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Partager Partager Actu Art ContemporainOtherSide Des artistes s’engagent à l’Aquarium de Paris pour la diversité et la sauvegarde des fonds sous-marins Marie-Elisabeth De La Fresnaye8 juin 2017 Temps de lecture estimé : 3minsD’avril à septembre 2017, l’Aquarium de Paris propose un parcours artistique ambitieux et unique mêlant installation, sculptures, street art et photographies entre art et science, au service d’un message unique : la protection des coraux ! Trois volets complémentaires et un concept de visite unique “émerveiller pour protéger”: – “Australie: la défense des Océans” : des sculptures aborigènes en filets de pêche recyclés – “La traversée des apparences” : Hélène Hash, photographies sous-marines – “Codex en eaux fantastiques” : du street art pour un bestiaire marin L’océan représente 71% de la surface de la planète et 96,5% de l’eau présente sur Terre et produit la moitié de l’oxygène que nous respirons. Les récifs coralliens sont, avec les forêts tropicales, les écosystèmes les plus riches et les plus productifs de la planète. Ils abritent une biodiversité exceptionnelle et indispensable à l’homme. Comme le souligne Alexis L Powilewicz, Président Administrateur Général : “Je suis convaincu que l’art et l’art contemporain en particulier, est vecteur formidable de sensibilisation des publics sur les périls environnementaux qui nous menacent. C’est pourquoi chaque année nous présentons les œuvres d’artistes dont la démarche est en résonnance avec les problématiques que nous mettons en exergue. 2017 étant l’année du Corail” Le 1er volet Autralie la défense des océans dévoile 28 sculptures monumentales en ghost nets (filets fantômes) créées par les artistes aborigènes de la communauté de Pormpuraaw (Queensland, Australie) afin d’alerter le public sur un drame écologique et humain.Ces “filets fantômes” non biodégradables dérivent au gré des courants marins et continuent de piéger et de tuer pendant des années une faune fragilisée tout en endommageant fonds marins et récifs coralliens. « Avec cette exposition, nous souhaitons faire découvrir la nouvelle scène artistiques aborigènes qui place les préoccupations environnementales, comme la pollution des océans ou le réchauffement climatique, au cœur de son processus créatif déclare le curator et chef de projet Stéphane Jacob de la galerie Arts d’Australie (Paris). “La traversée des apparences”une dizaine de photographies d’Hélène Ash au cœur de l’intimité des océans Sa démarche consiste à susciter l’émerveillement pour nous inciter à protéger et préserver l’environnement. Je ne suis pas naturaliste. Je ne reproduis pas la nature, je l’offre sous un nouveau jour, dévoile ce qu’elle recèle de plus précieux souligne l’artiste. En parallèle de son exposition, Hélène Ash et l’Aquarium de Paris organisent un concours international “Emerveiller pour protéger”. Des étudiants d’école internationale d’art sont invités à créer un court film d’animation de une à deux minutes maximum à partir d’une sélection de 5 images de l’artiste Hélène Ash. “Codex en eaux fantastiques” Le street art rentre dans les murs de l’Aquarium pour faire dialoguer l’irréel et le réel avec l’artiste urbain Codex Urbanus. Des chimères imaginaires qui se mêlent aux espères marines environnantes. Place à l’action ! une œuvre participative sera également proposée durant cette exposition, où les visiteurs et notamment les enfants pourront à leur tour continuer le bestiaire marin de Codex, l’occasion de plonger dans l’univers du street-art tout en engageant un dialogue avec les visiteurs autour de ces animaux marins. Enfin des master-class sont organisées avec les artistes pour une rencontre avec le public : Codex Urbanus mais aussi l’artiste aborigène Sid Bruce Short Joe qui viendra témoigner de la disparition de certaines espèces, comme le poisson scie. INFOS PRATIQUES : Corail : cœur de vie Avril à septembre 2017 Aquarium de Paris – Cinéaqua 5, avenue Albert de Mun 75016 Paris http://www.cineaqua.com Bookmark0
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