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Sayed Karam rêvait d’une action d’éclat où sa personnalité intime se révélerait tout à coup…” – Albert Cossery, Les affamés ne rêvent que de pain (Folio) Aux étoiles le poids de la terre de Juliette Agnel, dernier livre paru chez Contrejour, s’accompagne d’une nouvelle écrite par Emilie Houssa, historienne de l’art, romancière. Le livre léger qui murmure le temps est publié chez Contrejour, aux bons soins de d’Isabelle et de Claude Nori. L’art à l’Ouest, pour la Photographie, Dominique Gelle, est à la Direction Artistique d’une résidence et du du livre, expériences aux fréquences libres et soyeuses, noctambules vols des couleurs pour repeindre le jour… L’association L’Art à l’Ouest, pour la photographie, dans son programme Territoire Rêvé Bretagne et pour sa deuxième édition a proposé cette résidence à la photographe dont le travail est exposé à la galerie le Carré d’Art à Chartres de Bretagne et à la galerie Confluence à Nantes. © Juliette Agnel « La rivière, les champs, les arbres et les étoiles assombrissent les jours, illuminent les nuits, Yves arpente ces pays imaginaires en cherchant à ancrer les nuages sous les cailloux pour donner aux étoiles le poids de le terre. » Émilie Houssa signe ici un texte fait de nuages et de vent, semblant investir un territoire imaginé par la photographie de Juliette, comme une façon de rendre à la lumière nocturne, cette métaphysique des nuages et de l’air, sans que pour autant le texte, qui ne cherche pas à illustrer, propose un récit décalé, une façon d’éparpiller l’unicité de la photographie de Juliette, pour l’adouber, s’y lover, en traverser l’étendue. Il est question ici d’un tour de passe-passe, apparitions, disparitions, deux temporalités distinctes qui cherchent leurs points d’appuis, leurs inerties, leur a-tension. Le livre accueille en ses pages, accorde, deux silences, deux écritures, deux sensibilités. il n’efface en rien ce que l’écrit porte d’images, ce que la photographie inclut de temps, d’espaces, de mots… Cet alliage est aussi un dérivé de l’expérience cinématographique où le texte lu à haute voix, improbable résonance, détachements, ne peut malgré tout échapper à l’image, ouvrant l’expérience de l’infini à travers le ciel immémorial. © Juliette Agnel Voir au travers de la Nuit, Percevoir la présence entière et avouée des arbres aux feuillages multiples, au souffle puissant, me semble inscrire toute une approche du vivant, comme ces photographes hier, ont cherché à faire le portrait du sommeil et prenaient rendez-vous pour photographier leurs amis endormis, quelque chose s’éveillait du plaisir discret de voir quand l’autre ne voit plus, son abandon, sa lenteur, autre visage, celui qui se préserve du regard, secret et mystérieux de la chute de l’heure dans son refuge étoilé.. Il est question ici, à travers ce qui se dérobe, de la gravité, du poids du monde, de pesanteurs, d’allègements, de commutations, d’inversions, donner aux étoiles ce poids de la terre, de rêves éveillés, d’imaginaires, éveils à la suspension, à ce qui flue dans les courants aériens, à ce ciel, comme aux arbres pulmonaires chassant avec fureur, l‘énervement des temps, vidant l’air, agités, puis calmes, comme une houle, en leur sommeil, brassant les rêves de jour, s’évertuant à vivre pour garder la paix précieuse et augurale de tout ce territoire de granit et de vent. © Juliette Agnel Je parle ici des arbres qui sont avec le ciel étoilé, les ferments de l’expérience photographique de Juliette Agnel. C’est en ces images, déjà périphériques, rapides, puis lentes, à la recherche des secrets de la nuit, de la nuit éveillée, de ce qui s’est dérobé au regard diurne pour apparaître sous ce jour différent, dans ce repos, cet abandon, ce sommeil, mais à la manière des surréalistes, le regard vivant, les yeux fertiles. Passer cet état du regard, du voir, déambuler, inspirée, à la rencontre de ces granges, de ces toits pointus, passant la rivière aux effets impressionnistes, lente elle aussi, mise en sa lenteur, pour atteindre la chapelle puis la nuit, où se délivre la pesanteur, par dessus le toit, dans le rêve de l’appartenance apaisée; rêve de fécondité et de paix éclairés de l’universel appel de la nuit talismanique, de sages fêtes, masques et bergamasques, œuvrant à une convergence intime par ces dialogues des lieux, film fait des deux rives, comme une eau partagée et différente, eau légère aux mouvements inversés du ciel muse… “Qui que vous soyez, à présent je pose ma main sur vous afin que vous soyez mon poème, Mes lèvres vous murmurent à l’oreille : J’ai chéri bien des femmes et des hommes, mais je n’en chéris aucun plus que vous.” Feuilles d’herbe, in Poèmes de Walt Whitman. “Un petit garçon assiste à la conférence d’un astronome. Il ressent soudain un étrange vertige. Il se lève et s’éclipse. Seul dans la nuit fraîche et magique, dans un silence total, il lève les yeux vers les étoiles…” a propos de J’ai entendu le savant astronome, de W.Witman. Serait il question d’un dialogue poétique entre un Pierrot, forcément lunaire et ses étoiles, entre un Petit Prince et ce renard, aux confins du monde , pour que se dé- lasse, s’allège, cette terre de l’ouest, ces territoires précédant l’océan, pour que se murmure ce chant singulier des étoiles en cette fin des terres émergées avant le grand Océan, dont le salut surréel est toujours prêt, amer, hic et nunc, comme si la distance du regard aux choses, se ployait au désir de la nuit, du temps dans une approche quantique et que se jouait entre le rêve et le rêve , le déploiement du conte, de la narration, comme dans une bulle faite du silence même des étoiles, poudre magique, rêves de rêves… © Juliette Agnel La photographie de Juliette Agnel cherche à s’émanciper de la commande, à scruter le territoire, à programmer un voyage en son centre, poétique, méta-poétique, reliant d’un coup d’oeil ce qui circule à l’extérieur, dans l’ombre de la nuit et à l’intérieur, dans la sapide approche d’une notation des sens, quasi scientifique, tout à sa présence afin d’établir les circulations qui passent d’arbres en granges et que formule cette lumière afin de faire photographie…. Plus encore, Juliette Agnel aime à se saisir du paysage sonore, à transposer visuellement sa fréquence, à noter sa musicalité, sa vibration, toute entreprise tout à fait inscrite par la photographe dans son voeu d’allègement du monde… Une expérience des limites s’inscrit dans la surréalité de la contre-Nuit, traversée ici par Juliette Agnel…..afin de percevoir l’Infini dans le fini…. romantisme, nouveau romantisme, surréalités, entrer dans la pleine proposition de cette nuit insolée contre le temps et son envers… © Juliette Agnel Tout un parcours se crée, de ces arbres, bottes de foin, feuillages, frondaisons, chemins ouverts, église, étable, ferme, pignons, tandis que circule l’électrique lumière sur une route de bitume, par un chemin délaissé, un chemin qui serpente déjà vers le petit jour, après que la nuit ait murmuré ses mots, les ait chuchoté. Les mots ne sont ils qu’à ce moment, inversion du jour, négatif de la nuit positive, regards qui ouvrent aux firmaments la portée de ce qui intercède, miroirs… Le livre s’ouvre sur une double page d’un ciel ou percent les étoiles, souligné d’un trait constant, signature de l’étoile filante, qui enchante le regard, irisant l’atmosphère, la haut, tout la haut, ou se perd le regard, dans l’infini de l’espace et du temps, là où la transparence du ciel ouvre sur le Cosmos, sur le Mystère, sur le chant du ciel, là où ce poudroiement fait apparaître magiquement la stratosphère, magie immédiate du cœur….. et si, nous étions, ne serait-ce qu’un instant, cette étoile filante, fraction de temps, trait caressant l’azur, alors serait rendu aux étoiles ce poids allégé de la terre aussi par cet émerveillement de l’absolu. © Juliette Agnel Ce regard tendu vers le ciel est ce rêve qui s’accorde naturellement aux photographies de Juliette, que berce tendrement la poésie fragile de l’espace ouvert et fermé entre ombre, nuit et lumières, afin que se perçoive cette lumière qui « arrive des choses »dans un contre-temps, un contre-jour, un contre la mémoire, dans cette instantanéité de l’éclair, de cette pose en soi de la perception, pour que s’inverse la réception des choses et du monde, la nuit, quand tout est libre et que ciel accorde sa promesse, il est l’heure de voir comment les surfaces appartiennent à une autre plasticité, dans un espace remodelé sur une autre fréquence, plus ouvert, plus serein, plus présent, comme si, tout venait à faire regard, à entrer dans l’oeil de la nuit et que s’allège définitivement ce monde diurne, dé-livré de son poids, …..Une physique de la Félicité s’impose aux yeux fertiles, tout un dialogue secret émerge de la nuit dans une épiphanie. tout est là. La nuit respire le chant d’un monde qui repose et se repose, comme si un lien ancestral et magique perdurait, lien que Juliette sait entr’apercevoir et retenir dans sa complicité avec le chant de la terre et l’esprit de l’étoile, funambule reliant les apparences, l’essentiel mouvement plastique de sa quête. © Juliette Agnel On se souvient de la nuit talismanique des pharaons noirs, issue du Soudan, de ces pyramides à l’éternité sage, qui faisait le rêve déjà des romantiques, de ces Orients Nervaliens, présences de la nuit au fond des nuits, et qui voyage dans une sorte de rapport aimanté, quand le texte échappe, que l’image accorde …. ce, en quoi, tout se succède et s’ensuit dans le travail photographique de Juliette Agnel de cet esprit qui va à l’enchantement. Tout alors songe à indexer aux étoiles ce poids de la Terre, comme un conte philosophique accordant l’expérience du monde au repos aigu de la nuit…et à ses chants. INFORMATIONS PRATIQUES Aux étoiles le poids de la terre Photographies : Juliette Agnel Avec une nouvelle d’Émilie Houssa Territoire rêvé Bretagne Editions Contrejour 22x28cm, 72 pages ISBN : 9791090294424 30€ EXPOSITIONS Galerie Confluence45 rue de Richebourg 44000 Nantes jeu27mai(mai 27)17 h 00 minsam24jul(jul 24)19 h 00 minAux étoiles le poids de la terreJuliette AgnelGalerie Confluence, 45 rue de Richebourg 44000 Nantes Détail de l'événementÀ l’occasion d’un programme triennale de résidence intitulé « Territoire rêvé Bretagne », imaginé par l’association Art à l’Ouest, alliant photographie et récit, nous nous sommes rencontrées avec Juliette Agnel Détail de l'événement À l’occasion d’un programme triennale de résidence intitulé « Territoire rêvé Bretagne », imaginé par l’association Art à l’Ouest, alliant photographie et récit, nous nous sommes rencontrées avec Juliette Agnel à Chartres de Bretagne, près de Rennes pour inventer cette série et une nouvelle. Ces travaux mettent en scène des lieux magiques et poétiques, bâtis sur nos imaginaires, et qui laissent, le temps, toujours, de revoir une image, d’entrer dans la pierre, de construire un monde. De cette résidence découle un livre, publié en mars 2021 aux éditions Contrejour et une exposition au Carré d’Arts de Chartres de Bretagne de mars à juin 2021 et à la Galerie Confluence à Nantes de mai à juillet 2021. Le paysage est un support à la fiction. Comme les paesinas naissant du marbre laissent se dessiner des mondes possibles, les paysages des images de Juliette Agnel reconstruits entre jour et nuit, entre l’immensément grand et la banalité de la terre, nous perdent. À la manière de Jean Luc Godard qui, dans Lettre à Freddy Buache, dessine une ville en faisant voyager sa caméra entre des plans verts et bleus, Juliette Agnel nous laisse déambuler sur ces terres humides, la bouche pleine d’étoiles. Passer d’un plan à un autre, d’une échelle à l’autre un pas appelant sans cesse le prochain. Sa démarche repose sur une valse millénaire tournant toujours autour du même refrain : Comment la fiction s’empare du document ? À mesure que Juliette Agnel photographie l’univers de Chartres de Bretagne : les champs, les rues et les étoiles, en assombrissant les jours, en illuminant les nuits, nous arpentons ces pays imaginaires ancrant nos rêves sous les cailloux pour raconter ces espaces impossibles et donner aux étoiles le poids de la terre. Biographie Après des études d’arts plastiques et d’ethno-esthétique, Juliette Agnel passe de la peinture à la photographie. « J’ai cru pendant longtemps que j’allais faire du documentaire », explique-t-elle. C’est de cette première ambition que lui est resté le goût pour les voyages et la découverte. Mais, dit-elle encore : « les paysages étaient toujours pour moi à la fois traversés et imaginés, des supports de fiction ». Ainsi, Juliette Agnel a été en route pendant près de dix ans. Elle a traversé des territoires de l’Afrique, jusqu’à la Corée, de l’Islande à la Norvège. Son appareil photo et sa caméra se sont fait le réceptacle de contrées à explorer, de rencontres à faire. En 2017, elle participe au Prix découverte à Arles et à la FIAC avec sa série les Nocturnes. Texte : Emilie HOUSSA DatesMai 27 (Jeudi) 4 h 00 min - Juillet 24 (Samedi) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuGalerie Confluence45 rue de Richebourg 44000 Nantes Galerie Confluence45 rue de Richebourg 44000 NantesOuvert du mercredi au samedi, de 15H à 19H et sur RDV Get Directions CalendrierGoogleCal Et aussi : Galerie Le Carré d’Art - Centre Culturel Pôle Sud1 rue de la Conterie - 35131 Chartres de Bretagne ven19mar14 h 00 minsam19jui18 h 30 minA la lisièreJuliette AgnelGalerie Le Carré d’Art - Centre Culturel Pôle Sud, 1 rue de la Conterie - 35131 Chartres de Bretagne Détail de l'événementSortir la nuit pour mieux voir ce qu’on nous cache. La nature, la ville, et la perméabilité entre les deux. Les lieux qu’on voit tous les jours se transforment à Détail de l'événement Sortir la nuit pour mieux voir ce qu’on nous cache. La nature, la ville, et la perméabilité entre les deux. Les lieux qu’on voit tous les jours se transforment à l’heure où la nuit tombe. Comment voir dans le noir, ce qui nous entoure ? Il faut prendre le temps. Prendre le temps d’une pause longue qui dévoile peu à peu les éléments obscurs qui prennent une nouvelle forme. Il y a la surprise et la découverte, il y a l’invention. C’est également la même chose lorsqu’on regarde des détails qui semblent anodins, ou qu’on scrute un visage en prenant le temps de tout observer comme si c’était un vaste territoire, avec ses plis, ses rebonds, son intériorité. Il y a aussi la recherche du sauvage, celui qui a pris le dessus dans les forêts sans homme pendant le confinement, et la puissance de la végétation. Rennes est une ville d’un centre, et ses alentours basculent vite vers une nature qui peut être exubérante. J’irais la chercher. Habiter Chartres de Bretagne, vivre avec elle, c’est vivre à l’intérieur d’une ville, entre Rennes et la nature puissante, et c’est ce qui rend intéressant le lieu. Le passage de l’un à l’autre, par la nuit, seront le centre de mes prises de vue. Juliette Agnel DatesMars 19 (Vendredi) 14 h 00 min - Juin 19 (Samedi) 18 h 30 min(GMT+00:00) LieuGalerie Le Carré d’Art - Centre Culturel Pôle Sud1 rue de la Conterie - 35131 Chartres de Bretagne Galerie Le Carré d’Art - Centre Culturel Pôle Sud1 rue de la Conterie - 35131 Chartres de BretagneDu mardi au vendredi de 14h à 18h30 Le samedi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h Get Directions CalendrierGoogleCal Bientôt : Abbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges sam04sep(sep 4)9 h 00 minmar30nov(nov 30)17 h 15 minAu fil du Nil - Juliette Agnel sur les traces de Flaubert et de Du CampAbbaye de Jumièges, 24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges Détail de l'événementL’abbaye de Jumièges programme, au Logis abbatial, une sélection de deux séries photographiques de l’artiste Juliette Agnel : Voyage dans le temps et Nocturnes – Soudan. Son travail a été Détail de l'événement L’abbaye de Jumièges programme, au Logis abbatial, une sélection de deux séries photographiques de l’artiste Juliette Agnel : Voyage dans le temps et Nocturnes – Soudan. Son travail a été en partie inspiré par la production photographique que Maxime Du Camp réalisa lors de son voyage en Orient avec Gustave Flaubert, publié dans Égypte, Nubie, Palestine et Syrie : dessins photographiques recueillis pendant les années 1849, 1850 et 1851. Ouvrage accompagné d’un texte explicatif et précédé d’une introduction par Du Camp, alors chargé d’une mission archéologique en Orient par le ministère de l’Instruction publique en 1852. Qui est Juliette Agnel ? Née en 1973, Juliette Agnel a fait des études d’arts plastiques et d’ethno-esthétique à Paris 1 et aux Beaux Arts de Paris (félicitée en 1999). Une rencontre avec Jean Rouch l’amène sur les routes de l’Afrique pendant plus de 10 ans. En 2011, elle conçoit et fabrique une machine : la camera obscura numérique avec laquelle elle filme et photographie. Soutenue par Michel Poivert qui l’invite au séminaire photographique en 2012, son travail sera exposé en Corée du Sud, en Norvège ou en France, notamment à la FIAC (Galerie Françoise Paviot – 2013), aux Nouvelles Vagues du Palais de Tokyo (2013), à l’exposition Close to me de Guillaume Lasserre (2015), au Mois de la Photo (2015), à Paris Photo (2016). Elle a bénéficié d’une exposition personnelle à L’Espace Van Gogh à Arles en 2014 et est invitée par Léa Bismuth, aux Tanneries d’Amilly en 2017. Elle participe au Prix découverte à Arles en 2017 avec « les Nocturnes » qui seront aussi présentées à la FIAC la même année. Elle poursuit son travail de recherche vers les paysages extrêmes lors d’une expédition au Groenland en 2018 et est invitée à produire et montrer ce travail, « les Portes de glace » au centre d’art Labanque (Béthune) pendant l’année 2018-2019 pour le 3e volet de la trilogie sur Georges Bataille (La traversée des Inquiétudes, commissaire Léa Bismuth) et en parallèle à Chaumont-Photo-sur-Loire. Commissariat d’exposition : Juliette Agnel et Caroline Dorion-Peyronnet DatesSeptembre 4 (Samedi) 20 h 00 min - Novembre 30 (Mardi) 4 h 15 min(GMT-11:00) LieuAbbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges Abbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 JumiègesJusqu’au 15 septembre : tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h. À partir du 16 septembre : de 10h à 12h30 et de 14h30 à 17h Plein tarif : 7,50€ / Tarif réduit : 5,50€ Get Directions CalendrierGoogleCal À LIRE : Bicentenaire Gustave Flaubert en Seine-Maritime : « Madame Rêve en Bovary », « Voyage(s) en Orient », Flaubert et la photographie : Juliette Agnel L’Invisible de Juliette Agnel aux éditions Isabelle Sauvage Covid-19 et les photographes : Entretien avec Juliette Agnel « Pour un fonds d’urgence unique! « Marque-page1
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