Coup de cœur de Damarice Amao : Hélène Giannechini – un désir démesuré d’amitié – Donna Gottschalk 3 heures ago
Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine 1 jour ago
Entretien avec Annie Maïllis : la place de la photographie dans « Eros dans l’arène de Picasso » 3 heures ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 5 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Interview Dirk Snauwaert, WIELS Bruxelles : « Réalisme magique », Nairy Baghramian, les programmes de résidence 3 heures ago
Rencontre avec Caroline Corbasson : Arles, « Something Moves », Prix Art & Environnement (Lee Ufan & Maison Guerlain) 1 jour ago
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 2 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsKatia Aumailley est une photographe et artiste française. C’est en 2019 qu’elle entame une fiction documentaire intitulée « Extérieur jour # intérieurs nuit » autour des violences faites aux filles et aux femmes. À travers sa pratique de la photographie et de l’écriture, elle recherche des témoignages de femmes pour réunir des mots ou phrases violentes. Si vous souhaitez participer anonymement à ce recueil et participer à la libération de la parole, vous pouvez contacter Katia Aumailley. Dans le volet documentaire de la série « Extérieur jour # intérieurs nuit », Katia Aumailley collecte les mots ou phrases violents que des filles et des femmes ont effectivement reçus et qui restent peut-être durablement ancrés, noués en elles. Mots offerts par des garçons, des hommes, mais aussi des filles et des femmes… Parfois publiquement, souvent dans des espaces-temps clos voire secrets. Parfois de personnes détentrices de pouvoir, souvent d’inconnus ou de proches. Mots collectés de façon anonyme sans entrer dans le détail des histoires vécues par les unes ou les autres, car mon travail explore les limites du dit et du tu, du dicible et de l’indicible, de l’intime et du révélé, de l’ignoré et du su, du privé et du public, de l’explicite et de l’implicite, en même temps que nos représentations de la violence la plus quotidienne, la plus triviale, la plus commune, souvent invisibilisée personnellement ou collectivement – consciemment ou inconsciemment… Litanie de mots en forme de violentomètre renvoyant à toutes les formes de violences faites aux filles et aux femmes, qui ont des incidences également sur les garçons et les hommes, sur la société dans son ensemble, sur la définition, l’évolution et la pérennité de l’humanité plus généralement. Interrogation poétique du huis-clos intime pour y sonder les voix, les formes, les images, les traces de la violence ordinaire faite aux filles et aux femmes – aujourd’hui en France. Entre autofiction, fiction documentaire, portraits féminins kaléidoscopiques, chronique calendaire d’une année de féminicides, cette double collection de vues subreptices d’existences féminines, entremêlées mais tenues au secret, et de mots durs, crus, répétés en une cruelle litanie questionne notre propre définition de la violence, de ses manifestations, de ses mobiles conscients ou inconscients, des raisons pour lesquelles notre société paradoxalement peine à les penser/panser. La ouate sensible des polaroïds évoque plus qu’elle ne montre cette violence fragmentée, accumulée dans les angles morts de notre société policée, cette violence véhiculée, incarnée, justifiée paradoxalement par le martèlement sourd du langage de la domination, de la culpabilisation, de l’éviction. Pour participer anonymement : https://www.katia-aumailley.fr/ EMail Katia Aumailley Marque-page0
L'Interview Entretien avec Annie Maïllis : la place de la photographie dans « Eros dans l’arène de Picasso » Annie Maïllis est la commissaire de l’exposition Eros dans l’arène de Picasso au Musée Estrine à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône). Le parcours sur le ...
News Avec « Alternative Irreality », Roman Jehanno met à l’épreuve la photographie Avec son expérience Alternative Irreality, le photographe Roman Jehanno lance un avertissement clair : l’intelligence artificielle n’a pas fini de bouleverser le ...
News Les nouvelles expos à voir cet été ! Chaque mois, dans notre rubrique Agenda, nous référençons des centaines de nouveaux événements photographiques en France. Pour votre été à venir, nous ...
News Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine
News Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Coup de cœur de Damarice Amao : Hélène Giannechini – un désir démesuré d’amitié – Donna Gottschalk 3 heures ago
Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine 1 jour ago
Entretien avec Annie Maïllis : la place de la photographie dans « Eros dans l’arène de Picasso » 3 heures ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 5 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Interview Dirk Snauwaert, WIELS Bruxelles : « Réalisme magique », Nairy Baghramian, les programmes de résidence 3 heures ago
Rencontre avec Caroline Corbasson : Arles, « Something Moves », Prix Art & Environnement (Lee Ufan & Maison Guerlain) 1 jour ago
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 2 jours ago
Interview Dirk Snauwaert, WIELS Bruxelles : « Réalisme magique », Nairy Baghramian, les programmes de résidence