdi Mouawad
1. Héraclite d’Éphèse, vers 544 av. J.-C.
Dates
Janvier 8 (Mardi) 17 h 00 min - Décembre 28 (Samedi) 23 h 00 min
Détail de l'événement
Le poète Paul Celan écrivait « Il est grand temps que la pierre s’habitue à fleurir ». Le travail d’Élodie Guignard pousse à l’évidence sur des références poétiques et picturales et s’attelle
Détail de l'événement
Le poète Paul Celan écrivait « Il est grand temps que la pierre s’habitue à fleurir ». Le travail d’Élodie Guignard pousse à l’évidence sur des références poétiques et picturales et s’attelle à renverser le monde et ses histoires, fussent-elles fabuleuses.
L’eau d’un fleuve glisse sur des pierres plates auxquelles une Narcisse en tunique blanche s’accroche pour ne pas sombrer. Mais le grain de l’eau est céleste ; en fait de noyade, ne s’agit-il pas d’une chute vertigineuse ?
Et cette autre Narcisse en robe tout aussi blanche, les mains enfoncées dans l’humus et les lèvres peintes, entre-t-elle ou sort-elle de l’eau ? Ses yeux retournés signifient-ils qu’elle s’en tire ou qu’elle s’enfonce ?
Derrière elle, un fond de branches et de nuages, jusqu’à ce que… renversement de perspective : l’œil comprend l’effet de bascule, le décor n’est que reflet dans le fleuve.
Élodie Guignard photographie magnifiquement le ras du sol, le ras du ciel, le ras de l’eau ; toutes les petites décompositions végétales, minérales ou aquatiques : les brins, les gouttes, les fragments, les taches, les plis, les touffes. Ce qu’on écrase avec les pieds, ce qu’on essuie d’un revers de main devient le théâtre magique, herbeux et humide, de ses reconstitutions.
Caroline Ibos
Diplômée de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles avec les félicitations du jury, Élodie Guignard, photographe, vit et travaille entre Rennes et Paris. Elle développe une recherche photographique sur l’humain, le corps et le territoire. Aussi, que ce soit dans les séries bretonnes, où elle met en scène de jeunes gens dans la nature, dans les séries indiennes où elle fait poser les habitants d’un village, à la frontière du Bangladesh, où lorsqu’elle photographie des compagnons d’Emmaüs dans des costumes fantasques, il s’agit toujours de transfigurer le réel et nous plonger dans un temps arrêté, imaginaire et imaginé.
Pour la seconde année, et dans un souci d’accessibilité, le Carré Amelot ouvre ses portes au public Sourd en proposant des rencontres avec les artistes et des visites commentées, interprétées en LSF.
Dates
Janvier 9 (Mercredi) 13 h 00 min - Mars 23 (Samedi) 19 h 00 min
Le Carré Amelot10 bis rue Amelot 17000 La RochelleEntrée libre et gratuite mardi, jeudi et vendredi de 13h à 19h, mercredi de 10h à 19h et samedi de 14h à 18h.
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Portraitiste de renom, Fred Stucin a également le goût des métropoles et des projets au long cours. Alors qu’il s’apprête à publier une première monographie éponyme aux Editions le Bec
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Portraitiste de renom, Fred Stucin a également le goût des métropoles et des projets au long cours. Alors qu’il s’apprête à publier une première monographie éponyme aux Editions le Bec en l’air, la Galerie VU’ lui consacre une exposition avec Only Bleeding, série réalisée entre 2011 et 2017 à Las Vegas.
C’est Las Vegas et l’on pourrait s’attendre aux néons, à l’argent qui coule à flots, à l’inévitable dose de kitch et de paillettes. A en prendre plein les yeux avec les images d’Epinal de l’apothéose de la société de consommation et de l’American Way of Life. C’est aux Etats-Unis et l’on pourrait s’attendre à une série qui fasse écho à ses grands photographes ou dise le toc du rêve américain. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit, nulle part ne retentit de Viva Las Vegas ! A bien y regarder Only Bleeding nous met face aux désillusions de la grande cité. Ce pourrait être finalement Vegas où ailleurs.
Là une femme est naufragée sous une improbable lustre, engloutie entre la moquette chamarrée et l’écueil des machines à sous. Ici, un couple semble vouloir échapper à quelque terrifiante catastrophe. Ailleurs, une rangée de palmiers malingres s’alignent, enclavés dans le bitume. Dans les images de Fred Stucin, les rues sans charme aux lignes droites, aux enseignes mornes et à la blancheur aseptisées sont vides, écrasées de soleil. Parfois, un passant hagard et spectral traverse l’image. Le photographe s’attarde aussi sur des visages. Dans ses plans serrés, des hommes et des femmes en déshérence, le regard éperdu, presque sidéré, semblent désespérément seuls, comme cherchant à échapper à une ville prête à les dévorer.
A travers ce long travelling en noir et blanc, nous suivons les pas du photographe dans la ville désenchantée qui se consume.
Dates
Janvier 10 (Jeudi) 12 h 30 min - Mars 9 (Samedi) 18 h 30 min
Galerie VU'58 rue Saint-Lazare, 75009 ParisGalerie ouverte le jeudi et vendredi : 12h30 – 18h30, et le samedi : 14h – 18h30 Et sur rendez-vous du lundi au samedi
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« Je rêve depuis toujours de rencontrer quelqu’un pour raconter notre histoire, c’est le Seigneur qui vous envoie. » Souvent, quand on pense à un récit, on pense aux
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« Je rêve depuis toujours de rencontrer quelqu’un pour raconter notre histoire, c’est le Seigneur qui vous envoie. »
Souvent, quand on pense à un récit, on pense aux mots. Mais Jacqueline est analphabète, et c’est peut-être pour cela qu’il lui semble normal de pouvoir écrire sa vie avec des photographies.
Je suis accueillie dans le quotidien de ce couple au langage spontané, aux gestes naturels, aux rituels singuliers. Un petit monde plus organisé qu’il n’y paraît, où il existe une marraine des chiens et une voiture du Père Noël… Une vie tendre, parsemée d’humour et pleine de pudeur.
Mon geste photographique coule dans leur quotidien au fil des saisons. Le couple, le handicap, le travail, la religion, le mariage, la famille, les animaux, le déménagement…
Serge et Jacqueline c’est le récit d’un échange lumineux et bienveillant, la trace des petits fils tissés entre nos humanités.
Laure Vouters
Dates
Janvier 12 (Samedi) 10 h 00 min - Mars 12 (Mardi) 19 h 00 min
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Dans les images de Jürgen Nefzger, la nature domine. Elle décline sa palette de couleurs dans une lumière claire. Arbres et paysages allient le grandiose au frémissement des détails saisis
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Dans les images de Jürgen Nefzger, la nature domine. Elle décline sa palette de couleurs dans une lumière claire. Arbres et paysages allient le grandiose au frémissement des détails saisis lors de prises de vues à la chambre photographique. Les compositions classiques rappellent les peintures de Camille Corot. Cependant, la modernité est bien là, amenée par l’homme. Dans les arrière-plans de la série Fluffy Clouds, le paysage se révèle aménagé et les indices – cheminées, bâtiments industriels, réacteurs – indiquent tous l’implantation de centrales nucléaires. Elles partagent le cadre avec des scènes insouciantes de loisirs : nous sommes en Europe de l’Ouest, de gais petits nuages blancs moutonnent au-dessus des usines et le confort semble assuré.
Dix ans plus tard, l’artiste poursuit ses préoccupations et séjourne plusieurs fois dans le bois Lejuc près de Bure, en Lorraine. Il y observe la mobilisation de militants qui s’opposent à un chantier d’enfouissement de déchets nucléaires. La lumière y éclaire des scènes sans violence
immédiate, mais habitées des traces de la lutte. La forêt célèbre sa défense silencieusement, par sa seule beauté. Et encore une fois, le photographe nous montre la juxtaposition de deux réalités qui s’affrontent aux lisières de notre quotidien.
Biographie
Jürgen Nefzger est né en 1968 à Fürth en Allemagne. Il vit et travaille en France depuis 1991.
Diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles, il est, depuis 2008, artiste enseignant à l’École Supérieure d’Art de Clermont
Métropole puis à l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence. Jürgen Nefzger a obtenu le Prix Niépce pour l’ensemble de son travail en 2008. Il est
également lauréat de la Villa Médicis Hors les Murs et du Prix Photo du Jeu de Paume. La publication Fluffy Clouds a reçu le prix du meilleur livre photographique allemand décerné par la Haute École des Médias de Stuttgart. Il est représenté par la galerie Françoise Paviot (Paris) depuis 2001.
Dates
Janvier 12 (Samedi) 14 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 19 h 00 min
La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 StrasbourgEspace d'exposition : mercredi > dimanche : 14h - 19h ou sur rdv Fermé les jours feriés
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Pour la deuxième année, ImageSingulières, l’ETPA et Mediapart s’associent à travers deux Prix pour soutenir en commun des projets photographiques en cours qui s’inscrivent dans le champ de l’image documentaire : Le Grand Prix
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Pour la deuxième année, ImageSingulières, l’ETPA et Mediapart s’associent à travers deux Prix pour soutenir en commun des projets photographiques en cours qui s’inscrivent dans le champ de l’image documentaire :
Le Grand Prix ImageSingulières
Un prix doté de 8000 euros pour développer et achever un travail documentaire en cours, ouvert à tous les photographes. Ce prix devra être utilisé pour la production du travail récompensé. Ce travail fera l’objet d’une exposition pour l’édition 2020 d’ImageSingulières.
Le Prix Jeune Photographe ImageSingulières
Un prix doté de 2000 euros pour la jeune photographie documentaire, réservé aux photographes de moins de 26 ans résidant sur le sol français.
Calendrier de l’appel à candidature :
• Envoi des candidatures : du 14 janvier au 29 mars 2019 à minuit
• Réunion du jury : 17 avril 2019
• Annonce des lauréats et remise des Prix : samedi 1er juin 2019 à
ImageSingulières 2019
• Projection du projet du Lauréat et des 5 finalistes du Grand Prix et du projet du Lauréat du Prix Jeune Photographe et publication des portfolios des lauréats des deux Prix sur le site de Mediapart (www.mediapart.fr)
• Exposition du travail du Lauréat du Grand Prix au festival
ImageSingulières 2020.
Retrouvez le règlement et le formulaire de candidature :
http://www.imagesingulieres.com
© John Trotter, Grand Prix ImageSingulières 2018
Dates
Janvier 14 (Lundi) 0 h 00 min - Mars 29 (Vendredi) 0 h 00 min
Détail de l'événement
L’exposition des photographes Heriman Avy, Clémentine Carrié, Pierre Montagnez, Maya Paules, Luke Seeney, Géraldine Villemain, Mickaël Zermati, produite par l’Espace Saint-Cyprien, est le résultat d’une résidence de création impulsée par
Détail de l'événement
L’exposition des photographes Heriman Avy, Clémentine Carrié, Pierre Montagnez, Maya Paules, Luke Seeney, Géraldine Villemain, Mickaël Zermati, produite par l’Espace Saint-Cyprien, est le résultat d’une résidence de création impulsée par Pierre Montagnez dans le village de Guéthary au Pays-Basque.
On dit des vagues d’Itsasoan qu’elles atteignent la berge pour laver nos peines,
Et que le ressac se remplit alors de souvenirs sans propriétaires,
On dit aussi, que celui qui s’y glisse la nuit par inadvertance,
Est recraché au matin, tourmenté par les visions d’autrui.
Itsasoan est un projet né d’un rapport particulier à un appartement familial situé dans une résidence du village de Guéthary, au Pays-Basque. La perte d’un être cher, et, la décision de mettre en vente cet appartement, a déclenché le désir d’y créer des images. Le lieu, alors inhabité, sera bientôt réoccupé. Dans l’entre deux, il y a la possibilité d’immortaliser l’espace qui s’échappe. Rendre hommage à la disparition en y recréant du souvenir ; matière photographique.
C’est ainsi que la résidence Itsasoan – dans la mer a accueilli les photographes. Ensemble, pendant deux ans, ils sont venus habiter les lieux, ausculter, rencontrer et porter leurs regards sur le village.
Ensemble, dans ce refuge qui surplombe et affronte l’océan, ils se sont immergés dans cette expérience photosensible et ont construit un projet artistique commun. Itsasoan, [Itsas] = mer, s’emploie en basque sous de nombreuses formes pour évoquer le milieu marin, le voyage et la navigation. Les photographes se sont confrontés et associés pour exprimer une diversité de sensibilités et de points de vue sur les habitants de cet ancien port baleinier, bordés par l’océan.
Photographie ©Mickaël Zermati
Dates
Janvier 14 (Lundi) 9 h 00 min - Mars 15 (Vendredi) 18 h 30 min
Espace Saint-Cyprien56, allées Charles-de-Fitte 31300 ToulouseEntrée libre. Accueil du lundi au vendredi de 9h 12h30 - 13h30 18h30
Détail de l'événement
GAINSBOURG by TONY FRANK MOHAMMED ALI, PRINCE by RICHARD MELLOUL WORLD RECORDS by KAI SCHAFER, MAURICE RENOMA fait son Cinéma !
Détail de l'événement
GAINSBOURG by TONY FRANK
MOHAMMED ALI, PRINCE by RICHARD MELLOUL
WORLD RECORDS by KAI SCHAFER,
MAURICE RENOMA fait son Cinéma !
Dates
Janvier 14 (Lundi) 11 h 00 min - Février 28 (Jeudi) 19 h 00 min
Galerie Artphotoby/Sophie Leiser40 rue de la Tour d'Auvergne, 75009 ParisOuvert du mardi au samedi de 11h à 19h
Dates
Janvier 15 (Mardi) 0 h 00 min - Mars 5 (Mardi) 0 h 00 min
Lieu
Collège Jacques Cartier
60 Rue Ernest Renan, 02300 Chauny
Détail de l'événement
L’Association Laurent Troude et nos partenaires la Société des auteurs des arts visuels et de l’image fixe (SAIF), Libération , Divergence Images , ImageSingulières , annoncent le lancement de la
Détail de l'événement
L’Association Laurent Troude et nos partenaires la Société des auteurs des arts visuels et de l’image fixe (SAIF), Libération , Divergence Images , ImageSingulières , annoncent le lancement de la première édition de la Bourse Laurent Troude de la nouvelle photographie de presse . L’appel à candidatures court du 15 janvier au 15 avril 2019.
Le 25 février 2018, à 50 ans, disparaissait le photojournaliste Laurent Troude. Laurent avait commencé à vingt ans à L’Humanité avec de la photographie sociale, avant de collaborer à L’Équipe , et à Libération en 1996 sa maison pendant plus de vingt ans. Il s’est forgé une écriture: sa photographie se remarque souvent au premier regard, vision décalée d’un événement, angles inédits, manière sans concessions et humaine de portraiturer le monde politique et ses acteurs.
Cette bourse est destinée à soutenir des photographes de moins de 30 ans qui, comme lui il y a trente ans, ont parfois du mal à exercer leur métier, à mettre en oeuvre leur talent faute de moyens. Elle s’adresse à des photographes qui s’intéressent à ce qui se passe sur le territoire français, quelle que soit la thématique, politique, sociale, sportive ou culturelle.
La Bourse Laurent Troude récompense un(e) photographe d’une dotation de la SAIF et de Libération d’un total de 8000 euros, d’un droit d’entrée et d’un an d’abonnement gratuit à Divergence Images, la plateforme collective qu’avait choisi Laurent. Le projet du lauréat sera exposé à l’édition 2020 d’ImageSingulières à Sète.
La remise de la Bourse aura lieu à Sète le 31 mai 2019 lors du festival ImageSingulières.
Dates
Janvier 15 (Mardi) 0 h 00 min - Avril 15 (Lundi) 0 h 00 min
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La seconde édition du concours Incadaqués est ouverte ! Les photographes sont invités à soumettre leurs projets en participant au concours 2019. 15 projets seront sélectionnés et exposés
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La seconde édition du concours Incadaqués est ouverte ! Les photographes sont invités à soumettre leurs projets en participant au concours 2019. 15 projets seront sélectionnés et exposés à “The sala de l’Amistat” durant le festival. Le jury, composé de professionnels du monde de la photographie, sélectionnera les projets les plus intéressants.
Jury du concours 2019
Valmont Achalme, Président du festival Incadaqués (Espagne)
Julia de Bierre, Galerie 8, Arles (France)
Sofia Sanchez & Mauro Mongiello, photographes (Argentine)
François Bouchara, Directeur de Granon digital (France)
Patrick J. Domken, galleriste (Espagne)
Wilfrid Estève, fondateur du studio hans lucas (France)
Olivier Chamarin, galeriste (UK)
Esther Friedman, photographe (Allemagne)
Neil Gordan, réalisateur (Irlande)
Huc Malla, galeriste & curator (Espagne)
Dominic Turner, photographe & gagnant du concours 2018 (Irlande)
Conditions & information
Il n’y a pas d’âge limite ou de thème imposé
/!\ Les frais d’inscription sont de 20€ par personne et sont à régler en ligne
Chaque candidature doit être composée d’une série de 15 images maximum (10 minimum)
Toute candidature incomplète ne sera pas prise en compte!
> Etape 1
Procédez au paiement en ligne
> Etape 2
Créez un fichier .zip contenant le reçu de votre paiement ainsi que les images en jpg basse définition.
Toutes les images doivent être nommées ainsi: nom_prénom_nomserie_numeroimage.jpg
Vous trouverez un tutoriel pour la création d’un fichier .zip ici
> Etape 3
Copiez le lien wetransfer une fois le téléchargement terminé
Si vous avez besoin d’aide pour créer un lien wetransfer, cliquez ici
> Etape 4
Remplissez le formulaire d’inscription en ligne en n’oubliant pas d’y inclure votre lien wetransfer
Le gagnant du concours 2019 exposera sa série durant le festival incadaqués 2019.
Une sélection de 3 images de chacun des 14 autres photographe sélectionnés sera exposée durant le festival.
Les tirages de l’exposition seront réalisés par le festival et le laboratoire Granon digital
L’espace d’exposition sera aussi dédié à la présentation des portfolios des photographes sélectionnés s’ils le souhaitent
Les tirages, le logement durant le week-end d’ouverture ainsi que le transport est offert par le festival pour le gagnant.
Les 14 autres photographes sélectionnés se verront offrir un pass vip s’ils souhaitent venir au festival.
Pour en savoir plus : info@incadaques.com
Dates
Janvier 15 (Mardi) 0 h 00 min - Juin 30 (Dimanche) 0 h 00 min
Détail de l'événement
Plus de 300 photos, dont 1/3 d’inédits que le photographe n’a jamais partagé jusque-là, et qui feront de « Souvenirs d’Avenir » l’exposition phare de ce début d’année. Le fruit
Détail de l'événement
Plus de 300 photos, dont 1/3 d’inédits que le photographe n’a jamais partagé jusque-là, et qui feront de « Souvenirs d’Avenir » l’exposition phare de ce début d’année. Le fruit de 40 ans de passion va ainsi être exposé dans l’espace culturel de 1200m2 du toit de la Grande Arche.
Du 15 janvier au 3 mars 2019, le toit de la Grande Arche accueille l’une des plus grandes expositions de Jean-Marie Perier
Les années 60 et les années 90 en image !
Ce sont les deux grandes périodes que Jean-Marie Perier a choisi d’exposer pour cette rétrospective unique, inédite par sa taille et par le nombre d’artistes représentés : les années 60 et toute la scène musicale liée, des incontournables des yéyés aux plus grands artistes anglo-saxons, tels que James Brown, les Beatles, Mick Jagger, et les années 90 sous le signe de la mode : couturiers, nouvelles rock stars, mannequins…
Le toit de la Grande Arche offre une mise en scène monumentale, avec de très grands formats, la plupart en couleurs.
Dates
Janvier 15 (Mardi) 10 h 00 min - Mars 3 (Dimanche) 19 h 00 min
La Grande Arche1 Parvis de la Défense 92800 PuteauxOuvert de 10h à 19h. Entrée 15€
Détail de l'événement
Une brosse à dents tordue, une pipe, un sac poubelle, une bague de fiançailles, des flacons de parfum... Jean-Robert Dantou s'attaque ici aux représentations de la folie avec l'idée que la
Détail de l'événement
Une brosse à dents tordue, une pipe, un sac poubelle, une bague de fiançailles, des flacons de parfum…
Jean-Robert Dantou s’attaque ici aux représentations de la folie avec l’idée que la photographie, mettant toujours en avant la crise et jamais le quotidien, montre souvent des monstres, rarement des hommes.
Dans ce premier volet d’une trilogie réalisée dans le champ de la psychiatrie, le photographe a choisi de photographier des objets qui cristallisent des moments de prise de décision et qui nous font entrer dans la vie de ces personnes décrites comme schizophrènes, bipolaires, souffrant de troubles obsessionnels ou de syndromes dépressifs. Avec l’idée de sortir du spectaculaire et de contourner le stigmate, pour faire apparaître, derrière ces objets, des personnes.
Ce travail est issu d’une collaboration de plusieurs années entre le photographe Jean-Robert Dantou et une équipe de recherche en sciences sociales dirigée par Florence Weber, professeur à l’ENS, chercheur au CMH, au sein de la Chaire « Handicap physique et décision pour autrui » (EHESP-ENS), financée par la CNSA.
Dates
Janvier 15 (Mardi) 10 h 00 min - Février 24 (Dimanche) 18 h 00 min
Lieu
Médiathèque Hélène Berr
70 rue de Picpus, 75012 Paris
Détail de l'événement
Ça commence toujours par une rencontre, que ce soit à Atacama au Chili, à Yamagata au Japon ou à Rio de Janeiro au Brésil, et ainsi dans une quarantaine de
Détail de l'événement
Ça commence toujours par une rencontre, que ce soit à Atacama au Chili, à Yamagata au Japon ou à Rio de Janeiro au Brésil, et ainsi dans une quarantaine de pays à travers le monde… La démarche est toujours la même : s’arrêter dans une ville ou un village et prendre contact avec les habitants . Ensemble, ils élaborent une cabane – lieu de l’imaginaire et de l’enfance s’il en est – après avoir préalablement longuement dialogué. Pour donner corps à ses témoignages, Nicolas Henry a choisi de mettre en scène ses modèles dans une démarche à la frontière du théâtre et de l’installation.
Les décors de grand format sont réalisés avec l’aide d’une partie du village ou du quartier. Ces cabanes deviennent alors des événements symboliques, reflets d’une pensée collective. Au coucher du soleil, de plus en plus de monde rejoint le lieu de représentation et c’est à ce moment-là que Nicolas Henry fait la photographie. Il s’agit d’une véritable mise en scène publique, fabriquée et imaginée avec les habitants qui, d’une certaine façon, créent ainsi leur propre image. Aux photographies, s’ajoutent les paroles de ces aînés du monde entier qui se racontent à travers leurs souvenirs et leur appartenance culturelle. Nicolas Henry aborde ici différentes thématiques universelles : l’évolution des traditions, la nature, l’écologie, la famille, mais aussi la discrimination, les frontières ou encore le droit de choisir son amour.
« Les photos de Nicolas Henry sont une démonstration parfaite de cette mythique phrase de Shakespeare : « Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les acteurs. » Il met en scène ces personnages, ces hommes, ces femmes, ces enfants, en les éclairant de sa vision tendre et lumineuse ; ce « metteur en scène de l’image » transforme, ou plutôt met en valeur chaque situation qu’il rencontre ; il réussit à rendre visible l’invisible, à célébrer ce qui reste habituellement caché dans la rude banalité du quotidien. Grâce à son oeil de poète et sa façon unique de photographier le monde dans lequel nous vivons, il redonne toute sa splendeur à l’humanité dans une vision magique et utopique, où la beauté de l’homme et de la nature rayonne dans chaque image ». Irina Brook
Né en France en 1978, Nicolas Henry est diplômé des Beaux Arts de Paris. Il a été formé dans l’industrie du cinéma en tant que réalisateur de films à l’Emily Carr Institute of Art and Design à Vancouver, Canada. Parallèlement à une carrière d’éclairagiste et de scénographe dans le spectacle (musique, danse contemporaine et théâtre), il a parcouru le monde pendant trois ans en tant que réalisateur pour le projet « 6 milliards d’autres » de Yann Arthus-Bertrand, il en a assuré la direction artistique lors de l’exposition au grand Palais au début de 2009. Il poursuit son travail personnel, parcourant le monde afin de réaliser une série de portraits des ancêtres du monde entier «Les cabanes de nos grands parents » (Editions Actes Sud), mélangeants installation plastiques et portraits photographiques. Ses travaux mixants photographies, sculptures ont été exposées dans le monde entier de New York au Japon, Népal, Nigéria, Corée en Argentine … Le film « Comfortably Lost » (2011) du réalisateur Quentin Clausin est basé sur l’histoire de ce théâtre vivant.Il est présent aux rencontres d’Arles en 2014 et 2016, cette même année, il a été récompensé par le prix Popcap’16 pour la photographie africaine. Son nouveau livre sur les communautés à travers le monde «Contes imaginaires autour du monde – World’s in the making» sort en 2016 aux Editions Albin Michel, il reçoit le prix Méditerranée du livre d’art 2017.
Dates
Janvier 15 (Mardi) 10 h 00 min - Mars 16 (Samedi) 18 h 00 min
MAC - Maison des Arts de Créteil1 Place Salvador Allende, 94000 CréteilEntrée libre du mardi au samedi de 13h à 18h30 et les soirs de représentation
Détail de l'événement
Depuis le début du XIXème siècle, l’essor de la vitesse puis la démocratisation de nos déplacements motorisés ont donné lieu à un véritable « tournant de la mobilité » :
Détail de l'événement
Depuis le début du XIXème siècle, l’essor de la vitesse puis la démocratisation de nos déplacements motorisés ont donné lieu à un véritable « tournant de la mobilité » : aujourd’hui, il est pratique courante de se déplacer et de voyager souvent, vite et loin.
L’exposition présentée aux Archives nationales par le Forum Vies Mobiles, think tank sur la mobilité du futur, propose d’explorer les manifestations de cette mobilité devenue centrale dans nos modes de vie et d’en interroger les futurs. Associant les regards d’artistes contemporains, de chercheurs en sciences sociales et le fonds des archives nationales, l’exposition Mobile/Immobile met en exergue l’ambivalence liée à nos déplacements, à la fois formidables sources de liberté (griserie de la vitesse, possibilité d’échapper à son milieu géographique ou de travailler en ville et de vivre à la campagne…) mais aussi d’aliénation (intensification du quotidien, injonction dans le monde professionnel…), de contrôles et d’interdictions (crise des migrants, accès au transports…) et de problèmes environnementaux (pollution, changement climatique…).
La mobilité des réfugiés par Ai Weiwei, le mystère de la fluidité des foules tokyoïtes par Sylvie Bonnot, le plan Voisin dessiné pour Paris par Le Corbusier revisité par Alain Bublex, l’éclatement de nos vies sociales par Laurent Proux, les paysages urbains pollués de Tim Franco, la vie des néonomades par Ferjeux Van der Stigghel, le temps ralenti par Marie Velardi… les visions singulières des artistes sur nos vies mobiles et sur des futurs utopiques ou dystopiques invitent à réfléchir à des modes de vie différents, des modèles alternatifs, et des possibles presque réels.
Le parcours imaginé avec Hélène Jagot (directrice du Musée de la Roche-sur-Yon) et François Michaud (conservateur au Musée d’art moderne de la Ville de Paris) rassemblent des propositions artistiques (photographies, objets, peintures, dessins, vidéos, installations, …) dont beaucoup sont issues des commandes lancées par le Forum Vies Mobiles, dialoguant avec les fonds des archives nationales portant sur la surveillance des mouvements humains et des publications scientifiques.
Issue de sept années de recherches art-sciences menées par le Forum Vies Mobiles, l’exposition Mobile/Immobile explore de façon historique, sensible et scientifique le présent, le passé et le futur de notre mobilité pour, in fine, ouvrir le débat et inviter le visiteur à imaginer des modes de vie plus désirés et plus durables.
LES ARTISTES :
Ai Weiwei
Alain Bublex
Caroline DelmotteCatherine Poncin
Claire Chevrier
Elinor Whidden
Ferjeux Van der Stigghel
Géraldine Lay
Gildas Etevenard
Groupe BP
Hans Haacke
Ishan Tankha
Jürgen Nefzger
Laura Henno
Laurent Proux
Marie Velardi
Marion Poussier
Olivier Culmann
Patrizia di Fiore
Sylvie Bonnot
Thomas Sauvin
Tim Franco
Wang Gongxin
Dates
Janvier 16 (Mercredi) 9 h 00 min - Avril 29 (Lundi) 16 h 45 min
Lieu
Archives Nationales - Pierrefitte-sur-Seine
59 rue Guynemer, 93380 Pierrefitte-sur-Seine
Archives Nationales - Pierrefitte-sur-Seine59 rue Guynemer, 93380 Pierrefitte-sur-SeineDu lundi au samedi de 9h00 à 16h45 Entrée libre Métro : Ligne 13 Arrêt Saint-Denis Université
Détail de l'événement
Depuis le début du XIXème siècle, l’essor de la vitesse puis la démocratisation de nos déplacements motorisés ont donné lieu à un véritable « tournant de la mobilité » :
Détail de l'événement
Depuis le début du XIXème siècle, l’essor de la vitesse puis la démocratisation de nos déplacements motorisés ont donné lieu à un véritable « tournant de la mobilité » : aujourd’hui, il est pratique courante de se déplacer et de voyager souvent, vite et loin.
L’exposition présentée aux Archives nationales par le Forum Vies Mobiles, think tank sur la mobilité du futur, propose d’explorer les manifestations de cette mobilité devenue centrale dans nos modes de vie et d’en interroger les futurs. Associant les regards d’artistes contemporains, de chercheurs en sciences sociales et le fonds des archives nationales, l’exposition Mobile/Immobile met en exergue l’ambivalence liée à nos déplacements, à la fois formidables sources de liberté (griserie de la vitesse, possibilité d’échapper à son milieu géographique ou de travailler en ville et de vivre à la campagne…) mais aussi d’aliénation (intensification du quotidien, injonction dans le monde professionnel…), de contrôles et d’interdictions (crise des migrants, accès au transports…) et de problèmes environnementaux (pollution, changement climatique…).
La mobilité des réfugiés par Ai Weiwei, le mystère de la fluidité des foules tokyoïtes par Sylvie Bonnot, le plan Voisin dessiné pour Paris par Le Corbusier revisité par Alain Bublex, l’éclatement de nos vies sociales par Laurent Proux, les paysages urbains pollués de Tim Franco, la vie des néonomades par Ferjeux Van der Stigghel, le temps ralenti par Marie Velardi… les visions singulières des artistes sur nos vies mobiles et sur des futurs utopiques ou dystopiques invitent à réfléchir à des modes de vie différents, des modèles alternatifs, et des possibles presque réels.
Le parcours imaginé avec Hélène Jagot (directrice du Musée de la Roche-sur-Yon) et François Michaud (conservateur au Musée d’art moderne de la Ville de Paris) rassemblent des propositions artistiques (photographies, objets, peintures, dessins, vidéos, installations, …) dont beaucoup sont issues des commandes lancées par le Forum Vies Mobiles, dialoguant avec les fonds des archives nationales portant sur la surveillance des mouvements humains et des publications scientifiques.
Issue de sept années de recherches art-sciences menées par le Forum Vies Mobiles, l’exposition Mobile/Immobile explore de façon historique, sensible et scientifique le présent, le passé et le futur de notre mobilité pour, in fine, ouvrir le débat et inviter le visiteur à imaginer des modes de vie plus désirés et plus durables.
LES ARTISTES :
Ai Weiwei
Alain Bublex
Caroline DelmotteCatherine Poncin
Claire Chevrier
Elinor Whidden
Ferjeux Van der Stigghel
Géraldine Lay
Gildas Etevenard
Groupe BP
Hans Haacke
Ishan Tankha
Jürgen Nefzger
Laura Henno
Laurent Proux
Marie Velardi
Marion Poussier
Olivier Culmann
Patrizia di Fiore
Sylvie Bonnot
Thomas Sauvin
Tim Franco
Wang Gongxin
Dates
Janvier 16 (Mercredi) 10 h 00 min - Avril 29 (Lundi) 17 h 30 min
Archives nationales Paris60, rue des Francs Bourgeois 75003 ParisDu lundi au dimanche (fermé le mardi) En semaine: 10h00-17h30 / Samedi et dimanche : 14h00-17h30 Plein tarif : 8 €, tarif réduit : 5 € Métro : Ligne 1 et 11 Arrêt Hôtel de ville / Ligne 11 Arrêt Rambuteau