Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 4 jours ago
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 16 mai 2025
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
WORTH au Petit Palais, interview Marine Kisiel, conservatrice du patrimoine, département mode XIXe siècle au Palais Galliera 5 heures ago
Année Brésil/France 2025 : Interview Barbara Gouget, directrice du musée des Beaux-Arts de Nîmes 1 jour ago
Saison Brésil-France 2025 x Carré d’Art de Nîmes, Interview Jean-Marc Prévost : « Un musée devenu prescripteur que j’ai voulu ouvrir à d’autres parties du monde » 2 jours ago
Paris Gallery WE : Interview Marina Schiptjenko, Andréhn-Schiptjenko Gallery (Stockholm/Paris) 3 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsSuite à l’occupation pendant 100 jours d’un groupe de 300 jeunes demandant des solutions de logements décents dans leur locaux, la Gaîté Lyrique est resté fermé durant cinq mois. Que se passe t-il aujourd’hui pour ce lieu de création artistique et d’engagement situé en plein cœur de Paris ? Face à l’abandon de la Mairie de Paris – qui refuse de participer au redressement économique de l’établissement – la Gaîté Lyrique est en danger, et avec elle, plus de 80 emplois. Le magazine 9 Lives apporte son soutien inconditionnel à cette structure et à toute son équipe et appelle au partage de cette situation au plus grand nombre. © Ondine Bertrand & Ava du Parc. Exposition Trans*galactique qui a du fermer ses portes précipitamment Les pertes financières de la fermeture de l’établissement culturel ont été estimées à près de 3 millions d’euros. La Mairie de Paris, propriétaire du bâtiment, a rendu les clés de l’établissement le 14 mai dernier pour que les équipe puissent réinvestir les lieux. Comment penser qu’une structure puisse reprendre sa programmation normalement après cinq mois d’inactivité forcée ? Face à cette situation tout à fait exceptionnel, la Gaîté Lyrique a demandé à la Ville de Paris, un soutien financier, accompagnant leurs efforts pour absorber les pertes financiers. Le Conseil municipal avait pris plusieurs résolutions en ce sens. Malheureusement, la municipalité fait volte face et refuse de participer au redressement économique de l’établissement. C’est une décision incompréhensible au regard des engagements pris, du rayonnement culturel de la Gaîté Lyrique et de ses conséquences sociales immédiates sur le maintien de plus de 80 emplois. Comme le précise la Gaîté Lyrique : « Cette décision d’abandonner la Gaîté Lyrique met directement en danger l’établissement, économiquement exsangue, conséquence directe de la perte d’exploitation associée aux 100 jours d’occupation, et très bientôt en procédure de sauvegarde, ses plus de 60 emplois salariés permanents et intermittents du spectacle, ainsi que les 20 emplois de prestataires directement rattachés au lieu (équipes de sécurité et de maintenance). Un enjeu démocratique majeur Cet abandon politique et économique met en grande difficulté un projet collectif, culturel, social et d’intérêt général au moment le plus tendu et risqué de notre vie démocratique. Au-delà de l’équipe, il a des conséquences économiques et sociales pour tous les partenaires, acteurs culturels, festivals, artistes, en particulier du territoire parisien. Plus globalement, ce revirement prive le public d’un lieu auquel il témoigne au quotidien la puissance de son attachement, comme l’a rappelé à plusieurs reprises l’adjointe à la Culture, Carine Rolland. Il est urgent de rouvrir la Gaîté Lyrique Chaque jour qui passe rend plus difficile et plus onéreuse la reconstruction économique indispensable de la Gaîté Lyrique. Il est désormais urgent que la collectivité respecte les engagements qu’elle a pris et qu’elle leur donne un cadre financier et un calendrier clair. C’est en ce sens que la Gaîté Lyrique a été contrainte de mettre en demeure la collectivité. La Gaîté Lyrique SAS ne demande pas à la Ville de Paris de régler seule le problème. Les équipes et la gouvernance sont conscientes des tensions budgétaires qui existent et militent pour le respect et le bon usage du denier public. La Gaîté Lyrique réussit à s’autofinancer à près de 70%, ce qui est exceptionnel pour une institution de cette taille, et elle recommencera à le faire dès 2026. D’autres partenaires publics et privés sont prêts à apporter leur concours à ce redressement urgent et souhaité par tous. Mais elle demande à la Ville de Paris de tenir ses engagements et de participer financièrement à sa reconstruction économique, et plus encore de protéger les emplois qui œuvrent au quotidien pour le rayonnement culturel de son institution. » https://www.gaite-lyrique.net/ Marque-page0
Photo Notes de Tahiti, une expérience du territoire par Jérémy Godard Aujourd’hui, nous avons choisi de partager avec vous « Notes de Tahiti » proposé par Jérémy Godard. Cette série photographique retrace l’adaptation de jeunes ...
L'Invité·e Coup de cœur de Marion Parent : Bruce Milpied Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invitée de la semaine, Marion Parent photographe et co-directrice de l’association bordelaise Cdanslaboite, nous ...
Interview Art Contemporain WORTH au Petit Palais, interview Marine Kisiel, conservatrice du patrimoine, département mode XIXe siècle au Palais Galliera Si Charles Frederick Worth est considéré comme l’inventeur de la haute-couture, son nom reste assez méconnu du grand public. C’est l’une des ...
News Des actes de vandalisme de plus en plus nombreux sur le territoire. Une exposition en mémoire de la Résistance détruite !
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 4 jours ago
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 16 mai 2025
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
WORTH au Petit Palais, interview Marine Kisiel, conservatrice du patrimoine, département mode XIXe siècle au Palais Galliera 5 heures ago
Année Brésil/France 2025 : Interview Barbara Gouget, directrice du musée des Beaux-Arts de Nîmes 1 jour ago
Saison Brésil-France 2025 x Carré d’Art de Nîmes, Interview Jean-Marc Prévost : « Un musée devenu prescripteur que j’ai voulu ouvrir à d’autres parties du monde » 2 jours ago
Paris Gallery WE : Interview Marina Schiptjenko, Andréhn-Schiptjenko Gallery (Stockholm/Paris) 3 jours ago