Guillaume Herbaut, nommé lauréat du Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière – Académie des beaux-arts 6 jours ago
Interview Gabriele Schor, directrice fondatrice de la VERBUND Collection et commissaire de « Cindy Sherman – Early Works 1975 – 1980 » au FOMU (Anvers) 6 jours ago
Grand Paris : Komunuma, Niko Project, tour des galeries et Magasins Généraux, Pantin « Grande Ville » 2 jours ago
Interview Gabriele Schor, directrice fondatrice de la VERBUND Collection et commissaire de « Cindy Sherman – Early Works 1975 – 1980 » au FOMU (Anvers) 6 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 9minsA l’occasion des nouvelles expositions présentées au Musée de la photographie de Charleroi – du photographe suisse Peter Knapp, belge Thomas Chable, américain Elliot Ross, de la Galerie du Soir avec Natalie Malisse et Camille Seilles (Belgique) et de la Boîte Noire avec Ingel Vaikla (Estonie) – rencontre avec le directeur du Musée de la photographie de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Charleroi) : Xavier Canonne. À la tête du musée depuis 2000, il en a profondément modifié la structure et élargi sa sphère d’influence et son rayonnement. Avec une aile supplémentaire ouverte en 2008, la surface totale passe à 6000m² avec outre les espaces d’exposition, un centre de recherche, boutique, café et parc accessible au public. Visite de la fascinante collection avec un passionné de l’image et très grand connaisseur du Surréalisme qui prépare deux expositions à l’occasion du Centenaire du Mouvement tout d’abord à Bozar (Bruxelles) à la fin du mois puis au Musée de Charleroi en septembre. Docteur en histoire de l’art et de l’archéologie, Xavier Canonne consacre sa thèse au Surréalisme en Belgique. En mars 2000, il prend la direction du Musée de la photographie de Charleroi, après avoir présidé la Commission consultative des Arts plastiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles et dirigé la collection de la Province de Hainaut. Editeur (Marées de la Nuit), conférencier d’histoire de l’art, commissaire d’expositions, il est aussi l’auteur d’ouvrages comme, Le Surréalisme en Belgique 1924-2000, (Fonds Mercator à Bruxelles, 2006), Un abécédaire pour La Louvière / Le surréalisme dans les collections de La Louvière (2012, Ed. Marot), Requiem pour un homme seul (Les Marées de la nuit, 2011) consacré au film Le Samouraï de Jean-Pierre Melville et Marcel Mariën, ou Le passager clandestin (Pandora Pubishers, 2013). Xavier Canonne, directeur du Musée de la photographie de la Fédération Wallonie-Bruxelles Une traversée des collections et de l’histoire de la photographie : parcours avec Xavier Canonne La collection est constituée d’1,5 M de négatifs et autour de 100 000 tirages. Elle continue de s’étoffer. Parmi les photographies en dépôt se trouvent l’importante collection de la Fédération Wallonie-Bruxelles et une partie des collections photographiques de la Province de Hainaut, le tout contribuant à retracer les jalons principaux de l’histoire de la photographie. Ces photographies sont à vocation documentaires, vernaculaires mais aussi muséales. Le parcours suit deux axes ; d’une part un accrochage chronologique depuis les premiers daguerréotypes du 19è jusqu’aux années 1970 et d’autre part dans la nouvelle aile, une approche plus thématique à partir d’un dialogue entre différentes périodes et auteurs. Au début de cette histoire nous exposons les premières images directement imprimées sur le métal à partir de solutions de sels d’argent qui restent non reproductibles faute alors de négatifs. En matière d’accrochage les images changent autant que cela est possible afin de les préserver et d’offrir au public un panel large sur cette période d’expérimentation. Vue de l’exposition Peter Knapp, Mon Temps, Musée de la photographie de la Fédération Wallonie-Bruxelles Nous faisons en sorte que la photographie soit le moins possible exposée à la lumière par un système de détecteur de mouvements. Nous avons opté pour un parti pris chronologique mais pas géographique, la photographie étant une invention collective. Quand les photographes se sont trouvés face à cette invention qui reste d’abord scientifique, ils se sont demandés quels sujets aborder dans le contexte de l’industrialisation et par exemple la construction de ponts sur le Nil dans laquelle la Belgique par l’acier était très impliquée, les voyages mais aussi l’exotisme ou la guerre, la Commune et le siège de Paris. Nous avons aussi une section dédiée aux appareils comme cet appareil à objectifs multiples à la fois boite d’ébénisterie et d’optique qui permettait de sortir 6 photos-cartes de visite à l’époque où les portraits commençaient à être demandés. À noter cette photographie tragique de 1897 de zoos humains à Terveuren, ou bien ce photomontage dans les mines exécutées par un photographe de la région dans le cadre d’une exposition industrielle. Les coupes correspondent aux différentes sections d’une mine jusqu’à l’étage supérieur avec une femme et un cheval de trait qui menaient le charbon aux ascenseurs. Elliot Ross Animal (196), 2011 © Elliot Ross Nous proposons une salle consacrée au pictorialisme, réaction artistique contre la commercialisation de la photographie. Ces photographes ont voulu donner par le flou, l’impression de la peinture ou du dessin ou offrir ce sentiment de la couleur par le biais de procédés de teintes ou de virements chimiques. Nous exposons le photographe belge internationalement connu à cette époque Léonard Misonne. Ingénieur au départ, il est passionné par la peinture impressionniste. Nous avons choisi de faire démarrer le 20ème siècle avec la guerre 14-18, qui est le vrai tournant du siècle. Ces photographies sont faites par les soldats ou les services des armées. Photographie connue de cette femme Anna Colleman Ladd qui parvient à redonner un visage aux « gueules cassées » à l’aide d’un masque peint. Le musée a connu de nombreuses transformations pour en rationaliser la présentation. Cela a permis de pouvoir exposer des séries comme celles d’August Sander ou d’Atget. Penchons-nous sur le photographe Robert de Smet qui travaillait pour le collectionneur et couturier Van Hecke, sur lequel je fais des recherches. Ses archives sont rares. Arrêtons-nous sur les images de Willy Kessels des années 30 sur le tournage du film « Misère au Borinage », film manifeste, et dont la force reste d’actualité. Je souhaitais mettre l’accent également sur l’importance du magazine, du livre et du cinéma. Quelques exemples de la Nouvelle Objectivité Belge des années 1950 avec Julien Coulommier, Robert Morian, Bill Brandt. Exceptionnelle série également de Diane Arbus. Dans la nouvelle aile nous quittons l’approche chronologique et procédons par affinités autour de thématiques. Nous mélangeons les époques et les auteurs afin de créer une dynamique dans notre accrochage et ne pas s’endormir dans nos habitudes en reprenant toujours les mêmes auteurs. Par exemple une photo de Stephen Shore est mise en dialogue avec une publicité pour Agfa du port de New York. Ou un focus sur le photomaton. Musée de la photographie de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Charleroi) Quels facteurs expliquent-ils la présence à Charleroi d’un musée de la photographie de cette importance ? Cela remonte aux années 1970 quand Charleroi était une région industrielle puissante et prospère avec le charbon, le verre..puis la ville a connu un véritable déclin. Il y avait des photographes qui se sont intéressés à cette transformation du paysage et ont commencé à collecter des archives. Ils se sont organisés en une association située dans une maison en centre-ville de Charleroi. A ce stade, il n’y a pas encore de musée de la photographie en Belgique, le musée d’Anvers sera créé en même temps que le nôtre. Quand la communauté française a décidé de mener sa politique culturelle, il y a avait d’une part cette démarche existante et d’autre part cet ancien carmel dont le profil n’était pas défini. Le bâtiment était en mauvais état et a connu plusieurs phases d’aménagement. Mon prédécesseur Georges Vercheval a mené les travaux d’assainissement et à mon arrivée, en 2000 je les ai poursuivis et ai fait construire la nouvelle aile. Cela n’a pas été simple au départ mais nous avons pu aussi sauver le parc et l’offrir au public pour en faire un lieu de vie. Budget, acquisitions Notre budget est de 50 000€ ce qui est tout à fait insuffisant. Au fur et à mesure de la valeur croissante du marché, nos moyens sont de plus réduits. Il nous faut compléter un déficit chaque année. Je dois trouver différentes solutions dont la coproduction. Beaucoup de nos expositions sont ainsi coproduites comme celle de Bertrand Meunier (collectif Tendance Flou) avec le Musée Nicéphore Niépce de Chalon-sur-Saône ou Peter Knapp avec la Fondation Suisse de photographie (Winterthur). De plus, il est convenu que les photographes laissent une œuvre minimum au musée. Le système permet ainsi aux photographes de rester exposés par la suite dans les collections. Il est possible aussi de déposer des propositions d’achats au gouvernement. Vue de l’exposition Thomas Chable Au-dessus des nuages, Musée de la photographie de la Fédération Wallonie-Bruxelles Quelle est la définition selon vous d’un musée de photographie ? Quand je suis arrivé ici j’étais persuadé que j’allais diriger un musée d’art et je me suis rendu compte que j’avais à la fois un musée artistique, historique et sociologique, chaque photo étant constitutive d’un discours, une fenêtre qui s’ouvre sur le monde. Notre propos n’est pas de faire des visiteurs des historiens de l’image mais de faire réfléchir à ce qui constitue une image, quel est son hors champ, sa fonction. Les musées doivent témoigner de différentes pratiques c’est la vocation des expositions temporaires mais aussi de mener une réflexion et revisiter cette archive. Quelle est votre politique en matière de dons ? La première question qui se pose est l’intérêt du don, l’importance du photographe en Belgique et notre aptitude à héberger, étudier ce don et le conserver. Tout un travail d’inventaire et d’évaluation qu’il faut mener long terme. Cela pose des questions d’espaces et de personnel. Nous avons un vrai problème et j’ai écrit en ce sens à la Ministre. Il faudrait songer à une rationalisation des moyens entre différents musées en Belgique. > Rendez-vous demain, 5 mars 2024, pour la seconde partie de l’entretien… INFORMATIONS PRATIQUES Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique sam03fev(fev 3)10 h 00 mindim26mai(mai 26)18 h 00 minPeter KnappMon tempsLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Détail de l'événement« Ce qui me motive, c’est de transformer des idées en images. Je cherche à visualiser mes pensées, à exprimer en images mes fantasmes et histoires. Je ne prends pas Détail de l'événement « Ce qui me motive, c’est de transformer des idées en images. Je cherche à visualiser mes pensées, à exprimer en images mes fantasmes et histoires. Je ne prends pas de photos, je les fais. » Peter Knapp Lorsqu’en 1959 Hélène Lazareff, fondatrice de Elle, demande à Peter Knapp de créer la ligne éditoriale du magazine, elle prend comme contre-exemple Harper’s Bazaar, elle qui pourtant est passée durant la guerre chez Alexei Brodovitch qui en assurait la direction artistique. Fini le chic glacé, les mannequins figés dans l’éclairage d’un studio ou sur les escaliers de marbre d’une maison de haute couture. Avec Elle, c’est le prêt-à-porter décomplexé qui triomphe, libérant les formes, les femmes. L’époque est au changement depuis que le droit de vote leur a été accordé, et Lazareff pressent qu’il faut accompagner cette mutation. Le magazine, au titre bien nommé, ouvre ses pages à Simone de Beauvoir, Marguerite Duras ou Françoise Sagan. L’émancipation de la femme passe aussi par le vêtement et Elle se doit d’en être l’un des étendards. Peter Knapp engage alors le magazine dans une dynamique visuelle qui bouscule les grilles conventionnelles de la mise en page, mettant à profit sa formation de graphiste et de typographe, sa pratique de la peinture. Il multiplie les diagonales – sa signature, avec sa double page –, les gros plans, les contre-plongées, les références géométrisantes auxquelles le portent les créations de Courrèges ou d’Ungaro. Ses mannequins flottent à l’aide de filins, ou glissent en apesanteur sur des tables lumineuses. Cette quête de mouvement le mènera à les filmer en 16 mm pour en isoler ensuite quelques images, mariant les pratiques, cela ne s’est jamais vu. Knapp transpose ensuite ses conceptions graphiques pour Dim Dam Dom, l’émission mythique de l’ORTF de Daisy de Galard, autre collaboratrice de Elle, qui en est comme l’équivalent filmé. Avec Jean- Christophe Averty, il sera de ceux qui vont révolutionner la mise en image des émissions télévisées au creux des années soixante. La photographie de mode a été longtemps tenue pour un genre mineur, une activité alimentaire pour les photographes. De grands auteurs s’y sont pourtant consacrés, de Man Ray à Jeanloup Sieff, en passant par Maurice Tabard, Richard Avedon ou Erwin Blumenfeld, pour n’en citer que quelquesuns. Au travers des revues qui en étaient le véhicule, elle a pourtant contribué à former le regard des contemporains, à les familiariser avec le langage photographique. Aujourd’hui exposée, collectionnée, elle est entrée dans les musées et fait régulièrement l’objet Grace Coddington, pour Vogue, Londres, 1971 © Peter Knapp d’expositions importantes, témoignant d’une époque autant que de sa dimension artistique. Indissociables de leur mise en page, les photographies de Peter Knapp n’en sont pas seulement le reflet, mais elles l’ont façonnée, ouvrant la voie à de nouvelles expressions graphiques. En ce sens, Peter Knapp est plus que jamais de « son temps », et aujourd’hui encore. Extrait d’un texte de Xavier Canonne publié dans le Photographie Ouverte n°191 Photo : © Peter Knapp DatesFévrier 3 (Samedi) 21 h 00 min - Mai 26 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Get Directions CalendrierGoogleCal Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique sam03fev(fev 3)10 h 00 mindim26mai(mai 26)18 h 00 minElliot RossSeeing AnimalsLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Détail de l'événementAprès la mort de son chat, sa photographie, accrochée par son épouse, a intrigué Elliot Ross : à quoi pensait l’animal au moment de la prise de vue ? A-t-il Détail de l'événement Après la mort de son chat, sa photographie, accrochée par son épouse, a intrigué Elliot Ross : à quoi pensait l’animal au moment de la prise de vue ? A-t-il consciemment regardé l’objectif de l’appareil photo ? Sa conscience animale, est-elle si différente de celle d’un être humain ? C’est de ces interrogations qu’est née la série Animal, où Ross a photographié des animaux à travers le monde entier. Retravaillant ses images, il a volontairement ôté les traces de leur environnement, livrant des portraits puissants dénués d’artifices offrant parfois un face à face déstabilisant. DatesFévrier 3 (Samedi) 21 h 00 min - Mai 26 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Get Directions CalendrierGoogleCal Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique sam03fev(fev 3)10 h 00 mindim26mai(mai 26)18 h 00 minThomas ChableAu-dessus des nuagesLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Détail de l'événementPhotographe de l’ici et de l’ailleurs, Thomas Chable a parcouru quelques pays, principalement d’Afrique, en se rendant notamment au Mali, en Ethiopie, au Burkina Faso et au Maroc mais il Détail de l'événement Photographe de l’ici et de l’ailleurs, Thomas Chable a parcouru quelques pays, principalement d’Afrique, en se rendant notamment au Mali, en Ethiopie, au Burkina Faso et au Maroc mais il a également posé son regard au Mexique et en France. En s’éloignant du pur documentaire, Thomas Chable voyage l’esprit ouvert, en général sans but précis, ni idée préconçue, faisant la part belle au hasard des rencontres même si la réalité est telle qu’il ne peut parfois s’en détourner. Il s’imprègne des lieux, des lumières, des matières, des ambiances. Il dévoile un pays par petites touches, par fragments. Les signes de vie se font discrets, sans doute par pudeur, les sensations primant autant que les échanges. Photo : Thomas Chable Chiré, Ethiopie, 2013. ©Thomas Chable DatesFévrier 3 (Samedi) 21 h 00 min - Mai 26 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Get Directions CalendrierGoogleCal Le Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique sam03fev(fev 3)10 h 00 mindim26mai(mai 26)18 h 00 minNatalie Malisse et Camille SeillesLe cœur à même la peauLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Détail de l'événement« Le cœur à même la peau est une proposition photographique aux sensibilités multiples. Réalisé à quatre cœurs, ce récit aborde la santé mentale sous le prisme intime de Lola Détail de l'événement « Le cœur à même la peau est une proposition photographique aux sensibilités multiples. Réalisé à quatre cœurs, ce récit aborde la santé mentale sous le prisme intime de Lola et Lou. De relation fusionnelle en déceptions, ces deux jeunes adultes écorché·e·s vives évoluent sur des chemins troublés par les réminiscences de traumatismes de l’enfance. » Photo : Natalie Malisse et Camille Seilles De la série le cœur à même la peau © Natalie Malisse et Camille Seilles DatesFévrier 3 (Samedi) 21 h 00 min - Mai 26 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuLe Musée de la Photographie Centre d´art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles11 Avenue Paul Pastur, 6032 Mont-sur-Marchienne, Belgique Get Directions CalendrierGoogleCal https://museephoto.be/fr Organiser votre venue : Facebookvisitcharleroi VISITWallonia.be Favori0
Photo Levant, hommage au photographe Matthieu Chazal Cette semaine, dans notre rubrique dédiée aux photographes, nous avons souhaité rendre hommage au photographe Matthieu Chazal disparu le 21 septembre dernier ...
L'Interview Fermeture de la Galerie Le Réverbère : Rencontre avec Pierre Canaguier « Histoire(s) sans fin » est la toute dernière exposition présentée à la Galerie Le Réverbère, à Lyon. Catherine Derioz et Jacques Damez ont ...
L'Invité·e Carte blanche à Christophe Calais : le scénographe Robert Hyde, PhotoEllipse Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invité de la semaine, le responsable éditorial des projets spéciaux photos de l’AFP, Christophe ...
Guillaume Herbaut, nommé lauréat du Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière – Académie des beaux-arts 6 jours ago
Interview Gabriele Schor, directrice fondatrice de la VERBUND Collection et commissaire de « Cindy Sherman – Early Works 1975 – 1980 » au FOMU (Anvers) 6 jours ago
Grand Paris : Komunuma, Niko Project, tour des galeries et Magasins Généraux, Pantin « Grande Ville » 2 jours ago
Interview Gabriele Schor, directrice fondatrice de la VERBUND Collection et commissaire de « Cindy Sherman – Early Works 1975 – 1980 » au FOMU (Anvers) 6 jours ago