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Partager Partager Temps de lecture estimé : 9minsLa vie de Letizia Battaglia est un véritable roman, c’est pour cette raison que son amie, la journaliste Sabrina Piou, a souhaité rédiger sa biographie, tout juste éditée aux éditions Actes Sud. Grâce à cet ouvrage “Je m’empare du monde où qu’il soit” et à l’importante rétrospective que le Jeu de Paume – Château de Tours, lui consacre actuellement, on plonge véritablement dans l’histoire si singulière de cette sicilienne, qui a fait de sa vie, une lutte contre la mafia et les inégalités. Un rôle modèle qui invite à se battre et à s’emparer du monde. La prochaine édition des Rencontres d’Arles proposera l’exposition « J’ai toujours cherché la vie » à la Chapelle Saint-Martin du Méjan. © Actes Sud Elle vient au monde le 5 mars 1935, son nom est Maria Letizia, mais tout le monde l’appelle Mariuccia, ce n’est qu’à l’âge adulte qu’on l’appelle Letizia. Elle grandit dans une famille issue d’un milieu bourgeois avec trois frères et sœurs. À l’époque, la Sicile n’est pas encore en proie à la corruption et à la mafia, ses souvenirs d’enfance sont davantage troublés par la seconde guerre mondiale. Dès son plus jeune âge, elle comprend que la société est divisée et qu’il existe une grande injustice sociale. À l’âge de 10 ans, elle est victime d’un exhibitionniste, cette agression marquera sa vie et engendrera une grande méfiance vis-à-vis des hommes. Suite à cela, son père commence à l’enfermer et à l’empêcher de sortir seule. Bien que ses parents tiennent à ce qu’elle reçoive une bonne éducation dans une école catholique, son père lui refuse de suivre des études universitaires. Pour lui, seul le mariage compte dans la vie d’une femme, faisant s’éloigner son rêve de devenir écrivaine… Via Calderai.Palerme, 1991. Letizia Battaglia © Archives Letizia Battaglia Isolée et se sentant prisonnière, Letizia a 16 ans lorsqu’elle décide de s’enfuir pour se marier avec un jeune homme de sept ans son aîné. Mais elle s’aperçoit qu’elle a remplacé un père tyrannique et violent par un mari tout aussi autoritaire. Elle devient mère pour la première fois à 17 ans, sa troisième et dernière fille naît lorsqu’elle a 24 ans, mais sa vie de mère au foyer la fait plonger dans une profonde dépression. Tétanisée à l’idée de perdre la garde de ses filles si elle venait à quitter son mari, Letizia se résout à continuer de vivre à ses côtés. Elle commence à suivre des cours de secrétariat d’entreprise dans l’espoir de trouver un travail et de s’assumer financièrement. C’est sans compter sur sa santé mentale fragile, elle est hospitalisée, enchaîne les cures durant plus de trois ans et finit par trouver le salut grâce à un psychanalyste freudien et neuropsychiatre, Francesco Corrao. Elle trouve alors le courage de divorcer, mais elle gardera une certaine amertume de cet échec marital et familial puisque les relations avec ses filles seront souvent difficiles. Nous sommes à l’été 1969, lorsque Letizia dépose sa candidature au sein du journal L’Ora, quotidien du Parti communiste italien. Tous les journalistes sont en vacances et la direction lui confie la rédaction de nombreux articles. Parfois, faute de photographes disponibles, elle réalise ses propres clichés pour illustrer ses papiers. C’est le photographe Peppino Capoellani qui lui prête son Leica. Mais à la fin de l’été, au retour des journalistes, l’activité de Letizia diminue drastiquement réduisant ses perspectives d’avenir au sein du quotidien. Cette année-là, son amie Marilù Balsamo lui offre un boîtier, un petit Minolta qui changera le destin de Letizia. Au début elle photographie de manière instinctive, c’est le temps qui lui permet de dompter l’appareil, jusqu’à ne faire qu’un avec lui. À l’époque elle partage sa vie avec un photographe, Santi Caleca, et en 1971 ils décident de partir à Milan pour développer leurs carrières respectives, et malgré des conditions financières difficiles, c’est à ce moment-là qu’elle commence réellement la photographie. Elle documente la vie milanaise et ses images sont diffusées par l’agence Giacomino photo. Elle y développe sa culture photographique, elle s’abonne au magazine Camera et visite régulièrement Il Diaframma, la première galerie privée au monde exclusivement consacrée au médium photographique dirigée par Lanfranco Colombo. Quartier Saint-Pierre.Palerme, 1976. Letizia Battaglia © Archives Letizia Battaglia En 1974, L’Ora lui propose le poste de directrice de la photographie, elle revient donc vivre à Palerme. Ce n’est pas sans difficulté puisqu’à cette époque le monde du journalisme (et pas seulement) est principalement dominé par les hommes. Elle doit à maintes reprises s’imposer avec force. Avec Santi, elle créé un collectif de photographes pour couvrir l’actualité, 24h/24, et parmi les photographes, son frère, Ernesto. Letizia commence à photographier Palerme, elle s’intéresse aux écarts sociaux, photographiant l’aristocratie sicilienne face à l’extrême pauvreté et les assassinats qui ensanglantent les rues de Palerme. Ces massacres ponctuent leur quotidien, trop difficile à vivre pour Santi, il retourne vivre à Milan. Letizia reste, et ignore à ce moment-là qu’elle se retrouverait en première ligne de la couverture d’une guerre civile avec l’arrivée du clan des Corleonesi. Boris Giuliano, chef de la Squadra mobile [Brigade mobile], sur les lieux d’un meurtre à Piazza del Carmine. Palerme, 1978. Letizia Battaglia © Archives Letizia BattagliaEn 1975, c’est le photographe Franco Zecchin, alors âgé de 22 ans, qui partage sa vie. Deux ans plus tard, la Cosa Nostra se met à assassiner les hommes politiques de Palerme, commence ainsi un chapitre de sa vie et de son travail particulièrement sanglant et angoissant. Elle vit avec la peur de se faire abattre en pleine rue ! Publier les images dans la presse ne suffit plus, dans l’espoir de toucher plus de monde, en 1977, avec l’aide de Franco, elle ouvre la galerie : le Laboratorio d’IF. Un lieu incroyable qui expose des photographes locaux et des italiens, mais également des grands noms à l’international tels qu’Auguste Sander, Joan Fontcuberta, Marie Ellen Mark ou encore Josef Koudelka… En 1982, ce sont plus de 200 personnes qui sont tuées à Palerme et Letizia a photographié toutes ces scènes de crime équipée de son vieux Pentax avec son grand angle. L’odeur du sang et de la mort ne l’a jamais quittée mais elle a la volonté de poursuivre son travail pour témoigner de ce qu’il se passe et pour ne pas laisser la mafia envahir la ville. La photographie occupe une place importante dans la vie de Letizia, mais ce n’est pas la seule chose, la politique est intrinsèquement liée à son engagement, ainsi que le théâtre expérimental qui joue un rôle particulier. Elle entame d’ailleurs des ateliers à l’hôpital psychiatrique de la Real Casa del Matti. Elle se consacre surtout aux patientes de cet établissement, beaucoup ne sont pas malades, elles sont juste victimes de la maltraitance de leurs maris qui les font interner sans leur consentement. Ce fut une expérience particulièrement enrichissante pour Letizia, elle retrouva même en ces murs, un refuge. En 1985, le galeriste Lanfranco Colombo candidate en son nom au Prix W. Eugène Smith, elle devient la première femme européenne à être lauréate pour son travail sur les conséquences de la mafia sur la société sicilienne. Un succès qui l’a met mal à l’aise et qu’elle ne comprend pas. La reconnaissance de ces pairs la pousse cependant à s’engager en politique, elle devient conseillère municipale, avant d’être élue députée à l’assemblée régionale sicilienne, un poste très bien rémunéré mais frustrant par l’absence total de pouvoir. Boris Giuliano, chef de la Squadra mobile [Brigade mobile], sur les lieux d’un meurtre à Piazza del Carmine. Palerme, 1978. Letizia Battaglia © Archives Letizia BattagliaL’année 1992 marque un nouveau tournant dans la vie de Letizia avec les assassinats successifs des juges Giovanni Falcone et Paolo Borsolino, elle décide de rompre avec sa pratique du photojournalisme en couvrant les scènes de crimes, et de partir voir le monde pour découvrir des territoires reculés comme le Groenland. En 2017, elle donne vie à un lieu qu’elle a rêvé durant 40 ans, le Centre International de la Photographie à Palerme, un espace de plus de 600 m². Elle célèbre ce lieu comme une victoire. « Il est le fruit d’un rêve collectif et civique face à la corruption et la mafia.» Plus tard, la photographe se demande ce qu’elle pourrait faire de toute cette souffrance immortalisée dans les assassinats qu’elle a photographiés durant deux décennies. Dans un rêve, elle y met le feu pour se libérer. C’est ainsi qu’elle imagine redonner un nouveau sens à ses images et transformer ses démons, en créant des superpositions avec d’autres photographies de femmes nues, des fleurs ou des enfants… Elle souhaite par dessus tout que son travail ne soit pas seulement réduit à sa lutte contre la mafia. Letizia BattagliaLe magistrat Roberto Scarpinato avec son escorte sur le toit du tribunal.Palerme, 1998 Letizia BattagliaVia Pindeponte. Fête de carnaval à l’hôpital psychiatrique.Palerme, 1986 Son rapport à la photographie a toujours été ambivalent, car si les scènes de crime l’ont profondément meurtrie et qu’elle s’est toujours questionnée sur sa légitimité à photographier de tels drames, elle se sent redevable, car c’est la photographie qui lui a sauvé la vie. C’est en pratiquant l’image fixe qu’elle a commencé à se sentir libre et à découvrir la personne qu’elle était réellement. Grâce à elle, elle a pu redonner de la force aux victimes et aux plus fragiles, comme aux résidents de l’hôpital psychiatrique, aux femmes et aux enfants qu’elle a photographiés. INFORMATIONS PRATIQUES Je m »empare du monde où qu’il soit Éditions Actes Sud 13.50 x 21.50 cm 400 pages 26.00€ https://www.actes-sud.fr/contributeurs/letizia-battaglia Jeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 Tours jeu05déc(déc 5)14 h 00 min2025dim25mai(mai 25)18 h 00 minLetizia BattagliaJeu de Paume - Château de Tours, 25, avenue André Malraux 37000 Tours Détail de l'événementPhoto : Famille aux funérailles du fils mort à l’hôpital. San Vito Lo Capo, 1980 . Letizia Battaglia © Archives Letizia Battaglia Le Jeu de Paume rend hommage à la photographe Détail de l'événement Photo : Famille aux funérailles du fils mort à l’hôpital. San Vito Lo Capo, 1980 . Letizia Battaglia © Archives Letizia Battaglia Le Jeu de Paume rend hommage à la photographe et activiste italienne Letizia Battaglia (1935-2022) à travers une grande rétrospective présentée au Château de Tours. Letizia Battaglia est aujourd’hui considérée comme l’une des grandes photographes du XXe et du début du XXIe siècle. Célèbre pour son travail sur Cosa Nostra, la mafia sicilienne qui règne pendant les années de plomb, son œuvre colossal – elle produit plus de 500 000 photographies – est pourtant très diversifié. Cette exposition, coproduite par le Jeu de Paume et CAMERA, Turin en collaboration avec les archives Letizia Battaglia de Palerme, dévoile le parcours hors norme de la photographe depuis ses débuts à Milan dans les années 1970 jusqu’à sa mort, survenue en 2022 dans sa ville natale. Elle met en lumière, à travers une sélection d’environ 200 tirages originaux et modernes, l’extraordinaire faculté de Letizia Battaglia à montrer le monde avec une passion fougueuse, en direct, sans en cacher aucun aspect, des plus effroyables aux plus poétiques. Née à Palerme en 1935, Letizia Battaglia est mariée dès 16 ans, ses ambitions littéraires sont alors freinées par son époux qui la cantonne à un rôle traditionnel de femme au foyer et mère de famille. C’est finalement comme pigiste pour L’Ora, quotidien de gauche sicilien, que débute sa carrière en 1969. Deux ans après, elle divorce et part pour Milan accompagnée de ses trois filles. En tant que journaliste, elle collabore pour les revues Ore et ABC et réalise des reportages qui témoignent de son intérêt pour le corps féminin nu, sujet qui revient à la fin de sa carrière. À Milan, elle capture la vie des habitants et fait la rencontre d’intellectuels tels le futur Prix Nobel Dario Fo et Pier Paolo Pasolini. En 1974, après un séjour parisien, elle revient à Palerme et devient directrice de la photographie de L’Ora. Dans la ville italienne, théâtre des guerres entre les clans mafieux au cours des années 1970 et 1980, elle décide de témoigner de la violence ambiante en montrant les crimes qui s’y jouent à travers des photographies fortes. Ses reportages lui permettent d’acquérir progressivement une renommée importante jusqu’à devenir persona non grata dans les plus hautes sphères politiques. Ses tirages de victimes de la mafia, montrés dans les journaux et affichés dans l’espace public, mettent sa vie en danger. Parmi ses clichés célèbres figurent, pour la plupart en noir et blanc, ceux du futur président de la République italienne, Sergio Mattarella sortant de la voiture son frère Piersanti Mattarella, président de la Région Sicile, tout juste tué par la mafia locale, mais également celui qui témoigne de l’arrestation d’un des criminels parmi les plus dangereux de Cosa Nostra, Leocula Bagarella. Mais son œuvre ne s’arrête pas aux guerres mafieuses qui ensanglantent l’Italie à cette époque. En Sicile, elle photographie avec passion tous les aspects de la vie insulaire, sa complexité et ses contrastes – entre l’extrême pauvreté qui y règne et les classes aisées de la région. Elle capture aussi avec beauté et poésie la vie des habitants rythmée par les rites et traditions : de la naissance aux funérailles en passant par les fêtes religieuses. Son travail se tourne également vers les populations les plus fragiles et notamment les femmes et les enfants lorsqu’elle s’engage dans la lutte pour les droits humains, engagement pour lequel elle reçoit le prix W. Eugène Smith (1985) avec Donna Ferrato – une autre femme engagée. S’investissant pleinement en politique, elle est élue au conseil municipal de Palerme de 1987 à 1990 et est députée de l’Assemblée régionale sicilienne aux régionales de 1991, œuvrant alors pour la réhabilitation du centre historique de la ville. C’est l’année suivante qu’elle perd deux de ses amis, les juges anti-mafia Paolo Borsellino et Giovanni Falcone : elle cesse alors de photographier les crimes de guerre entre les clans. La fin de sa carrière est notamment marquée par la participation à des festivals et par l’inauguration, en 2017 d’un centre international de la photographie à Palerme. Convaincue de la fonction sociale du médium, elle a toujours su conjuguer son activité de reporter avec un militantisme politique et culturel intense, et se transformer tour à tour en autrice ou éditrice, autant d’aspects de son action auxquels le parcours de l’exposition rend hommage. Le parcours de l’exposition, thématique et chronologique, est organisé autour de plusieurs grandes sections. Il s’ouvre sur les débuts à Milan, dans le domaine des faits divers, avec des clichés inédits dévoilant, avec un certain humour, les premières années de la libération sexuelle en Italie. La visite se poursuit avec les images de la vie à Palerme et dans le reste de la Sicile, durant les années 1970 puis dans les années 1980, en montrant toute la diversité et les contrastes qui se jouent à cette époque – la mafia, les procès devenus historiques, la misère, les enfants jouant dans la rue – qui tranchent avec les vues de la plage de Mondello, ses habitués et ses amis connus ou moins connus tels l’écrivain Goffredo Fofi ou le peintre Renato Guttuso. Dans cette partie sont présentées des images parmi les plus célèbres de Letizia Battaglia. Son travail, moins connu, dans l’hôpital psychiatrique de Palerme où elle a œuvré à la fois en tant que photographe et activiste est également présenté. L’exposition revient sur un thème qui lui est cher : les fêtes religieuses en Sicile. Enfin, elle fait voyager les visiteurs dans les régions du monde qu’elle a traversées depuis les années 1980, depuis la Turquie aux Etats-Unis en passant par l’Egypte, la Yougoslavie et l’Union Soviétique où elle immortalise, sous son objectif, des territoires et ses habitants, source d’inspiration infinie. Enfin, le parcours s’achève par un résumé photographique de twous les thèmes qui ont parcouru son œuvre jusqu’aux dernières années, marquées par une reconnaissance internationale et le retour aux nus, comme un retour aux origines. Dates5 Décembre 2024 14 h 00 min - 25 Mai 2025 18 h 00 min(GMT-11:00) LieuJeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 ToursOther Events Jeu de Paume - Château de Tours Get Directions CalendrierGoogleCal https://jeudepaume.org/evenement/letizia-battaglia/ J’ai toujours cherché la vie Les Rencontres d’Arles Du 7 juillet au 5 octobre 2025 Chapelle Saint-Martin du Méjan https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1610/letizia-battaglia Marque-page0
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