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Portrait d’enfance d’Alexandre Arminjon

Alexandre Arminjon inaugure avec nous cette nouvelle année 2025 ! Ce photographe franco-suisse de 40 ans a inauguré à Paris, Ithaque, un lieu hybride réunissant un laboratoire traditionnel argentique et une galerie. Depuis bientôt cinq ans, ce lieu s’est donné pour mission de perpétuer un savoir-faire lié à la photographie argentique en noir et blanc. ​Situé en plein cœur du Marais, ce lieu de création et de convivialité propose des expériences exclusives, imprégnées par l’atmosphère de la chambre noire. Alexandre nous accompagne tout au long de la semaine pour partager un peu de son univers…

Alexandre Arminjon est un photographe franco-suisse né en 1984. Il se consacre à la photographie depuis 2013 après un début de carrière dans la finance et le management.
Avant d’ouvrir Ithaque, Alexandre a beaucoup voyagé dans des environnements désertiques, en particulier en Iran et dans le désert de l’Atacama au Chili. Il s’est intéressé à la spiritualité à travers un procédé photographique alternatif, la solarisation. Alexandre est autodidacte en photographie et a été l’assistant de Claude Iverné (prix Henri Cartier-Bresson 2015).
Alexandre a participé à plusieurs expositions à la Galerie Agathe Gaillard et en 2018 était le plus jeune des 14 nominés au Prix Niépce à la BnF. Son travail a depuis intégré les collections de la Bibliothèque nationale de France et a été présenté en 2023 dans l’exposition « Épreuves de la matière » organisée par cette institution.
En 2020 et 2021, dans le contexte de confinement, Alexandre a réalisé un travail de production d’icônes contemporaines sur bois avec lequel il interroge l’actualité politique.
En mars 2023, il a été invité à exposer sa série de portraits iraniens au sein de l’Assemblée Nationale, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes. Plusieurs portraits iraniens ont été acquis par la Fondation Neuflize OBC.

https://www.ithaque-paris.fr/

Le portrait chinois d’Alexandre Arminjon

Si j’étais une œuvre d’art : Le voyageur sur la mer de nuages de Kaspar David Friedrich.
Si j’étais un musée ou une galerie : Le Musée du Louvre.
Si j’étais un·e artiste (tous domaines confondus): Dalida.
Si j’étais un livre : Les oeuvres complètes du philosophe chinois Tchouang Tseu.
Si j’étais un film : Apollo 13.
Si j’étais un morceau de musique Break on Through – the Doors.
Si j’étais une photo accrochée sur un mur : une photo personnelle avec mes frères et soeurs.
Si j’étais une citation : « Soyons réalistes, exigeons l’impossible ».
Si j’étais un sentiment : à l’instar de Raymond Depardon “La solitude heureuse du voyageur”.
Si j’étais un objet : une montre suisse.
Si j’étais une expo : la rétrospective Francis Bacon au Centre Pompidou.
Si j’étais un lieu d’inspiration : la place Naqsh-e Jahan à Esfahan en Iran.
Si j’étais un breuvage : Le Persian Cosmopolitan. 50ml jus de Grenade, 15ml jus de citron, 5ml Fleur d’Oranger, 75ml Vodka, 15ml Cointreau et une pointe de safran si possible.
Si j’étais un héros : Forrest Gump.
Si j’étais un vêtement : mes blouses de laboratoire Ithaque en lin gris neutre que j’ai désignées moi-même.

CARTES BLANCHES DE NOTRE INVITÉ

Carte blanche à Alexandre Arminjon : La photographie argentique et l’Iran (mardi 21 janvier 2025)
Carte blanche à Alexandre Arminjon : La chambre noire (mercredi 22 janvier 2025)
Carte blanche à Alexandre Arminjon : Programmation et expositions (jeudi 23 janvier 2025)
Carte blanche à Alexandre Arminjon : Rencontres (vendredi 24 janvier 2025)

La Rédaction
9 Lives magazine vous accompagne au quotidien dans le monde de la photographie et de l'Image.

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