La photographie française dans l’ombre des grands prix Prix de Photographie de l’Académie des beaux-arts – William Klein 2 jours ago
Constance Nouvel est la lauréate de la 6ème édition du Prix LE BAL / ADAGP de la Jeune Création 3 jours ago
Alina Szapocznikow et Guillaume Bresson au Musée de Grenoble : Interview Sébastien Gokalp 6 jours ago
Matthieu Lelièvre, co-commissaire « Histoires personnelles/Réalités politiques », les collections du macLYON et du MoCAB, Belgrade 1 semaine ago
Partager Partager L'EditionPhoto Romain Bassenne : Morts pour la France La Rédaction23 mars 2017 Visite contemporaine des villages meurtris de la bataille de Verdun Lundi 21 février 1916, à 7 heures du matin, l’artillerie allemande entreprend un hallucinant pilonnage des positions françaises implantées autour de Verdun. En deux jours, 2 millions d’obus s’abattent sur ce qui va devenir un champ de bataille mondialement connu, symbole de la folie des hommes. Lorsque la bataille de Verdun s’achève, le 19 décembre 1916, 26 millions d’obus ont détruit, brûlé, ravagé un terroir naguère verdoyant et désormais réduit sur des milliers d’hectares à un bourbier apocalyptique nourri du sang de 306 000 morts ou disparus français et allemands. Les villages de Beaumont-en-Verdunois, Bezonvaux, Cumières-le-Mort-Homme, Douaumont, Fleury-devant-Douaumont, Haumont-près-Samogneux, Louvemont- Côte-du-Poivre, Ornes, Vaux-devant- Damloup furent tous détruits. Situés au coeur de la zone des combats, ces villages sont réduits à des amas de gravats, les bois ont disparu, le sol n’est plus qu’une épouvantable étendue de terre retournée, parsemée de milliers de trous d’obus où toute trace de vie semble s’être évanouie. Tous inclus dans la « Zone rouge » en référence au trait de couleur tracé par les cartographes chargés, après guerre, de délimiter le territoire impropre au retour de la population, ils ne recensent plus un seul habitant. Au fil du temps, seul trois des neuf villages ont reçu l’autorisation de réinstaller quelques habitants, dans des zones sécurisées. Administrés chacun depuis 1919 par un maire et deux adjoints nommés par le préfet de la Meuse, ces villages martyrs sont le témoignage du lourd bilan de la mère des batailles. Un siècle plus tard, ces villages demeurent, morts pour la France. Romain Bassenne romainbassenne@gmail.com http://www.romainbassenne.com LIVRE Morts pour la France Romain Bassenne Carnet 48 pages 30 photographies 14×18 cm 84 exemplaires ISBN 978-2-9545510-1-2 Marque-page0
Evénements Planches Contact Festival, une seizième édition entre intimité et renouveau Dès le 18 octobre jusqu’au 4 janvier 2026, Deauville devient capitale de l’image. 19 photographes sont les invités de 26 expositions dans ...
L'Interview PHOTAUMNALES, 22ème édition : Rencontre avec Oleñka Carrasco Oleñka Carrasco à l’occasion des PHOTAUMNALES 2025 propose une version augmentée de « La Casa, corrosiva » (projet PATRIA) qui a été ...
News La photographe Sophie Zénon inaugure la réouverture du Château d’Eau de Toulouse La Mairie de Toulouse, malgré la baisse de ses subventions culturelles à certaines structures, s’apprête à rouvrir deux importantes institutions : le ...
La photographie française dans l’ombre des grands prix Prix de Photographie de l’Académie des beaux-arts – William Klein 2 jours ago
Constance Nouvel est la lauréate de la 6ème édition du Prix LE BAL / ADAGP de la Jeune Création 3 jours ago
Alina Szapocznikow et Guillaume Bresson au Musée de Grenoble : Interview Sébastien Gokalp 6 jours ago
Matthieu Lelièvre, co-commissaire « Histoires personnelles/Réalités politiques », les collections du macLYON et du MoCAB, Belgrade 1 semaine ago