Épisode IV : Focus contractuel – nouer une relation avec une galerie d’art Entretien avec Cyrielle Gauvin, avocate associée cabinet Aœdé 3 jours ago
D’une image à l’autre, histoire de résurrection Entretien avec Christine Delory-Momberger 28 novembre 2023
Julien Alamo, A Conversation about Museum-Quality Printing, Commuting to Brooklyn by Ferry, and Success 27 novembre 2023
Masterclass Oeildeep : Pulsion, Corps & Figures, une série d’autoportraits par Camille Guichard 17 novembre 2023
Interview Jonathan Pêpe, Cité Internationale des Arts : « De quelle croyance les objets technologiques sont-ils porteurs ? » 6 heures ago
Interview Chloé Viton et Geoffrey Badel, SOL ! au MO.CO et « The Manila Room » au Frac Occitanie 3 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsCultureSecrets et le magazine 9 Lives vous convient à une rencontre privée avec l’artiste français Philippe Ramette avant la fermeture de son exposition à la galerie Xippas (Paris) le vendredi 2 décembre à 19 heures. L’occasion de découvrir auprès de son créateur les œuvres mêlant photographie, sculpture et installation. Vous souhaitez faire partie des 6 invité·es ? Envoyez-nous un mail à info@9lives-magazine.com avec vos nom et prénom. Les premiers arrivés, seront les premiers servis. Philippe Ramette Allégorie de la création, 2022. Photographie couleur, 160 x 120 cm. © Philippe Ramette, ADAGP, Paris, 2022. Photographe: Marc Domage. Courtesy de l’artiste et Xippas A l’occasion de la nouvelle exposition de Philippe Ramette à Paris, CultureSecrets vous invite à une rencontre privée avec l’artiste. Cet artiste renommé dont la pratique se déploie entre photographie, sculpture, installation, dessin, joue sur l’imaginaire, le détournement de sens et les modifications de la perception. Dans ses sculptures et photographies, Philippe Ramette se met en scène dans des postures illogiques et improbables qui démontrent un côté absurde de l’existence. Né en 1961 à Auxerre, en France, Philippe Ramette vit et travaille à Paris. Connu surtout pour ses photographies qui mettent en scène des situations physiquement improbables, Philippe Ramette clarifie et complique à la fois la façon dont nous voyons et appréhendons le monde. Faire l’expérience d’une de ses expositions, c’est entrer dans un champ de questions concernant ce qui est tangible, ou ce qui peut constituer le physiquement plausible.. CultureSecrets Le Meilleur de la Culture à Paris. En secret. Un un clic. Avec le Pass CultureSecrets, choisissez vos sorties préférées parmi une large sélection d’événements : Rencontres d’artistes, ateliers, visites privées d’expositions & vernissages, théâtres, concerts, billets coupe-file… > https://www.culturesecrets.com INFORMATIONS PRATIQUES Rencontre privée avec Philippe Ramette à la Galerie Xippas (Paris) le vendredi 2 Décembre à 19h Galerie Xippas Paris108 rue Vieille du Temple 75003 Paris sam15oct(oct 15)14 h 00 minsam03déc(déc 3)19 h 00 minPhilippe RametteGalerie Xippas Paris, 108 rue Vieille du Temple 75003 Paris Détail de l'événementLa galerie Xippas a le plaisir de présenter la 6ème exposition personnelle de Philippe Ramette dans son espace parisien. C’est dans la continuité de ses œuvres précédentes, présentes dans l’espace Détail de l'événement La galerie Xippas a le plaisir de présenter la 6ème exposition personnelle de Philippe Ramette dans son espace parisien. C’est dans la continuité de ses œuvres précédentes, présentes dans l’espace public que Philippe Ramette convoque sa silhouette désormais familière, à travers onze nouvelles sculptures et une photographie inédite. Un personnage en bronze, support à la représentation fidèle de l’artiste, mais d’échelle domestique, formalise les étapes et les états d’introspection et de doute, mais non moins constructifs, que constitue le processus créatif : un cheminement ponctué de questionnements, de renoncements et de déterminations. Expression d’images mentales plutôt que d’objets figés, l’ensemble crée un scénario où le spectateur est invité à se projeter, interpellé par la représentation formelle des états d’âme de l’artiste, mais où les œuvres convoquent nos limites communes. Eloges du déséquilibre, de l’introspection et de la déambulation où l’artiste s’appuie sur le vide avec toute la nonchalance dictée par l’énoncé de leur titre ; Eloge de l’insatisfaction où la statue à l’effigie de l’artiste déploie sa force à repousser les limites, un mur. Ironie de la situation avec le Sculpteur allant travailler sur le motif où la statue porte un socle en pierre sur son dos ; Eloge de la procrastination dont la sculpture dans une attitude attentiste fait une pose adossée à son socle. De la formalisation de processus mentaux dictés par les titres résultent des postures improbables qui conduisent à l’ironie voire parfois à l’absurde. En témoigne cette silhouette désarticulée, Eloge du doute où le personnage est envahi au point de subir une perte de contrôle totale, mentale et physique. Il se tord le cou et les membres tentant à la fois de « voir le chemin parcouru », mais d’aller de l’avant. Proposition de monument en l’honneur de ceux qui se trompent toujours de direction où dans une posture mêlant l’emphase à la conviction, l’artiste désigne une direction. Ici la détermination énoncée de la posture entre en contradiction ironique avec une certaine mélancolie du titre. Enfin, Pas perdu retrouvé figure l’empreinte d’une chaussure figée dans le bronze, un pas qui s’il était égaré manquerait à la réalisation de l’intégralité d’un parcours, un pas sans lequel nul ne saurait poursuivre son œuvre. Chaque sculpture se distingue par un choix de pierres et de patines de couleur différentes allant du noir, au doré ou au vert. Elles nous rappellent les sculptures du XIXe et XXe qui ponctuent l’espace public, mais évoquent avant tout un espace de création atemporel qui se prête à toutes les réactivations possibles. Puis, il y a Allégorie de la création. Cette photographie inédite atteste également de la réactivation du principe déjà mis en place dans ses premières œuvres, à savoir l’utilisation des objets-prothèses par l’artiste-modèle. Pour cette image, Philippe Ramette s’est emparé d’une sculpture présentée dans l’exposition, une sorte de casque-arrosoir en laiton. Cet objet s’inscrit dans la lignée d’un corpus d’œuvres, les Objets à réflexions où un jeu de mots entre le sens littéral du matériau réfléchissant utilisé et la fonction énoncée de l’objet fait aphorisme. Philippe Ramette pose pour la photographie, cet arrosoir juché sur la tête. A travers cette mise en scène d’un personnage-artiste, un paysage méridional en arrière-plan, il nous propose une utilisation possible de cet objet-sculpture, sorte de réceptacle d’idées, d’intuitions voire d’émanations divines. Cet objet qui nous permettrait en le portant de filtrer le fruit de ces récoltes et de possiblement faire œuvre Né en 1961 à Auxerre, France, Philippe Ramette vit et travaille à Paris. L’œuvre de Philippe Ramette est visible dans divers espaces publics : sa sculpture Eloge du pas de côté, installée place du Bouffay à Nantes en 2018 pour le festival Voyage à Nantes, est devenue pérenne, ainsi que Éloge de la transgression présente également à Nantes dans la cours Cambronne. Une installation d’envergure, Eloge du déplacement est visible à Nice depuis 2018 le long de la nouvelle ligne de tramway. Plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées récemment en France et à l’étranger, notamment à Hors cadre, Auxerre, France (2020), Le Voyage à Nantes (2018), au Portique hors les murs, Abbaye-aux-Dames, Caen (2018), à Polygone Riviera, Cagnes-surMer (2017), au Parvis, Scène nationale Tarbes Pyrénées (2017), à l’Entrepôt 9, galerie Barnoud, Dijon (2017), au Centre régional d’art contemporain, Sète (2016), à l’Espace Malraux, Chambéry (2016), Vitrines sur l’art, sous la Coupole des Galeries Lafayette, Paris (2014), à l’Institut Français, Lasi, Roumanie (2014), à la Fondation Pablo Atchugarry, Punta del Este, Uruguay (2013), une exposition itinérante en Inde à l’Alliance Française (2012-2013). Ses œuvres font partie des collections muséales et privées dont Centre Georges Pompidou (Paris), Fonds National d’Art Contemporain (Paris), MAC/VAL (Vitry-sur- Seine), MAMCO (Geneva), Maison Européenne de la Photograhie (Paris), SMAK, Museum Van Hedendaage Kunst (Gand), Israel Museum (Jerusalem), Fondation Neuflize (Paris), Société Générale (La Défense, France), Nouveau Musée National de Monaco, Musée d’Art Contemporain (Marseille), entre autres Photo : Philippe Ramette Allégorie de la création, 2022. Photographie couleur, 160 x 120 cm. © Philippe Ramette, ADAGP, Paris, 2022. Photographe: Marc Domage. Courtesy de l’artiste et Xippas DatesOctobre 15 (Samedi) 14 h 00 min - Décembre 3 (Samedi) 19 h 00 min LieuGalerie Xippas Paris108 rue Vieille du Temple 75003 Paris Galerie Xippas Paris108 rue Vieille du Temple 75003 Paris Get Directions CalendrierGoogleCal Favori0
L'Invité·e Biennale de l’Image Tangible : Les expositions satellites 1/2 À l’occasion de cette troisième édition de la Biennale de l’Image Tangible, nous recevons dans notre rubrique l’Invité·e de la semaine, son ...
Evénements Elliott Erwitt, sa rétrospective à la Sucrière (Lyon) En juillet dernier, il venait de souffler ses 95 bougies. Le 29 novembre dernier, Elliott Erwitt tirait sa révérence. Cette année, le ...
News Kourtney Roy et Mathias Delplanque sont les lauréat·es du Prix Swiss Life à 4 mains Les noms des lauréat·es de la sixième édition du Prix Swiss Life à 4 mains viennent d’être dévoilés. Parmi les huit binômes ...
Evénements « The Analog Days » : le nouveau rendez-vous de la photo argentique à Paris ! 5 questions à Léopold Fulconis
Épisode IV : Focus contractuel – nouer une relation avec une galerie d’art Entretien avec Cyrielle Gauvin, avocate associée cabinet Aœdé 3 jours ago
D’une image à l’autre, histoire de résurrection Entretien avec Christine Delory-Momberger 28 novembre 2023
Julien Alamo, A Conversation about Museum-Quality Printing, Commuting to Brooklyn by Ferry, and Success 27 novembre 2023
Masterclass Oeildeep : Pulsion, Corps & Figures, une série d’autoportraits par Camille Guichard 17 novembre 2023
Interview Jonathan Pêpe, Cité Internationale des Arts : « De quelle croyance les objets technologiques sont-ils porteurs ? » 6 heures ago
Interview Chloé Viton et Geoffrey Badel, SOL ! au MO.CO et « The Manila Room » au Frac Occitanie 3 jours ago
Interview Jonathan Pêpe, Cité Internationale des Arts : « De quelle croyance les objets technologiques sont-ils porteurs ? »