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Partager Partager La galerie Polka vient d’annoncer l’arrivée d’un nouveau venu : Nick Brandt. Mêlant art et activisme en réalisant des clichés d’environnements menacés, le photographe britannique dénonce l’exode des populations et la destruction alarmante de la vie sauvage en Afrique de l’Est. Avant de découvrir sa nouvelle série « The Day May Break » à la galerie en janvier prochain, les éditions Hatje Cantz viennent de publier un magnifique ouvrage qui dévoile le premier volet de sa nouvelle série. Il entame un long travail sur le sort des humains et des animaux en proie au changement climatique. © Nick Brandt | The Day May Break – Hatje Cantz © Nick Brandt | The Day May Break – Hatje Cantz © Nick Brandt | The Day May Break – Hatje Cantz Le photographe Nick Brandt, spécialiste du territoire africain, revient avec un nouvel ouvrage – premier opus d’un travail plus conséquent – intitulé “The day may break”. Si ce titre est porteur d’espoir, la réalité reste particulièrement préoccupante : le réchauffement climatique pousse des populations entières à la migration, les animaux sont également touchés par cet exil d’un nouveau genre. La Banque mondiale alerte sur le fait que si aucune action efficace n’est menée, ce sont jusqu’à 216 millions de personnes dans le monde qui pourraient migrer d’ici à 2050 pour fuir les effets du changement climatique. Une terrible prophétie qui semble avoir été déjà bien entamée. Dans ce travail, Nick Brandt nous livre des portraits de cette triste réalité. © Nick Brandt | The Day May Break – Hatje Cantz © Nick Brandt | The Day May Break – Hatje Cantz Fin 2020, il se rend dans cinq réserves du Zimbabwe et du Kenya pour réaliser des portraits étonnants. Des animaux sauvages posent aux côtés d’une ou plusieurs personnes, tous sont victimes du dérèglement climatique : cyclones, sècheresses et autres catastrophes naturelles les ont poussés à abandonner leur terres et à migrer. Les animaux quant à eux ont été déplacés dans des réserves, sans espoir d’un retour à la vie sauvage. Nick Brandt porte un message optimiste et tente de prouver qu’il est encore possible de modifier le cours des choses. Toutes les images sont enveloppées dans une épaisse brume, évoquant les limbes. Ces portraits, d’une grande puissance, nous montrent la beauté de ces survivants. INFORMATIONS PRATIQUES The Day May Break Nick Brandt Editions Hatje Cantz 32×34 cm, 168 pages 54€ https://www.nickbrandt.com/ http://www.polkagalerie.com/ Marque-page2
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