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L'Invité·e Carte blanche à Savage Collective : La photographie, pour une transformation des institutions culturelles Ericka Weidmann13 novembre 2020 Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsPour leur quatrième et dernière carte blanche, Audrey Bazin, membre de Savage Collective interpelle les institutions culturelles.à l’heure où notre société évolue. « Quels que soient notre génération, notre parcours personnel et professionnel, les grandes problématiques actuelles nous obligent à reconsidérer l’existant pour construire intelligement ce fameux monde de demain ». Que recouvre le terme photographie ? quel rapport entretenons-nous avec les richesses de ses cadres et la force ou la fragilité des œuvres ? Il nous est apparu qu’une question aussi simple que Pourquoi la photographie ? pouvait engendrer une constellations de réponses autant centripètes que centrifuges, personnelles que théoriques par la saisie de son imaginaire. Laila Annmarie Stevens, Portrait de Keys Le’che © Laila Annmarie Stevens Alors que la photographie permet une réactivité artistique et documentaire sans commune mesure, qu’en est-il des institutions culturelles qui en sont des relais ? A l’heure où le monde est secoué par des remises en question profondes et intenses – éthiques, sociologiques, économiques, politiques, écologiques, sanitaires, le besoin de s’emparer des débats brûlants afin de mieux les appréhender devient impérieux. Qu’il s’agisse de délais d’organisation, de carcan administratif ou de contraintes politiques (le politiquement correct dû aux mécènes parfois), les institutions culturelles sont des structures peu souples qui permettent difficilement une réactivité – quand elles ont un espace dédié à la photographie au sein même de leur bâtiment ! La société est en train de changer largement et rapidement, nous devons adapter des espaces d’expositions, de débats en tant réel – donc en perpétuel mouvement (en édition nous parlons de livre augmenté et enrichi) qui permettront également d’aborder la question épineuse des détournements et autres manipulations à des fins « politiques » (le Fake News de la photographie). Car, il faut préparer demain et se frotter à ce qui trouble ou est déjà troublant. La Fabrique du regard, projet Que faire ? – Penser l’action collectivePhoto tirée du film Je nous promets réalisé par Clémentine Baert avec des jeunes de Clichy, Gennevilliers, Paris et Saint-Ouen, 2019 Des jalons ont déjà été posés mais il faut aller plus loin. A Bruxelles, le Wiels en 2017 avait ouvert l’exposition Le Musée Absent, ce qu’un musée devrait soumettre à l’attention du public, sur les lacunes dans les collections muséales, sur les histoires alternatives qui devraient être racontées, ou sur les identités qui mériteraient d’être représentées. A Paris, le BAL avec La Fabrique du Regard développe une politique de médiation culturelle au sein des écoles pour aiguiser le sens critique. A New York, la très active Magnum Foundation a développé un soutien aux photographes documentaires et a créé notamment une bourse Photographie et Justice Sociale. En 2015, Laurence Crohem présente son mémoire d’étude de Conservateur en Bibliothèque Les « espaces d’actualité » dans les bibliothèques de France. Deux des points les plus importants de cet espace idéal selon les visiteurs sont : un lieu participatif, d’ouverture au monde et de compréhension des enjeux de société ; un espace où peut se former et s’exercer l’esprit critique des personnes sur les questions d’actualités. Walter Swennen, Guillaume Bijl ; vue de l’exposition The Absent Museum, Wiels, BruxellesPhoto © Kristien Daem Aujourd’hui, les institutions culturelles doivent se modifier tout comme la Société se transforme, profondément. Elles doivent jouer leur rôle de perceur de ligne et non plus seulement de conservateur, elles doivent dans ce sens soutenir la jeune création plutôt que les artistes déjà surexposés. Montrer et parler d’Aujourd’hui permettra non seulement d’enrichir le débat du traitement de l’actualité par le regard de commissaires d’expositions, de critiques, de penseurs et grâce aux procédés scénographiques mais également de dynamiser la valorisation des jeunes artistes tout en offrant à tout un chacun les moyens de comprendre le monde et donc d’y trouver sa place. – Audrey Bazin Savage Collective https://savagecollective.one/ Marque-page1
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S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
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