Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine 4 jours ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
“Benzine Cyprine” vandalisée : la galerie NegPos relance l’exposition malgré les attaques 6 jours ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 16 juin 2025
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 7 jours ago
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 4 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 12 heures ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
S.M.A.K. de Gand, Interview Philippe Van Cauteren, directeur : quelle peinture contemporaine en Belgique ? cap 2032 : le « musée et son double » 6 jours ago
Partager Partager L'Invité·ePhoto Carte blanche à Etienne Hatt : La photographie est-elle devenue anachronique ? La Rédaction19 mai 2020 Temps de lecture estimé : 2minsDans la carte blanche que nous avons confié à notre invité de la semaine, le critique d’art et rédacteur en chef adjoint de la revue Artpress, Etienne Hatt, souhaite partager ses réflexions qui constituent, pour lui, un cadre de référence dans les activités du métier de critique. Aujourd’hui, sa première exploration : la photographie est-elle devenue anachronique ? L’un des premiers articles que j’ai proposés à Artpress était une enquête sur les photographes qui avaient arrêté la photographie. C’était une manière littérale et brutale de contribuer aux débats récurrents sur la fin de la photographie. Cet article, bien sûr, je ne l’ai pas écrit, et je ne l’écrirais sans doute jamais. J’ai, depuis, acquis la conviction qu’on pouvait toujours aborder la photographie comme un médium et que c’était là une preuve de sa survie. Cette approche a sans doute été encouragée par des artistes qui, depuis quelques années, prennent la photographie, ses techniques, son histoire ou sa théorie pour objet. Isabelle Le Minh le fait avec une grande justesse et beaucoup d’humour. La notion de médium est, en effet, de la plus grande actualité. Régit par un ensemble de règles et de possibilités que l’on respecte ou contre lesquelles on joue, un médium n’est jamais neutre. Il est même déterminant. Cela vaut d’autant plus pour ceux qui, comme la photographie, connaissent des bouleversements techniques susceptibles de produire de nouvelles images. Ainsi, le numérique a-t-il révolutionné notre imagerie, aujourd’hui tendue entre image de synthèse et « image pauvre ». Il a aussi suscité des réactions, comme le retour massif des techniques anténumériques ou la rematérialisation de la photographie. Pourtant, aborder la photographie comme un médium peut aujourd’hui sembler anachronique. En effet, ne sommes-nous pas entrés, depuis plusieurs décennies déjà, dans une ère qualifiée de post-médium par la critique qui constata le repli des pratiques traditionnelles comme la peinture et, en regard, l’affirmation de nouvelles formes hybrides ou dématérialisées ? Plus précisément, pour la critique Rosalind Krauss, le numérique a remis en cause l’existence-même du médium photographique en balayant la notion d’« index » que ses écrits avaient contribué à imposer et qui, selon elle, faisait la spécificité du photographique. On pourrait aussi affirmer, au contraire, que la photographie existe désormais comme un médium irréductible à une essence et libéré de toute assignation. Son objet serait alors toujours le réel, bien sûr, mais pas que. Marque-page2
L'Interview Rencontre avec Demet Tehmaz. Un lien discret mais constant avec la photographie Ingénieure chimiste de profession, Demet Tahmaz a consacré près de trois décennies à l’industrie pharmaceutique, tout en gardant, en filigrane, un lien ...
News Les trois finalistes du Prix Viviane Esders dévoilés ! Pour cette quatrième édition, le Prix Viviane Esders s’ouvre à l’Europe ! Grâce à un réseau de nominateurs composé de 30 experts ...
L'Invité·e Damarice Amao, directrice artistique du festival de Lectoure, est notre invitée Cette semaine, nous avons le plaisir de recevoir – dans notre rubrique L’Invité·e – l’historienne de la photographie, attachée de conservation au ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine 4 jours ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
“Benzine Cyprine” vandalisée : la galerie NegPos relance l’exposition malgré les attaques 6 jours ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 16 juin 2025
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 7 jours ago
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 4 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 12 heures ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
S.M.A.K. de Gand, Interview Philippe Van Cauteren, directeur : quelle peinture contemporaine en Belgique ? cap 2032 : le « musée et son double » 6 jours ago