Carte blanche à Superpartners (SMITH / Piton) : Pistes découvertes pour un mardi enneigé, dépité, feu couvert 6 jours ago
70 ans du Laboratoire Picto : Entretien avec l’historienne et commissaire Carole Naggar 15 janvier 2021
Ariane van Suchtelen, musée Mauritshuis (Pays-Bas) : les odeurs dans l’art au Siècle d’Or 5 jours ago
Partager Partager EvénementsL'ActuPhoto La photographe égyptienne Fatma Fahmy remporte le Prix Daniele Tamagni La Rédaction4 décembre 2019 Temps de lecture estimé : 2minsFatma Fahmy, photographe documentaire égyptienne remporte la première édition du Prix Daniele Tamagni. Grâce à son sujet intitulé “Once There Was a Tram”, elle remporte avec une bourse d’un an au Market Photo Workshop de Johannesburgh, en Afrique du Sud. Nous avons été impressionnés par la force de narration du travail de Fatma, par ses images riches en poésie, porteuses de valeurs humaines et empreintes de nostalgie. Fatma se concentre sur les sociétés et les communautés qui préservent leurs traditions, leurs racines et crée des images qui amplifient ces liens avec le passé tout en mettant en lumière certains aspects de la vie de tous les jours ». Giordano Tamagni, président du jury Le sujet lauréat, Once There Was a Tram (Il était une fois un tramway) est consacré au réseau de tramways d’Alexandrie, datant du 19e siècle. Fatma Fahmy explique ainsi son projet : « …J’ai décidé d’entrer dans ce tramway pour explorer cet univers intérieur, ce monde singulier en pensant qu’il était peut-être le reflet de l’extérieur. En effet, les histoires des voyageurs, leurs vies quotidiennes se laissent deviner dans chacun de leurs regards, de leurs gestes ou de leurs expressions. Tout-à-coup, la lumière pénètre dans le tram et tombe sur les gens, comme un faisceau d’espoir à travers la morosité de leur vie quotidienne. En sentant pulser le rythme de la vie, je capte aussi les ondes de pression extérieures qui s’exercent sur tous. Je perçois le degré d’intensité que chacun met dans sa journée. Chaque voyageur entrant ou sortant du tram apporte son histoire ou repart avec. La vie est retransmise en direct. Alors que ces gens se rendent à leur destination en se questionnant sur leur sort, je me pose toujours la même question : combien de temps cette « boîte » résistera-t-elle aux changements du monde extérieur ? ». Fatma souligne combien il est difficile d’être photographe, et qui plus est, une femme photographe dans une société mono vision où les choses sont perçues à travers une perspective unique, et ce sans même sans parler de l’appareil photo qui, lui, est systématiquement vu comme « Big Brother ». En dépit de la dure réalité de violence et de discrimination, qu’elle photographie, Fatma à travers sa narration photographique, saisit toujours l’importance de ces moments de la vie quotidienne où les gens sont pleinement dignes et eux-mêmes. https://www.instagram.com/fatmah.fahmy/ Bookmark0
Rencontre avec Catherine Chevillot, conservateur général musée Rodin et co-commmissaire de l’exposition Barbara Hepworth
Photo MIDO, une série de Julie Joubert Cette semaine, nous partageons avec vous, la série MIDO réalisée par Julie Joubert. Un projet au long cours pour suivre Ahmed, un ...
Photo Chiara Indelicato présente Elsewhere Nous continuons de partager avec vous les travaux réalisés et finalisés dans le cadre des masterclass Oeildeep. Voici la sélection de la ...
L'Interview 70 ans du Laboratoire Picto : Entretien avec Thomas Mailaender, artiste plasticien En 2020, le laboratoire Picto soufflait ses 70 bougies. Un anniversaire célébré au travers de plusieurs projets événementiels et éditoriaux. Parmi eux, ...
Carte blanche à Superpartners (SMITH / Piton) : Pistes découvertes pour un mardi enneigé, dépité, feu couvert 6 jours ago
70 ans du Laboratoire Picto : Entretien avec l’historienne et commissaire Carole Naggar 15 janvier 2021
Ariane van Suchtelen, musée Mauritshuis (Pays-Bas) : les odeurs dans l’art au Siècle d’Or 5 jours ago