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Partager Partager Temps de lecture estimé : 4mins Dami (Fulmen), 2023, Villa Albertine © SMITH Le Centre Claude Cahun basé à Nantes organise depuis deux ans, les Journées de la photographie. Cette manifestation vise à mener une réflexion collective sur la pratique de la photographie dans le but de la faire évoluer. Au programme de cette édition 2024 qui se déroule du 7 au 10 février prochain : des conférences, des discussions, et des workshops autour de l’inauguration de l’exposition « Celle qui reste » de Juliette Parisot qui vient clore sa résidence menée au Centre Claude Cahun et au Graph de Carcassonne. Depuis 2022, le Centre Claude Cahun pour la photographie contemporaine organise des journées de rencontres annuelles autour de la photographie. À travers un programme de conférences/discussions, d’expositions, de workshops et d’un salon des éditions de livres photo, vous êtes invité·e à prendre part à une réflexion collective sur la photographie. Cet événement est pensé comme un moment de dialogues afin de faire évoluer les pratiques de la création photographique et la reconnaissance du statut de photographe. Cette année, ces journées se tiennent à Nantes du 7 au 10 février 2024 à l’école des Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, à la Maison de l’Europe, au Cinématographe, au Musée de l’imprimerie, à la Médiathèque Jacques Demy et au Centre Claude Cahun. Le festival de photographie de Tbilissi, SMITH et Juliette Parisot sont les invités d’honneur de cette troisième édition. Découvrez le programme ! Les workshops Workshop avec les Ediciones Anómalas Du 3 au 7 février En partenariat avec le Musée de l’imprimerie Des livres, nous aimons tout. L’odeur et le toucher du papier, la typographie, les blancs, le son caressant des pages que l’on tourne… Les livres sont un plaisir physique et une source de joie spirituelle. Ce sont les deux faces d’un métier pour les Ediciones Anómalas. Workshop avec la photographe Lorraine Turci Du 5 au 7 février Auteur·e photographe : méthodes et outils de professionnalisation Sur trois matinées, nous travaillerons à développer votre démarche et votre positionnement : – donner de l’envergure à vos projets, de leur conception à leur réalisation – créer un dossier artistique : portfolio, texte de démarche et cv adapté – postuler aux prix, bourses, commandes et résidences d’artistes. Les événements • Mardi 6 février à 12h30 Bibliothèque de l’École des Beaux-Arts Nantes / Saint Nazaire Sandwich-photo, une présentation du magnifique fond de livres photos de la bibliothèque de l’école. Venez avec votre déjeuner et découvrez des merveilles ! • Mercredi 7 février 18h30 Médiathèque Jacques Demy Soirée autour du Festival de photographie de Tbilissi, projection et présentation du festival par sa directrice, Nestan Nijaradze, et lecture de Sophie Merceron de textes réalisés suite à une résidence d’écriture à Tbilissi. • Jeudi 8 février École des Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire De 10h00 – 16h00 : Journée de réflexion entre photographes. À 18h00 Présentation au public et aux institutions de la synthèse de la journée de réflexion entre photographes. À 19h00 Discussion avec SMITH, photographe, cinéaste, plasticien autour de sa démarche entre recherche et création. À 20h30 Finissage / dîner dans l’exposition réalisée avec les étudiants de l’école des Beaux-Arts à partir de la collection photo de l’artothèque Artdelivery. • Vendredi 9 février Centre Claude Cahun À 17h00 Passion livres photo, 4 invités : la photographe Juliette Parisot, la libraire Claudine Courtais, la directrice du festival photo de Tbilissi Nestan Nijaradze, l’éditeur des Ediciones Anómalas Israel Ariño, parlent des livres qui les ont inspirés. À 19h00 Restitution du workshop avec les Ediciones Anómalas. À 20h00 Temps festif autour de l’exposition de la photographe française Juliette Parisot et Battle d’images. • Samedi 10 février Europa Nantes / Maison de l’Europe À 11h00 Conférence filmée : présentation du festival photo de Tbilissi, son histoire, ses photographes, avec la directrice du Festival Nestan Nijaradze À 12h30 Déjeuner / rencontre avec les éditeurs du Salon des éditions photo. À 14h00 Salon d’éditions de livres photo en présence de la maison d’édition espagnole Anómalas et du Tbilissi Photo festival et une mise en lumière des micro et auto-éditions. À 20h30 Soirée de clôture avec Noah Magic, DJ éclectique géorgienne basée à Nantes. Buffet géorgien préparé par l’association Nantes-Tbilissi. https://www.instagram.com/les_journees_de_la_photo/ INFORMATIONS PRATIQUES Centre Claude Cahun pour la photographie contemporaine (anciennement Galerie Confluence)45 rue de Richebourg 44000 Nantes ven09fev(fev 9)15 h 00 minsam23mar(mar 23)19 h 00 minJuliette ParisotCelle qui resteCentre Claude Cahun pour la photographie contemporaine (anciennement Galerie Confluence), 45 rue de Richebourg 44000 Nantes Détail de l'événementExposition qui vient clore la résidence menée par Juliette Parisot au Centre Claude Cahun et au Graph de Carcassonne. Cette exposition a été co-produite avec deux autres structures membres du Détail de l'événement Exposition qui vient clore la résidence menée par Juliette Parisot au Centre Claude Cahun et au Graph de Carcassonne. Cette exposition a été co-produite avec deux autres structures membres du réseau national DIAGONAL : Le Graph de Carcassonne et le Lieu de Lorient. Comment s’arranger avec l’absence ? Cette question occupe l’histoire des images depuis le début, quand les mains négatives, dans les grottes paléolithiques, se faisaient les traces d’êtres passés. L’image raconte l’absence, ce que le temps fait de nous et des choses, ce que le temps impose à la fureur de vivre. L’image comme représentation du monde rend de nouveau présent. Voilà la force et la violence des images et de ce qu’on les fait être. Seulement ici : dans ce projet que Juliette Parisot nomme « M », l’image et son concept sont retournés comme des gants. Les images de Juliette ne sont pas une représentation du monde ou d’individus, elles présentent le néant et le donnent à toucher. Nous avons découvert le travail de Juliette lors des Rencontres d’Arles en 2020. Et nous avons vécu ce rendez-vous, supposément normé par la cadence des lectures de portfolios, comme une déflagration. L’histoire de Juliette est aussi brute que brutale, âpre, mais ce n’est pas sa dureté qui rend son travail puissant. En choisissant l’image (photographique autant que vidéographique ou installée) pour donner une forme à sa vie éclatée, Juliette fait exploser le cadre de la définition même de la représentation. C’est dans l’écart avec ce qu’elle représente que l’image de Juliette Parisot transforme, invente, construit et constitue aussi le sujet qu’elle donne à voir. Entre représentation de la figure humaine et traces de la mort, la pratique du portrait que met en scène Juliette pose la question de l’imitation des modèles véhiculés par notre culture, qui articulent reconnaissance et imaginaire. Car avec cet ensemble de séries qui forme un tout, Juliette Parisot, engage les images dans une lutte où l’espoir n’a pas de place. Ce qui reste c’est l’absence, l’image fantôme ne comble pas, ne remplace pas, elle souligne, elle matérialise le vide. Entre auto-portraits et portraits des êtres qui manquent, Juliette modèle la lumière pour donner une place au vent et à la béance. Ses auto-portraits dans l’ombre où l’on devine à peine la forme d’un corps et les gestes qui supportent un enfant qui n’est pas là, donnent à voir ce que l’image ignore : tout ce qui se cache derrière la surface d’un corps en douleur. Dans une vidéo, des mains plient et lissent des petits vêtement d’enfant, autant de tâches quotidiennes qui ne se feront pas ou plus, rien n’est dit, tout est là : le silence occupe la vacance de l’espace. Dans une grille photographique enfin, le vent gonfle un foulard ou un lange et trace une partition dans un ciel rayonnant, ces signes ne disent rien du néant, ils jouent avec. Biographie Née à Lyon en 1986, Juliette Parisot vit et travaille à Lyon. Étudiante à l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne, elle obtient une licence mention Arts-Plastiques. Elle étudie ensuite la photographie dans une école à Paris. Elle est aujourd’hui photographe pour le théâtre et plasticienne. DatesFévrier 9 (Vendredi) 2 h 00 min - Mars 23 (Samedi) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuCentre Claude Cahun pour la photographie contemporaine (anciennement Galerie Confluence)45 rue de Richebourg 44000 Nantes Centre Claude Cahun pour la photographie contemporaine (anciennement Galerie Confluence)45 rue de Richebourg 44000 NantesOuvert du mercredi au samedi, de 15H à 19H et sur RDV Get Directions CalendrierGoogleCal Favori0
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