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Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsPour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, Christoph Wiesner, directeur des Rencontres d’Arles, partage son coup de cœur pour l’installation du photographe Wolfgang Tillmans au Musée national d’Art moderne de Paris. Avant sa fermeture pour au moins cinq années de travaux, le Centre Pompidou a donné carte blanche au célèbre artiste allemand pour investir les espaces du musée. L’exposition Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait est visible tout l’été, jusqu’au 22 septembre. Vues de l’exposition – Wolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait au C entre Pompidou @Jens Ziehe Vues de l’exposition – Wolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait au C entre Pompidou @Jens Ziehe En entrant dans l’exposition de Wolfgang Tillmans, déployée sur l’intégralité du niveau 2 du Centre Pompidou, dans les anciens espaces de la BPI, des souvenirs d’étudiant ressurgissent. Rien de très original, sans doute, pour une bibliothèque. Mais aujourd’hui, ces réminiscences sont teintées d’une émotion particulière. Ce lieu familier, devenu presque méconnaissable, est désormais le plus vaste jamais confié à un photographe contemporain au Centre Pompidou. Les traces du passé n’ont pas été effacées. Moquette grise ou violette, marques vertes au sol, étagères basses, mobilier laissé en place : tous ces vestiges sont là, assumés. Mieux encore, ils deviennent matière à composition. Comme un archéologue attentif à une mémoire proche, Tillmans ne recouvre rien : il révèle. Il fait dialoguer ces fragments avec ses œuvres, les prolonge, les réactive avec une grande délicatesse. Vues de l’exposition – Wolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait au C entre Pompidou @Jens Ziehe Vues de l’exposition – Wolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait au C entre Pompidou @Jens Ziehe L’accrochage reflète cette même sensibilité : tout est mesuré, précis, jamais démonstratif. Les œuvres semblent avoir trouvé leur place naturellement. Les couloirs accueillent les formats intimes, les recoins deviennent des alcôves, des respirations. Chaque détail architectural est pris en compte — une paroi vitrée, une variation de lumière, un changement de niveau. Les célèbres tuyaux colorés du bâtiment ne sont pas masqués : au contraire, ils interagissent avec les images, en prolongent les tonalités ou déterminent leur disposition. Certaines anciennes tables de la bibliothèque, recouvertes de miroirs, participent à ce jeu d’échos visuels. Elles reflètent les images, les visiteurs, le plafond technique – comme si l’espace lui-même devenait image. Vues de l’exposition – Wolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait au C entre Pompidou @Jens Ziehe Vues de l’exposition – Wolfgang Tillmans Rien ne nous y préparait – Tout nous y préparait au C entre Pompidou @Jens Ziehe Ce qui marque au fil de la visite, c’est la manière dont Tillmans parvient à donner une présence spaciale à un médium fondamentalement plat. La photographie, ici, devient fluide, presque tridimensionnelle. Elle ne se regarde pas seulement : elle s’éprouve, elle se traverse. Et c’est cette capacité rare à faire vivre l’espace autrement, à révéler sa part invisible, qui rend cette exposition si juste, et si intensément vivante. INFORMATIONS PRATIQUES Centre PompidouPlace Georges-Pompidou 75004 Paris ven13jui(jui 13)11 h 00 minlun22sep(sep 22)20 h 00 minWolfgang TillmansRien ne nous y préparait − Tout nous y préparaitCentre Pompidou, Place Georges-Pompidou 75004 Paris Détail de l'événementDu 13 juin au 22 septembre 2025, le Centre Pompidou donne carte blanche à l’artiste allemand Wolfgang Tillmans qui imagine un projet inédit pour clôturer la programmation du bâtiment parisien. Détail de l'événement Du 13 juin au 22 septembre 2025, le Centre Pompidou donne carte blanche à l’artiste allemand Wolfgang Tillmans qui imagine un projet inédit pour clôturer la programmation du bâtiment parisien. Il investit les 6 000 m2 du niveau 2 de la Bibliothèque publique d’information (Bpi) et y opère une transformation de l’espace autour d’une expérimentation curatoriale qui met en dialogue son œuvre avec l’espace de la bibliothèque, le questionnant à la fois comme architecture et comme lieu de transmission du savoir. L’exposition rétrospective explore plus de trente-cinq ans de pratiques artistiques à travers divers genres photographiques, tels que le portrait, la nature morte, l’architecture, le documentaire et l’abstraction. Son œuvre s’y décline en des formes très variées et joue sur la verticalité des murs et l’horizontalité des tables, défiant ainsi toute tentative de catégorisation. Outre son travail photographique, Tillmans intègre dans cette vaste installation des œuvres en image animée, musique, son et textes, avec des contributions d’artistes issus de la performance. Accueillir Wolfgang Tillmans pour la mise en sommeil du bâtiment de Piano et Rogers est un événement exceptionnel. Au cours de sa carrière artistique, Tillmans (né en 1968 à Remscheid, en Allemagne) a repoussé les frontières du visible, captant et révélant la beauté fragile du monde physique. Proposant de nouvelles façons de faire des images, il explore la profonde transformation des médiums et supports d’information de notre époque. Il a ainsi façonné un univers esthétique distinctif, né de l’esprit de la contre-culture du début des années 1990. Une œuvre multiple, par laquelle il s’est engagé dans la quête d’un nouvel humanisme et de voies alternatives du vivre ensemble, influençant durablement la création contemporaine. Son travail est profondément ancré dans l’« Ici et Maintenant » : il dresse un panorama des formes de savoir et propose une expérience sincère et libre du monde, scrutant la condition contemporaine de l’Europe tout en explorant les techniques de reproduction mécanique. En rapprochant les archives de l’artiste de ses œuvres les plus récentes, l’exposition du Centre Pompidou met en exergue les dialectiques qui traversent le monde depuis 1989 : les avancées sociales et les libertés autrefois établies, aujourd’hui en péril, les nouvelles manières de faire communauté ou encore les évolutions des expressions de la culture populaire et modes de diffusion de l’information. Wolfgang Tillmans conçoit cette exposition comme un ensemble et crée des œuvres spécifiquement pour le lieu. Ces dernières années, Wolfgang Tillmans a fait l’objet de rétrospectives majeures dans de grandes institutions, notamment à la Tate Modern de Londres en 2017 et au MoMA de New York en 2022. Il a également présenté une importante exposition itinérante sur le continent africain intitulée « Fragile » (2018 − 2022 à Kinshasa, Nairobi, Johannesburg, Addis Ababa, Yaoundé, Accra, Abidjan, Lagos). L’exposition au Centre Pompidou est la première monographie institutionnelle à Paris depuis son ambitieuse installation au Palais de Tokyo en 2002. Elle est accompagnée d’un catalogue et de la publication d’une version augmentée et traduite en français du Tillmans’ Reader, regroupant divers textes et entretiens de l’artiste. Accès libre par Celine Partenaire Principal de l’exposition, la maison Celine s’associe au Centre Pompidou, pour la première fois, au travers des journées « Accès libre par Celine » : plusieurs journées d’accès gratuit imaginées comme une invitation ouverte à tous les publics. Ce projet a été pensé comme une initiative unique de partenariat qui offre à chacun l’occasion de découvrir l’univers de Wolfgang Tillmans tout en profitant, avant sa fermeture, du Centre Pompidou et de ses espaces. Quatre jours d’accès gratuit, de 11h à 23h : le 13 juin, le 3 juillet, le 28 août et le 22 septembre 2025. Dates13 Juin 2025 11 h 00 min - 22 Septembre 2025 20 h 00 min(GMT-11:00) LieuCentre PompidouPlace Georges-Pompidou 75004 ParisOther Events Centre PompidouPlace Georges-Pompidou 75004 ParisOuvert tous les jours de 11h à 20h sauf le mardi. La Galerie des Photographies est en accès libre, gratuite ! Centre Pompidou Get Directions CalendrierGoogleCal Commissaire : Florian Ebner ; Commissaires associé.es : Olga Frydryszak Rétat et Matthias Pfaller INFORMATIONS PRATIQUES Les Rencontres d'Arles32, rue du Docteur Fanton 13200 Arles lun07jul(jul 7)10 h 00 mindim05oct(oct 5)19 h 00 minLes Rencontres d'Arles 2025Images IndocilesLes Rencontres d'Arles, 32, rue du Docteur Fanton 13200 Arles Détail de l'événementPhoto : Tony Albert (Kuku Yalanji), David Charles Collins et Kieran Lawson. Super-héros de Warakurna #1, série Super-héros de Warakurna, 2017. Avec l’aimable autorisation des artistes / Sullivan+Strumpf. « Nos identités Détail de l'événement Photo : Tony Albert (Kuku Yalanji), David Charles Collins et Kieran Lawson. Super-héros de Warakurna #1, série Super-héros de Warakurna, 2017. Avec l’aimable autorisation des artistes / Sullivan+Strumpf. « Nos identités […] ne sont pas enracinées dans un seul territoire. Elles s’étendent, se métissent, se déplacent et se recréent sans cesse. » Dans l’esprit de la pensée d’Édouard Glissant, qui célèbre l’entrelacement des cultures et la richesse des rencontres, cette nouvelle édition du festival propose d’explorer l’image sous une forme polyphonique. Ici, la photographie ne se limite pas à un regard exotisant : elle inscrit l’ailleurs dans une dynamique d’échange et de « traduction culturelle », prolongeant la réflexion de l’anthropologue Alban Bensa. La photographie y est envisagée comme un outil de résistance, de témoignage et de transformation sociale face aux crises contemporaines. L’engagement traverse l’ensemble de la programmation de cette 56e édition. De l’Australie au Brésil, en passant par l’Amérique du Nord et les Caraïbes, tandis que le monde est ébranlé par la montée des nationalismes, l’essor du nihilisme et les crises environnementales, les regards photographiques proposés offrent un contrepoint essentiel aux discours dominants, célébrant la diversité des cultures, des genres et des origines. À travers un dialogue entre scène contemporaine et émergente, photographie vernaculaire et modernisme, les expositions présentées dans le contexte de la Saison Brésil-France 2025 célèbrent la richesse artistique du pays latino-américain. L’exposition Futurs ancestraux propose une réflexion sur la mémoire et l’identité : en réinterprétant des archives visuelles, les artistes interrogent l’héritage colonial et les luttes des communautés afro-brésiliennes, indigènes et LGBTQIA+. Par un regard critique, les représentations sont redéfinies et ouvrent de nouvelles perspectives sur l’Histoire et le futur, tandis que les débats sur la restitution du patrimoine et la réécriture des récits fondateurs s’intensifient. Avec Retratistas do Morro, le fonds de 250 000 négatifs des photographes João Mendes et Afonso Pimenta dévoile le quotidien de la communauté de Serra à Belo Horizonte, la plus grande et ancienne favela brésilienne. Cette dynamique se prolonge avec l’exposition consacrée à Claudia Andujar, dont le militantisme trouve ses sources dans les luttes des années 1960 et 1970, avant qu’elle ne dédie son travail au peuple indigène Yanomami. Quant au Foto Cine Clube Bandeirante (FCCB) fondé en 1939 à São Paulo, il illustre une période charnière de la photographie moderniste brésilienne, traversée par l’art néo-concret, le Cinema Novo ou encore la bossa nova. Un autre continent révèle un panorama fascinant de sa création photographique, émanant d’artistes autochtones ou de sa scène artistique contemporaine. On Country : photographie d’Australie explore la relation profonde et spirituelle que les peuples premiers entretiennent avec leurs terres, bien au-delà de la notion géographique. Ce lien, qui transcende l’histoire coloniale et la modernité, s’exprime dans des œuvres où la photographie devient un outil de transmission et de résilience face aux désordres climatiques et politiques qui menacent cet héritage culturel. La question des territoires et de leurs mutations traverse également d’autres zones géographiques. US Route 1 revisite le projet inachevé de Berenice Abbott. Anna Fox et Karen Knorr poursuivent cette exploration de la route mythique reliant le Maine à la Floride, révélant les mutations profondes des États-Unis – fractures économiques, crise migratoire et tensions identitaires – accentuées par les récents bouleversements politiques. Avec Raphaëlle Peria, lauréate du programme BMW Art Makers, c’est par l’entremise de souvenirs d’enfance que la traversée d’une étendue est évoquée, nous menant aux abords du canal du Midi. L’exposition consacrée au photographe de référence Louis Stettner relie quant à elle les continents américain et européen, explorant son rôle de passeur entre Street Photography américaine et photographie humaniste française. À travers 150 images et documents inédits, son engagement social et politique ainsi que la diversité de ses expérimentations artistiques se déploient sous un angle nouveau. Ses images traduisent une profonde sensibilité aux réalités sociales, une approche que l’on retrouve également dans l’œuvre de Letizia Battaglia. L’artiste italienne a capturé avec une intensité inégalée la violence de la mafia sicilienne, tout en magnifiant la beauté et le souffle de vie de Palerme. Son travail résonne face aux menaces croissantes pesant sur le journalisme d’investigation et la liberté de la presse, un sujet sensible dont s’empare Carine Krecké, lauréate du Luxembourg Photography Award, en interrogeant notre regard sur l’information et la mémoire des conflits. Parmi les présences marquantes de cette édition, Nan Goldin, lauréate du Prix Women In Motion 2025 et figure emblématique du festival, revient avec une proposition inédite qui témoigne de son écriture visuelle singulière, sans concession, notamment autour du lien familial et amical. Ce qui relie les individus relève de relations complexes. Diana Markosian, Keisha Scarville, Camille Lévêque ou encore Erica Lennard explorent ces différents liens, façonnés à la fois par des dynamiques sociales, culturelles et politiques. Les travaux de Carmen Winant et Carol Newhouse ou encore de Lila Neutre élargissent les contours de la notion de parenté [kinship] en intégrant des héritages identitaires et émotionnels, déconstruisant ainsi les frontières entre famille biologique et famille élective. Dans un registre mémoriel empreint d’actes de révolte et d’aspirations à l’émancipation, Agnès Geoffray interroge notre rapport à l’histoire à travers son travail sur les institutions de placement pour jeunes filles mineures en France. Par des recompositions photographiques et textuelles, elle redonne voix et présence à celles qui furent qualifiées d’« inéducables », questionnant les normes sociales de leur temps et mettant ainsi au jour des pans ignorés du passé. Dans le sillage de ces récits oubliés, la richesse des images anonymes s’impose à travers la collection Marion et Philippe Jacquier. Composée de près de 10 000 tirages anonymes et amateurs, elle offre un vaste corpus d’histoires visuelles où se mêlent intime, documentaire et insolite. Cette exploration de la photographie vernaculaire révèle des fragments de vies passées et des instantanés du quotidien. L’entrelacement entre photographie et autres champs disciplinaires s’incarne à travers l’exposition Yves Saint Laurent et la photographie, conçue avec le Musée Yves Saint Laurent Paris, à partir de ses collections. Proposant une immersion dans l’univers du couturier, elle explore son rapport aux photographes de son temps et ses inspirations intimes. Entre rigueur et audace graphique, sa mode trouve dans la photographie une nouvelle dimension, oscillant entre pensée et émotion. Enfin, le festival poursuit sa volonté de mettre en lumière les talents émergents. L’exposition du Prix Découverte 2025 Fondation Louis Roederer, sous le commissariat de César González-Aguirre, prolonge ses réflexions sur les enjeux contemporains de la photographie et retrouve ses quartiers à l’Espace Monoprix. Avec Aurélie de Lanlay et toute l’équipe du festival, nous vous donnons rendez-vous à Arles, dès le 7 juillet, pour découvrir une édition vibrante et engagée, où l’image s’affirme, plus que jamais, comme un espace de prise de conscience et de réinvention. Christoph Wiesner Dates7 Juillet 2025 10 h 00 min - 5 Octobre 2025 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuLes Rencontres d'Arles32, rue du Docteur Fanton 13200 ArlesOther Events Get Directions CalendrierGoogleCal À LIRE En résistance ! 56ème édition des Rencontres d’Arles. Entretien avec Christoph Wiesner Sous la Surface : Rencontre avec Christoph Wiesner, directeur du festival des Rencontres d’Arles Marque-page0
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