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L'Ephéméride Ça s’est passé un 26 janvier : Décès de Julia Margaret Cameron La Rédaction26 janvier 2024 Partager Partager Temps de lecture estimé : < 1minJulia Margaret Cameron . Mary Mother,1867, Tirage albuminé, Maison de Victor Hugo – Hauteville House.© Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey. Le 26 janvier 1879, la photographe britannique, Julia Margaret Cameron, meurt à l’âge de 63 ans. Le Jeu de Paume présente jusqu’à dimanche « Capturer la beauté », la plus importante rétrospective française consacrée à la célèbre photographe depuis 4 décennies. Plus que quelques jours pour découvrir une centaine de photographies, de ses premières expérimentations aux compositions historiques, littéraires ou allégoriques figuratives, en passant par une impressionnante galerie de portraits de ses contemporains. INFORMATIONS PRATIQUES Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar10oct(oct 10)11 h 00 min2024dim28jan(jan 28)19 h 00 minJulia Margaret CameronCapturer la beautéJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementLe Jeu de Paume rend hommage à Julia Margaret Cameron (1815-1879), pionnière du portrait photographique, à travers une exposition présentée du 10 octobre 2023 au 28 janvier 2024. Première rétrospective Détail de l'événement Le Jeu de Paume rend hommage à Julia Margaret Cameron (1815-1879), pionnière du portrait photographique, à travers une exposition présentée du 10 octobre 2023 au 28 janvier 2024. Première rétrospective de cette ampleur qui lui est consacrée à Paris, « Julia Margaret Cameron. Capturer la beauté » dévoile une centaine de photographies, de ses premières expérimentations aux compositions historiques, littéraires ou allégoriques figuratives, en passant par une impressionnante galerie de portraits de ses contemporains. Son approche, très personnelle et si décriée en son temps, de la technique photographique, du flou aux erreurs diverses, s’est affirmée comme la marque d’un style précurseur, intégrant de manière novatrice l’imperfection et l’accident. Originale et hors du temps, l’œuvre, réalisée en à peine une décennie, entre 1864 et 1875, représente une des plus belles illustrations du souffle épique des débuts de la photographie. L’exposition, produite par le Victoria and Albert Museum, est majoritairement constituée d’œuvres de l’artiste issues des collections du musée britannique. Pour l’étape parisienne, la seule en Europe, elle bénéficie de prêts exceptionnels de la Bibliothèque nationale de France (BnF), du musée d’Orsay et de la Maison Victor Hugo. Julia Margaret Pattle naît à Calcutta en Inde d’une mère française et d’un père employé de la Compagnie britannique des Indes orientales. En 1838, elle épouse Charles Hay Cameron, juriste de vingt ans son aîné. Le couple s’établit à Ceylan (aujourd’hui Sri Lanka) où son mari fait l’acquisition de plantations de café. En 1848, toute la famille s’établit en Angleterre lorsque Charles prend sa retraite et Julia Margaret Cameron, déjà mère de quatre enfants, donne naissance à deux autres garçons. Grâce à l’une de ses sœurs, Cameron rencontre poètes, peintres et écrivains qui participent à l’histoire culturelle et artistique de l’Angleterre victorienne. En 1859, les Cameron achètent deux cottages sur l’île de Wight ayant pour voisin et ami proche le poète victorien lord Alfred Tennyson. Si Cameron montre un intérêt pour la photographie au fil de sa vie, elle se lance avec passion le jour de ses 48 ans, lorsque sa fille aînée lui offre son premier appareil photo : une véritable carrière de photographe s’ouvre alors. Entre 1864 et 1875, elle produit plus de mille photographies, expose au niveau international, publie un livre et écrit une autobiographie qu’elle laisse inachevée, publiée à titre posthume. Dans une scénographie jouant sur les effets de reflets imparfaits, écho lointain du flou cher à Julia Margaret Cameron, l’exposition du Jeu de Paume, conçue en trois parties, révèle l’ampleur et l’ambition d’une artiste qui a légué une œuvre parmi les plus remarquables de l’histoire de la photographie. La première section explore les débuts visionnaires de Cameron et s’ouvre sur son premier portrait, celui d’Annie Philpot, une jeune fille séjournant sur l’île de Wight. Utilisant le procédé du collodion humide, elle inscrit sur le support de la photo « Mon tout premier succès en photographie ». Les œuvres de ses débuts annoncent le style Cameron : l’utilisation d’une technique particulière appelée « soft focus » qui consiste à donner un effet de douceur et de flou aux contours, une relative proximité au modèle, la prédilection pour les figures humaines. La deuxième partie de l’exposition est consacrée aux portraits, constituant une très grande partie de sa production. La tendresse familiale imprègne ses œuvres et s’exprime aussi dans les nombreux portraits de femmes – ses proches ou ses domestiques – parmi lesquelles Julia Jackson, la nièce de l’artiste et la mère de Virginia Woolf, l’un de ses modèles favoris. Elle photographie écrivains, scientifiques et artistes les plus éminents de son époque parmi lesquels l’astronome John Herschel, le scientifique Charles Darwin, le poète et ami Alfred Tennyson et l’artiste George Frederic Watts. A ce sujet elle décrit l’expérience de photographier comme « presque l’incarnation d’une prière ». Ses références artistiques sont ici dévoilées, de l’iconographie religieuse de la Renaissance italienne à la poésie de ses contemporains victoriens tel le tondo circulaire qu’elle emprunte à Michel-Ange et Raphaël et qu’illustre avec virtuosité My grand Child (1865). La troisième et dernière partie réunit des illustrations de scènes bibliques ou thématiques – ses « scènes d’imagination ». Cameron met en scène des personnages et des épisodes de la Bible, de la mythologie classique et d’œuvres littéraires dont celles de Shakespeare, Milton et Tennyson. Sa série des Idylles du Roi d’après Tennyson est sans doute son entreprise la plus ambitieuse de mise en scène narrative, qui clôt son travail anglais. Des feuillets originaux de l’œuvre autobiographique de Cameron, Annals of My Glass House, sont présentés aux côtés d’objets personnels de l’artiste tels un objectif de son appareil acquis en 1866. Critiquée en son temps pour s’être éloignée des préoccupations esthétiques et techniques de ses contemporains – animée par une recherche de la beauté et de l’esthétique, elle se sert de la photographie comme d’un moyen d’expression artistique davantage qu’un outil purement documentaire – elle est aujourd’hui célébrée comme une portraitiste au style novateur et une photographe parmi les plus influentes de tous les temps, en partie grâce à une monographie éditée par sa petite-nièce Virginia Woolf. Commissaires : • Lisa Springer, photography curator at the Victoria and Albert Museum (V&A) • Avec le concours de Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume, pour l’étape parisienne. A V&A exhibition touring the world. Photo : Julia Margaret Cameron I Wait, 1872 Albumen print © The Royal Photographic Society Collection at the V&A, acquired with the generous assistance of the National Lottery Heritage Fund and Art Fund. Dates10 Octobre 2023 11 h 00 min - 28 Janvier 2024 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisOther Events Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Jeu de Paume Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page1
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