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Partager Partager PhotoPortfolio Wind of Death, la Kabylie en proie aux flammes par Sofiane Bakouri La Rédaction4 février 2022 Temps de lecture estimé : 3minsCette semaine, dans notre rubrique consacrée aux photographes, nous avons choisi de partager avec vous la série « Wind of Death », un témoignage des violents incendies qui ont frappés la Kabylie en août dernier. À travers, ses images, le photographe algérien Sofiane Bakouri alerte sur les conséquences du réchauffement climatique. Tous les vendredis nous partageons le travail d’un·e photographe, cette rubrique est la vôtre, comme Sofiane Bakouri, soumettez-nous vos portfolios. Au mois d’août 2021, l’Algérie a enregistré plusieurs départs de feux simultanément dans différents régions du pays, en Kabylie ces incendies ont pris de l’ampleur ; en quelques heures le brasier est devenu ingérable, déchaînant la force destructrice de ce phénomène naturel aggravé par le réchauffement climatique. Témoin du désastre écologique qui a secoué cette région montagneuse, je me suis confronté au pouvoir de transmission de l’image. Celle-ci suscite des sentiments de confusion, de malaise et de désarroi. La tragédie étant propre à stimuler et imprégner notre mémoire profonde sur les dangers du réchauffement climatique. Pour substituer aux chiffres et aux statistiques la charge émotive, tout en s’adressant à la rationalité. Il est depuis toujours amoureux d’une terre, la sienne. A 33 ans, le photographe algérien Sofiane Bakouri porte sur elle, sur ceux qui l’habitent et l’arpentent, un regard juste, sensible, affûté. Il sait habiter toutes les nuances d’une étendue pierreuse ou saisir à la volée les ombres d’un visage, attraper d’un coup d’oeil agile le chant qui s’échappe d’une poitrine révoltée ou capturer, dans une masure de montagne à l’abandon, la chaleur d’un feu qui crépite. La photographie était une passion dévorante, il en a fait un métier. Initié aux arts visuels et à la création documentaire, il s’appuie sur une solide formation technique, sanctionnée par un diplôme. Il est lauréat de plusieurs concours. Ses oeuvres ont été exposées à Bruxelles, Strasbourg, Sfax, Tunis, Perpignan, Alger, Oran, Skikda, Brasilia. D’un bout à l’autre de l’Algérie, il anime des ateliers photographiques ; sa pratique, il aime la partager, au gré des rencontres où dans le monde associatif à l’ombre duquel grandissent de jeunes talents. Il appartient à une génération d’artistes généreux, tisseurs de lien social, attentifs à ce qui éclot sur les ruines d’un monde condamné ; comme photographe de terrain, il a la probité de ceux qui savent, dans cette ère d’immédiateté, la charge d’une image. Les siennes ne mentent pas. De ses pérégrinations en Algérie et dans tout le Maghreb, Sofiane Bakouri rapporte, dans une exubérance de couleurs ou dans la pénombre de ses noirs et blancs, des scènes, des portraits, des paysages incandescents, beaux précipités de la vie telle qu’elle va dans l’incomparable lumière de cette Afrique du nord qui trébuche, se perd, se relève, se cherche sans trêve un chemin d’émancipation. http://www.sofianebakouri.com Vous êtes photographes et vous souhaitez donner de la visibilité et de la résonance à votre travail ? Notre rubrique Portfolio vous est consacrée ! Comment participer ? Pour soumettre votre travail à la rédaction, il vous suffit d’envoyer à info@9lives-magazine.com • Une série composée de 10 à 20 images. Vos fichiers doivent être en 72DPI au format JPG avec une taille en pixels entre 1200 et 2000 pixels dans la plus grande partie de l’image ; • Des légendes (si il y a) ; • Un texte de présentation de votre série (pas de format maximum ou minimum) ; • Une courte biographie avec les coordonnées que vous souhaitez rendre public (site web, email, réseaux sociaux…) Marque-page1
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