Carte blanche à Elodie Mailliet Storm : La série « Driving Home » de Yesica Prado avec Greg Nelson 2 jours ago
Carte blanche à Elodie Mailliet Storm : La couverture du New York magazine d’Eliot Spitzer par Henry Leutwyler 4 jours ago
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : Réinvoque, la représentation affirmée comme vraie par Véronique Lechevallier 1 jour ago
Art Bruxelles, 40ème édition : Interview Sophie Roose directrice Galerie Christophe Gaillard Bruxelles 1 jour ago
Partager Partager L'EditionPhoto Alvin Baltrop, la mémoire oubliée de la jetée Nicolas Menut28 janvier 2020 Temps de lecture estimé : 2minsL’œuvre d’Alvin Baltrop est méconnue en France. Et rares sont ceux à s’être rendus dans les salles du Bronx Museum à New York pour visiter l’exposition monographique qui lui est actuellement consacrée. Celle-ci est accompagnée d’un excellent catalogue intitulé The Life and Times of Alvin Baltrop (Skira, 2019). Pour autant, ce n’est pas cet ouvrage que je souhaite évoquer mais un livre plus ancien, publié en 2015 par TF Editores. Son titre : The Piers. Soit la jetée en français, une friche située dans le West Side à New York, aujourd’hui démolie au profit de luxueuses habitations. Un ponton en ruines où se retrouvait la communauté gay entre 1975 et 1986. Durant 11 ans, le photographe afro-américain Alvin Baltrop (1948-2004) s’est rendu dans ces hangars délabrés, sombres et rouillés afin d’archiver, en tant qu’acteur & témoin, les jeux de séduction et les étreintes animales d’une cohorte d’hommes qui se fichent des couleurs et des confessions. Document à la fois architectural et sociologique, The Piers est composé de photographies en noir et blanc, souvent granuleuses ou floues, qui se présentent comme un état des lieux d’un terrain voué à la disparition et aux jouissances éphémères. Paradoxalement, cette promiscuité apparaît comme un espace de liberté et d’insouciance à une époque où le sida n’était pas encore une menace. On s’y prélasse au soleil, on s’y promène. Les clairs obscurs atténuent la crudité des peaux nues. L’amour y est libre et anonyme. Et, le plaisir venu, demeure un regard ou une pose, comme pour défier la solitude. INFORMATIONS PRATIQUES The Piers Alvin Baltrop Published by TF Editores, 2015 Préface de Glenn O’Brien ISBN : 978-84-15931-23-2 Favori0
Photo Masterclass Oeildeep : Réinvoque, la représentation affirmée comme vraie par Véronique Lechevallier Cette semaine, nous poursuivons la restitution de la dernière Masterclass Oeildeep, qui a été encadrée par Laura Sérani, Stefano de Luigi et ...
News Lela Panchvidze, la photographe géorgienne lauréate du prix IWPA & TAF Photography 2024 L’IWPA, l’International Woman in Photo Association et le Tbilisi Art Fair ont lancé en février dernier leur appel à candidatures pour la ...
Evénements Le Palais Galliera célèbre un demi siècle de photographie avec Paolo Roversi Le Palais Galliera, le Musée de la Mode de Paris, présente la première rétrospective parisienne consacrée au célèbre photographe d’origine italienne, Paolo ...
L'Edition Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne
Carte blanche à Elodie Mailliet Storm : La série « Driving Home » de Yesica Prado avec Greg Nelson 2 jours ago
Carte blanche à Elodie Mailliet Storm : La couverture du New York magazine d’Eliot Spitzer par Henry Leutwyler 4 jours ago
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : Réinvoque, la représentation affirmée comme vraie par Véronique Lechevallier 1 jour ago
Art Bruxelles, 40ème édition : Interview Sophie Roose directrice Galerie Christophe Gaillard Bruxelles 1 jour ago