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Partager Partager Temps de lecture estimé : 6minsLa MEP Paris propose une ambitieuse exposition intitulée « Science/Fiction — Une non-histoire des Plantes », titre assez ambigu et contradictoire pour un dialogue medium photographique, technologie et flore aussi passionnant que déroutant. En effet courant près de 200 ans de création autour de 40 artistes, comme le rappelle Simon Baker, le parcours intergénérationnel est construit sur le régime de la science-fiction selon le parti pris adopté par la commissaire Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP avec des ensembles et sous-ensembles qu’il est parfois difficile de suivre. D’un monde stable et maitrisé nous abordons des rivages plus flous et incertains à partir de phénomènes de pollinisation, de contamination jusqu’à de possibles hybridations. Le dernier volet dépasse les clivages entre la fiction et la réalité pour ouvrir sur des histoires émancipatrices du vivant autour d’enjeux politiques et écologiques, à rebours d’une approche anthropocentriste. Le visiteur peut adopter une posture savante en suivant les cartels ou au contraire se laisser happer par les mystères de la nature sous le prisme de la photographie et du cinéma dont l’histoire rejoint les principes mêmes du vivant. Dans le premier chapitre les pionniers de la Nouvelle Objectivité et de la photographie moderniste : Imogen Cunningham, Karl Blossfeld, Edward Weston, Laure Albin-Gillot adoptent des comportements scientifiques dans une visée cartographique. De même avec leur héritier Jochen Lempert biologiste de formation et dont le Jardin d’hiver avait été exposé au Crédac. Chez les contemporains : Pierre Joseph, Elspeth Diedrix horticultrice ou Almudena Romero, il s’agit de s’écarter de l’objectivité scientifique. Jean Comandon, still from the film La croissance des végétaux, (The Growth of Plants), 1929, 11 min© Musée Albert-Kahn/CD92 Le volet filmique qui suit joue sur les mécanismes invisibles des plantes. Comme avec le pionnier Jean Comandon qui joue des ressors illusionnistes d’un Méllès pour filmer la croissance en accéléré des végétaux en 1929. L’allemand Max Reichmann pour le compte de la société BASF mêle des séquences de ballet avec des plantes filmées dans une vision pédagogique à l’attention des enfants et dont le succès dépasse la commande de départ. Walon green, scénariste dans l’ambiance hippie « flower power » propose une adaptation du livre psychédélique The Secret Life of Plants. Ágnes Dénes, Wheatfield – A Confrontation: Battery Park Landfill, Downtown Manhattan – With Ágnes Dénes Standing in the Field, 1982, photography by John McGrailChromogenic print, 40 x 50 cm© Ágnes DénesCourtesy Leslie Tonkonow Artworks + Projects, New York Dans la section « Matière végétale » il s’agit de rapprocher les phénomènes de photosynthèse et du processus chimique du médium photographique avec des représentants comme la célèbre pionnière botaniste et photographe Anna Atkins qui utilise de nombreux végétaux comme des algues séchées et la technique du cyanotype. Le naturaliste britannique Henry Bradbyury améliore les techniques d’impression végétale avec la galvanoplastie, dépôt par électrolyse d’une couche de cuivre. Autre figure majeure le cinéaste expérimental Stan Brakhage qui utilise des feuilles et éléments naturels qu’il glisse entre deux films créant des images sans caméra. Dans une veine contemporaine l’artiste Sam Falls combine film, photographie et plus récemment céramique en soumettant ses créations aux éléments extérieurs (soleil, pluie, vent) dont les silhouettes en négatif conservent la mémoire. Laure Albin-Guillot, Graine[variante de la planche X de l’album Micrographie décorative] (Seed [variant of plate X from the Decorative Micrography album]), ca. 1931Direct carbon print (Fresson process), 50 × 42.5 cm© Laure Albin-Guillot / Roger-Viollet Laure Albin-GuillotCourtesy Private Collection, ParisDans le 2ème chapitre il est question de symbiose et de contamination : les champignons (Angelika Loderer), la décomposition (Angelica Mesiti) jusqu’aux impacts de la radioactivité avec Anaïs Tondeur et Rebekka Deubner tandis qu’Alice Pallot que j’ai rencontrée à l’occasion de son exposition à Hangar Bruxelles, se penche sur le problème des « Algues maudites » et leur prolifération en Bretagne sous le coup du changement climatique. Alice Pallot, Algues maudites, a sea of tears, limnée, aquarium anoxique au CNRS avec algues filamenteuses et lentilles d’eau, 2022 Jet d’encre sur papier Agave contre-collé sur Dibond, 68 x 45 cm © Alice Pallot Courtesy Hangar, Bruxelles A partir de là, le chapitre III « Au-delà du réel » plonge dans l’imaginaire à l’encontre d’une véracité scientifique. Peter A. Hutchinson botaniste de formation et passionné de science-fiction, propose des photomontages autour de paysages qui seraient comme transformés par le réchauffement climatique. Joan Fontcuberta questionne la notion d’objectivité du medium dans la série Formes originelles de l’art en hommage à Karl Blossfeldt. Eleonore False coupe et isole des fragments de motifs à partir d’archives botaniques. Des collages qui bousculent la vision traditionnelle de la flore. Miljohn Ruperto et Ulrik Heltoft, Études botaniques Voynich, 50 Leto, 2014, 50 x 40 cm © Miljohn Ruperto et Ulrik Heltoft Courtesy Friends Indeed Gallery, San Francisco, et Vacancy Gallery, Shanghai Chapitre le plus flippant « les plantes vous observent » à partir du film fantastique de Steve Sekely « La révolte des Triffids » où des plantes monstrueuses envahissent la Terre après une pluie de météorites. Philip Kaufman avec L’invasion des profanateurs bascule dans une dimension écologique avec ces petites fleurs roses qui digèrent les humains pour créer des clones mutants. Kalev Erikson avec son projet autour des monstruosités de la nature « Where the Wild Things Grow » s’attaque à la fiabilité de l’image documentaire. S’il vous reste encore un peu d’énergie, dernier chapitre « Les plantes et la fiction politique » avec l’œuvre majeure d’Agnès Dénes qui transforme dans le cœur de New York une décharge de 8000 m2 en champ de blé. Ali Kazma s’est penché sur la réserve mondiale de semences qui se trouve dans les îles Svalbard, près du pôle Nord. Sa vidéo transforme ce réservoir en une sorte de bunker énigmatique. L’iranienne Gohar Dashi relit les traumatismes de son enfance et de la guerre Iran-Irak à son projet Home où les plantes envahissent des anciens lieux d’habitation. Une ode à la résilience, forte et sensible. Si-Qin Timur,Untitled, 20233D stereolithography print on LCD screen, 119 x 75 x 75 cm© Sin-Qin TimurCourtesy Société Berlin L’artiste Agnieszka Polska clot le parcours avec une fable spéculative qui combine intelligence artificielle et musique d’orgue du XIXème pour créer un conte imaginaire, pollinisateur en quelque sorte de nos consciences. En résonance l’artiste Ludovic Sauvage investit le Studio de la MEP avec une installation sonore immersive « Late Show ». La vidéo est issue de l’intervention de l’IA à partir d’images naturalistes (couchers de soleil, fleurs) et urbaines créant une sensation de flottement aux accents new Age. Un road-movie qui offre une pause méritée après la somme d’images convoquées. Catalogue « Science/Fiction — Une non-histoire des Plantes » Spector Books, 45 euros (à la librairie sur place et en ligne) https://www.mep-fr.org/e-librairie/science-fiction-a-non-history-of-plants-exposition-mep-16-10-24-19-01-25-copie/ INFORMATIONS PRATIQUES La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer16oct(oct 16)11 h 00 min2025dim19jan(jan 19)20 h 00 minScience/Fiction — Une non-histoire des PlantesExposition collectiveLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementPhoto : Miljohn Ruperto et Ulrik Heltoft, Études botaniques Voynich, 50 Leto, 2014, 50 x 40 cm © Miljohn Ruperto et Ulrik Heltoft Courtesy Friends Indeed Gallery, San Francisco, et Détail de l'événement Photo : Miljohn Ruperto et Ulrik Heltoft, Études botaniques Voynich, 50 Leto, 2014, 50 x 40 cm © Miljohn Ruperto et Ulrik Heltoft Courtesy Friends Indeed Gallery, San Francisco, et Vacancy Gallery, Shanghai Initiée en 2020, l’exposition Science/Fiction — Une non-histoire des Plantes propose de retracer une histoire visuelle des plantes reliant l’art, la technologie et la science du XIXe siècle à nos jours. Réunissant plus de 40 artistes de différentes époques et nationalités, cette exposition met en regard des œuvres photographiques historiques telles que les cyanotypes d’Anna Atkins, l’inventaire des formes végétales de Karl Blossfeldt ou encore les expérimentations au microscope de Laure Albin Guillot avec des créations d’artistes contemporain·es comme Jochen Lempert, Pierre Joseph, Angelica Mesiti, Agnieszka Polska ou encore Sam Falls. L’exposition Conçue en six chapitres, cette exposition emprunte sa construction au roman de science-fiction : débutant sur l’idée d’un monde stable et identifiable, elle plonge progressivement dans des paysages incertains et inattendus. Les deux premiers chapitres intitulés respectivement « L’agentivité des plantes » et « Symbiose & contamination » sont consacrés à des approches dites objectives, liées à la science. Les quatre autres chapitres, dénommés « Au-delà du réel », « Les plantes vous observent », « Les plantes comme fiction politique » et « Fiction(s) spéculative(s) » abordent les accointances entre la science et la science-fiction, deux domaines qui ont fait de la flore un terrain d’expérimentation. Dépassant les clivages normatifs entre fiction et réalité, science et art, les artistes présent·es dans cette exposition s’affranchissent des catégories figées afin de capturer la complexité de la vie des plantes et de nos rapports aux êtres végétaux. Cette exposition est l’occasion de plonger au cœur de la relation privilégiée qu’entretiennent la photographie et la vidéographie avec les plantes, deux techniques de captation de l’image dont l’utilisation première fut mise au service de la recherche scientifique. Paradoxalement, tout en s’interposant entre nous et le monde naturel, ces procédés photographiques et cinématographiques, au lieu de créer une distance, ont mis en lumière la subjectivité, l’intelligence et les capacités expressives des plantes, en palliant notre « myopie anthropocentriste ». En interrogeant les projections et les représentations humaines des plantes, cette exposition intègre des narrations issues de la science et de la science-fiction comme un moyen de fabriquer de nouveaux imaginaires. Les récits proposés, non centrés sur l’idée de progrès et de modernité, pensent avec les limites planétaires. Ces histoires émancipatrices, dépassant une vision anthropocentrique du monde, donnent aux plantes une place et une voix. Elles deviennent ainsi un espace de réparation de notre lien au monde végétal. Pour penser les mutations écologiques, il est nécessaire de prendre en considération le pouvoir politique de l’imaginaire, d’accepter nos espoirs et d’explorer nos peurs les plus intimes, afin de poursuivre ensemble l’écriture d’un futur commun. Image en une : Angelica Mesiti, Over the Air and Underground (Dans les airs et sous terre), 2020 Vidéo à 5 canaux, 10 canaux audio mono, 9 minutes Commandé pour la Biennale de Busan, 2020 © Angelica Mesiti / ADAGP, Paris, 2024 photo © Pierre Jouvion Courtesy Galerie Allen DatesOctobre 16 (Mercredi) 22 h 00 min - Janvier 19 (Dimanche) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal ET AUSSI La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer16octdim01décLudovic SauvageLate ShowLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementDu 16 octobre 2024 au 1 er décembre 2024, le Studio de la MEP, espace dédié à la création émergente, accueille Late Show de l’artiste français Ludovic Sauvage. Placé·es à Détail de l'événement Du 16 octobre 2024 au 1 er décembre 2024, le Studio de la MEP, espace dédié à la création émergente, accueille Late Show de l’artiste français Ludovic Sauvage. Placé·es à la frontière d’un entre-deux spatio-temporel, les visiteur·euses découvrent des images où poésie et récit de science-fiction cohabitent. En travaillant l’image projetée, Sauvage interroge, à travers elle, notre rapport à la représentation, à l’espace et au temps. Soleil, vagues, lumière, fleurs. La nuit s’étend sur la ville. Cette énumération succincte pourrait littéralement décrire Late Show , installation vidéo où se succèdent des plans de coupes et des images d’ambiances aux connotations familières. Les pensant sous la forme d’un trailer , Ludovic Sauvage attribue à ces images une forte valeur fiction nelle en les plaçant au centre de la narration. Évoquant les poncifs du monde naturel (soleil, fleurs, mer) et ceux de l’espace urbain (immeubles de b ureaux, artères de circulation), ces courtes vidéos, par leur mise en relation, forment un récit chargé de tension. L’artiste décrit ses images : « Elles voyagent ainsi entre deux mondes dont elles constituent les portes de sortie et d’entrée. Elles peuplent la fiction, le spectacle et la publicité comme des exte nsions du réel qui amène en fait un ancrage tout autre : une situation dans laquelle nous sommes déjà préalablement tous d’accord. Elles ne sont pas la narration. Elles en sont le préalable. » Late Show évoque une catastrophe dont on ignore si nous assistons à ses prémices ou à son aboutissement. Pour réaliser ce film, Sauvage s’est inspiré d’un certain type de cinéma dystopique produit en marge du Nouv el Hollywood comme The Last Wave de Peter Weir (1977) et The Quiet Earth de Geoff Murphy (1985). Cette vidéo est conçue à partir d’images analogiques qui sont ensuite numérisées puis soumises à un logiciel d’intelligence a rtificielle afin de leur impulser du mouvement. Accompagnée d’une bande-son qui entremêle sons concrets et composition synthétique aux accents New Age, Late Show peut se lire comme une prophétie auto-réalisatrice qui puise dans la capacité de la science-fiction à façonner des alternatives toujours plus étrangement familières. Ludovic Sauvage est né en 1985 à Aix-en-Provence. Il vit et travaille à Paris et est diplômé de la Villa Arson, Nice, et des Beaux-Arts de Valence. Outre de nombreuses expositions en France et à l’étranger, il est sélectionné en 2012 pour le Salon de Montrouge et est invité en résidence en 2014 par l’espace d’art contemporain HEC. En 2015, il présente ses premières expositions personnelles Terrasse à Glassbox, Paris, et Le soleil se meut toujours au Parc floral de Paris. En 2017, Ludovic Sauvage a été sélectionné pour participer à la 67 e édition de Jeune Création. En 2021, il a participé au Photo Festival Incadaqués, invité par la MEP. En 2023, il participe à des expositions collectives : Plein Feux au Centre d’art La Chapelle de Clairefontaine, Clairefontaine-en-Yvelines, Slackers au Tonus, Paris, et Paroi au Doc, Paris. Dans la même année, il présente son exposition personnelle Boxes au Mármol project, Porto. DatesOctobre 16 (Mercredi) 22 h 00 min - Décembre 1 (Dimanche) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal Favori1
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