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Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsLes éditions Lamaindonne annoncent pour la fin du mois de mai, la réédition de Volta de la photographe française Gabrielle Duplantier. Une nouvelle version offrant un format légèrement plus petit et une photogravure différente. La première édition avait rencontré un tel succès que les stocks se sont très vite épuisés. Sept ans plus tard, Volta fait son grand retour. Un travail n’ayant nullement perdu de sa verve, par une écriture instinctive et singulière. Volta, Gabrielle Duplantier. Photo de Couverture Volta signifie en portugais tout à la fois autour, retour, balade, mais aussi changement. Les photographies de Gabrielle Duplantier sont à l’image de ce mot : erratiques, traversées de figures fascinantes, discrètement ancrées entre réel et fiction. Ses déambulations la ramènent toujours au pays natal et aux personnes chères, et ses photographies, à la fois crépusculaires et lumineuses, sont autant d’énigmes qui relient les êtres aux lieux. Gabrielle Duplantier semble pratiquer la photographie en cavalière, en danseuse, en escrimeuse, autrement dit allurée, le vent dans les cheveux, le regard droit, le mouvement vif, délié ; elles rallient ses images qui tissent ensemble la fougue et la grâce ; elles rappellent que photographier est ici un art du geste.* © Gabrielle Duplantier Dans une photographie intemporelle, la photographe nous offre des paysages et des rencontres dans les terres du sud. Pareil à des souvenirs évanescents, des images mentales échappées de rêves brumeux, Gabrielle Duplantier partage, dans un noir et blanc charbonneux, un travail à la fois poétique et mystérieux. © Gabrielle Duplantier © Gabrielle Duplantier INFORMATIONS PRATIQUES Volta Gabrielle Duplantier préface de Maylis de Kerangal seconde édition / tirage limité signé Editions Lamaindonne format : 21 x 26,7 cm 128 pages 95 photographies en bichromie Couverture rigide avec marquage à chaud Tranches noires ISBN : 978-2-9560488-9-3 40€ https://www.lamaindonne.fr/lamaindonne/Volta.html *extrait de la préface, Maylis de Kerangal Marque-page5
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