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NewsPhoto Nathalie Herschdorfer succède à Tatyana Frank au Musée Photo Elysée Ericka Weidmann7 mars 2022 Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsNathalie Herschdorfer © Amélie Blanc Suite à l’annonce en novembre dernier du départ de Tatyana Franck pour le French Institute Alliance Française, le Musée Photo Élysée vient d’annoncer le nom de sa nouvelle directrice, il s’agit de Nathalie Herschdorfer, actuellement à la tête du Musée des Beaux-Arts du Locle. Elle prendra ses fonctions le 1er juin prochain, juste avant l’ouverture du Musée à Plateforme 10, en plein cœur du nouveau quartier des arts de Lausanne déployé sur une surface totale de près de 3’800 mètres carrés. Nous recevrons Nathalie bientôt, dans notre rubrique « L’Invitée ». « Je suis heureuse de retrouver le musée et d’en prendre la direction alors même qu’il entame une nouvelle page de son histoire. Désormais, la photographie n’est plus isolée mais dialoguera avec les autres arts. C’est au sein de ce pôle culturel dynamique pour Lausanne et sa région que Photo Elysée connaîtra un déploiement inédit. C’est un magnifique défi à mener. Je me réjouis de rejoindre Plateforme 10 et ses équipes, de construire une programmation forte pour Photo Elysée et d’œuvrer au rayonnement du quartier des arts lausannois. » Dans ses fonctions de directrice du Musée des Beaux-Arts du Locle, Nathalie Herschdorfer a organisé une cinquantaine d’expositions d’artistes suisses et internationaux, parmi lesquels Louise Bourgeois, Stanley Kubrick, Georg Baselitz, Sol Lewitt, Hiroshi Sugimoto, Vik Muniz, Todd Hido ou encore Henri Cartier-Bresson. Directrice artistique du Festival Alt.+1000 consacré à la photographie contemporaine, elle mêle en parallèle plusieurs projets d’expositions sur la scène internationale. En 2021, elle a été commissaire pour Paris Photo du programme Elles x Paris Photo consacrée aux femmes artistes. ges consacrés à la photographie. Commissaire d’exposition et historienne de l’art et de la photographie, Nathalie Herschdorfer prendra les rênes du musée dès le 1er juin prochain. Un retour aux sources puisque la future directrice a été, dix ans durant, commissaire et responsable des expositions (de 1998 à 2010). A LIRE Tatyana Franck quitte le Musée Photo Élysée pour le French Institute Alliance Française INFORMATIONS PRATIQUES MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle sam05fev(fev 5)11 h 00 mindim24avr(avr 24)17 h 00 minRegards croisésNamsa LeubaMBAL - Musée des beaux-arts Le Locle, Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle Détail de l'événementAvec ses étranges personnages photographiés dans des paysages naturels, Namsa Leuba développe lors de voyages effectués loin de l’Europe une œuvre photographique puissante. Le continent africain en particulier exerce sur Détail de l'événement Avec ses étranges personnages photographiés dans des paysages naturels, Namsa Leuba développe lors de voyages effectués loin de l’Europe une œuvre photographique puissante. Le continent africain en particulier exerce sur l’artiste une fascination quasi magique. L’œuvre échappe à toute définition : s’agit-il de fictions documentaires, d’images de mode, de performances ou d’une vaste enquête autour des identités non occidentales ? Depuis 10 ans, l’artiste, née d’une mère guinéenne et d’un père suisse, utilise le médium photographique pour interroger l’exotisme. Portant un soin tout particulier aux postures, aux costumes, aux accessoires et aux décors, elle crée des mises en scène fortes autour de ses personnages. Durant plusieurs années, Leuba a exploré l’imaginaire occidental face aux cultures africaines. La série Weke, réalisée en République du Bénin, berceau du vodou, met en scène des récits qui s’inspirent des traditions animistes locales. Dans Tonköma, série produite pour une marque de mode fondée par Ali Hewson et Bono (US), elle fait poser ses modèles sur un toit de Johannesburg et joue sur le contraste entre l’environnement urbain et ses créatures sur échasses. Inspirée par la figure du Nyamou issu de la tradition guinéenne et souvent décrit comme « le diable dans la forêt sacrée », l’artiste, qui a grandi entre deux cultures, joue ici sur la juxtaposition d’identités qui entrent en tension. Dans la série Illusions, réalisée à Tahiti où l’artiste vécut deux ans, c’est le mythe de la vahiné qui est exploré. En réponse aux peintures de Paul Gauguin ayant contribuées à la diffusion du mythe de l’exotisme dans l’art moderne, Leuba nous interpelle une nouvelle fois en s’intéressant en particulier à l’hybridation des genres dans la culture polynésienne. Ses images s’adressent à nous – Occidentaux – et nous renvoient aux stéréotypes de la beauté féminine tels qu’ils ont été véhiculés par les images dites tropicales. A Tahiti, l’artiste inscrit ses modèles, qui appartiennent à la communauté « LGTBQ+ », au sein d’une nature luxuriante et associe l’idée de beauté à l’étrangeté des corps. Par son travail photographique, Leuba recrée avec beaucoup de créativité des scènes évoquant une « altérité ». Posant dans des costumes et des décors imaginés par l’artiste, ses modèles incarnent des personnages qui semblent sortir de contes fantastiques. Croisant imaginaire occidental et représentations de « l’autre », l’artiste réalise une œuvre puissante qui interroge avant tout notre regard occidental. Une édition numérotée et signée par l’artiste, produite pour le MBAL, sort à l’occasion de l’exposition. La première monographie de l’artiste, intitulée Crossed Looks, publiée en 2021 chez Damiani, est disponible à la boutique du musée. Le travail de Namsa Leuba est également présenté dans l’exposition The New Black Vanguard. Namsa Leuba (Suisse/Guinée, 1982), titulaire d’un Bachelor en Potographie et d’un Master en Direction Artistique à l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne et d’un postgrade en photographie à la School of Visual Arts de New York, travaille entre la France, la Suisse et le continent africain. Ayant remporté de nombreux prix, l’artiste d’origine neuchâteloise a percé sur la scène internationale en 2011 avec Ya Kala Ben, une série de photographies prises en Guinée, dans le pays natal de sa mère. Ses œuvres sont régulièrement exposées en Suisse et à l’étranger, notamment en Afrique du Sud, au Nigeria, au Canada, en Corée du Sud et en Espagne DatesFévrier 5 (Samedi) 22 h 00 min - Avril 24 (Dimanche) 4 h 00 min(GMT-11:00) LieuMBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le LocleOuvert tous les jours de 11h à 17h sauf le lundi et mardi Get Directions CalendrierGoogleCal MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle sam05fev(fev 5)11 h 00 mindim24avr(avr 24)17 h 00 minRetrovisionErwan FrotinMBAL - Musée des beaux-arts Le Locle, Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle Détail de l'événementDepuis près de vingt ans, Erwan Frotin engage ses recherches photographiques autour des formes végétales, minérales et animales tout en enchaînant avec succès commandes publicitaires et éditoriales. Diplômé de l’ECAL Détail de l'événement Depuis près de vingt ans, Erwan Frotin engage ses recherches photographiques autour des formes végétales, minérales et animales tout en enchaînant avec succès commandes publicitaires et éditoriales. Diplômé de l’ECAL en 2002, école où il a influencé plusieurs volées d’étudiant·e·x·s par ses enseignements, Frotin s’est fait un nom sur la scène internationale, notamment par ses natures mortes. Les fleurs sauvages qu’il immortalise dans une palette de couleurs chatoyantes ne sont pas sans rappeler les herbiers réalisés un siècle plus tôt par le photographe allemand Karl Blossfeldt. Avec ses photographies de plantes sur fond neutre, Frotin s’inscrit en effet dans l’héritage du célèbre photographe de la Nouvelle Objectivité rendu célèbre grâce au livre Le Jardin merveilleux de la nature (1932). Développant une œuvre qui navigue entre le réel et le surréel, Frotin photographie à la chambre un répertoire de formes végétales, animales et minérales d’une beauté saisissante. En complément à ses natures mortes minutieusement composées et réalisées en studio, le photographe poursuit ses explorations du monde naturel en voyageant à travers le monde, au Japon, à Hawaii, au Chili, au Costa Rica, et en Inde. Artiste ayant développé une écriture photographique singulière, Frotin crée des images dans des endroits sauvages, lieux paradisiaques qui semblent hors du temps et sans présence humaine. Au fil des ans, l’artiste compose un cabinet de curiosités à l’ambition quasi encyclopédique. Cet intérêt porté à la nature le relie au poète et philosophe américain du début du 19e siècle Ralph Waldo Emerson qui voyait en elle une entité divine, et à l’Américain Eliot Porter, pionnier de la photographie couleur, qui luttait pour la protection de l’environnement en immortalisant la beauté et la diversité du monde naturel. Frotin nous invite à nous reconnecter avec le cosmos en nous laissant porter et transformer par ces fragments issus de territoires inconnus. L’univers dépeint avec poésie par l’artiste offre une vision peu conventionnelle de la nature et des êtres qui l’habitent. Car même lorsqu’il s’agit de dépeindre les humains, ceux-ci sont hybrides comme les plantes. Par son travail, l’artiste souhaite montrer la fluidité omniprésente du vivant. À l’invitation du MBAL, Frotin fait dialoguer son catalogue de formes sur les murs du musée. Sous son regard, plantes, animaux, minéraux, paysages et humains se retrouvent interconnectés. Fasciné par la beauté de la nature, Frotin crée des photographies d’un monde étrange et surnaturel, en constante métamorphose. Rétrovision désigne la capacité à porter le regard sur le passé et les origines de la Terre. Or ici les images, ancrées dans une réalité protéiforme, évoquent paradoxalement un décor de science-fiction. La notion de lieu et de temps nous échappe complètement incitant notre imaginaire à nous laisser embarquer dans des territoires inexplorés similaires à ceux qui habitent l’inconscient. Il y a une idée de sacré dans le travail de Frotin. Ce flux d’images hypnotiques est une vraie invitation à la méditation. Un livre, intitulé FLUX 1, publié par Note Note Editions paraît à l’occasion de l’exposition. Né à Toulon, Erwan Frotin (Suisse/France, 1978) a reçu un diplôme de photographe de l’ECAL/École cantonale d’art de Lausanne en 2002, ainsi qu’une formation en biologie et en histoire de l’art. La même année, il remporte le Grand Prix de la photographie au Festival de Hyères, qui a été rapidement suivi par sa première commande pour Vogue Paris. Dès lors Frotin enchaîne les commandes, notamment pour les magazines Vogue Hommes International, Wallpaper, The New York Times Magazine, Another Magazine, Interview, System, et Dazed and Confused. Il crée également des campagnes pour Asprey, Dior, Bergdorf Goodman, Louis Vuitton, Tsumori Chisato, Loewe et Apple. Son travail a remporté de nombreux prix et a fait l’objet d’expositions en Suisse, en France, en Italie et aux États-Unis. DatesFévrier 5 (Samedi) 22 h 00 min - Avril 24 (Dimanche) 4 h 00 min(GMT-11:00) LieuMBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le LocleOuvert tous les jours de 11h à 17h sauf le lundi et mardi Get Directions CalendrierGoogleCal MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle sam05fev(fev 5)11 h 00 mindim24avr(avr 24)17 h 00 minSmell like Queer SpiritECALMBAL - Musée des beaux-arts Le Locle, Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle Détail de l'événementDans les années 1980, Jean Paul Gaultier renverse les codes vestimentaires et révèle la frontière poreuse qui réside entre le masculin et le féminin. Avec jeu, le créateur de mode Détail de l'événement Dans les années 1980, Jean Paul Gaultier renverse les codes vestimentaires et révèle la frontière poreuse qui réside entre le masculin et le féminin. Avec jeu, le créateur de mode inverse les rôles, bouscule le genre et dessine les silhouettes réunissant sensibilité masculine et puissance féminine. À leur lancement, les flacons de parfum de la marque s’affirment eux aussi en rupture avec la mode androgyne des années 1990. Devenus iconiques, ils constituent le point de départ des explorations photographiques menées ici par les étudiant·e·x·s de l’ECAL. Pour cette recherche dirigée par Florence Tétier et Nicolas Coulomb, la classe de 3e année en Bachelor Photographie interroge le corps humain et ses représentations. Les images créées en 2021 par les 11 étudiant·e·x·s de l’ECAL sont pensées sous le signe de la fierté et de la tolérance. Partant du flacon de parfum et des prises de paroles du créateur en faveur du dégenrage de la mode, les photographes créent différents univers autour de la célèbre fragrance où se côtoient nus et natures mortes. Jouant avec la fluidité du genre, les artistes mettent en scène des êtres qui brouillent les frontières de la bipolarisation homme/femme. Pour ces jeunes artistes qui suivent le chemin ouvert il y a trente ans par Jean-Paul Gaultier, la fluidité n’est pas perçue comme une négation des sexes mais comme une vraie richesse. Quand le genre gagne en souplesse de nouvelles potentialités s’ouvrent. Ces travaux montrent que l’engagement en faveur d’une société plus inclusive passe également à travers les images. Une exposition réalisée par l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne dans le cadre du Bachelor Photographie, sous la direction de Milo Keller. Les images ont été réalisées à l’occasion du « Pride Month », avec la collaboration de Claude-Emmanuelle Gajan-Maull, consultante à l’ECAL sur les questions Queer. Une publication, co-éditée par l’ECAL x JPG x Novembre, paraît à l’occasion de l’exposition. Le projet est réalisé avec l’assistance de Matthieu Croizier et Yul Tomatala. Noms des étudiant·e·x·s: Dominique Bartels, Julie Corday, Diego Fellmann, Florian Hilt, Samara Krähenbühl, Angèle Marignac-Serra, Lisa Mazenauer, Marvin Merkel, Basil Pérot, Yolane Rais, Camille Spiller DatesFévrier 5 (Samedi) 22 h 00 min - Avril 24 (Dimanche) 4 h 00 min(GMT-11:00) LieuMBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le LocleOuvert tous les jours de 11h à 17h sauf le lundi et mardi Get Directions CalendrierGoogleCal MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle sam05fev(fev 5)11 h 00 mindim24avr(avr 24)17 h 00 minThe New Black VanguardPhotographie entre art et modeMBAL - Musée des beaux-arts Le Locle, Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle Détail de l'événementThe New Black Vanguard présente des artistes dont les portraits vifs et les images conceptuelles fusionnent la photographie d’art et de mode et font tomber des frontières établies de longue Détail de l'événement The New Black Vanguard présente des artistes dont les portraits vifs et les images conceptuelles fusionnent la photographie d’art et de mode et font tomber des frontières établies de longue date. Leur travail a été largement diffusé dans des magazines de mode et de société, des campagnes publicitaires et des musées, ainsi que sur leurs propres réseaux sociaux, réinsufflant le vocabulaire visuel contemporain autour de la beauté et du corps avec une vitalité et une substance nouvelles. Ces images ouvrent la conversation autour de la représentation du corps noir et de la vie des Noirs en tant que sujets. Collectivement, elles célèbrent la créativité noire et l’hybridation entre art, mode et culture dans la construction d’une image. Cherchant à remettre en question l’idée que le monde noir est homogène, les œuvres servent de forme d’activisme visuel. C’est une perspective souvent retrouvée dans ce mouvement libre de talents émergents, qui créent des photographies dans des contextes très différents – New York et Johannesburg, Lagos et Londres. Les résultats – souvent réalisés en collaboration avec des stylistes et créateurs de mode noirs – présentent de nouvelles perspectives sur le médium de la photographie et les notions de race et de beauté, de genre et de pouvoir. Cette exposition comprend une sélection d’œuvres de ces photographes contemporains révolutionnaires, ainsi qu’un mur d’images créées par d’autres jeunes photographes noirs qui contribuent au mouvement. Des vitrines de publications, passées et actuelles, contextualisent ces images et retracent l’histoire de l’inclusion, et de l’exclusion, dans la création de l’image commerciale noire, tout en proposant un avenir brillamment repensé. Une exposition réalisée en étroite collaboration avec Aperture, New York. DatesFévrier 5 (Samedi) 22 h 00 min - Avril 24 (Dimanche) 4 h 00 min(GMT-11:00) LieuMBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le LocleOuvert tous les jours de 11h à 17h sauf le lundi et mardi Get Directions CalendrierGoogleCal Favori0
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