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Partager Partager Temps de lecture estimé : 5minsVous en avez marre de l’attente de plus en plus longue dans le métro et de voyager dans des rames blindées ? Le réseau du métro parisien, malgré ses promesses d’amélioration, peine à retrouver son trafic d’avant et offrir des conditions dignes de ce nom aux voyageurs (en particulier sur certaines lignes). Nous n’avons aucune solution à apporter à cette situation, par contre nous pouvons vous proposer de rendre votre trajet plus agréable en découvrant l’exposition collective à découvrir jusqu’au 24 mars dans 16 stations du métro parisien, une véritable invitation au voyage à travers les œuvres photographiques de 12 auteur·ices. Mythologies. © Letizia Le Fur Ils sont douze photographes, venus de tout horizon et ils nous offrent une exploration photosensible de la mer, surface comme les profondeurs de cet élément liquide, véritable bien commun essentiel où foisonnent et se côtoient formes de vie connues et inconnues, et activités humaines. Si vous passez par les stations Bastille, Hôtel de Ville, George V, La Chapelle, Breguet – Sabin, Bir-Hakeim, Crimée, Oberkampf, Franklin D. Roosevelt, Saint-Denis – Porte de Paris, Gare de Lyon (L1, RER), Madeleine, Pyramides, Charles de Gaulle – Étoile, Les Halles et La motte Picquet Grenelle, vous pourrez découvrir, en grand format, les œuvres de Patrick Wack, Kathleen Missud, Marine Lanier, Jérémy Appert , Stéphanie O’Connor, Cloé Harent, Diana Takacsova, Robin Lopvet, Giulia Vanelli, Letizia Le Fur, Pia Riverola et Julia Gat. Une sélection de photographe internationaux réalisée par le magazine Fisheye. The Season © Giulia Vanelli Jérémy Appert a côtoyé pendant plusieurs années les groupes de jeunes se défiant à sauter du haut des falaises des Calanques de Marseille. À travers la série Ilinx (tourbillon d’eau en grec ancien), le littoral méditerranéen est un lieu de passage à l’âge adulte, où l’on oscille entre confrontation et union avec les éléments dans une quête de sensations originelles. Quelque part dans un village côtier de la Méditerranée, la photographe italienne Giulia Vanelli nous invite à prendre une dernière pause estivale. Tel un voyage mélancolique dans ces souvenirs d’enfance et d’adolescence, les images noir et blanc de sa série The Season (La saison) nous transportent dans un espace universel où le temps n’a pas de prise. Diana Takascova explore les paysages façonnés par l’homme et la nature le long de la côte belge dans sa série Temporary Views (Vues temporaires). Elle documente un espace en perpétuelle transformation, soumis aux pressions environnementales, économiques et touristiques. Son travail interroge la relation entre l’humain et son environnement, capturant les multiples couches de ce littoral unique et vulnérable. Cloé Harent partage son expérience intime avec la mer, offrant une ode photographique à la biodiversité fragile des estrans normands, ces zones qui se couvrent et se découvrent au gré des marées. À travers sa série Bruit Rose, elle capte la puissance des marées et leur influence sur le paysage, où chaque retrait des flots laisse place à des tableaux éphémères, dévoilant des micros-paysages iodés. Le travail de Julia Gat explore les thèmes de l’intime, de l’identité et des rapports parfois complexes entre les individus et leur environnement. Projet au long cours réalisé autour de la Méditerranée, Mare Internum invite à renouer avec les sensations de l’eau, entre moments de partage sur le littoral et plongée introspective en haute mer. Stephanie O’Connor dirige son objectif vers les paysages marins qui l’entourent. Elle capture des lieux familiers où tout semble avoir changé. À travers ses deux projets All Stars Stand Close in Summer Air (Toutes les étoiles sont proches dans l’air d’été) et Never Tire of Looking at the Stars (Ne te lasse jamais de regarder les étoiles) la photographe joue avec les reflets de l’eau et la lumière du soleil pour créer des images presque hallucinatoires. Le travail de Kathleen Missud s’articule autour des notions de l’intime, de la mémoire et du territoire. Accordant une attention particulière aux détails, ses images sont autant de fragments d’une enfance rythmée par le mouvement des vagues où le souffle du vent – comme le chant des sirènes – invite aux retrouvailles. Azov Horizons. © Patrick Wack Patrick Wack se consacre à des projets documentaires de long terme dédiés à la compréhension de notre époque. Avec Azov Horizons, série réalisée autour de la mer d’Azov (et de la mer Noire), il combine symbolisme et approche documentaire pour évoquer les conflits et l’histoire de cette région au travers d’un prisme estival inhabituel. Le travail présenté sous le titre Mythologies puise ses racines dans deux passions qui marquentle parcours de Letizia Le Fur depuis son enfance : la mythologie grecque et la quête de la beauté. Inspirée par les poètes classiques, tels qu’Hésiode et Ovide, l’artiste s’empare de ces récits universels pour créer un univers où réel et imaginaire se confondent. Dans sa série D.O.G.S. (Dangerous Objects Growing in the Sky) (Objets Dangereux Évoluant dans le Ciel), Robin Lopvet confronte, à travers des collages numériques, deux types d’images : divers phénomènes naturels et des animaux de compagnie. La rencontre de ces deux univers visuels qui se percutent annule respectivement leur pouvoir de sidération et de divertissement. L’Habit de naufrage. © Marine Lanier Dans L’Habit de naufrage, Marine Lanier imagine un conte maritime mêlant photographies, archives et fiction. Inspirée par l’histoire de son arrière-grand-père, capitaine de vaisseau, elle convoque récifs obscurs, marins solitaires et bestiaires fantastiques dans une exploration poétique des abysses. Le voyage en Antarctique de Pia Riverola nous montre des paysages immaculés – glaciers, icebergs, cieux aux teintes irréelles, symboles de la beauté de ce monde fragile. Avec ce projet, elle interroge la manière dont nous interagissons avec notre planète, rappelant que même les endroits les plus reculés et apparemment éternels se déplacent aussi sous le poids de nos gestes. Expositions visibles jusqu’au 24 mars 2025. Marque-page0
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