Carte blanche à Maud Veith (revue FemmesPHOTOgraphes) : La photographie comme lieu de rencontre 1 jour ago
Carte blanche à Kim lan Nguyễn Thị (revue FemmesPHOTOgraphes) : Le vide et ses résonances 2 jours ago
Jeu de Paume, le festival : Interview Jeanne Mercier, commissaire, pour une émancipation des imaginaires ! 3 jours ago
Une journée au Centre Pompidou-Metz : Cerith Wyn Evans, Sud global émancipé et Katharina Grosse 1 jour ago
Centre Pompidou Metz : « Après la fin. Cartes pour un autre avenir » vers un sud global émancipé 3 jours ago
Partager Partager EvénementsPhoto Five : Masters of Japanese Photography Ericka Weidmann7 décembre 2016 Temps de lecture estimé : 3minsLa galerie Sage,située à Paris, présente jusqu’au 28 janvier prochain, une sélection d’œuvres de cinq photographes japonais représentés par la galerie. « Five : Masters of Japanese Photography » rassemble les images de Daido Moriyama, Naoya Hatakeyama, Miyako Ishiuchi, Ogawa Kazumasa et Kazuhiko Motomura. Nous avons interrogé le galeriste François Sage, pour nous expliquer le choix de cette exposition. C’est dès 1990 que nous avons commencé, non pas à nous intéresser à la photographie japonaise, mais à avoir des relations de travail avec les photographes japonais qui sont représentés dans l’exposition « Five Masters of Japanese Photography » à l’exception de Ogawa Kazumasa artiste du XIX siècle, et qui nous a permis au fil des années à monter plusieurs fois. Naoya Hatakeyama, que nous avons réussis à faire entrer dans les collections de la Tate Modern, du MOMA de New York, du Getty Museum et de quelques autres encore comme Mochizuki Masao, Yoneda Tomoko, Motomura Kazuhiko (dont nous publions le premier livre avec une préface de Robert Frank, Ueda Shoji, Ishiuchi Miyako (Prix international de la Fondation Hasselblad en 2014 -Hasselblad Foundation International Award in Photography) dont nous avons montré « Club & Courts Yokosuka Yokohama » en 2007, Yoneda Tomoko ou encore Daïdo Moriyama. C’est peut-être la découverte de la photographie de Moriyama qui nous a plus bouleversé par sa compréhension de la ville – ville que ne comprends pas le magnifique William Eggleston -, par la spontanéité de sa photographie et par sa maîtrise du noir et de la lumière. Vous me direz mais la photographie c’est toujours une histoire de lumière et vous auriez raison, mais la lumière de Moriyama Daïdo doit provoquer chez le regardeur un état presque extatique tellement elle est contrôlée, bousculée, maîtrisée et cette lumière c’est dans les différents noirs sourds, puissant, profonds qu’il faut la chercher et qu’on la trouve. La photographie, en tout cas celle qui compte à mon oeil, ce n’est pas celle qu’on appréhende en un instant, non c’est celle qui demande à l’oeil de travailler, à l’oeil de se perdre dans la profondeur du noir. Et le noir japonais, celui qui est aussi sourd et profond que de l’encre de Chine, c’est le sujet de l’exposition. EXPOSITION Five : Masters of Japanese Photography Du 10 novembre 2016 au 28 janvier 2017 Galerie Sage 1 bis, avenue de Lowendal, 75007 Paris info@sageparis.com www.sageparis.com Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : Blind Spots par Benoît Allouis Cette semaine nous entamons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
News SMITH, nouvel artiste de la résidence Instants Après les photographes Paul Cupido et Henrike Stahl, c’est au tour de l’artiste-chercheur SMITH de participer à la résidence artistique Instants, initiée ...
Interview Art Contemporain Interview Xie Lei, nomination Prix Marcel Duchamp 2025, exposition Semiose galerie Découvert par le public à l’occasion de l’exposition Au-delà à la Fondation Louis Vuitton en 2023, l’artiste Xie Lei, diplômé des Beaux-Arts ...
Actu Art Contemporain « Chaque vie est une histoire », 13 artistes internationaux pour lever le voile au Musée national de l’histoire de l’immigration
Carte blanche à Maud Veith (revue FemmesPHOTOgraphes) : La photographie comme lieu de rencontre 1 jour ago
Carte blanche à Kim lan Nguyễn Thị (revue FemmesPHOTOgraphes) : Le vide et ses résonances 2 jours ago
Jeu de Paume, le festival : Interview Jeanne Mercier, commissaire, pour une émancipation des imaginaires ! 3 jours ago
Une journée au Centre Pompidou-Metz : Cerith Wyn Evans, Sud global émancipé et Katharina Grosse 1 jour ago
Centre Pompidou Metz : « Après la fin. Cartes pour un autre avenir » vers un sud global émancipé 3 jours ago