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L'Ephéméride Né un 12 février : Le photographe pionnier Eugène Atget La Rédaction12 février 2021 Partager Partager Temps de lecture estimé : < 1minSi vous êtes né·e un 12 février, vous partagez votre date d’anniversaire avec le photographe pionnier français Eugène Atget. Une importante rétrospective devait ouvrir ses portes à la Fondation Henri Cartier-Bresson le 19 janvier dernier. Nous sommes dans l’attente d’un ralentissement de la pandémie en vue de la réouverture des lieux culturels. INFORMATIONS PRATIQUES Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris mar19jan(jan 19)11 h 00 mindim25avr(avr 25)19 h 00 minRescheduledVoir ParisEugène AtgetDans l'attente de la réouverture des lieux culturelsFondation Henri Cartier Bresson, 79, rue des Archives 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événementEnviron deux générations séparent les deux photographes. Le premier, Eugène Atget, abandonne sa carrière de comédien, le deuxième, Henri Cartier-Bresson, celle de peintre, au profit d’un art relativement nouveau, l’enregistrement Détail de l'événement Environ deux générations séparent les deux photographes. Le premier, Eugène Atget, abandonne sa carrière de comédien, le deuxième, Henri Cartier-Bresson, celle de peintre, au profit d’un art relativement nouveau, l’enregistrement photographique. Dans une double exposition exceptionnelle et des approches inédites, la Fondation HCB (du 17 novembre 2020 au 21 février 2021) et le musée Carnavalet – Histoire de Paris (au printemps 2021), s’associent pour montrer, à partir de leurs collections, l’essence de la capitale dans l’oeuvre de ces deux grandes figures de la photographie française. Henri Cartier-Bresson, subjugué par l’approche d’Eugène Atget, l’imitera jusqu’au moment où il découvre le Leica et pratique l’image à la sauvette. « Prendre la poudre d’escampette » après avoir enregistré ce qu’il a vu, comme le disait souvent Cartier-Bresson, reste sa provocation favorite alors que pour Atget, dès l’aube, son lourd chargement sur le dos, l’enregistrement est très réfléchi ; on y devine peu de hasards mais un plaisir de la vision qui s’affirme avec le temps. Atget, plus intéressé par la ville, depuis l’architecture la plus classique jusqu’aux cours les plus reculées, a mis en images de façon obsessionnelle un Paris marqué par l’histoire, proposant ses tirages à des peintres ou des bibliothèques. Les personnages qui s’invitent dans le cadre se fondent dans le décor. Henri Cartier-Bresson, après avoir fréquenté les surréalistes dans les années vingt, se découvre voyageur au long cours, avec Paris comme port d’attache. Plus que la ville, c’est l’Homme qui l’intéresse, il le saisit dans la rue ou à l’occasion de rencontres. Son boitier ne le quitte pas, photographier est une respiration, une affirmation, une protestation parfois, avec de temps en temps une velléité documentaire mais sans satisfaction. Atget n’a rien dit ou presque sur son travail. Des propos rapportés ont servi à définir un projet essentiellement documentaire mais son approche directe et emprunte de poésie a fasciné nombre de ses contemporains, d’où les commentaires les plus contradictoires sur cette oeuvre atypique. Cartier-Bresson, dont le musée Carnavalet possède une belle collection, a beaucoup commenté son travail et surtout en opposition à ce que l’on voulait lui faire dire. Il en résulte une autre complexité confirmée par l’examen de ses archives conservées au sein de sa fondation. Photographes, Atget et Cartier-Bresson sont aussi de grands lecteurs. Ces deux figures foncièrement indépendantes, un brin austères, n’ont cultivé ni concepts intellectuels ni principes artistiques pour se fonder sur la valeur de l’expérience. Ils invitent à exercer notre regard, à considérer la complexité de ce monde comme la source même de notre faculté imaginaire. L’Histoire a voulu que ces deux oeuvres, émancipatrices de la photographie, soient d’abord reconnues aux États-Unis, avant de laisser chacune une postérité immense. Les deux commissaires ont voulu que cette sélection originale reflète la dimension poétique des deux auteurs. À l’occasion de la réouverture du musée Carnavalet et du deuxième anniversaire de l’arrivée dans le Marais de la Fondation HCB, c’est une célébration de Paris par des regards singuliers, un siècle avant qu’elle ne devienne la ville la plus photographiée au monde. COMMISSARIAT DES DEUX EXPOSITIONS Anne de Mondenard, responsable du département Photographies et Images numériques, musée Carnavalet – Histoire de Paris Agnès Sire, directrice artistique, Fondation HCB Dates Janvier 19 (Mardi) 11 h 00 min - Avril 25 (Dimanche) 19 h 00 min LieuFondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisLa Fondation est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h. Plein tarif 10 € / Tarif réduit 5 € (sur justificatif) CalendrierGoogleCal Bookmark0
Les Rencontres photographiques de ViaSilva ont trouvé leurs photographes résidentes pour leur 5ème édition
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