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Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsCultureSecrets et le magazine 9 Lives vous convient à une visite privée à la galerie Polka le jeudi 24 novembre à 19 heures. L’occasion de découvrir les œuvres d’Alexander Gronsky et de Toshio Shibata dans des conditions privilégiées. Vous souhaitez faire partie des 6 invité·es ? Envoyez-nous un mail à info@9lives-magazine.com avec vos nom et prénom. Les premiers arrivés, seront les premiers servis. À l’occasion du Mois de la Photo, CultureSecrets vous invite à découvrir en privé, les deux nouvelles expositions de la Polka Galerie, institution de la photographie contemporaine : “Something Is Going On Here” d’Alexander Gronsky et “Boundary Hunt” de Toshio Shibata. Dans son exposition “Something Is Going On Here”, Alexander Gronsky étudie la façon dont ses concitoyens continuent de vivre depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par Vladimir Poutine. L’exposition s’ouvre sur l’image d’une manifestation pro-Kremlin au coeur de la capitale russe. A ces cris de soutien, Alexander Gronsky répond par des tableaux silencieux, épurés, subtils, ironiques parfois, dans lesquels les Moscovites apparaissent comme les figurants d’une pièce de théâtre. Toshio Shibata, photographe japonais, a consacré toute sa carrière au paysage. C’est à son retour au Japon, en 1979, après une formation à l’Académie royale des beauxarts de Gand en Belgique, qu’il trouve son thème de prédilection: l’infrastructure. Barrages, ponts suspendus, renforcements de terrain et autres aménagements l’hypnotisent. Avec l’exposition “Boundary Hunt”, Shibata réinvente la mise en scène de son travail. Lui qui était plutôt habitué à une scénographie contemplative, souhaite dans cette exposition mettre les photographies en rapport afin de créer un dialogue visuel. CultureSecrets Le Meilleur de la Culture à Paris. En secret. Un un clic. Avec le Pass CultureSecrets, choisissez vos sorties préférées parmi une large sélection d’événements : Rencontres d’artistes, ateliers, visites privées d’expositions & vernissages, théâtres, concerts, billets coupe-file… > https://www.culturesecrets.com INFORMATIONS PRATIQUES Visite privée des expositions le Jeudi 24 Novembre à 19h Galerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 Paris ven11nov11 h 00 min2023mer11jan19 h 00 minToshio ShibataBoundary HuntGalerie Polka, 12, rue Saint-Gilles 75003 Paris Détail de l'événement« Lorsque j’ai commencé, je ne cherchais pas à faire un commentaire sur les questions environnementales. J’étais en quête d’une sorte de beauté. J’essaie de respecter cet équilibre très subtil Détail de l'événement « Lorsque j’ai commencé, je ne cherchais pas à faire un commentaire sur les questions environnementales. J’étais en quête d’une sorte de beauté. J’essaie de respecter cet équilibre très subtil entre l’homme et la nature. Cette tension est nécessaire pour que mes photographies conservent leur force.» Inspiré par les grands maîtres de la côte ouest américaine (Ansel Adams, Edward Weston et Robert Adams), Toshio Shibata, photographe japonais né en 1949, a consacré toute sa carrière au paysage. C’est à son retour au Japon, en 1979, après une formation à l’Académie royale des beaux-arts de Gand en Belgique, qu’il trouve son thème de prédilection: l’infrastructure. Barrages, ponts suspendus, renforcements de terrain et autres aménagements l’hypnotisent. « J’ai tenté de trouver quelque chose qui n’avait jamais été vu comme un sujet photographique, le genre de choses que les autres essaient d’éliminer de leurs images. » Shibata choisit ses vues pour leurs possibilités picturales. A l’instar de Paul Cézanne avec la Provence ou les natures mortes, une influence majeure pour le Japonais: «Comme lui, je photographie des motifs sur lesquels on ne s’arrête pas. En prenant de la distance, le paysage vient ainsi ressembler à une nature morte.» Entre 2000 et 2004, Toshio Shibata débute une période d’expérimentation pendant laquelle il retrouve le film Type 55, qu’il avait employé en tant qu’étudiant, plus de 400 prises de vue sont réalisées au Japon et aux Etats-Unis avec cette pellicule. Le procédé chimique du film produit par Polaroid provoque une rupture : lors du développement, une bordure constituée de lignes brutes quasi métalliques et de traces chimiques apparaît. Shibata décide de la conserver. « Lorsque je regarde l’image qui en résulte, explique-t-il, je me trouve à la limite entre une photographie et un dessin.» Cette bordure donnera son nom à la série « Boundary Hunt » («A la recherche de la frontière») exposée pour la première fois en France à la galerie Polka . Une référence au cadre qui vient se superposer aux images, mais aussi à la quête de nouvelles frontières photographiques. Avec Boundary Hunt, Shibata réinvente aussi la mise en scène de son travail. Lui qui était plutôt habitué à une scénographie contemplative, faite de tirages grand format incitant à une lecture lente de ses images, souhaite dans cette exposition mettre les photographies en rapport afin de créer un dialogue visuel. Il juxtapose différents plans, différents points de vue. Des compositions jouant sur l’extension d’une courbe qui traverse un ensemble de trois clichés disparates ou encore sur un motif géométrique décliné sous plusieurs formes et à plusieurs échelles. Un mur entier constitué de tirages contacts laisse à chacun l’occasion de créer ses propres associations et de se plonger au coeur des paysages déroutants d’un photographe qui préfère la douceur des lignes à la brutalité d’un combat environnemental. L’exposition Boundary Hunt, la recherche de frontière de Toshio Shibata, est une symphonie harmonieuse. Photo : Makioka Town, Yamanashi Prefecture, 2003. © Toshio Shibata, Courtesy Polka Galerie DatesNovembre 11 (Vendredi) 11 h 00 min - Janvier 11 (Mercredi) 19 h 00 min LieuGalerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 Paris Galerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 ParisOuvert du mardi au samedi de 11h à 19h00 ou sur rendez-vous Get Directions CalendrierGoogleCal Galerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 Paris ven11nov11 h 00 min2023mer11jan19 h 00 minAlexander GronskySomething Is Going On HereGalerie Polka, 12, rue Saint-Gilles 75003 Paris Détail de l'événementDepuis le début de l’invasion de l’Ukraine par Vladimir Poutine, le 24 février dernier, Alexander Gronsky étudie la façon dont ses concitoyens continuent de vivre pendant le conflit. «Je prends Détail de l'événement Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par Vladimir Poutine, le 24 février dernier, Alexander Gronsky étudie la façon dont ses concitoyens continuent de vivre pendant le conflit. «Je prends parti contre la guerre en tant qu’être humain. Cela n’a rien d’héroïque.» Le photographe russe Alexander Gronsky, né à Tallinn, l’actuelle capitale estonienne, en 1980, est pourtant doublement menacé: de prison en raison de son engagement et d’être envoyé sur le front à la cause de la «mobilisation partielle» décrétée par le chef du Kremlin. Arrêté lors de commémoration d’un ancien opposant à Poutine, tué fin février 2015, Gronsky a déjà eu à faire avec les autorités de son pays. Mais malgré les risques, il choisit de rester au pays pour se battre, à sa manière, et pour témoigner. L’exposition «Something Is Going On Here» s’ouvre sur l’image d’une manifestation pro-Kremlin au coeur de la capitale russe. A ces cris de soutien, Alexander Gronsky répond par des tableaux silencieux, épurés, subtils, ironiques parfois, dans lesquels les Moscovites apparaissent comme les figurants d’une pièce de théâtre. Alors que les bombes s’abattent sur l’Ukraine, le «photographe de paysages», comme il se définit lui-même, tourne son objectif vers les faubourgs de la ville dans laquelle il vit depuis plus de quinze ans. Ses images, présentées pour la première fois dans l’exposition de la galerie Polka et publiées dans un livre sous le titre [02-24-2022], montrent que les combats ne perturbent en rien le quotidien des Moscovites. Tout semble normal. «Je n’aime pas les évidences, souligne Gronsky. Je me méfie des regards binaires et de la simplification de l’information.» Son travail questionne, sans chercher à apporter de réponse. Au contraire, il explore la complexité par la richesse des détails. «Ce n’est pas mon rôle d’être en opposition directe avec le régime. Mon travail est volontairement neutre. Je préfère qu’il le reste afin qu’il ne se transforme pas en propagande, pour qui que ce soit. Et je fais ce que je peux pour aider.» En avril dernier, c’est lui qui a impulsé l’opération caritative «Trois jours pour l’Ukraine», organisée par Polka et à laquelle 37 autres artistes ont participé. Le montant des ventes a atteint 110.000 euros et la totalité des bénéfices nets a été versée à la Fondation de France pour venir en aide aux familles ukrainiennes. Son engagement continue. Au sein de cette exposition, une composition de 22 tirages au format 30×40 cm est proposé en édition spéciale à 20 exemplaires au prix de 250€. Une partie des bénéfices sera donnée à la Fondation de France. «L’art est la manière la plus adaptée pour prendre la parole», résume-t-il. Photo : © Alexander Gronsky, Courtesy Polka Galerie DatesNovembre 11 (Vendredi) 11 h 00 min - Janvier 11 (Mercredi) 19 h 00 min LieuGalerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 Paris Galerie Polka12, rue Saint-Gilles 75003 ParisOuvert du mardi au samedi de 11h à 19h00 ou sur rendez-vous Get Directions CalendrierGoogleCal Favori0
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