Carte blanche à Maud Veith (revue FemmesPHOTOgraphes) : La photographie comme lieu de rencontre 2 jours ago
Carte blanche à Kim lan Nguyễn Thị (revue FemmesPHOTOgraphes) : Le vide et ses résonances 3 jours ago
Jeu de Paume, le festival : Interview Jeanne Mercier, commissaire, pour une émancipation des imaginaires ! 4 jours ago
Une journée au Centre Pompidou-Metz : Cerith Wyn Evans, Sud global émancipé et Katharina Grosse 2 jours ago
Centre Pompidou Metz : « Après la fin. Cartes pour un autre avenir » vers un sud global émancipé 4 jours ago
NewsPhoto Lettre ouverte : Ne laissons pas mourir Yan (*) une seconde fois ! La Rédaction12 février 2021 Château d'Eau, Toulouse, 2014 © 9 lives Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsLa Galerie du Château d’Eau semble toujours dans la tourmente. Après que la municipalité de Toulouse ait remplacé l’association PACE – qui dirigeait la galerie depuis presque 40 ans – l’inquiétude se porte aujourd’hui sur le fonds de la collection. Composée de 4500 tirages et 13000 livres, la propriété de cette collection a été attribuée à l’Association PACE suite à une décision de justice. Ce fonds va donc quitter Toulouse et l’inquiétude monte. Philippe Guionie, photographe et directeur du programme de Résidence 1+2 partage cette lettre ouverte… L’histoire de la photographie à Toulouse n’est décidément pas un long fleuve tranquille et les aventures tumultueuses de la galerie du Château d’Eau, figure tutélaire de cette histoire, en témoigne. A qui la faute ? A des individualités aux égoïsmes bien ancrés qui ont l’art de rendre compliqué les choses simples et/ou à l’absence d’un leadership, visionnaire et partagé. Je vous laisse juge. A qui appartient cette collection ? Au-delà des joutes politiques et des décisions juridiques arguant de la victoire des uns sur les autres, cette collection unique et protéiforme appartient à chaque dépositaire concerné, à chaque étudiante ou étudiant qui souhaite voyager à travers les livres, à chaque toulousaine et toulousaine sensible aux coulisses de la création, à chaque citoyenne et citoyen désireuse et désireux de s’ouvrir au monde, selon une approche documentaire ou fictionnelle, réelle ou mise en scène. Un patrimoine culturel n’a de sens que s’il s’inscrit dans une histoire, un territoire, des humanités. Il est une somme de partis pris successifs, d’engagements multiples. Il est le miroir de celles et ceux qui l’ont pensé, construit, protégé, aimé. Il participe de cette communauté de pensée qui nourrit au quotidien le vivre ensemble. Enlever les racines à un arbre, que lui reste-t-il ? Délocaliser la collection de la galerie du Château d’Eau puisque c’est de cela dont il s’agit, revient à la vider de sa substance. L’Histoire nous l’a démontré à de nombreuses reprises, qu’une fois franchi le Rubicon, il est très difficile de revenir en arrière. En tant que citoyen, je m’adresse à celles et ceux qui ont un pouvoir aujourd’hui, personnalités, associatifs, politiques, ne laissons pas mourir Yan une seconde fois ! (*) Yan : pseudonyme de Jean Dieuzaide, fondateur du Château d’Eau à Toulouse en 1974. Philippe Guionie A LIRE : Christian Caujolle nommé conseiller artistique de la Galerie du Château d’Eau Quel avenir pour Le Château d’Eau ? Le coup de gueule de Thérèse Pitte Le Pôle photographique du Château d’eau de Toulouse en danger ! Toulouse : Le Pôle photographique du Château d’eau en sursis ! Marque-page0
Rencontre avec Nadine Hounkpatin et Céline Seror, commissaires de « Memoria : récits d’une autre Histoire », Africa2020, Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA
Photo Masterclass Oeildeep : Blind Spots par Benoît Allouis Cette semaine nous entamons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
News SMITH, nouvel artiste de la résidence Instants Après les photographes Paul Cupido et Henrike Stahl, c’est au tour de l’artiste-chercheur SMITH de participer à la résidence artistique Instants, initiée ...
Evénements Une histoire de la misogynie au BAL par Laia Abril : déconstruire l’hystérie ! Incontournable de ce début d’année, le dernier volet de l’ambitieux projet « On Mass Hysteria : Une histoire de la misogynie » ...
Carte blanche à Maud Veith (revue FemmesPHOTOgraphes) : La photographie comme lieu de rencontre 2 jours ago
Carte blanche à Kim lan Nguyễn Thị (revue FemmesPHOTOgraphes) : Le vide et ses résonances 3 jours ago
Jeu de Paume, le festival : Interview Jeanne Mercier, commissaire, pour une émancipation des imaginaires ! 4 jours ago
Une journée au Centre Pompidou-Metz : Cerith Wyn Evans, Sud global émancipé et Katharina Grosse 2 jours ago
Centre Pompidou Metz : « Après la fin. Cartes pour un autre avenir » vers un sud global émancipé 4 jours ago