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Partager Partager Temps de lecture estimé : 7minsAlors que la cinquième édition du mentorat photographique du Fonds Régnier pour la Création, en partenariat avec l’Agence VU’, est actuellement exposée dans les nouveaux locaux de la Galerie VU’, les noms des photographes de la prochaine édition viennent d’être dévoilés. À l’issue d’un appel à candidatures, un jury composé de professionnel·les de la photographie a sélectionné cinq talents émergents : Jennifer Carlos, Judith Crico, Tavan Esmaili, Léa Pignard et Adrien Viot. Ce programme de mentorat photographique vise à accompagner chaque année cinq jeunes photographes dans le développement de leur pratique artistique et de leur visibilité professionnelle. Depuis son lancement en 2020, 25 photographes ont ainsi été accompagné·es pendant une période de neuf mois. La restitution de chaque promotion est présentée à la Galerie VU’ à travers une exposition collective. Pour cette sixième édition, les cinq nouveaux photographes — Jennifer Carlos, Judith Crico, Tavan Esmaili, Léa Pignard et Adrien Viot — bénéficieront d’un dispositif personnalisé et transdisciplinaire. Celui-ci combine l’accompagnement de projet par des photographes-mentors, des consultations d’experts, la participation à des formations du programme VU’Education, des rencontres professionnelles et des ateliers collectifs, sous la supervision de l’équipe de l’Agence VU’. Découvrez les photographes de la promotion 2025-2026. Jennifer Carlos Photographe franco-indienne, née en 1997. Vit à Paris. © Jennifer Carlos Durant le MP#06, elle développera un nouveau chapitre de son projet Le Chant des Abysses, qu’elle mène depuis 2022, sur les trajectoires migratoires sénégalaises. Après avoir exploré le départ, les disparus en mer, l’arrivée aux Canaries et le retour contraint au Sénégal, elle ouvrira un nouveau chapitre à Paris. Elle y suivra les vendeurs sénégalais qui proposent aux touristes des miniatures de la Tour Eiffel. Elle souhaite, en collaboration avec les vendeurs, construire une série documentaire et plastique. Formée aux Beaux-Arts, puis au documentaire et au photojournalisme, elle développe une approche mêlant portrait, mise en scène et récit documentaire. Son travail explore des questions sociales et identitaires à travers un regard intime, en lien avec l’exil et la mémoire. Nourrie par dix-huit ans d’expérience comme travailleuse sociale, elle développe une démarche centrée sur l’humain. Elle a suivi le mentorat du collectif ITEM (2022-2023) et collabore avec la presse, des ONG et des institutions culturelles en France et à l’international. Elle a travaillé dans les services iconographiques du Monde et de La Croix, et publie notamment dans Libération, Le Figaro Magazine, Me diapart, Vice, Géographical, NRC ou Der Spiegel. 🌐 jennifer-carlos-wapr.format.com @jenni__carlos Judith Crico Photographe française, née en 2000. Vit à Paris. © Judith Crico Cette année de mentorat, elle poursuivra son projet, Ne t’inquiète pas pour moi, consacré aux proches de personnes incarcérées. Chaque année, près d’un demi-million de personnes sont, en France comme au Canada, affectées par l’emprisonnement d’un proche. Elle tendra à mettre en lumière le quotidien de ces familles de détenus, la force des liens familiaux, mais aussi la souffrance et la stigmatisation engendrée par le système carcéral. Elle a étudié la photographie au Cégep du Vieux Montréal. À travers une approche sensible et engagée, elle s’intéresse aux notions de résistance, de construction identitaire et de liens. Ses projets s’inscrivent dans le temps long, nourris par la rencontre, la confiance et l’écoute afin de raconter avec justesse des parcours de vie souvent invisibilisés. Elle développe des récits collaboratifs mêlant parfois images d’archives et documents pour tisser des récits pluriels. En 2022, elle est lauréate de la bourse Brouillon d’un rêve de la SCAM. 🌐 judithcrico.com @judithcrico Tavan Esmaili Photographe franco-iranien, né en 2000. Vit à Paris. © Tavan Esmaili En décembre 2024, il entreprend un voyage en Inde pour réaliser son premier projet personnel qu’il poursuivra pendant cette année de MP#06. « Depuis que je suis enfant, mon père me répète qu’il n’est pas musulman mais zoroastrien ». Cette religion est née en Iran au VIIe siècle avant JC, et aujourd’hui le peuple iranien, sous le joug du régime totalitaire islamiste, tente de renouer avec son passé religieux en guise de protestation. Ne pouvant se rendre en Iran, Tavan part en Inde, sur les terres du Gujarat et du Maharashtra, où les zoroastriens exilés – les parsis – ont trouvé refuge il y a plus de mille ans. Avec cette série, il souhaite interroger son héritage iranien et explorer les tensions entre tradition et modernité au sein de cette communauté. Après un master en direction artistique et graphisme, il commence la photographie il y a trois ans. Lors d’un voyage à New York, il filme le rappeur A$AP Rocky pour une campagne de Bottega Veneta. De retour en France, il conçoit sa première édition, « First Look ». En 2024, il se consacre à la photographie de mode tout en continuant de pratiquer la photographie de rue. En parallèle, il occupe le poste de directeur artistique dans un centre culturel. Passionné par la technique argentique, il effectue un stage au sein du laboratoire de Diamantino Quintas en tant qu’assistant tireur-filtreur. @tavan_es Léa Pignard Photographe française, née en 1999. Vit à Toulouse. © Léa Pignard Durant le MP#06, elle va développer la série El arte pesa más que nunca, initiée en 2024 à la suite de négatifs, d’un carnet et de quelques tirages argentiques annotés à la main, trouvés par hasard dans une ancienne valise. Ces objets appartenaient à Ana Torres Llorens témoin d’un épisode méconnu de l’histoire : l’évacuation des œuvres du Prado à travers les Pyrénées en février 1939, à l’approche des troupes franquistes. Léa Pignard travaille à faire circuler cette mémoire effacée. Après des études en Sciences Politiques, Sociologie et Philosophie, Léa Pignard trouve dans la photographie un prolongement visuel à ses questionnements sur les rapports de pouvoir, les constructions idéologiques et les récits collectifs. Son travail se situe à l’intersection de l’enquête sociale et de la photographie documentaire, avec une attention particulière portée aux fractures sociales, aux dynamiques de genre et aux contradictions qui traversent les récits contemporains. Elle est actuellement en fin de formation à l’ETPA à Toulouse. 🌐 leapignard.format.com/#1 @lea_pignard Adrien Viot Photographe franco-indienne, née en 1997. Vit à Paris. © Adrien Viot Photographe autodidacte, il réalise des portraits des personnes issues des différentes sphères dans lesquelles il évolue et, depuis quelque temps, souhaite développer un travail à la croisée de la photographie de reportage et de la photographie expérimentale. Il s’intéresse aussi aux masculinités en mutation selon les lieux qu’elles occupent, comme dans le projet Les hommes du milieu, qu’il développera durant le MP#06. La Baie du Milieu est une île à demi-sauvage, sur le Fleuve Rouge, à Hanoi, où des hommes, pour des raisons sociales ou économiques, viennent s’isoler du monde et y inventent d’autres manières de vivre ensemble. C’est cette grande diversité de masculinités et les raisons de cette marginalisation dans des lieux naturels préservés de la ville qu’Adrien Viot va explorer et tenter de comprendre. Après des études d’agronomie et de zootechnie, il travaille comme ouvrier agricole durant quelques années. Puis il change de voie en intégrant une école de journalisme pour devenir reporter et animateur radio pour OUI FM, avant de rejoindre la scène pop française, compositeur-chanteur mais aussi parolier. 🌐 adrienviot.com @viotadrien Historique : – MP#01 / 2020-2021 : Marin Driguez, France Dubois, Yanis Kafiz, Léo d’Oriano et Layla Saâd – MP#02 / 2021-2022 : Lys Arango, Charlotte Audoynaud, Louisa Ben, Souleymane Bachir Diaw, et Maxime Michelet Objectif – MP#03 / 2022-2023 : Aurélien Goubau, Cloé Harent, Samir Maouche, Camille Nivollet et Ivan Verbizh – MP#04 / 2023-2024 : Simon Arcache, Julie Charbonnier, Ophélie Loubat, Émeline Sauser et Étienne de Villars – MP#05 / 2024-2025 : Fiora Garenzi, Clément Gatimel, Pablo Gubitsch, Lucas Pialot et Alicia Salvador Ivorra INFORMATIONS PRATIQUES Galerie VU'60 Av. de Saxe, 75015 Paris jeu18sep(sep 18)12 h 30 minsam27(sep 27)18 h 30 min5ème édition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la CréationExposition collectiveGalerie VU', 60 Av. de Saxe, 75015 Paris Détail de l'événementPhoto : © Pablo Gubitsch / Mentorat Fonds Régnier – VU’ Pour clore la cinquième édition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création avec l’Agence VU’, la Galerie VU’ Détail de l'événement Photo : © Pablo Gubitsch / Mentorat Fonds Régnier – VU’ Pour clore la cinquième édition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création avec l’Agence VU’, la Galerie VU’ est heureuse de présenter au public et aux professionnels une exposition des travaux réalisés par les cinq photographes émergents sélectionnés pour leur énergie, leur talent et la singularité de leur approche photographique. Sous la supervision de l’équipe de VU’, Fiora Garenzi, Clément Gatimel, Pablo Gubitsch, Lucas Pialot et Alicia Salvador Ivorra ont bénéficié pendant neuf mois d’un dispositif personnalisé et transdisciplinaire alliant accompagnement de projet par des photographes-mentors, consultations d’experts, participation à des formations du programme VU’Education, rencontres professionnelles et ateliers collectifs. Ainsi accompagnés dans le développement de leur pratique artistique et de leurs compétences professionnelles, ils ont pu mener à bien leur projet jusqu’à la restitution sous la forme d’une exposition à la Galerie VU’. Fiora Garenzi — Nanna strana Un jour, ma mère m’a assise sur la banquette arrière de la 206 bleue nuit que j’avais toujours connue, et on a quitté la banlieue parisienne pour tout recommencer quelque part dans la Méditerranée. J’ai grandi dans un village du nord de la Corse. Là-bas, savoir qui tu es — à quel endroit tu appartiens, à quelle histoire —, un peu plus fatalement qu’ailleurs je crois, est inhérent à ta construction. Quand j’étais adolescente, l’histoire familiale était un sujet douloureux. J’avais l’impression qu’en comprendre les raisons comblerait un vide en moi. Finalement, quand j’ai su, le vide était encore là. Alors, « chez moi », j’ai décidé que ce serait là-bas. Je n’avais pas de souvenirs d’avant, et après mon départ à dix-huit ans, je n’avais pas trouvé d’endroit où ma présence prenait plus de sens. De plus, il y avait sur l’île deux personnes qui comptaient. Ça suffisait. Fiora Garenzi est une photographe documentaire née en 1998. Elle étudie la photographie, l’histoire du monde arabe et la géopolitique avant de commencer à aborder des projets personnels traitant principalement des questions communautaires, d’appartenance, de lien au groupe et au territoire. En parallèle, elle travaille pour la presse et différentes ONG. Ses documentaires lui ont permis de remporter le prix SAIF au festival Les femmes s’exposent en 2024 et la bourse Laurent Troude en 2025. Clément Gatimel — Ni là, ni loin En 1975 mon grand-père disparaît. En 2023, je pars en Espagne. Je reviens avec sa valise. Les fragments de l’histoire familiale se recollent. Quand mon amie Mariama découvre les photographies de ce voyage, nos histoires personnelles fusionnent dans une puissante empathie. À la suite du décès de son père dont elle était sans nouvelles depuis 2016, Mariama décide de se rendre au Sénégal pour la première fois, et me propose de l’accompagner. Au milieu de la confusion liée aux questions sans réponses s’entremêle la douceur de l’immersion dans sa famille paternelle, comme des retrouvailles avec des visages qu’elle n’avait pourtant jamais rencontrés. Ce travail ne prétend pas documenter l’intériorité de Mariama. Il propose une interprétation de son voyage, inspirée par l’écho de la rencontre entre nos histoires singulières, portée par la poésie de ce qui persiste quand tout semble passer. Clément Gatimel est né en 1998. Passionné de photographie depuis l’enfance, il se forme à l’ETPA de Toulouse entre 2020 et 2023. Son regard se nourrit d’univers variés : l’esthétique baroque qu’il réinterprète dans un langage contemporain, l’émotion colorée des films d’Almodóvar, les clairs-obscurs du Caravage ou l’extravagance d’Ouka Leele. Son approche, mêlant enquête intime et reconstitution poétique, tisse des récits permettant au passé de dialoguer avec le présent. Pablo Gubitsch — Se souvenir du soleil gris J’ai quitté Forbach, une petite ville du bassin minier lorrain, en 2017. Je suis parti dans la précipitation, après une dernière année passée à errer dans cette cité qui m’avait vu grandir. J’étais déscolarisé. Ma copine de l’époque venait tout juste de me quitter. Je passais mes journées alité entre quatre murs, mes soirées sur des parkings et mes nuits à boire et à fumer. Je suis parti avec cette douleur : laisser derrière moi les personnes qui peuplaient mon adolescence et les lieux qui en abritaient les souvenirs. Je refusais de voir ce passé enfoui ou dispersé dans le flot discontinu de la vie d’adulte qui m’attendait. J’ai voulu honorer la promesse que je m’étais faite un jour – un soir probablement –, arrachée sur un terrain vague avec ma bande de copains : celle de ne jamais oublier qui l’on était, de laisser cette version de nous perdurer quelque part. Pablo Gubitsch, né en 1998, est un photographe et écrivain basé à Paris. Formé à l’ETPA de Toulouse, il y obtient le Grand Prix en 2024. D’abord tourné vers le documentaire, son travail évolue vers une introspection puisant aux liens entre texte et image. Il développe une œuvre intime nourrie de souvenirs d’adolescence, dont est issu son premier roman, à paraître en 2026 aux éditions Les Impressions Nouvelles. Lucas Pialot — Zones inondables Un jour, on ne pourra peut-être plus habiter là. En 2023-2024, près de 540 000 habitants du Pas-de-Calais, déjà fragilisé par la précarité, ont été touchés par des inondations historiques. Ici, depuis les années 1970, on a urbanisé le lit majeur des fleuves et développé l’agriculture intensive. Les sols n’absorbent plus l’eau. Les protections sont insuffisantes, le risque mal géré. Par cette rupture dans l’usage du territoire, la mémoire du risque a cédé la place à une culture du temps court. Certains ont tout perdu. D’autres vivent dans des logements insalubres. Les assurances se dérobent. Les pauvres sont devenus plus pauvres, les isolés plus isolés. Plusieurs mois après ces inondations, je suis allé à la rencontre des habitants pour sentir comment, entre déni, courage et résistance, une catastrophe sur laquelle nous avons désormais peu de prise peut faire vaciller nos vies. Issu du cinéma où il a travaillé comme cadreur, Lucas Pialot est passé à l’image fixe mu par la nécessité de ralentir et de creuser. Formé à l’EMI-Cfd en 2023-2024, il développe aujourd’hui une pratique photographique documentaire nourrie par une démarche introspective, construite dans le temps et l’écoute. Il photographie des lieux et des récits rarement regardés, avec une attirance aiguë pour la disparition et l’impermanence : des espaces, des communautés, des liens. Alicia Salvador Ivorra — Pluie métallique Pourquoi vivre dans un camping ? Certain·es ne trouvent pas les mots exacts et se contentent de hausser les épaules : « je sais pas, c’était une question d’argent, on m’a parlé de ce camping et me voilà… » Dès que la conversation devient plus intime, les accidents biographiques donnent un début de réponse. On y trouve quelques familles, des retraité·es, ou des jeunes cherchant à prendre leur envol. Cependant, la plupart des résident·es à l’année sont des personnes seules, pour qui une rupture a ébranlé une vie jusque-là conventionnelle. J’ai fréquenté trois campings ouverts à l’année en France : Les Trois Sources (Val d’Oise), Les Tendières (Ille-et-Vilaine), fermé en novembre 2024, et Le Perroquet (Nord). L’instabilité propre au camping s’entremêle aux histoires des personnes qui lui donnent vie. Alicia Salvador Ivorra étudie la traduction en Espagne puis, en 2022, suit un master en études hispaniques et un atelier d’initiation à la photographie à la Sorbonne. Elle découvre alors le champ documentaire. Afin d’approfondir sa pratique, elle entame la formation en photographie documentaire et photojournalisme à l’EMI-Cfd à Paris. Son travail se concentre sur la relation humaine au territoire et questionne l’habitabilité des espaces. Dates18 Septembre 2025 12 h 30 min - 27 Septembre 2025 18 h 30 min(GMT+00:00) LieuGalerie VU'60 Av. de Saxe, 75015 ParisOther Events Galerie VU'60 Av. de Saxe, 75015 ParisOuverte au public du mercredi au vendredi de 12h30 à 18h30. Sur rendez-vous les autres jours. Galerie VU' Get Directions CalendrierGoogleCal https://fondsregnierpourlacreation.com https://agencevu.com/vu-education/ Marque-page0
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