Carte blanche au collectif Hors Format : Une interview de Manon Cambois, coordinatrice projet de Hors Format 3 jours ago
Carte blanche au collectif Hors Format : Les photographes vous racontent les coulisses d’une photographie 4 jours ago
Carte blanche au collectif Hors Format : “La prise de vue n’est qu’une petite partie du travail” 5 jours ago
Carte blanche au collectif Hors Format : S’engager à plusieurs, c’est s’affranchir de la première marche 6 jours ago
Entretien avec Kourtney Roy : La misogynie et le racisme au cœur de la nouvelle exposition de la Galerie les Filles du Calvaire 7 février 2023
Les éditions au féminin : Le temps est caché dans les plis d’une fleur – Anne-Lise Broyer 7 mars 2023
Embarquement pour la Swedish Ecstasy : Hilma af Klint et autres visionnaires à Bozar, Bruxelles 7 jours ago
Deux productions contemporaines en regard des collections du Musée Unterlinden de Colmar 10 mars 2023
Partager Partager L'Invité·e Carte blanche à Fannie Escoulen : Pauline Fargue La Rédaction26 février 2020 Temps de lecture estimé : 2minsPour sa deuxième carte blanche, la commissaire d’exposition indépendante et conseillère artistiques du Prix HSBC pour la Photographie 2020, Fannie Escoulen, nous présente l’une de ses coups de cœur : il s’agit de l’artiste Pauline Fargue. Elle nous dévoile une série en cours sur l’érosion visuelle dont la première oeuvre sera exposée dans une galerie arlésienne en mars prochain. J’ai rencontré Pauline Fargue en 2012, alors que je travaillais sur une exposition des anciens diplômés de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles au BAL. En 2015, Sam Stourdzé m’a proposé d’être l’une des nominatrices du Prix découvertes aux Rencontres d’Arles, et j’ai eu l’intime conviction que je devais poursuivre ma collaboration avec Pauline à cet endroit là. C’était la continuité d’un travail que nous avions amorcé quelques années plus tôt…. Depuis une quinzaine d’années, Pauline Fargue manipule les images dans des carnets toujours identiques. Huit mille pages où photo et graphie se contaminent l’une l’autre, où la photographie devient matière à travailler, découper, plier, traverser. Tout à la fois journal, méthode d’archivage et aventure collective, ils témoignent d’un processus de travail incessant où le banal devient matrice de l’étrange, où l’arbitraire côtoie le rituel et déploie une temporalité souterraine, un présent perpétuel. Nul jour, le titre donné à cette pratique, ainsi qu’à toutes ses photographies, est emprunté à Pline l’Ancien — Nulla dies sine linea—, lequel l’attribue à Apelle, un peintre de l’Antiquité grecque qui ne passait pas une journée sans tracer une ligne. Ici la ligne est la phrase minuscule et quotidienne, la rature du trait qui l’efface, le seuil du paysage, le pli de l’image, le lien qui nous tisse : le temps. Les images présentées dans cette carte blanche témoignent de ce processus de création naissant dans les pages des carnets pour mieux s’en échapper. Elles livrent ici une étape de recherche d’un travail en cours sur l’érosion visuelle dont la première oeuvre sera exposée en mars prochain à la GALERIE LHOSTE à Arles. Il s’agit d’interroger, répéter, déconstruire, fragmenter, déplier un corpus photographique précis afin de produire des «images mentales» qui, dans le décalage avec ce qui nous est donné à voir du monde, fissure le réel, dessine sa disparition…. Favori0
L'Invité·e Carte blanche au collectif Hors Format : Une interview de Manon Cambois, coordinatrice projet de Hors Format Pour leur quatrième et dernière carte blanche, nos invité·es de la semaine, les huit photojournalistes et photographes documentaires du collectif Hors Format, ...
L'Ephéméride Née un 17 mars : la photographe américaine Elizabeth Withington Si vous êtes né·e un 17 mars, vous partagez votre date d’anniversaire avec la photographe américaine Elizabeth W. Withington (1825-1877). Portraitiste et ...
L'Edition Les éditions au féminin : Tisser sa toile – Tina Merandon Si le 8 mars est la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes, c’est tout le mois mars qui est ...
L'Invité·e Carte blanche au collectif Hors Format : Les photographes vous racontent les coulisses d’une photographie
L'Invité·e Carte blanche au collectif Hors Format : “La prise de vue n’est qu’une petite partie du travail”
L'Invité·e Carte blanche au collectif Hors Format : S’engager à plusieurs, c’est s’affranchir de la première marche
Carte blanche au collectif Hors Format : Une interview de Manon Cambois, coordinatrice projet de Hors Format 3 jours ago
Carte blanche au collectif Hors Format : Les photographes vous racontent les coulisses d’une photographie 4 jours ago
Carte blanche au collectif Hors Format : “La prise de vue n’est qu’une petite partie du travail” 5 jours ago
Carte blanche au collectif Hors Format : S’engager à plusieurs, c’est s’affranchir de la première marche 6 jours ago
Entretien avec Kourtney Roy : La misogynie et le racisme au cœur de la nouvelle exposition de la Galerie les Filles du Calvaire 7 février 2023
Les éditions au féminin : Le temps est caché dans les plis d’une fleur – Anne-Lise Broyer 7 mars 2023
Embarquement pour la Swedish Ecstasy : Hilma af Klint et autres visionnaires à Bozar, Bruxelles 7 jours ago
Deux productions contemporaines en regard des collections du Musée Unterlinden de Colmar 10 mars 2023
Carte blanche au collectif Hors Format : Une interview de Manon Cambois, coordinatrice projet de Hors Format