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Partager Partager Temps de lecture estimé : 15minsJean-Denis et son cousin (à gauche), aux Baléares, 1963 Presque chaque jour, je recevais dans ma messagerie, « La Lettre » de Jean-Denis Walter ayant pour unique titre « La photographie du jour« . Je ne les lisais pas toutes et ne suis pas spécialement une passionnée de photos de sport, mais j’étais impressionnée par son endurance à écrire chaque jour de nouvelles choses. Aujourd’hui, sa lettre est devenue bihebdomadaire et n’a rien perdu de sa superbe. J’ai donc décidé d’inviter dans notre rubrique, ce passionné qui a créé, la première galerie au monde dédiée à la photographie de sport. Un secteur de niche, mais qui a trouvé son réseau de collectionneurs. Jusqu’à vendredi Jean-Denis, partagera sa passion en nous racontant quelques-une de ses histoires… Dès l’adolescence, j’ai toujours baigné dans la photographie. Ma mère iconographe pour l’édition avait fondé une agence d’iconos free lance et travaillait pour tous les éditeurs qui n’avaient pas de service intégré ou quand celui-ci était surbooké. Elle l’avait installée dans notre maison de Nogent-sur-Marne où elle occupait tout un étage. Il y a eu jusqu’à 10 personnes quand elle croulait sous les demandes, que des filles. A l’heure du déjeuner, ça ne parlait que de photographes et de photographies. J’écoutais, je rêvais. Nous sommes en 1976 et la photographie digitale n’est même pas un rêve. Les agences photos et les indépendants confiaient leurs originaux aux maison d’édition pour publication. Quand j’ai entamé mes études universitaires, j’ai naturellement commencé à faire des petites missions pour l’agence comme travail d’appoint. Au départ j’ai donc eu à prendre en charge les « retours ». Une mission fastidieuse puisqu’il fallait renvoyer tous les ektachromes à leurs propriétaires. Il fallait être rigoureux, car perdre un original, c’était une catastrophe. J’ai vu ainsi passer des milliers d’images. De tous genre et sur tous les thèmes. L’agence se chargeait d’illustrer les encyclopédies, les livres scolaires mais aussi les couvertures des livres non illustrés. Après une année d’hypokhâgne j’ai bifurqué sur la fac de lettres sans l’ombre d’un projet derrière. Le rythme y était moins soutenu et je travaillais de plus en plus pour l’agence. Je connaissais les sources photographiques, qui avait fait quoi et ma mère m’a enfin confié mon premier livre. Un livre de géologie, classe de 5ème pour les éditions Bordas. Je l’ai pris pour une sorte de bizutage pour tester ma motivation. Je me suis accroché. Que des photographies de pierres et de cailloux… Mais une roche photographiée en macrophotographie vous ouvre les portes d’un monde inconnu. Ce n’était pas si désagréable et je me suis donné à fond. Dans mon souvenir c’était le plus beau livre de géologie jamais publié. Une oeuvre !!! 😂 Entre mes études de lettres et ces missions à l’agence, je ne cessais d’apprendre et m’intéresser à des univers si disparates était plutôt fun. Plus le temps avançait, plus je savais que j’en ferai mon métier. Je continuais mes études parce qu’il était confortable de se cultiver sans la moindre pression de résultat et parce que je retardais mon entrée dans le vrai monde. Mon boulot m’attendait. C’était confort. Je mesurais ma chance. J’ai pris mon temps et intégré l’agence en 1981 et je fus sans doute un des premier iconographes mâles de l’histoire de la profession. A l’époque, ce métier s’apprenait sur le tas. Les journaux et magazines avaient des besoins mais il n’y avait pas vraiment d’écoles spécialisées. Un jour, nous sommes en charge d’une grande encyclopédie pour les éditions Robert Laffont : « Le Grand Quid illustré ». Une bonne vingtaine de volumes sont prévus et vient l’heure de la distribution du travail. Quand ma mère annonce « Qui prend le volume sport ? » Toutes le monde baisse la tête et fait mine de s’intéresser au vol gracieux des mouches dans la pièce. Pour ma part, j’ai la bave aux lèvres. Je joue déjà au rugby et dévore l’Equipe chaque matin. Tous les regards se tournent vers moi : « Ça c‘est pour le petit ! ». C’est ainsi que tout à commencé. J’ai passé mes journées dans les grandes agences photos spécialisées du moment, Vandystadt, SAM, et bien sûr Presse Sports , l’agence de mon journal chéri. Je voulais chercher moi-même, fouiller directement à la source, compte-fil autour du cou, un spéléologue évoluant dans la poussière des archives. Tenir dans les mains des plaques de verre, des ektas, des planches contact. J’ai probablement demandé des tirages de photographies qui n’avaient jamais été tirées. Les membres de l’agence me laissaient là-dedans des journées entières. Ils venaient juste me chercher pour que je me joigne à eux pour le déjeuner : « Ça fait des heures que t’es là-dedans, t’as pas faim ? » Quand le livre est sorti, je leur ai amené en personne et super fier, l’exemplaire justificatif pour qu’ils puissent facturer et quelques jours après le patron de Presse sports, l’agence la plus largement représenté dans l’ouvrage m’a téléphoné.. « Vous avez fait ça avec nos archives… Ça vous intéresse un poste chez nous ? » Je me souviens de cet appel très précisément. Celui qui allait changer ma vie. Fou de sport et de photographie j’allais intégrer à 25 ans l’agence photo de l’Equipe. Il y a pire destin. J’en avais parfaitement conscience. Les choses se sont ensuite enchainées très vite. Nous sommes en 1982. En 1984, VSD, un magazine important à l’époque qui était un de nos clients m’a demandé si ça m’intéressait de les rejoindre pour travailler service photo. Je savais que j’aurais du mal à évoluer et à grandir en restant à Presse Sports, tout en me disant que je pourrais y finir mes jours sans souffrance. Mais j’ai franchi le pas et j’ai commencé à devenir vraiment un journaliste et à réfléchir autrement devant une photographie. Que raconte t’elle ? Comment le raconte t’elle ? A 20h tous les jours nous étions réunis dans le bureau de Maurice Siegel, le fondateur du titre et l’entendre décortiquer l’actu, nous dire sur quoi nous allons partir et ce qu’on allait ignorer a été une expérience formidable. J’ai grandi très vite. Je ne disais pas grand chose au début et puis j’ai pris confiance, commencé à proposer des choses que j’avais vue passer par les vendeurs d’agence et qui me semblait coller avec la vison de Maurice, un grand homme de presse. En dix-huit mois j’ai appris comme en dix ans avant d’être débauché par Prisma presse pour devenir l’adjoint de la cheffe du service photo de Télé Loisirs, un magazine qui se créait. Nelly Guicheteau qui dirigeait ce service en construction avait fait ses premières armes à l’agence maternelle. J’ai compris ce qu’était que d’avoir du réseau, à l’insu de mon plein gré comme dirait Richard Virenque. Qu’il était possible de rebondir d’un job à l’autre en s’appuyant sur les (bons) souvenirs que j’avais laissé. La demande était forte. En n’étant pas trop nul, on pouvait se faire une place dans ce métier. Moins de deux ans plus tard, Je suis appelé par un groupe de dissidents de l’Equipe qui veulent monter un quotidien concurrent qui va s’appeler Le Sport. Forts des souvenirs qu’ils avaient de moi, ils me proposent de prendre la direction du service photo. En 1987, j’ai trente ans et j’ai trois mois pour créer un service photo ex-nihilo pour un quotidien national. Là, vous apprenez vite, je vous l’assure. La pression était démesurée, mais je n’en avais pas vraiment conscience. Je piaffais comme un jeune labrador avant sa première saillie. L’aventure n’a pas duré très longtemps. Le nouveau quotidien malgré une qualité reconnue tardant à trouver son point d’équilibre. Les actionnaires tiraient la langue et ils ont arrêtés les frais. Nous sommes morts après dix moi d’existence. Prisma presse m’a rappatrié immédiatement. Patrick Marescaux un rédacteur en chef que j’avais croisé à VSD a alerté Axel Ganz, le big boss lui disant en substance : « Il faut le récupérer ». Toujours le réseau et les souvenirs laissés. J’y suis resté une dizaine d’années comme chef du service photo de différents magazines, Voici, Gala, Capital et ça a été une super période. Fin 1989 Jérôme Bureau directeur de la rédaction et Jacques Deydier directeur du département photo de L’Equipe, avec qui j’avais travaillé au Sport, m’ont proposé de revenir à l’Equipe pour prendre en charge la production photographique pour tous les magazines du groupe ainsi que la direction de Presse Sports, l’agence où j’étais né. Wouahooo !!! La fée continuait de se pencher sur mon cas. Treize années de grand bonheur, d’autant qu’après avoir pris la direction photo de l’Equipe Magazine, j’en suis devenu le co-rédacteur en chef en 2005. En 2012, ma mission à l’Equipe magazine s’arrête et ils ne savent pas trop quoi faire de moi. Un salaire « d’avant » et pas de mission précise. C’est pas bon par les temps qui courent. « JD, si tu veux partir, on te traitera bien m’avait dit François Morinière le patron du groupe ». J’ai alors 55 ans et je me dis que c’est l’occasion de concrétiser l’idée qui avait germé dans mon esprit depuis plusieurs années. Fonder la première galerie au monde dédiée à la photographie de sport. Exposer et ventre les plus grandes photographies de sport. Tirages en éditions limitées, signés et certifiés uniquement sur ce thème. J’avais du temps, un peu d’oseille, c’était le moment. Et voilà. Pendant toutes ces années à L’Equipe, j’avais travaillé avec les plus grosses pointures mondiales de la photographie de sport mais j’avais aussi fait travailler sur ce thème beaucoup de photographes non spécialistes dont j’aimais le travail. Le catalogue de base je l’avais en tête. Les photographes me faisaient confiance. Gerry Cranham, Corinne Dubreuil, Mark Leech, Neil Leifer. Mais aussi, Bertrand Desprez, Guillaume Herbaut ou Gérard Uféras, des non spécialistes dont j’admirais le travail sur ce thème. Je n’en cite que quelques uns. Ils font partie des premiers à avoir fait partie de l’aventure. C’est parti comme ça. Le catalogue s’est enrichie depuis. Plus de 80 photographes représentés certains pour une seule image parce qu’elles parlent de sport et que jes l’aime. Au tout début, en 2013, Annie Boulat, fondatrice et directrice de l’agence Cosmos que je connaissais depuis toujours m’a ouvert les bras et proposé de partager la Galerie Cosmos, dont elle n’avait pas le temps de s’occuper trop accaparée par l’agence. J’ai occupé cet espace attenant super bien situé (Invalides) et vraiment sympa en exposant 50% du temps les photographies de ma galerie et en tenant le lieu pour elle quand elle exposait les tirages des photographes de Cosmos les 50% du temps restant. Je pouvais bien sûr même quand elle occupait les murs recevoir aussi mes clients. Cosmos a fait faillite. Le lieu a été repris par Durev une entreprise d’événementiel autour de la photographie animée par Annie herself et Jean-François Camp (ex patron de Cental Dupon) et j’ai continué à louer régulièrement l’espace pour mes événements. Je m’y sens chez moi. Je restais ainsi à l’adresse originale et j’y ajoutais des foires de galeries à Paris, en province ou à l’étranger pour rester visible. J’en ai fait parfois jusqu’à dix dans l’année. Je me suis calmé là-dessus, c’est épuisant d’autant que mon anglais c’est un peu comme dans la Grande vadrouille : « But you are french ! » et que les foires à l’étranger étaient exténuantes à cause de ce handicap. Heureusement à l’époque j’étais assisté par Hélène Demicheli. Arrivée pour un stage de quelques mois elle est restée cinq ans. Une machine de guerre. Elle a beaucoup fait pour le développement de la galerie. Je luis dois énormément. Dernière exposition à la galerie de Latour Maubourg, février 2025 Après des débuts difficiles, voire pénibles, j’ai construit mon réseau de collectionneurs sensibles au thème et je fonctionne avec une lettre où je raconte des histoires de photographies et de photographes. Elle est adressée à 3000 personnes qui ont toutes demandées à la recevoir et déclenche régulièrement des ventes qui me permettent d’avoir une continuité et surtout de vendre même sans exposer. Le site de la galerie qui est plutôt bien fait me permet de travailler de n’importe où et je peux gérer la production, les tirages et encadrements, à distance. Je n’ai pas besoin de me montrer tout le temps. Je le fais régulièrement mais moins. Pendant trois ans cette lettre a été quotidienne, pas loin de mille lettres envoyées sans une journée d’interruption. Elle m’a fait passer pas loin du carton rouge à la maison. Chaque matin même pendant les week ends ou les vacances, quand mon épouse adorée me proposait un projet pour la journée, je répondais toujours : « Oui bien sûr mais d’abord il faut que j’écrive ma lettre » .. Ça peut agacer à la longue 😔 Je me suis aussi calmé là-dessus, le rythme est plutôt bi-hebdomadaire aujourd’hui. Est ce que je n’aurais pas aimé être photographe moi même ? On me pose souvent la question. Je m’y suis essayé au début, pour des journaux pour lesquels je travaillais, toujours sur le sport évidemment. J’aurais été un photographe « propre » mais sans génie. Je ne faisais que trop rarement des photographies qui me semblaient à la hauteur de ce que j’aimais chez les autres. Je me sens un peu comme un critique gastronomique. Il vous fait trois feuillets sur la blanquette de veau d’un étoilé et le texte va vous faire saliver. Quand vous le collez aux fourneaux, sa blanquette est sympa mais pas de quoi écrire à ses parents. C’est tout moi. J’ai trouvé ma place en somme. Je suis un artiste récepteur. Les JO de Paris de l’été dernier ont été le point culminant de l’histoire de la galerie. Plus de cent jours d’exposition d’affilée, sans interruption, de 8h30 à 23 heures pendant l’évènement, ou j’ai travaillé sans relâche et sans jamais me lasser de raconter les oeuvres et leurs auteurs. J’ai fait les cent jours sans m’arrêter. J’ai même une une crise de goutte et j’ai bossé boiteux avec un pied en chaussette, ne pouvant supporter l’idée même d’une chaussure. Je me suis même arraché une dent tout seul parce que je ne voulais pas que mon corps me prive de travailler dans un moment pareil. Alors oui, on peut dire que j’aime passionnément mon métier. Avec cet événement incroyable, mon réseau s’est agrandi avec des visiteurs venus de toute la France et du monde entier. Il sera possible à l’avenir, je l’espère, d’adapter le rythme à mon âge au fil des années et de survivre quand même. C’est le plan. Je ne me vois pas arrêter, c’est ma vie, et mourir en tombant de mon escabeau alors que j’accroche une merveille me semblerait être une fin agréable. https://www.jeandeniswalter.fr/ Le portrait chinois de Jean-Denis Walter Si j’étais une œuvre d’art : La liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix. Si j’étais un musée ou une galerie : Une galerie, la mienne, mon bébé. Ce serait mentir de dire qu’une autre ou qu’un musée a plus d’importance pour moi. Si j’étais un·e artiste (tous domaines confondus): Georges de La Tour. Si j’étais un livre : Inconnu à cette adresse de Katherine Kressmann Taylor. Si j’étais un film : Les liaisons dangereuses de Stephen Frears. Si j’étais un morceau de musique : Stairway to heaven (Led Zeppelin). Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Ali – Williams overhead de Neil Leifer. Si j’étais une citation : « C’est la première fois qu’un moustique s’est posé sur mes testicules que j’ai compris que la violence ne pouvait pas tout régler » (Je vais l’attribuer à Confucius 😉 ). Si j’étais un sentiment : l’empathie. Si j’étais un objet : un ballon. Si j’étais une expo : Who shot sports (Brooklyn Museum, 2017). Si j’étais un lieu d’inspiration : La baie de Cavalaire sur mer (Var). Si j’étais un breuvage : Lagavullin (scotch). Si j’étais un héros : Gareth Edwards (joueur de rugby gallois des années 70) a été mon héros de d’enfance. Je voulais être lui et jusque’à 13 ou 14 ans, je n’avais pas de Plan B. Si j’étais un vêtement : Jean Levis 501. 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