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Partager Partager NewsPhoto Premier mentorat des Filles de la Photo lancé ! Ericka Weidmann28 septembre 2020 Temps de lecture estimé : 7minsL’appel à candidature pour participer au premier mentorat dédié aux femmes photographe et initié par l’association Les Filles de la Photo avait démarré à la fin du confinement, en mai dernier. Un succès puisque ce sont 355 candidates qui ont répondu à cet appel d’accélérateur de carrière. Voici les noms de 5 photographes qui vont débuter l’accompagnement pour une durée de 10 mois. L’Observatoire de la Mixité, dont la restitution a eu lieu en février dernier, à Paris, a mis en exergue la disparité qui existe entre hommes et femmes photographes sur leur parcours de reconnaissance. En réponse à ce constat, l’association Les Filles de la Photo ont lancé un programme de mentorat comme un accélérateur de carrières dédié aux femmes photographes dans le but de les accompagner dans la réalisation de leurs projets et le développement de leur parcours. The titled Horizon Theory © Anne Lou Buzot Finaliste : Anne-Lou Buzot Marraines : Raphaële Bertha, Maîtresse de conférences en Arts, Commissaire d’exposition Emilia Genuardi, Fondatrice salon A PPR OC HE & Directrice ACCROC HE, Contenus Culturels Née en 1990, Anne-Lou Buzot est à la fois photographe, éditrice associée chez Immanences Éditions, et tireuse indépendante spécialisée dans les procédés historiques/alternatifs. Elle a à c ur de trouver un équilibre entre la dimension artistique de la photographie et ses aspects techniques. Projet en cours The Tilted Horizon Theory est un projet inspiré des théories platistes (selon lesquelles la Terre serait plate). Il s’agit de questionner- non sans humour et dérision – le cadrage de l’image en tant que tel, la valeur de preuve attribuée aux photographies, ainsi que la fabrication de fausses informations. « Jusqu’à présent, j’ai eu du mal à me positionner en tant qu’artiste, mais les choses commencent à évoluer positivement. Aussi, je pense que le mentorat pourrait s’avérer idéal dans ce moment pivot pour moi : ce pourrait être le coup de pouce, les conseils et la bienveillance dont j’ai besoin. » © Amelie Chassary Finaliste : Amélie Chassary Marraines : Julie Champin, Coordination projets culturels- Achat d’art 1 Regard Suspendu Clémentine de la Féronnière, Galeriste et éditrice, galerie Clémentine de la Féronnière, Maison CF Née en 1980, Amélie Chassary est diplômée de l’école d’art ESAG Met de Penninghen à Paris en 2005. Sa démarche artistique se concentre sur la mise en scène photographique des différentes espèces végétales, sur notre rapport à la nature et à la beauté. Amélie cherche à créer une confusion dans l’image entre la photographie, la peinture et le dessin. Projet en cours Le projet« Flore d’automne »a vocation à constituer un ensemble de photographies de paysages, de natures mortes et d’herbiers représentatifs des forêts du 11ème parc national, situé sur le département de la Côte-d’Or. Le projet« Flore d’automne »est à la fois documentaire et artistique pour refléter une interprétation poétique de la relation de la nature à l’art. « Avoir deux marraines du monde la photo, qui suivent mes créations sur toute une année, est un soutien d’une grande richesse. Confiance en soi, prise de risque, remise en question, valorisation et approfondissement dans ses recherches, tous ces facteurs d’accompagnement sont essentiels pour l’aboutissement d’un projet, parfois difficile seule. » © Juliette Andrea Elie Finaliste : Juliette-Andréa Elie Marraines : Valérie Henry, Agent d’artistes Caroline Stein, Responsable mécénat Banque Neuflize OBC Née en 1985, Juliette-Andréa Elie est diplômée de l’Ecole des Beaux Arts de Nantes et de la Concordia University à Montréal. Elle commence sa carrière en parcourant le monde pour la presse. Ses préoccupations se centrent sur la représentation du paysage à l’heure de l’anthropocène, les liens souterrains que chacun entretient avec son environnement direct ou fantasmé, et les autres membres du Vivant. Projet en cours Une grande partie du Vivant est aujourd’hui en exil, conséquence des comportements humains. Mon nouveau projet Les plis invisibles, qui se nourrit d’une forte urgence à communiquer cette prise de conscience, réaffirme mon intérêt pour la photographie expérimentale et plasticienne, imaginant un processus bien particulier. « A 35 ans, je me situe à un moment délicat de ma carrière, où je ressens clairement le besoin de nouvelles perspectives. Depuis mon retour à Paris en 2018 (et un certain retrait qui m’a été nécessaire à la naissance de mon enfant) je peine à retrouver une dynamique vertueuse et de nouveaux regards sur mon travail.« © Camille Gharbi Finaliste : Camille Gharbi Marraines : Corinna Schack, Agent de photographes, PHOM Véronique Prugnaud, Directrice éditoriale et développement, The Eyes et The Eyes + Née en 1984, Camille Gharbi est architecte de formation. Elle fait de la photographie d’architecture, du portrait et développe des projets personnels en lien avec des thématiques sociétales qui lui tiennent à cœur. Sa démarche, fondée sur une approche documentaire, cherche à interroger l’état du monde en jouant sur la distance et l’esthétique afin de convoquer l’empathie et le sensible. Projet en cours Depuis deux ans je travaille sur la thématique des violences conjugales, sujet que je creuse de différentes manières :en travaillant avec des jeunes femmes victimes de violences sexuelles, conjugales, et intrafamiliales d’un côté, et en travaillant avec des auteurs de violences conjugales de l’autre. Sans minimiser ni excuser, ce projet souhaite mettre en lumière les auteurs d’actes violents au sein du couple. « Etant autodidacte, je serai ravie de recevoir les conseils des Filles de la Photo sur les manières de pouvoir donner plus de visibilité à mon travail. Ma pratique de la photographie est plurielle : photographie d’architecture, portrait, photographie plasticienne, photographie de presse. C’est une diversité qui m’intéresse, que je veux préserver mais que j’ai souvent du mal à gérer, en termes de temps, en termes de choix. » Finaliste : Elsa Leydier Marraines : Emmanuelle Kouchner, Éditrice, fondatrice de La Compagnie culturelle Séverine Morel, Acheteuse d’art et Curatrice, Havas Paris, Havas Gallery Née en 1988, Elsa Leydier sort diplômée de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles en 2015 après des études de langues étrangères. Elle vit aujourd’hui entre Lyon et Rio de Janeiro, où elle développe une pratique photographique autour de la question de la représentation des territoires iconiques par les images. Projet « A Corps Perdus », amorce d’un projet sur l’écoféminisme, se déploiera en 3 parties : Les Corps colonisés (établir un parallèle entre la colonisation de l’imaginaire sur les représentations des corps des femmes et la colonisation du vivant), Les Corps Désacralisés (explorer la perte de notre lien au corps des femmes et à la Terre) et enfin Les Corps censurés (révéler le lien direct qui existe entre l’oppression du corps des femmes occidentales et le système de la fast fashion). « La proposition du Mentorat de créer un système d’« empouvoirement » à travers un réseau de femmes fait directement écho avec mon travail sur l’écoféminisme. Le fait de pouvoir échanger régulièrement avec des expertes de la photographie sur l’avancée du projet et de bénéficier de leurs retours critiques me sera très précieux, et permettrait de donner une visibilité certaine à mon travail. » A LIRE Rencontre avec Florence Moll, co-présidente des Filles de la Photo Marque-page0
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