Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024
Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsBientôt le lever de rideau. Nous l’attendions tous, impatients de fermer la parenthèse. Peut-être pour la première – et espérons-le – la dernière fois se voir et voir des oeuvres était devenu un rêve. Qui l’eut crû? Un rêve collectif, un rêve générale pour reprendre un slogan des manifestations de 2009. « Il faut que le cauchemar s’arrête. Que l’on puisse à nouveau rêver » disait une manifestante à cette occasion. Depuis mars 2020, le cauchemar a suivi son cours mais nous avons rêvé. Par-delà les souffrances, les peurs et les déceptions, nous n’avons jamais cessé de rêver, et c’est peut-être le plus important. Alors, évidemment cela ne fait que confirmer la résilience de la nature humaine (mais à quel prix?). Mais il y a autre chose dont il faut se réjouir. Ce rêve général fait profession de foi de tout ce pourquoi nous, gent artistique, vivons. C’est une confirmation – si j’ose poursuivre la sémantique. La fermeture de ces lieux a provoqué un manque, un vide, un sentiment de non-sens et fait passer nos engagements pour une quête superfétatoire. Cependant de partout et non plus des lieux où les artistes nous chuchotent à l’oreille, des voix se sont élevées, réclamant une autre nourriture terrestre. Comme quoi « se taire et taire toute chose du monde » (René Char) n’est pas art. Que restera-t-il de nos mots, nos pensées, nos rêves et nos absences solitaires ? Que restera-t-il de ce silence – général ? S’il est une chose, cette année aura défiée nos limites et démontré que la conscience collective est toujours à l’oeuvre. Ouvrons encore plus grand les portes aux rêves! Rêvons plus loin, plus fort! Et n’oublions jamais que les belles endormies que nous fûmes nous guettent. A titre personnel, j’ai hâte de découvrir les futurs artistes dont la vocation est née cette année particulière. Qu’en diront-il.elle.s? Et maintenant, de quoi allons-nous rêver demain? Texte & Photo : © Selma Bella Zarhloul Favori0
News Carolle Benitah, devenue l’éternelle Il y a 5 ans tout juste, sortait l’ouvrage « Jamais je ne t’oublierai » aux éditions L’Artière. Aujourd’hui ces mots résonnent d’une façon ...
Photo Masterclass Oeildeep : « Entre deux mondes » par Clémentine Courcelle Cette semaine, nous poursuivons la restitution de la dernière Masterclass Oeildeep, qui a été encadrée par Laura Sérani, Stefano de Luigi et ...
News Quelles perspectives pour les États Généraux de la Photographie ? Pour clôturer ces deux journées de restitution publique des États Généraux de la Photographie, les huit structures associatives et professionnelles organisatrices ont ...
Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024