Carte blanche à Quentin Bajac : Regards. Un siècle de photographie, de Brassaï à Martin Parr 16 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur 16 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Quel avenir pour les archives photographiques de presse ? 2 jours ago
Un nouveau cycle – Rencontre avec Eric Karsenty, correspondant à l’Académie des Beaux-Arts 3 jours ago
Sous la Surface – Rencontre avec Christoph Wiesner, directeur du festival des Rencontres d’Arles 2 septembre 2024
La Part des Femmes publie une étude de cas visant à changer la lecture et la production des portraits de presse 1 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Maroc, Marrakech, Meknès, Mamicha, Moi… Michèle par Michèle Demier-Fabre 5 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Elles étaient une fois les 3 ELLES…Tamachaôts par Djamila Beldjoudi-Calin 21 juin 2024
Interview avec Sacha Guedj Cohen de la galerie Spiaggia Libera : ouverture de LA PLAGE (Marseille), un « espace de résistance par la création » 16 heures ago
Rentrée de l’art à Marseille, entretien avec Charlie Warde « Marseille a un côté Punk, expérimental et Do It Yourself en flux continu » 3 jours ago
MANIFESTA 15 Barcelone : Hedwig Fijen « Manifesta 15 vise à susciter un engagement plus profond à l’égard des défis et des possibilités propres à la région ». 6 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 3mins Le jury vient d’annoncer le nom du lauréat du Prix Roger Pic 2021. Il s’agit du photographe documentaire Alexis Vettoretti pour sa série intitulée L’hôtel de la dernière chance. Florence Levillain (Signatures, maison de photographe) a quant à elle reçu la mention spéciale pour « Nébuleuse ». Doté de 5.000 € par l’Association Scam Vélasquez, ce Prix récompense le travail d’un photographe témoignant d’un regard humaniste et généreux. Le jury était composé de Jacques Graf, Sandra Reinflet, Guy Seligmann, Christine Spengler et Steven Wassenaar. L’hôtel de la dernière chance de Alexis Vettoretti Je me suis rendu régulièrement dans un hôtel longue durée d’un quartier populaire de Paris. Depuis un demi-siècle ce lieu accueille des hommes, un loyer moyen de 500 € par mois pour quelques m2. Ils s’appellent Joël, Rolland, Pascal et vivent dans une chambre, sans cuisine, toilettes et douche à l’extérieur. Ils font partie de la « zone grise ». Une zone de notre société boueuse, où quand on y met le pied, il est difficile d’en sortir. Elle s’accroche aux godasses et laisse des traces. Alexis Vettoretti Photographe documentaire, Alexis Vettoretti part à la rencontre des gens et du temps. À la recherche de cette nostalgie qui attrape les cœurs, lui pour qui le fatalisme a quelque chose de séduisant, aime raconter des histoires de vie qui s’inscrivent dans une temporalité sociale donnant matière à réflexion et émotion. Il aime que ses photos d’abord interpellent, puis s’adoucissent ensuite, et se laissent apprivoiser par le regardant. Il s’intéresse à la condition ouvrière, celle qui traverse les époques et les géographies, et dont les groupes d’individus sont aujourd’hui les témoins d’une révolution florissante passée. Brouillant la temporalité, il emmène le public à la rencontre de femmes et hommes qui sont là, immuables, parce qu’en réalité, tout change et rien ne change. © Florence Levillain Nébuleuse de Florence Levillain / Signatures. C’est l’histoire d’une adolescente qui décrit le monde qui s’offre à elle. Le monde présent confiné, absurde, contradictoire mais auquel elle tient malgré tout et le monde à venir, inquiétant, entaché de problèmes écologiques, sociaux, sanitaires mais qu’elle souhaite irréductiblement humoristique et créatif. On y parle ensemble d’être obligatoirement dans sa bulle, solitaires et perclus d’ennui, de pollutions de toutes sortes mais aussi d’espoir et de poésie. Car à 15 ans même abasourdie on veut y croire. Cette série ambivalente dénonce la noirceur du monde mais de manière lumineuse et chatoyante pour rester tournée vers l’avenir et porteuse d’espoir. Florence Levillain Florence Levillain suit deux lignes directrices centrées sur l’humain, l’une sociale, l’autre ludique. Elle entre dans les collections de la MEP avec une série hommage à Sabine Weiss et dans celles du MFP avec « Parce qu’ils le valent bien » (2017). Ses portraits d’usagers des bains publics sont exposés au festival ImageSingulières, à la Maison des métalos, au Merlan et lors du Mois de la photo du Grand Paris (2018). Lauréate des résidences des festivals Les femmes s’exposent (2018) et Saint-Brieuc (2019) elle aborde le territoire par le biais de portraits d’anonymes. En 2020, elle expose « Au pied de la lettre » à fotofever et « femmes de science », une carte blanche de l’université du Havre. Florence Levillain est membre de l’agence Signatures. Favori0
L'Edition Doppelgänger (Wild Morvan Tour) par Manu Jougla & Simon Vansteenwinckel On sous-estime trop souvent les potentialités de certains lieux. Le Morvan, par exemple, est rarement vu comme la Mecque de la street ...
Evénements Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur La 5ème édition du Parlement de la Photographie sur la thématique « Penser ensemble le futur de la Photographie » s’est déroulée au Palais ...
Evénements Yasuhiro Ishimoto au BAL, un passeur entre Orient et Occident Le BAL présente jusqu’au 17 novembre, une exposition inédite consacrée au photographe japonais Yasuhiro Ishimoto. C’est la première fois qu’il est présenté ...
Carte blanche à Quentin Bajac : Regards. Un siècle de photographie, de Brassaï à Martin Parr 16 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur 16 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Quel avenir pour les archives photographiques de presse ? 2 jours ago
Un nouveau cycle – Rencontre avec Eric Karsenty, correspondant à l’Académie des Beaux-Arts 3 jours ago
Sous la Surface – Rencontre avec Christoph Wiesner, directeur du festival des Rencontres d’Arles 2 septembre 2024
La Part des Femmes publie une étude de cas visant à changer la lecture et la production des portraits de presse 1 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Maroc, Marrakech, Meknès, Mamicha, Moi… Michèle par Michèle Demier-Fabre 5 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Elles étaient une fois les 3 ELLES…Tamachaôts par Djamila Beldjoudi-Calin 21 juin 2024
Interview avec Sacha Guedj Cohen de la galerie Spiaggia Libera : ouverture de LA PLAGE (Marseille), un « espace de résistance par la création » 16 heures ago
Rentrée de l’art à Marseille, entretien avec Charlie Warde « Marseille a un côté Punk, expérimental et Do It Yourself en flux continu » 3 jours ago
MANIFESTA 15 Barcelone : Hedwig Fijen « Manifesta 15 vise à susciter un engagement plus profond à l’égard des défis et des possibilités propres à la région ». 6 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur