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Partager Partager NewsPhoto Pour 2020, la MEP peine à faire honneur à la scène photographique française… Ericka Weidmann27 novembre 2019 Temps de lecture estimé : 2minsDès son arrivée, le nouveau directeur de la Maison Européenne de la Photographie Simon Baker, avait affirmé sa volonté de l’ouvrir à un public plus élargi ! Après plus d’un semestre aux commandes de l’institution, le bilan s’annonce en demi-teintes, mais surtout on ne peut que constater que la grande oubliée dans cette histoire est la photographie française… Le danger lorsque l’on souhaite élargir son public, c’est de perdre celui qui était déjà acquis. Et pour certains, la MEP a perdu le cap. Ils ne se retrouvent plus dans l’esprit qu’avait instauré Jean-Luc Monterosso, depuis l’ouverture de ce lieu entièrement dédié à la photographie en plein cœur du Marais… Mais en 23 ans, la société a évolué et avec elle, la photographie – qui a subit plus qu’un changement, une véritable révolution. Si nous devions donner raison à Simon Baker, c’est que le changement était nécessaire, vital même., n’en déplaise aux nostalgiques. Si la programmation initiée cette année, n’a pas su mettre tout le monde d’accord, une chose est sûre, c’est que le tournant vers l’international est bel et bien engagé. Mais qu’en est-il de la photographie française ? En nommant l’ancien conservateur de la Tate, un britannique, aux commandes, on pouvait supposer que la MEP rêvait de briller à l’international. Mais est-ce la bonne stratégie pour diversifier son audience ? À l’annonce de la programmation 2020, on remarque tristement que sur les trois grandes expositions prévues, aucune n’est consacrée à un.e artiste photographe français.e. Ce n’est nullement un combat chauvin, mais plutôt une inquiétude face la situation de la scène photographique française, qui est proliférante mais souffrante. Alors que les photographes peinent de plus en plus à être exposé.es et diffusé.es, nous ne souhaitons pas voir les instituions leur tourner le dos. À bon entendeur… EXPOSITIONS À VENIR La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer04déc(déc 4)11 h 00 min2020dim16fev(fev 16)20 h 00 minAmazôniaTommaso Protti, Lauréat du Prix Carmignac du photojournalismeLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP présente l’exposition « Amazônia » de Tommaso Protti, lauréat du 10e Prix Carmignac du Photojournalisme, consacré à l’Amazonie et aux enjeux liés à sa déforestation. Présidé par Yolanda Détail de l'événement La MEP présente l’exposition « Amazônia » de Tommaso Protti, lauréat du 10e Prix Carmignac du Photojournalisme, consacré à l’Amazonie et aux enjeux liés à sa déforestation. Présidé par Yolanda Kakabadse, ministre de l’environnement de l’Équateur de 1998 à l’an 2000 et présidente de l’association WWF de 2010 à 2017, le Prix a été attribué à Tommaso Protti. Entre janvier et juillet 2019, le photojournaliste italien Tommaso Protti, accompagné du journaliste britannique Sam Cowie, a parcouru des milliers de kilomètres à travers l’Amazonie brésilienne pour réaliser ce reportage. Depuis la région de Maranhão à l’est, à celle de Rondônia à l’ouest, en passant par les États du Pará et de l’Amazonas, ils dressent le portrait de l’Amazonie brésilienne contemporaine, où les crises sociales et humanitaires se superposent à la destruction inexorable de la forêt vierge, poumon de la planète. « Je souhaitais illustrer les transformations sociales en dénonçant le massacre et la destruction qui ont actuellement lieu dans la région. Ces différentes formes de violence sont les conséquences de changements au niveau du marché international et celles d’une augmentation exponentielle de la consommation à l’échelle mondiale, de la cocaïne à la viande de bœuf. Les scientifiques s’accordent à dire que la forêt est en passe d’atteindre un point de non-retour : la déforestation, alimentée par le commerce illégal du bois, l’accaparement des terres, l’expansion agricole, le développement de projets privés et étatiques et l’extraction de ressources en sont autant de causes. Je pense qu’il est important de sensibiliser le public sur ce sujet et de s’interroger sur ce qui est en train de se passer. » Tommaso Protti Né en Italie en 1986, Tommaso Protti vit et travaille à São Paulo au Brésil. Il a débuté sa carrière de photographe en 2011 après un diplôme en sciences politiques et relations internationales. Il se consacre depuis à ses propres projets au long cours. Son travail a été exposé dans le monde entier et ses photographies sont publiées dans des titres d’envergure internationale. Il travaille également avec des organisations internationales comme les Nations Unies. Il est membre de l’agence Angustia. Prolongeant l’exposition à la MEP, des photographies de Tommasso Protti sont présentées sur les grilles de l’Hôtel de Ville, du 12 novembre 2019 au 10 janvier 2020. Exposition présentée en collaboration avec la Fondation Carmignac DatesDécembre 4 (Mercredi) 11 h 00 min - Février 16 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer04déc(déc 4)11 h 00 min2020dim16fev(fev 16)20 h 00 minZone Grise / The Land in BetweenUrsula Schulz-Dornburg La Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP présente la première rétrospective en France de l’artiste allemande Ursula Schulz-Dornburg. Depuis plus de quarante ans, Ursula Schulz-Dornburg explore, à travers son travail, la relation entre l’environnement bâti et Détail de l'événement La MEP présente la première rétrospective en France de l’artiste allemande Ursula Schulz-Dornburg. Depuis plus de quarante ans, Ursula Schulz-Dornburg explore, à travers son travail, la relation entre l’environnement bâti et le paysage. Souvent attirée par les théâtres de conflits sociaux, politiques et culturels, ou des régions qui revêtent une importance historique, elle met en lumière la façon dont le pouvoir, les conflits, le temps et le déclin perturbent le paysage et le transforment, le marquant pour les décennies à venir. Cette exposition capitale explore la pratique photographique d’Ursula Schulz-Dornburg. Une pratique traversée par trois thèmes majeurs : les démarcations et les frontières, l’architecture et l’environnement bâti ainsi que l’impact humain sur l’environnement et les paysages. Le travail qu’elle a effectué en Irak, en Mésopotamie, en Syrie et le long de la frontière séparant la Géorgie de l’Azerbaïdjan documente l’histoire et l’incidence des démarcations et frontières, qu’elles soient naturelles ou artificielles, soulignant combien les jeux de pouvoirs, l’avènement et la chute des empires bouleversent les paysages et les gens qui y vivent. Dans sa série « Transit Sites » en Arménie, et dans celle du chemin de fer reliant Médine à la Jordanie ou encore « Ploshchad Vosstaniïa – Place de l’Insurrection », c’est à l’architecture et au mouvement que l’artiste s’est intéressée, montrant comment l’environnement bâti et les infrastructures institutionnelles survivent souvent aux régimes qui ont décidé de leur construction. Enfin, dans ses séries « Opytnoe Pole » et « Chagan », sur les anciens sites d’essais nucléaires de l’ex-Union soviétique et les archives du blé à l’Institut Vavilov de Saint-Pétersbourg, elle met en lumière l’impact de l’homme sur la nature, les liens de cause à effet entre les contingences politiques et la destruction de l’environnement et des ressources naturelles, un thème qui semble plus que jamais actuel. Une pratique centrée sur le temps, qui ne se préoccupe pas de documenter les séquelles ou de capturer le moment indexé mais s’intéresse au cycle et au déclin, ainsi qu’à l’interstice qui sépare un événement historique du prochain. Une pratique liée à l’approche systématique axée sur les processus et à la rigueur formelle héritée de la pensée minimale et conceptuelle apparue dans les années 1960 et 1970. L’exposition, dont la scénographie a été pensée par Ursula Schulz-Dornburg, présente plus de 250 de ses œuvres réalisées entre 1980 et 2012. Chaque corpus d’œuvres est présenté sous forme d’installation conçue spécialement pour l’espace de la MEP. Shoair Mavlian Commissaire de l’exposition DatesDécembre 4 (Mercredi) 11 h 00 min - Février 16 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer04déc(déc 4)11 h 00 min2020dim12jan(jan 12)20 h 00 minWallsHarley WeirLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementDans son espace dédié à la création émergente, le Studio, la MEP invite la photographe britannique Harley Weir – qui connaît par ailleurs un succès colossal dans le monde de Détail de l'événement Dans son espace dédié à la création émergente, le Studio, la MEP invite la photographe britannique Harley Weir – qui connaît par ailleurs un succès colossal dans le monde de la mode – à présenter un projet personnel inédit. Issue d’un travail à la frontière israélo-palestinienne, la série « WALLS » rassemble des images du mur de séparation israélien et de ses alentours. Prises depuis 2013 à l’occasion de séjours dans la région de Jérusalem Est et en Cisjordanie, sans plan préétabli ni intention partisane, ces photographies rendent compte d’un parcours subjectif et aléatoire de part et d’autre du mur, et racontent une prise de conscience singulière face à une réalité politique, sociale et culturelle complexe. Dans un travail photographique marqué par le sens du détail, la proximité avec les sujets et l’intensité des couleurs, Harley Weir livre une vision personnelle d’un sujet controversé, n’excluant ni les marques du conflit – caméras de surveillance, barbelés, signes de protestation – ni la banalité du quotidien et la beauté ambiguë des paysages. Diplômée du Central Saint Martin College de Londres, Harley Weir est connue pour son traitement du corps et de l’intimité dans ses projets personnels comme dans ses nombreuses collaborations dans le monde de la mode et de l’édition. En marge des campagnes prestigieuses qu’elle réalise pour de grandes marques ou des magazines de mode, elle développe une démarche engagée, et s’intéresse notamment aux territoires de séparation et aux questions environnementales. DatesDécembre 4 (Mercredi) 11 h 00 min - Janvier 12 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer04déc(déc 4)11 h 00 min2020dim16fev(fev 16)20 h 00 minZone Grise / The Land in BetweenUrsula Schulz-Dornburg La Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP présente la première rétrospective en France de l’artiste allemande Ursula Schulz-Dornburg. Depuis plus de quarante ans, Ursula Schulz-Dornburg explore, à travers son travail, la relation entre l’environnement bâti et Détail de l'événement La MEP présente la première rétrospective en France de l’artiste allemande Ursula Schulz-Dornburg. Depuis plus de quarante ans, Ursula Schulz-Dornburg explore, à travers son travail, la relation entre l’environnement bâti et le paysage. Souvent attirée par les théâtres de conflits sociaux, politiques et culturels, ou des régions qui revêtent une importance historique, elle met en lumière la façon dont le pouvoir, les conflits, le temps et le déclin perturbent le paysage et le transforment, le marquant pour les décennies à venir. Cette exposition capitale explore la pratique photographique d’Ursula Schulz-Dornburg. Une pratique traversée par trois thèmes majeurs : les démarcations et les frontières, l’architecture et l’environnement bâti ainsi que l’impact humain sur l’environnement et les paysages. Le travail qu’elle a effectué en Irak, en Mésopotamie, en Syrie et le long de la frontière séparant la Géorgie de l’Azerbaïdjan documente l’histoire et l’incidence des démarcations et frontières, qu’elles soient naturelles ou artificielles, soulignant combien les jeux de pouvoirs, l’avènement et la chute des empires bouleversent les paysages et les gens qui y vivent. Dans sa série « Transit Sites » en Arménie, et dans celle du chemin de fer reliant Médine à la Jordanie ou encore « Ploshchad Vosstaniïa – Place de l’Insurrection », c’est à l’architecture et au mouvement que l’artiste s’est intéressée, montrant comment l’environnement bâti et les infrastructures institutionnelles survivent souvent aux régimes qui ont décidé de leur construction. Enfin, dans ses séries « Opytnoe Pole » et « Chagan », sur les anciens sites d’essais nucléaires de l’ex-Union soviétique et les archives du blé à l’Institut Vavilov de Saint-Pétersbourg, elle met en lumière l’impact de l’homme sur la nature, les liens de cause à effet entre les contingences politiques et la destruction de l’environnement et des ressources naturelles, un thème qui semble plus que jamais actuel. Une pratique centrée sur le temps, qui ne se préoccupe pas de documenter les séquelles ou de capturer le moment indexé mais s’intéresse au cycle et au déclin, ainsi qu’à l’interstice qui sépare un événement historique du prochain. Une pratique liée à l’approche systématique axée sur les processus et à la rigueur formelle héritée de la pensée minimale et conceptuelle apparue dans les années 1960 et 1970. L’exposition, dont la scénographie a été pensée par Ursula Schulz-Dornburg, présente plus de 250 de ses œuvres réalisées entre 1980 et 2012. Chaque corpus d’œuvres est présenté sous forme d’installation conçue spécialement pour l’espace de la MEP. Shoair Mavlian Commissaire de l’exposition DatesDécembre 4 (Mercredi) 11 h 00 min - Février 16 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal PROGRAMME 2020 La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer04mar(mar 4)11 h 00 mindim07jui(jui 7)20 h 00 minErwin Wurm, PhotographsLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementÀ partir du 4 mars 2020, la Maison Européenne de la Photographie propose de découvrir le travail d’Erwin Wurm, artiste de renommée internationale, sous un nouvel angle, dans le cadre Détail de l'événement À partir du 4 mars 2020, la Maison Européenne de la Photographie propose de découvrir le travail d’Erwin Wurm, artiste de renommée internationale, sous un nouvel angle, dans le cadre de la première rétrospective consacrée à son travail photographique. L’artiste autrichien est célèbre pour son œuvre complexe et conceptuelle, mêlant sculpture, performances, vidéo, dessin et photographie, à travers laquelle il interroge avec humour et cynisme notre relation au corps, en associant espièglerie, burlesque et sens de l’absurde. Réunissant quelque 200 tirages réalisés depuis les années 1990 sur les deux principaux étages de la MEP, cette exposition exhaustive – la première du genre organisée à Paris depuis de nombreuses années – présentera planches contacts originales et tirages provenant des archives personnelles de l’artiste, qui n’ont encore jamais présentés au public. Cette exposition sera l’occasion de montrer le rôle unique joué par ce médium dans son œuvre : bien plus qu’un moyen d’immortaliser ses performances, Wurm considère la photographie comme une forme d’expression “sculpturale” à part entière. Associant œuvres problématisées et images plus philosophiques, l’exposition explorera le processus artistique par lequel il réalisa des œuvres majeures telles que ses « dust sculptures », créées à l’aube des années 1990, pour lesquelles l’artiste place un objet sur une surface, le saupoudre de poussière puis retire l’objet afin de montrer l’emprunte résiduelle, ou encore « Fabio Gets Dressed » (1992), inspiré par sa conviction que le corps humain, avec sa capacité à remplir un pull, à occuper l’espace, à prendre ou perdre du poids, est une sculpture à part entière. Seront également exposés « Instructions for Idleness » (2001), « How to Be Politically Incorrect » (2002-2003), « Thinking About Philosophy » (2004), « Nudelskulpturen » (2016) ainsi que des Polaroid récents grand format. En plus de ses photos, vidéos et meubles, l’exposition proposera également ses célèbres « One-Minute Sculptures » à travers des œuvres interactives invitant les visiteurs à devenir des sculptures vivantes en suivant les instructions de l’artiste. DatesMars 4 (Mercredi) 11 h 00 min - Juin 7 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris ven17jan(jan 17)11 h 00 mindim16fev(fev 16)20 h 00 minDemande à la poussièreManon LanjouèreLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementDans son espace dédié à la création émergente, le Studio, la MEP présente le projet de Manon Lanjouère, « Demande à la poussière », avec lequel elle a remporté le Détail de l'événement Dans son espace dédié à la création émergente, le Studio, la MEP présente le projet de Manon Lanjouère, « Demande à la poussière », avec lequel elle a remporté le Prix FIDAL Youth Photography en 2017 et a été nommée pour le Prix HSBC en 2018. À l’instar de John Adams dans son opéra I was looking at the ceiling and then i saw the sky, Manon Lanjouère prend pour point de départ de son œuvre le récit d’une catastrophe naturelle – ici un orage fictif – à forte valeur symbolique. La foudre s’est abattue sur un toit, laissant trace de la violence du choc et offrant au regard l’immensité du ciel. Cet événement imaginaire donne l’occasion à l’artiste d’en questionner la signification et d’en interroger le souvenir. Le travail de Manon Lanjouère, fondamentalement pluridisciplinaire, procède par accumulation et collectes de documents : textes littéraires, photographies vernaculaires et documents scientifiques se mêlent à de fausses archives et aux portraits de studio qu’elle réalise. Inspirée par le monde du théâtre, l’artiste fait de la fiction un sujet d’observation, usant de la mise en scène comme méthode. Née en 1993, Manon Lanjouère vit et travaille à Paris. Diplômée de l’Ecole des Gobelins en 2017, elle a déjà exposé dans de nombreux festivals en France et à l’étranger. Ses œuvres comptent parmi les collections de plusieurs musées comme le musée Nicéphore Niépce à Chalon sur Saône et le musée de l’Elysée à Lausanne. DatesJanvier 17 (Vendredi) 11 h 00 min - Février 16 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer19mai(mai 19)11 h 00 mindim24oct(oct 24)20 h 00 minTokyoDaido Moriyama | Shomei TomatsuLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP est heureuse de présenter une exposition d’envergure réunissant deux grands maîtres de la photographie japonaise de l’après-guerre. L’exposition Moriyama – Tomatsu : Tokyo a été conçue par les artistes Détail de l'événement La MEP est heureuse de présenter une exposition d’envergure réunissant deux grands maîtres de la photographie japonaise de l’après-guerre. L’exposition Moriyama – Tomatsu : Tokyo a été conçue par les artistes Daido Moriyama et Shomei Tomatsu – avant le décès de ce dernier en 2012 – comme une manière de célébrer leur ville autour d’une première collaboration artistique. Pensée conjointement par Simon Baker, Pascal Hoël et Frédérique Dolivet (pour la MEP), Daido Moriyama et Mme Yasuko Tomatsu, et avec la collaboration d’Akio Nagasawa, Moriyama – Tomatsu : Tokyo ne sera pas uniquement la concrétisation d’un projet historique n’ayant jamais vu le jour jusque-là, mais constituera la première grande exposition du travail de Shomei Tomatsu à Paris. Sur les deux étages principaux de la MEP – le 2e étage sera consacré à Tomatsu, le 3e à Moriyama – l’exposition présentera plus de 300 oeuvres dont la plupart pour la première fois à Paris. La MEP présente Moriyama – Tōmatsu : Tokyo, l’exposition historique des deux maîtres de la photographie japonaise. Pour Shōmei Tōmatsu, pourtant adulé, collectionné et présenté dans le monde entier, Moriyama – Tōmatsu : Tokyo représente la première exposition d’envergure à Paris. Quant à Daidō Moriyama, il s’agit de la présentation la plus complète de son œuvre jamais organisée en France. Imaginée par Moriyama et Tōmatsu eux-mêmes, l’exposition n’avait jamais pu voir le jour suite au décès, en 2012, de Shōmei Tōmatsu. La MEP choisit de réaliser aujourd’hui ce rêve qu’avaient partagé les deux photographes amis. À travers un large panorama de leurs travaux, l’exposition Moriyama – Tōmatsu : Tokyo met en regard leur fascination pour la capitale nippone qu’ils ont arpentée durant des décennies.Conçue en étroite collaboration avec Daidō Moriyama et la veuve de Shōmei Tōmatsu, Yasuko Tōmatsu, l’exposition reprend la sélection initiale des deux artistes, enrichie et adaptée pour l’occasion, et propose un voyage complet et cohérent dans leurs œuvres. Chaque photographe occupera un des deux étages des galeries de la MEP. Avec un accrochage pour l’essentiel chronologique, la première partie, consacrée à Tōmatsu, contrastera avec une scénographie plus foisonnante et dense de la section réservée à Moriyama. Tokyo par Shōmei Tōmatsu À partir des images présélectionnées en vue du projet initial, 140 œuvres de Tōmatsu ont été retenues pour l’exposition à la MEP. Le parcours débutera avec les premières photographies de l’artiste réalisées dès son arrivée à Tokyo en 1954. Tōmatsu s’intéresse alors au prolétariat dans un pays profondément meurtri par les destructions de la Seconde Guerre mondiale : les petits métiers, les chômeurs, les enfants des rues. Dès 1958, fasciné par l’américanisation de son pays et son impact sur le mode de vie et la culture japonaise, il commence à photographier les soldats américains qui occupent les bases militaires au Japon. C’est le début de son projet « Chewing gum & Chocolate ». Tōmatsu s’intéresse aussi aux nouveaux modes de vie qui émergent progressivement dans ces années d’après-guerre. Dans la série « Chindon », il fixe son regard sur les Chindownyassans, des acteurs et musiciens pauvres, qui, vêtus de leurs costumes traditionnels de la période Edo, deviennent des modèles de publicité de rue pour les grands magasins. Avec la série de jeunesse « Asphalt », Tōmatsu expérimente la forme et ouvre la voie à des mondes que personne n’avait imaginés : il consacre toute une série à l’asphalte des rues, qu’il appréhende comme la « peau » de la ville, sur laquelle les fragments d’objets métalliques incrustés dans le bitume, ressemblent à de la poussière d’étoiles. L’exposition présentera également une large sélection de photographies d’un de ses livres majeurs Oh Shinjuku ! publié en 1969, dans lequel Tōmatsu inclut notamment ses séries « Eros » et « Protest ». Il y raconte la chronique de ce quartier de Tokyo, qui garde une place essentielle dans la mythologie de la contre-culture japonaise. Quartier de grands magasins où des foules immenses se côtoient le week-end, et dont la vie nocturne, peuplée de jeunes marginaux, laisse place à des clubs de strip-tease et des bars à filles, que Tōmatsu nous montre sans tabou. L’artiste utilise la photographie couleur dès les années 1960. Cette pratique que l’on retrouvera tout au long de l’exposition, prendra une place plus importante au fil des années. Quelques extraits de la série « Cherry Blossoms », au début des années 1980, magnifient les cerisiers en fleurs du Japon, avant que le parcours ne se clôt par les quatre portraits étonnants des photographes phares du Japon de la fin des années 1970 : Nobuyoshi Araki, Masahisa Fukase, Daidō Moriyama – déguisé en mariée japonaise – et un magnifique auto-portrait de Shōmei Tōmatsu costumé. Tokyo par Daidō Moriyama Conçue par l’artiste lui même, en collaboration étroite avec le galeriste Akio Nagasawa, la sélection d’œuvres et la scénographie de cette seconde partie, mettent en valeur les séries emblématiques et la grande diversité des pratiques de Daidō Moriyama : tirages argentiques, photographies couleurs, sérigraphies sur toile, Polaroid, Drop Paper, caissons lumineux, livres et revues, notamment la revue Record que Moriyama publie périodiquement depuis 2006. Le parcours commence par des images de son premier livre, Japan: a Photo Theater (1968), où l’artiste mêle photos de rue et portraits de comédiens itinérants. Le livre fera scandale, son esthétique est très proche de la revue Provoke que Moriyama rejoint en 1969. La même année, il réalise la série « Accident » (1969), dans laquelle il se réapproprie des photographies d’accidents de la route nocturnes et violents, trouvées dans des revues ou capturées sur l’écran de télévision. Moriyama les détourne à la manière des sérigraphies de la série « Death and Disaster » d’Andy Warhol, qu’il découvre dès 1968. L’exposition présentera d’ailleurs un peu plus loin dans le parcours, des sérigraphies sur toile grands formats, inspirées de la pratique d’Andy Warhol et que Moriyama considère comme une extension naturelle de son propre langage photographique. Une large sélection de photographies issues de Farewell Photography (1972) – l’un des livres les plus avant-garde de l’époque – présentera un nouveau langage photographique chez Moriyama, celui du flou, du bougé, du grain et des taches, avec des images à la limite de la lisibilité. Après une longue pause dans sa pratique photographique, Moriyama publie en 1982 le livre Light and Shadow où il impose une nouvelle approche : des images cette fois très contrastées, aux noirs omniprésents et aux cadrages serrés, qui feront sa réputation dans les années qui suivront. L’exposition propose ensuite une visite immergée dans le quartier de Shinjuku – chaos urbain qui ne cesse de subjuguer Moriyama et qu’il photographie à l’instinct. Suit une installation autour de la série « Tights » (collants) dans laquelle l’artiste transforme les bas résilles en un motif obsessionnel décliné sur différents supports. Puis la série « Platform » (1977) réalisée sur une journée le long du trajet Zushi-Yokohama-Tokyo, présentera les photographies de rangées d’anonymes qui s’amassent sur les quais d’une gare pour aller au travail, photos de foule dans lesquelles le regard s’attache sur chaque individu. Enfin, redécouverte dans ses archives récemment, la série « Pantomine » (1963), rassemblera des photographies de fœtus stockés dans du formol, premier projet personnel que Moriyama réalise à 25 ans dans une maternité de Tokyo. La fin du parcours mettra en lumière la couleur chez Moriyama qui a également beaucoup photographié la ville de Tokyo au Polaroid, parcourant les rues, multipliant les vues, humant les odeurs de la ville, scrutant les ruelles, panneaux publicitaires, affiches, étalages commerciaux et piétons. La dernière salle présentera la série « Pretty Woman » une sélection de photos couleur prises en 2017 dans les rues de Tokyo, où il capture des silhouettes de femmes dans le chaos des rues et des vitrines de magasins. L’exposition s’achèvera par une large sélection du magazine Record, publié par Akio Nagasawa, entièrement conçu et réalisé par Moriyama à partir de ses propres photographies, et dont le numéro 44 vient de paraître. Daido Moriyama. Untitled, de la série « Provoke », 1969 Date de fin non communiquée. DatesMai 19 (Mercredi) 11 h 00 min - Octobre 24 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT+00:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer01fev11 h 00 mindim21mai(mai 21)20 h 00 minZanele MuholiLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP est fière de présenter la première rétrospective en France consacrée à Zanele Muholi, photographe et activiste sud-africain·e* de renommée internationale, dont le travail documente la vie de la Détail de l'événement La MEP est fière de présenter la première rétrospective en France consacrée à Zanele Muholi, photographe et activiste sud-africain·e* de renommée internationale, dont le travail documente la vie de la communauté noire LGBTQIA+ (lesbienne, gay, bisexuel·le, transgenre, queer, intersexe, asexuel·le +) et des individus qui la constituent. Cet événement majeur, qui rassemble plus de 200 photographies, vidéos et installations créées depuis le début des années 2000 ainsi que de nombreux documents d’archives, couvre toute l’étendue de la carrière de Muholi à ce jour, faisant ainsi honneur à l’un·e des artistes les plus salué·es aujourd’hui. Zanele Muholi, qui se définit comme « activiste visuel·le », utilise l’appareil photo comme un outil contre les injustices. Dans les années 1990, l’Afrique du Sud connaît des changements sociaux et politiques importants. La démocratie s’établit en 1994 avec l’abolition de l’apartheid, suivie par une nouvelle Constitution en 1996, la première au monde à interdire toute discrimination fondée sur l’orientation sexuelle. Malgré ce progrès, les personnes noires LGBTQIA+ y restent la cible de violences et de préjugés. Les photographies de Zanele Muholi encouragent le spectateur à interroger les idées reçues. Elles créent un nouveau lexique d’images positives pour des communautés mal et sous-représentées en vue de promouvoir le respect mutuel. Zanele Muholi, Sebenzile, Parktown, 2016 Courtesy of the Artist and Stevenson, Cape Town/ Johannesburg and Yancey Richardson, New York © Zanele Muholi DatesFévrier 1 (Mercredi) 22 h 00 min - Mai 21 (Dimanche) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal https://www.mep-fr.org/ Favori0
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