Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique 15 heures ago
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 3 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 2 jours ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré 15 heures ago
Partager Partager L'Invité·ePhoto Carte blanche à la Part des Femmes : L’étude menée par la sociologue Irène Jonas La Rédaction18 mars 2020 Temps de lecture estimé : 3minsPour leur seconde carte blanche, le collectif La Part des Femmes – que nous recevons cette semaine comme invité – nous annonce la publication très prochaine d’une étude confiée à la sociologue (et photographe) Irène Jonas. Ce travail analyse les discriminations et tente d’identifier, à travers la parole des femmes photographes, les difficultés rencontrées et la manière dont elles y font face au cours de leur carrière. C’est Irène Jonas, elle-même, qui nous présente le contexte de cet projet en cours de finalisation. Et pourtant, elles photographient ! Début 2019, la SAIF m’a commandé un rapport sur la santé des photojournalistes qui a été présenté à Visa pour l’Image. Les résultats quantitatifs qu’a présentés le CEREQ et les résultats qualitatifs auxquels je suis arrivée montraient clairement une population de photographes précarisés et en souffrance psychique comme physique. Tout comme l’origine sociale, l’origine ethnique, l’âge, … le sexe de l’interviewé-e fait partie des données à prendre en compte, dans toute étude sociologique. Il n’est pas besoin que le genre soit la porte d’entrée dans une étude pour y être vigilante. En ce qui concerne l’étude pour la SAIF, je n’ai pas réalisé les entretiens auprès des photojournalistes dans une perspective d’étude genrée, mais ce sont les chiffres recueillis par le Cereq et les témoignages recueillis qui m’ont conduite, entre autre, à m’interroger sur cette situation particulière dans laquelle étaient placées les femmes photojournalistes (revenus plus faibles, ralentissement de carrière, mauvaise prise en charge financière du congé maternité, etc.). Lorsque la Part des Femmes m’a contactée, un gros travail statistique avait déjà été réalisé. Le projet de faire une étude sur les femmes photographes s’inscrivait donc pour le collectif dans la volonté de pousser plus loin l’analyse des discriminations et de tenter d’identifier, à travers la parole des femmes photographes, les difficultés qu’elles rencontrent et la manière dont elles y font face au cours de leurs parcours. La Mission Diversité-Égalité du Ministère de la Culture m’a aidée à finaliser cette étude. J’ai réalisé 23 entretiens auprès de femmes photographes, auteures et journalistes, âgées entre 30 et 70 ans, d’origines sociales et ethniques différentes. Tout comme pour l’étude sur la santé, j’ai fait extrêmement attention à ce que l’anonymat soit scrupuleusement respecté, car la peur d’être blacklisté-e est aussi forte pour un photographe dont on apprendrait qu’il est malade que pour une photographe qui évoquerait une situation de harcèlement dans un festival. Une présentation à mi-parcours a été faite à Paris-Photo à l’automne 2019. Cette étude fait apparaître de nombreux espaces et situations qui découragent, ralentissent et entravent les carrières des femmes photographes. Ces freins sont variés et leur cumul devient pénalisant. Mais il montre aussi des femmes photographes qui, envers et contre tout, ne perdent pas le fil, ne cessent de bricoler et s’aménagent coûte que coûte des espaces de création, parfois aux dépens de leur sommeil ou de leur santé. Un rendu final est prévu courant avril. A LIRE Irène Jonas, photographe et sociologue, est notre invitée Débat : Femmes photographes, pourquoi tant d’invisibilisation ? PODCAST : Tables rondes « La Photographie en Danger ! » Finance, Santé, Parité : quelle situation aujourd’hui pour les photographes ? Manifeste pour la photographie Par le collectif La Part des Femmes Participez à la conférence « Les Femmes Artistes sont-elles (vraiment) dangereuses ? » au salon fotofever Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique Pour cette troisième carte blanche, nos invité·es de The Analog Club — lieu emblématique dédié à la photographie argentique à Paris — ...
L'Edition Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud La vie de Letizia Battaglia est un véritable roman, c’est pour cette raison que son amie, la journaliste Sabrina Piou, a souhaité ...
L'Invité·e Carte blanche à The Analog Club : Thibaut Piel, 10 ans de photographie vagabonde Pour leur deuxième carte blanche, nos invité·s de The Analog Club – lieu dédié à la photographie argentique à Paris – ont ...
L'Invité·e Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique 15 heures ago
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 3 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 2 jours ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré 15 heures ago
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré