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Partager Partager PhotoPortfolio Seul le voyage est le but, photographies de Gaelle Redon Pascal Therme1 février 2019 Temps de lecture estimé : 2minsCette semaine, notre critique Pascal Therme a choisi de parler du travail de la photographe et plasticienne Gaelle Redon et plus précisément de sa série « Seul le voyage est le but ». Depuis 2006, ses séries photographiques se concentrent essentiellement sur le bruit et l’incertitude de la trajectoire humaine. D’autres séries rejoignent la peinture abstraite et la nécessité poétique de l’abandon. Très surprenante série qui mériterait d’être exposée, une sorte de voyage du quotidien, lorsque les autoroutes et les paysages vus, aperçus défilent comme un leitmotiv et donnent à voir ces territoires dans l’instant de leur croisement, instants serins où se coule la vision des matières picturales et la vibrance de la couleur dans les reflets de l’eau. Ces vases communicants induisent les rapports secrets entre une peinture métaphysiquement contemplative et une photographie plus organique qui s’échangent librement dans l’oeil avéré de cette question, mais quels sont ces champs d’appartenance qui chez moi ne sont que conjugaisons et dialogues….aurais-je pu dire en place de l’auteure Ce qui me touche dans cette série est la paix intérieure dans laquelle Gaelle Redon se trouve, lent bercement du train, suspension du temps, dans un repos de la motricité, assise tranquillement à la fenêtre, en position de voir, réceptive. Elle retient ces images qui passent devant les yeux, simplement, éveil donc de ce regard qui s’éprend ensuite des reflets d’eau, picturaux, créant un dialogue entre deux moments où s’allument celui-ci comme une lampe, où cela traverse le champ intime et ouvre la dimension habitée du rêve, dans une notation juste du repli du corps et de sa portée comme de ce qui s’y inscrit, territoires assez « purs » de tout parasitage extérieur ou intérieur (psychologique, intentions)…un corps voyant et sensible…délié, recueille l’essence de ce qui le touche. Une sorte d’évènement, un rêve éveillé, là où se tient le somnanbulisme comme un état second cher à Aragon… L’évocation de la fécondation d’un texte et de ses contaminations par le rêve éveillé, ce dormeur prodigieux qui voit en lui même, éligible à toutes les dimensions de la vie dans un super-naturalisme acté. http://gaelleredon.wixsite.com Marque-page0
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