Raphaël CAUHÉPÉ-FRANÇOIS est auteur photographe, créateur d’œuvres multimédia et directeur artistique.
Il s’est formé à l’Image à l’Université Paris 8-Saint-Denis et sur des tournages pendant plus de 10 ans, comme 1er Assistant Chef Opérateur de Prise de Vue, essentiellement sur des longs-métrages de fiction.
La recherche de nouveaux horizons le conduit à Marseille où il réalise des films de commande et des créations (documentaires, films expérimentaux).
A l'École Nationale Supérieure de Photographie d’Arles, il concrétise son projet photographique, autour du Paysage, de l’Espace et de l’Ailleurs, avec des expositions dans des festivals et en galeries, des éditions et des publications.
Tout au long de son parcours, les images fixes et animées interagissent et élargissent son champ d’action et de perception. Les outils numériques lui permettent d’œuvrer pour une réelle passerelle entre les deux disciplines.
Basé au Pays Basque depuis 2012, il expose dans de nombreux lieux de la région, devient Directeur Artistique du festival « Les chemins de la Photographie d’Ascain » et co-fonde le Collectif IMAGINeART.
Aujourd’hui et en parallèle de commandes privées et institutionnelles,
Raphaël Cauhépé-François poursuit ses travaux de créations en région Nouvelle Aquitaine.
http://www.raphart.net
Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une sélection d’ouvrages de femmes photographes réalisée par des éditrices françaises.
Le secteur de la photographie prêt à faire sa révolution ?
Nous avons attendu longtemps que la parole se libère sur les violences perpétrées au sein du « petit monde de la photographie ». Il y a bien eu quelques initiatives lancées ici et là par le passé, mais il semblait alors que le bâillon entravant les victimes était encore trop serré. Certains affirment même que notre secteur échappe à tout ce que l’on peut voir ailleurs, comme dans le milieu du cinéma… Mais ces derniers mois, les choses commencent à bouger avec le lancement d’un @metoophoto_ par @metoomedia_ et l’arrivée du hastag #balancetonphotographe qui semble prendre de l’ampleur. Alors le secteur de la photographie est il prêt à faire sa révolution ?