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Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsSuite à son appel à candidature en juin dernier, le Centre Photographique d’Île-de-France vient d’annoncer le nom de ses deux artistes en résidence à l’Atelier de recherche et de post-production. Ce printemps, la photographe niçoise Isabelle Giovacchini entrera en résidence avec son projet « L’Esprit du lieu », cet automne ce sera au tour de Thomas Hauser de développer ses recherches sur des nouvelles solutions d’impression… Isabelle Giovacchini Vue du Museo delle navi romane entre-deux-guerres : proue du premier navire – Le Navi di Nemi, Guido Ucelli, éditions La Libreria dello Stato, 1950© Isabelle Giovacchini L’Esprit du lieu est un projet sur le lac de Nemi. Ce site italien est une curiosité archéologique, célèbre pour avoir abrité deux immenses navires de Caligula, retrouvés lors de spectaculaires fouilles entre-deux-guerres. Ces vestiges, disparus lors d’un incendie en 1944, subsistent désormais sous forme d’archives iconographiques, conservées au Museo della Scienza e della Tecnologia Leonardo da Vinci de Milan. L’artiste souhaite valoriser ce fonds, réalisé initialement à des fins scientifiques, pour lui apporter un contrepoint artistique, par assemblages et expérimentations photographiques. L’Esprit du lieu bénéficie du soutien de la Villa Médicis, qui accueille l’artiste en résidence en 2020 et 2021, ainsi que des Amis du NMWA de Washington. Le Miroir de Diane, 2020 (détail) – Carte postale argentique représentant le lac de Nemi, non datée et altérée par le temps, 8,6 x 13,5 cm, sous passe partout 30 x 40 cm© Isabelle Giovacchini Isabelle Giovacchini est née à Nice en 1982. Elle vit et travaille entre Paris et la région méditerranéenne, en fonction de ses projets. Figure rare et singulière de la photographie française, elle a notamment présenté son travail au FRAC Languedoc- Roussillon, au FRAC Champagne-Ardenne, au MAMAC à Nice, au Musée des Beaux-arts de Mulhouse et, en 2020 – 2021, au CPIF dans le cadre de l’exposition collective La Photographie à l’épreuve de l’abstraction. Son œuvre a intégré les collections publiques des FRAC Champagne-Ardenne, Franche-Comté et Provence-Alpes-Côte d’Azur. http://www.isabellegiovacchini.com/ Thomas Hauser Jules (Marseille) #3, 2021 | Jules (Lambesc) #1, 2020 © Thomas Hauser Thomas Hauser développe un travail photographique et sculptural autour des résurgences de la mémoire, qu’il réinvente et qui s’articule de manière libre entre photographies dont il est l’auteur ou qu’il a reçues en héritage. Il procède par assemblage, découpe, fragmentation, surimpression d’images et combine la matière par affinité. À la frontière entre installation et sculpture, ses Modules sont des compositions de bribes de souvenirs personnels et collectifs qui échafaudent les traces d’une mémoire hypothétique. Au sein de l’atelier de recherche et postproduction du CPIF, Thomas Hauser souhaite développer ses recherches en cours, notamment en expérimentant des nouvelles solutions d’impression. Thomas Hauser est né à Paris en 1984. Il vit et travaille à Marseille. Diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art et de Design Marseille-Méditerranée, il est lauréat du programme Foam Talent en 2018 et a présenté son travail en 2019 à Paris Photo (secteur Curiosa), au Red Hook Labs à New York, au Foam Museum d’Amsterdam, au C/O Berlin, à Mai Mano House Budapest, à la Deutsche Börse Photography Foundation de Francfort, au Musrara Mix Festival à Jérusalem ainsi qu’aux Rencontres de la photographie d’Arles en 2018 pour le Nouveau Prix Découverte. http://www.thomashauser.fr/ Favori0
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