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Partager Partager Visiter l’exposition Azzedine Alaïa et Peter Lindbergh à Paris à l’occasion d’un événement privilégié accompagné d’un verre de champagne ? C’est ce que vous proposent 9 lives et CultureSecrets dans ce Cycle dédié à la Mode. Nous offrons à six de nos lecteurs, une invitation pour participer à cette visite privée à la Fondation Azzedine Alaïa, le mercredi 1er décembre à 19h. Pour participer, envoyez-nous un simple mail à info@9lives-magazine.com avec vos nom et prénom. CultureSecrets vous emmène découvrir le fabuleux travail en miroir d’AzzedineAlaïa et de Peter Lindbergh à la Fondation Azzedine Alaïa. L’histoire d’unecollaboration poétique et puissante où peu de mots suffisent et où l’expressionde chacun se veut le reflet de l’autre. À l’occasion de la première exposition de l’année 2021, la Fondation Azzedine Alaïacélèbre deux grands talents qui ont écrit une page de l’histoire de la photographie et dela mode. L’exposition est un véritable dialogue empreint de la personnalité des deuxartistes, l’un sculpte les corps des plus grandes icônes et top-modèles du monde, l’autreles sublime par sa maîtrise du noir et blanc et de la photographie. Peter Lindbergh et Azzedine Alaïa conversent avec le silence des clins d’oeil qui font desententes amicales des oeuvres destinées : « Peu de mots suffisent pour qui saitcomprendre ». Tous deux ont été de grandes figures de leur temps. Azzedine Alaïa étudie à l’école des Beaux-Arts au département des sculptures de Tunisoù le couturier a grandi. Son travail en tant que couturier restera marqué par sesannées d’apprentissage de la sculpture. CultureSecrets Le Meilleur de la Culture à Paris. En secret. Un un clic. 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Sans mot dire, le photographe et le couturier se sont retrouvés dans l’affection pour le noir qu’ils cultivent de manière égale en tirages argentiques ou en aplats vestimentaires. Lindbergh ne cesse d’appeler le noir et le blanc pour signifier sa recherche d’authenticité des visages qu’il met en lumière. Alaïa puise dans le monochrome des vêtements intemporels, véritables sculptures pour le corps. Chacun d’eux trouve alors cette impression de réalisme poétique qui magnifie les personnalités avant de satisfaire leur ambition créative. Bien que de géographies opposées, Lindbergh et Alaïa ont cultivé des horizons proches. Originaire de Duisbourg, une ville située en Allemagne qui regarde sans peine les Pays Bas, Peter Lindbergh a été formé à l’École d’Arts Appliqués de Krefeld. L’École d’Azzedine Alaïa est celle des Beaux-Arts au département des sculptures à Tunis où le couturier a grandi. Les façades blanchies à la chaux qui renvoient les ombres profondes de passants ont accompagné la Tunisie d’Alaïa. Les architectures que Duisbourg, ville industrielle et commerciale possède, servent de cadre au photographe autant que les plages néerlandaises qu’il fréquente. Tous deux partagent le goût pour les grands horizons qu’ils soient de Méditerranée ou du Nord, où parfois l’usage des noirs en aplats dialoguent en complicité. Alors que Lindbergh se fait une réputation en Allemagne notamment grâce au magazine Stern, puis installe son studio à Paris en 1978, Alaïa est ce couturier pétri de discrétion dont les techniques sophistiquées s’échangent secrètement entre grandes clientes de haute couture. Bientôt ce garçon allemand épris de photographie noble et ce jeune homme d’origine tunisienne aux ciseaux éclairs écriront les plus beaux chapitres de la mode parisienne et française. Avec presque simultanéité, Alaïa devient l’architecte des corps, les révèle et les découvre, Lindbergh les ennoblit en éclairant leur âme et leur personnalité. Pas à pas ils deviennent ces auteurs qui dominent leur discipline respective. Tous deux rejettent les artifices qui divertissent des vrais sujets et c’est sans effort qu’ils se retrouvent au gré de collaborations puissantes. Comme il en est des plus grands qui feignent de ne pas s’obstiner, la simplicité est leur terrain de jeu. Une plage au Touquet, les rues d’un vieux Paris indiquent des inspirations partagées pour le cinéma en noir et blanc et les panoramas étendus. Les sous pentes de métal d’une salle des machines, les bases de la tour Eiffel illustrent le souvenir d’un paysage industriel allemand chez l’un, renvoient au goût immodéré pour le design fonctionnel et l’architecture chez l’autre. A travers les visages qu’ils participent à magnifier, ils réalisent leur grande oeuvre dans ce rapport étrange des disciplines qui tentent de se faire oublier pour mieux révéler l’autre. Les vêtements d’Alaïa, selon les voeux du couturier lui-même doivent être les socles des sourires et des regards de celles, icônes et top-modèles qui les portent. Pour Lindbergh qui a construit sa notoriété sur l’image de ces grandes mannequins, seule l’authenticité d’un trait compte. Tous deux auront été les grands artisans passionnés de leurs visages. « Peu de mots suffisent pour qui sait comprendre » semble s’avouer le couturier et le photographe sur les images instantanées qui les réunissent. Peter Lindbergh et Azzedine Alaïa y conversent avec le silence des clins d’oeil qui font des ententes amicales des oeuvres destinées. Dates20 Mai 2021 11 h 00 min - 2 Janvier 2022 21 h 00 min(GMT-11:00) LieuFondation Azzedine Alaïa18 rue de la Verrerie 75004 ParisOther Events Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page1
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