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Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsPour sa première carte blanche, notre invitée de la semaine, la scénographe et commissaire d’exposition indépendante, Anne Eléonore Gagnon nous parle de l’importance du travail mené sur la scénographie des expositions. Dans ce texte, elle partage son expérience et son métier. Pour Anne Eléonore, la scénographie tient une place toute particulière, elle n’est pas l’œuvre, mais sans elle, l’œuvre perdrait de son sens. Elle la traduit comme étant un langage qui contribue à faire émerger les multiples strates et à convoquer les univers mentaux. J’entends. On peut considérer que la mise en exposition n’est pas forcément une fin en soi pour une création artistique. Il y a certes d’autres biais pour la donner à voir. Mais une fois que cette dernière est actée, qu’elle est le moyen choisi, estimé comme nécessaire ? Peut-on vraiment se contenter d’un postulat _ qu’un travail sensible va spontanément pouvoir se révéler dans la confrontation qu’est une mise en espace ? Biennale internationale de photographie à Clermont-FerandNicephore +, edition 2023 Corps Fragmenté. Vue d’exposition, Chloe Rosser, Form and Function Si pour moi la scénographie d’exposition n’a pas vocation à « faire oeuvre », elle ne peut pour autant pas être réduite à la technicité d’un accrochage. Car elle est cet élément essentiel qui vient permettre à une création de s’incarner dans un espace donné, comme s’il n’avait été pensé que pour elle. Elle répond à une multitude d’enjeux, à leurs entrecroisements, et implique ainsi bien d’autres choses. Il y a d’abord la gageure d’appréhender un travail artistique dans ses plus infimes détails, de mettre à jour l’ensemble des liens qui créent sa cohérence, sa finesse, ceux qui légitiment les différents éléments de sa construction. La recherche d’un positionnement intellectuel qui implique de pouvoir solliciter ses connaissances, sa sensibilité, ses savoir-faire propres. Et cela, tout en sortant pour ainsi dire de soi-même afin de les mettre « au service de » l’artiste/ sa création / l’espace donné/ les regardeurs/ … Il y a, bien sûr, le rapport à l’espace tridimensionnel. Le fait de perpétuellement chercher à le redécouvrir, à jouer avec et de lui, à utiliser ses contraintes pour qu’elles s’effacent ou se métamorphosent. J’aime cette idée que la scénographie d’exposition est un langage qui contribue à faire émerger les multiples strates, à convoquer les univers mentaux. Elle fonctionne comme tel, avec sa sémantique, ses items lexicaux, ses respirations, ses capacités d’évocation. La scénographie d’exposition est une facilitatrice, elle n’invente pas, elle permet de mettre au monde. Marque-page4
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