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Partager Partager Temps de lecture estimé : 7minsEn 2022, ce sont plus de 1000 expositions que nous avons annoncées dans notre Agenda. Même si nous ne sommes pas exhaustifs, ce nombre indique le vif intérêt des expos photo sur l’ensemble du territoire. En 2023, plusieurs musées d’art ont choisi de consacrer une partie de leur programmation au 8ème art, ainsi on découvrira Irving Penn aux Franciscaines de Deauville ou Elliott Erwitt au Musée Maillol. Les institutions photo préparent également leur année, la MEP inaugurera la saison avec Zanele Muholi et le Jeu de Paume rendra hommage à Frank Horvat dès l’été prochain. Petit tour d’horizon de ce que vous réserve 2023… La route des larmes avec Kourtney Roy à la Galerie Les Filles du Calvaire (75) © Kourtney Roy L’année débutera fort avec l’exposition « The Other End of the Rainbow » de la photographe canadienne Kourtney Roy. La photographe reconnue pour la créativité de ses mondes fictionnels, aborde avec ce travail un sujet grave : depuis plus de quarante ans, le long de la Highway 16, une route du nord de la Colombie Britannique , disparaissent des femmes et jeunes filles pour la plupart originaires des Premières Nations. D’octobre 2017 à septembre 2019, Roy se rend cinq fois dans la région et voyage de façon anonyme sur cette portion de 720 km de long tristement appelée la Route des larmes. Ouverture le 7 janvier ! Galerie Les filles du calvaire17 rue des Filles-du-Calvaire 75003 Paris sam07jan(jan 7)11 h 00 minven24fev(fev 24)18 h 30 minThe Other end of the RainbowKourtney RoyGalerie Les filles du calvaire, 17 rue des Filles-du-Calvaire 75003 Paris Détail de l'événementLa galerie a le plaisir d’annoncer The Other End of the Rainbow, une exposition personnelle de l’artiste canadienne Kourtney Roy. La photographe reconnue pour la créativité de ses mondes fictionnels, Détail de l'événement La galerie a le plaisir d’annoncer The Other End of the Rainbow, une exposition personnelle de l’artiste canadienne Kourtney Roy. La photographe reconnue pour la créativité de ses mondes fictionnels, aborde avec ce travail un sujet grave : depuis plus de quarante ans, le long de la Highway 16, une route du nord de la Colombie Britannique , disparaissent des femmes et jeunes filles pour la plupart originaires des Premières Nations. D’octobre 2017 à septembre 2019, Roy se rend cinq fois dans la région et voyage de façon anonyme sur cette portion de 720 km de long tristement appelée la Route des larmes. “Au cours de mes voyages, j’ai rencontré et échangé avec de nombreuses personnes admirables directement touchées par la violence sur cette route. Malgré les tragédies qu’elles ont dû endurer, elles m’ont permis de m’immiscer dans leur vie en toute confiance et sincérité, prêtes à me confier leur histoire. Je passais régulièrement beaucoup de temps avec elles, sans forcément prendre de photos, en partageant leurs activités et leurs aventur es quotidiennes. Leurs histoires m’ ont aidé à mieux comprendre les obstacles qu’elles avaient dû surmonter dans leur vie. Leur connaissance des grandes forêts, des routes et des infrastructures de la région était essentielle pour me permettre de retrouver et de prendre en photo des endroits liés aux tragédies, dont le voyageur ordinaire n’a pas connaissance. J’ai été intriguée par la façon dont l’architecture de cette route particulière a été influencée par son histoire sombre et sa violence chronique. Com ment donner du sens à un lieu insignifiant ? Comment l’architecture banale qui borde cette route et les personnes qui y circulent en tout anonymat peuvent – elles se lier pour créer une atmosphère à la fois ordinaire et néfaste. Dans une région encore aux prises avec un sombre passé colonialiste, le réseau routier national a favorisé la décentralisation, amené fonctionnalité et rapidité, anonymat, isolement, pauvreté et violence. La banalité des endroits que j’ai photographiés suggère la présence d’événements sinistres autant qu’elle la cache. Leur aspect terre à terre est magnifié par le passé sombre de cette autoroute, ce qui ajoute une note d’effroi à ces paysages censés être neutres. Je désirais proposer une image composite d’un lieu complexe mais extraordinaire. Le genius loci, ou « génie du lieu » , pour le dire simplement, est cette qualité ou cet « esprit » qui donne son sens à un lieu particulier – une ville, une clairière, une région ou une route. En ce sens, la Highway 16 ne conduit pas simplement vers une destination ; elle est une destination , imprégnée d’un sentiment singulier de l’histoire et d’une présence à travers les atrocités répétées commises sur toute sa longueur. » – Kourtney Roy L’exposition présente un extrait de cette mise en récit par l’image d’un fait divers qui s’enracine dans la violence, la misogynie et le racisme systémique. Ce projet, hybride artistique et documentaire, est présenté dans son ensemble dans un livre publié chez André Frère. DatesJanvier 7 (Samedi) 22 h 00 min - Février 24 (Vendredi) 5 h 30 min(GMT-11:00) LieuGalerie Les filles du calvaire17 rue des Filles-du-Calvaire 75003 Paris Galerie Les filles du calvaire17 rue des Filles-du-Calvaire 75003 ParisLa galerie Les Filles du Calvaire, fondée en 1996 à Paris, a pour vocation de montrer et de défendre la création contemporaine. Ouvert du mardi au samedi de 11h à 18h30 Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events Loire 25 Novembre 2021 3 h 00 min - 22 Mai 2022 7 h 00 min Le fleuve Amour avec Claudine Doury au Centre photographique documentaire – ImageSingulières (34) © Claudine Doury / VU’ Le 20 janvier, le Centre photographique documentaire ImageSingulières présentera la série « Amour. Une odyssée sibérienne » de la photographe de l’agence VU’, Claudine Doury. Claudine Doury s’est rendue en Sibérie extrême-orientale pour la première fois en 1991, puis en 1997, afin de rendre compte de la vie des peuples qui se sont établis le long des rives du fleuve Amour. Vingt ans plus tard, elle retourne dans la région à la recherche des familles nanaïs, oultches et nivkhes qu’elle avait rencontrées lors de ses précédents voyages. Elle souhaitait ainsi témoigner du passage du temps sur ces familles photographiées alors, mais aussi des mutations qui avaient pu s’opérer à plus grande échelle sur ces populations. Ce portrait actuel et intimiste des peuples natifs de l’Amour permet de redéfinir les contours d’un territoire qui porte les traces de son histoire : la conquête de l’Est, en passant par l’arrivée des Cosaques et le peuplement russe au cours des siècles. Centre photographique documentaire - ImageSingulières17 rue Lacan 34200 Sète ven20jan(jan 20)10 h 00 mindim09avr(avr 9)19 h 00 minClaudine DouryAmour. Une odyssée sibérienneCentre photographique documentaire - ImageSingulières, 17 rue Lacan 34200 Sète Détail de l'événementClaudine est devenue photographe en empruntant les chemins de traverse. Nous nous sommes rencontrés dans une petite agence photo puis au journal Libération où elle officiait comme iconographe, à l’orée Détail de l'événement Claudine est devenue photographe en empruntant les chemins de traverse. Nous nous sommes rencontrés dans une petite agence photo puis au journal Libération où elle officiait comme iconographe, à l’orée des années 80. C’est donc par ce biais détourné qu’elle est arrivée à ses fins, en s’enrichissant tout d’abord du travail des autres jusqu’à pouvoir assouvir elle-même sa passion. Très vite elle intègre l’agence VU’, vivier de la nouvelle photographie des années 80/90 où, avec l’aide de l’incontournable Christian Caujolle, elle s’affirme comme une grande photographe, lauréate entre autres du Prix Niepce en 2004. Claudine c’est aussi une travailleuse infatigable, perfectionniste au possible. Elle a produit une oeuvre documentaire majeure en ex-URSS, labourant le terrain lors de longs voyages hasardeux où le romantisme de ses pérégrinations lointaines se mêle à une forme d’ethnologie sociale dans laquelle le souci des gens qu’elle photographie est toujours présent. Le travail de Claudine Doury répond parfaitement à la ligne du Centre photographique documentaire où nous montrons en alternance de la photographie émergente et des auteurs importants de la scène photographique, mais qui indifféremment travaillent toujours sur un temps long, vertu cardinale du style que nous défendons. Gilles Favier, directeur artistique d’ImageSingulières Claudine Doury est une photographe française née à Blois et basée à Paris. A l’intersection du réel et de la fiction, son travail aborde les notions de mémoire et de transition notamment autour de l’adolescence et du voyage, thématiques centrales de son œuvre. En 2017 elle est lauréate d’une commande nationale du Ministère de la Culture et de la Communication sur la jeunesse en France, et reçoit cette même année le Prix Marc Ladreit de Lacharrière – Académie des Beaux-Arts. En 2022, elle est aussi lauréate de la commande du Ministère de la Culture destinée aux photojournalistes. Ses travaux sont régulièrement exposés en France et à l’étranger et ses photographies figurent au sein de prestigieuses collections privées et publiques dont le Fonds National d’Art Contemporain à Meyrin (Suisse), le Musée de la Photographie à Braga, l’Imagerie à Lannion, et la collection Agnès B. Elle a publié 5 ouvrages monographiques dont « Amour » (éd. Chose Commune). Claudine Doury est représentée par la galerie In Camera à Paris et elle est membre de l’agence VU’. DatesJanvier 20 (Vendredi) 21 h 00 min - Avril 9 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuCentre photographique documentaire - ImageSingulières17 rue Lacan 34200 Sète Centre photographique documentaire - ImageSingulières17 rue Lacan 34200 SèteHoraires des expositions Du mardi au dimanche de 14h à 18h Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events imageSingulières : 13ème rendez-vous de la photographie documentaire 30 Juin 2021 23 h 00 min - 30 Avril 2022 8 h 00 min Un·e militant·e à la MEP (75) Zanele Muholi, Sebenzile, Parktown, 2016Courtesy of the Artist and Stevenson, Cape Town/ Johannesburg and Yancey Richardson, New York© Zanele Muholi L’exposition devait être présentée plus tôt dans les galeries de la Maison Européenne de la Photographie, mais avec la crise sanitaire, la programmation a été entièrement bousculée. La première rétrospective de Zanele Muholi en France débutera la 1er février prochain. Photographe et activiste sud-africain·e non binaire de renommée internationale, dont le travail documente la vie de la communauté noire LGBTQIA+ (lesbienne, gay, bisexuel·le, transgenre, queer, intersexe, asexuel·le +) et des individus qui la constituent. Cet événement rassemble plus de 200 photographies, vidéos et installations créées depuis le début des années 2000. La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer01fev11 h 00 mindim21mai(mai 21)20 h 00 minZanele MuholiLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP est fière de présenter la première rétrospective en France consacrée à Zanele Muholi, photographe et activiste sud-africain·e* de renommée internationale, dont le travail documente la vie de la Détail de l'événement La MEP est fière de présenter la première rétrospective en France consacrée à Zanele Muholi, photographe et activiste sud-africain·e* de renommée internationale, dont le travail documente la vie de la communauté noire LGBTQIA+ (lesbienne, gay, bisexuel·le, transgenre, queer, intersexe, asexuel·le +) et des individus qui la constituent. Cet événement majeur, qui rassemble plus de 200 photographies, vidéos et installations créées depuis le début des années 2000 ainsi que de nombreux documents d’archives, couvre toute l’étendue de la carrière de Muholi à ce jour, faisant ainsi honneur à l’un·e des artistes les plus salué·es aujourd’hui. Zanele Muholi, qui se définit comme « activiste visuel·le », utilise l’appareil photo comme un outil contre les injustices. Dans les années 1990, l’Afrique du Sud connaît des changements sociaux et politiques importants. La démocratie s’établit en 1994 avec l’abolition de l’apartheid, suivie par une nouvelle Constitution en 1996, la première au monde à interdire toute discrimination fondée sur l’orientation sexuelle. Malgré ce progrès, les personnes noires LGBTQIA+ y restent la cible de violences et de préjugés. Les photographies de Zanele Muholi encouragent le spectateur à interroger les idées reçues. Elles créent un nouveau lexique d’images positives pour des communautés mal et sous-représentées en vue de promouvoir le respect mutuel. Zanele Muholi, Sebenzile, Parktown, 2016 Courtesy of the Artist and Stevenson, Cape Town/ Johannesburg and Yancey Richardson, New York © Zanele Muholi DatesFévrier 1 (Mercredi) 22 h 00 min - Mai 21 (Dimanche) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € Get Directions CalendrierGoogleCal Les premiers autochromes avec Léon Gimpel à la Chambre (67) Léon Gimpel, Fééries lumineuses, Paris, 1925-1933 / fonds galerie Lumière des Roses Bercée de prospérité économique, de paix et de progrès scientifique, la période de la Belle Époque (fin 19ème – début 20ème siècle) a également vu l’apparition de l’autochrome, première technique de photographie couleur. Léon Gimpel découvre cette invention lors de sa présentation par les Frères Lumière en 1907 et en fait sa spécialité. L’appétit de belles images aurait pu être tari par la survenue de la Première Guerre mondiale, mais Léon Gimpel continue de parcourir les rues de la capitale. Avec une innocence teintée de la tragédie qui se déroule sur les champs de bataille, ils se prêtent volontiers au jeu de la photographie. Animé par un véritable sens de l’originalité, le photographe laisse derrière lui plusieurs milliers d’images d’une singularité saisissante, miroirs de l’effervescence de l’époque. La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg sam04fev(fev 4)14 h 00 mindim26mar(mar 26)19 h 00 minLéon GimpelGuerre & PaixLa Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image, 4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg Détail de l'événementBercée de prospérité économique, de paix et de progrès scientifique, la période de la Belle Époque (fin 19ème – début 20ème siècle) a également vu l’apparition de l’autochrome, première technique Détail de l'événement Bercée de prospérité économique, de paix et de progrès scientifique, la période de la Belle Époque (fin 19ème – début 20ème siècle) a également vu l’apparition de l’autochrome, première technique de photographie couleur. Léon Gimpel découvre cette invention lors de sa présentation par les Frères Lumière en 1907 et en fait sa spécialité. Il l’emploie pour capturer les nouveaux visages d’un Paris métamorphosé par l’installation du réseau électrique et l’arrivée des néons sur les façades des grands magasins. Joyeuses et colorées, ces enseignes marquent l’essor de la publicité à l’échelle du paysage urbain. L’oeuvre prolifique du photographe capture aussi des jardins luxuriants, des paysages oniriques, des intérieurs luxueux, des fleurs, des champignons et des femmes… L’appétit de belles images aurait pu être tari par la survenue de la Première Guerre mondiale, mais Léon Gimpel continue de parcourir les rues de la capitale. Il y trouve l’insouciance et la poésie auprès d’un groupe d’enfants qui rejouent les combats avec armes et costumes. Avec une innocence teintée de la tragédie qui se déroule sur les champs de bataille, ils se prêtent volontiers au jeu de la photographie. Animé par un véritable sens de l’originalité, le photographe laisse derrière lui plusieurs milliers d’images d’une singularité saisissante, miroirs de l’effervescence de l’époque. Léon Gimpel est un photographe français né en 1873 à Strasbourg. Collaborant avec des journaux et magazines comme La Vie illustrée ou L’Illustration, il documente les progrès de l’aéronautique et se place rapidement comme un acteur majeur de la vulgarisation scientifique. Grâce à la richesse de son patrimoine iconographique, il incarne encore à ce jour l’une des grandes figures de l’histoire de la photographie française. Remerciements : Marion et Philippe Jacquier / Galerie Lumière des roses et le CRI des Lumières. Photo : Léon Gimpel, Fééries lumineues, Paris, 1925-1933 / fonds galerie Lumière des Roses DatesFévrier 4 (Samedi) 1 h 00 min - Mars 26 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 StrasbourgEspace d'exposition : mercredi > dimanche : 14h - 19h ou sur rdv Fermé les jours feriés Get Directions En savoir plus CalendrierGoogleCal Les chefs d’œuvre d’Irving Penn aux Franciscaines (14) Irving Penn, Picasso, Cannes, 1957 – Collection MEP © The Irving Penn Foundation Pour la première fois, le nouveau lieu culturel de Deauville, Les Franciscaines, présente au public l’intégralité de la collection de photographies d’Irving Penn de la Maison Européenne de la Photographie. Portraits, natures mortes, nus, photos de mode… L’exposition nous emmène à la découverte du parcours artistique hors norme d’Irving Penn (1917-2009). Des années 1940 à 2007, de ses premiers voyages (Mexique, Italie, Pérou…) aux célèbres portraits de Cocteau, Colette et Picasso, associés à la série de portraits en pied des métiers de Paris, le parcours rassemble plus de 100 tirages originaux. Une occasion unique pour découvrir l’univers et les séries singulières de l’un des plus grands photographes du XXe siècle. Les Franciscaines145B, avenue de la République 14800 Deauville sam04mar(mar 4)10 h 30 mindim28mai(mai 28)18 h 30 minChef d'œuvres d'Irving PennPhotographiesLes Franciscaines, 145B, avenue de la République 14800 Deauville Détail de l'événementPour la première fois, présentation de l’intégralité de la collection de photographies d’Irving Penn de la Maison Européenne de la Photographie. Portraits, natures mortes, nus, photos de mode… L’exposition nous Détail de l'événement Pour la première fois, présentation de l’intégralité de la collection de photographies d’Irving Penn de la Maison Européenne de la Photographie. Portraits, natures mortes, nus, photos de mode… L’exposition nous emmène à la découverte du parcours artistique hors‑norme d’Irving Penn (1917-2009). Des années 1940 à 2007, de ses premiers voyages (Mexique, Italie, Pérou…) aux célèbres portraits de Cocteau, Colette et Picasso, associés à la série de portraits en pied des métiers de Paris, le parcours rassemble plus de 100 tirages originaux. Une occasion unique pour découvrir l’univers et les séries singulières de l’un des plus grands photographes du XXe siècle. Photo : Irving Penn, Picasso, Cannes, 1957 – Collection MEP © The Irving Penn Foundation DatesMars 4 (Samedi) 21 h 30 min - Mai 28 (Dimanche) 5 h 30 min(GMT-11:00) LieuLes Franciscaines145B, avenue de la République 14800 Deauville Les Franciscaines145B, avenue de la République 14800 DeauvilleOuvert du mardi au dimanche de 10H30 à 18H30 Get Directions CalendrierGoogleCal Rétrospective d’Elliott Erwitt au Musée Maillol(75) USA. New York City. 1974. © Elliott Erwitt / Magnum Photos Du 23 mars au 15 août, le musée Maillol consacre une grande rétrospective à Elliott Erwitt, l’un des photographes les plus importants du 20e siècle, membre de Magnum Photos depuis 1953. Le parcours retrace les différentes thématiques de son œuvre à travers un ensemble exceptionnel de photographies en noir et blanc et en couleur de 1949 aux années 2000. L’Europe et l’Amérique constituent son terrain de jeu presque naturel, mais son œuvre couvre le monde entier. Elliott Erwitt traverse un siècle en cumulant les approches et les rôles comme aucun autre. Musée Maillol59-61 Rue de Grenelle 75007 Paris jeu23mar(mar 23)10 h 30 minmar15aou(aou 15)18 h 30 minElliott ErwittRétrospectiveMusée Maillol, 59-61 Rue de Grenelle 75007 Paris Détail de l'événementL’exposition Elliott Erwitt rend hommage à l’un des photographes les plus importants du 20e siècle, membre de Magnum Photos depuis 1953. Le parcours retrace les différentes thématiques de son œuvre à travers un Détail de l'événement L’exposition Elliott Erwitt rend hommage à l’un des photographes les plus importants du 20e siècle, membre de Magnum Photos depuis 1953. Le parcours retrace les différentes thématiques de son œuvre à travers un ensemble exceptionnel de photographies en noir et blanc et en couleur de 1949 aux années 2000. Photographe américain d’origine russe, ayant grandi en Italie et en France, Elliott Erwitt est notamment réputé pour ses scènes de rue mais aussi pour ses clichés de personnalités connues comme Marilyn Monroe ou encore Jackie Kennedy, Charles De Gaulle, Che Guevara, Alfred Hitchcock, Nikita Khrouchtchev,… Au-delà de certaines icônes, le visiteur découvrira une œuvre beaucoup plus large, profonde et légère à la fois. L’Europe et l’Amérique constituent son terrain de jeu presque naturel, mais son œuvre couvre le monde entier. Elliott Erwitt traverse un siècle en cumulant les approches et les rôles comme aucun autre. « En réalité, dire qu’il y a de l’humanité dans mes photos est le plus grand compliment qu’on m’ait jamais fait. Si mes photos aident les gens à voir le monde d’une certaine façon, c’est sans doute à voir les choses sérieuses d’une manière non sérieuse. » Elliott Erwitt Dans l’ensemble de son œuvre, Elliott Erwitt a une manière d’immortaliser des instants de la vie quotidienne ou des moments historiques avec un regard qui n’appartient qu’à lui, combinant l’émotion et l’humour. Depuis 1988, Elliott Erwitt a beaucoup réfléchi sur son œuvre, sur la manière de la préserver et de la présenter. Cette exposition explore une dizaine de thématiques définies par l’artiste lui-même à travers lesquelles les visiteurs pourront découvrir sa sensibilité unique : Between the sexes, Kids, Beaches, Abstractions, Dogs, Regarding Women, Cities, Museum Watchning, Kolor. L’accueil de l’exposition au musée Maillol est l’occasion d’engager un dialogue unique entre deux œuvres, celles du peintre/sculpteur Aristide Maillol et celle du photographe Elliott Erwitt. Leurs regards respectifs sur les femmes, sur les musées, sur le nu entrent subtilement en résonance. Une exposition présentée par Tempora en étroite collaboration avec Magnum Photos et le Musée Maillol. Photo : Tropicana Hotel, Las Vegas, USA, 1957 © Elliott Erwitt / Magnum Photos DatesMars 23 (Jeudi) 21 h 30 min - Août 15 (Mardi) 5 h 30 min(GMT-11:00) LieuMusée Maillol59-61 Rue de Grenelle 75007 Paris Musée Maillol59-61 Rue de Grenelle 75007 ParisOuvert tous les jours de 10h30 à 18h30 Get Directions CalendrierGoogleCal Deux femmes photographes au Centre Pompidou (75) Lynne Cohen, « Classroom », 1993 photo © Centre Pompidou / Ph. Migeat / Dist. Rmn-Gp Au printemps, le Centre Pompidou va présenter deux femmes photographes : Lynne Cohen et Marina Gadonneix, deux expositions conçues en concordance, pour former un projet singulier qui sonde les espaces de notre société moderne. Toutes deux présentent cinquante ans de travail, de 1970 à 2020. L’œuvre de l’artiste canadienne Lynne Cohen (1944 – 2014) jouit d’une réputation mondiale. Ses photographies d’intérieurs de lieux publics et semi-publics, de salles de classe et de centres commerciaux, de stand de tirs et de halls municipaux, ont fait l’objet d’expositions dans le monde entier. Marina Gadonneix, « Rock and Sand », 2012 © Marina Gadonneix, photo © Centre Pompidou / Ph. Migeat / Dist. Rmn-Gp Ces images ont servi de modèle et d’inspiration pour la génération suivante, notamment celle des photographes français parmi lesquels figure Marina Gadonneix (1977), avec qui Lynne Cohen a entretenu une correspondance peu avant sa mort. Réalisées dans des lieux de recherches scientifiques qui analysent et prédisent les effets de phénomènes naturels, les images presque abstraites de Marina Gadonneix dépeignent une réalité qui n’a pas encore eu lieu. Centre PompidouPlace Georges-Pompidou 75004 Paris mer12avr(avr 12)11 h 00 minlun28aou(aou 28)20 h 00 minLynne Cohen / Marina GadonneixLaboratoires / ObservatoiresCentre Pompidou, Place Georges-Pompidou 75004 Paris Détail de l'événementRacontée à travers la parenté artistique entre les deux photographes, l’exposition « Lynne Cohen / Marina Gadonneix. Laboratoires / Observatoires » se présente sous la forme d’un dialogue entre deux Détail de l'événement Racontée à travers la parenté artistique entre les deux photographes, l’exposition « Lynne Cohen / Marina Gadonneix. Laboratoires / Observatoires » se présente sous la forme d’un dialogue entre deux monographies. L’oeuvre de Lynne Cohen (1944 – 2014) et l’approche contemporaine de Marina Gadonneix (née en 1977) partagent un intérêt pour les espaces intérieurs de nos sociétés modernes, des lieux d’études scientifiques aux lieux de divertissement et de consommation. Bien que les espaces documentés par les deux artistes soient marqués par l’absence de figure humaine, leurs traces restent visibles, invitant ainsi à mieux comprendre et protéger l’environnement social et naturel. Les oeuvres de Lynne Cohen et Marina Gadonneix révèlent aussi, sur une période de plus de cinquante ans, une réflexion continue sur la chambre photographique et ses formes de représentation. À travers des lieux qui sont eux-mêmes des chambres d’enregistrement comme dans les Observation Rooms de Lynne Cohen, ainsi que les séries Landscapes, Après l’image, et Phénomènes de Marina Gadonneix, on observe le passage d’un monde analogue vers un monde virtuel. La première partie du parcours, consacrée à l’oeuvre de Lynne Cohen, met l’accent sur les oeuvres de ses deux premières décennies de création. Elle permet de comprendre pourquoi une artiste pratiquant la sculpture et la gravure est tentée, au début des années 1970, par la photographie. L’accrochage dévoile la fraîcheur conceptuelle de ses oeuvres où l’intérêt documentaire pour l’empreinte sociale des intérieurs côtoie l’esprit de l’art conceptuel et de l’art minimal. Le choix précis de différents thèmes éclaircit particulièrement l’intérêt de Lynne Cohen pour l’exploration systématique de lieux liés à l’idée d’entraînement et de simulation. À travers les différentes catégories de Classrooms et Showrooms, elle crée l’image d’une société moderne qui devrait passer par ces lieux pour pouvoir se confronter aux défis de la réalité. Avec ces environnements photographiés qui rappellent des installations ready-made, Lynne Cohen a influencé toute une génération de jeunes artistes aux Etat-Unis, au Canada, et en Europe. La seconde partie de l’exposition présente l’oeuvre de Marina Gadonneix sous la forme d’une première rétrospective de cette artiste diplômée de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles. Fondée sur de longues recherches, sa pratique photographique est caractérisée par une grande élégance formelle qui tend vers l’abstraction tout en gardant son intérêt social et documentaire. Si l’entraînement et la simulation jouent également un rôle central dans les premières séries de Marina Gadonneix comme La maison qui brûle tous les jours et Remote Control, les notions d’anticipation et de spéculation apparaissent dans sa série la plus récente des Phénomènes. Elle y photographie les dispositifs expérimentaux mis en place dans des laboratoires high-tech en France et aux États-Unis où sont visualisés des phénomènes scientifiques, ou les effets de catastrophes naturelles. La photographie est ainsi paradoxalement utilisée comme outil pour représenter et analyser des événements qui n’ont pas encore eu lieu. Un don important d‘oeuvres de Lynne Cohen par Andrew Lugg, le veuf de l’artiste, est à l’origine de ce projet. Deux catalogues distincts seront publiés par Atelier EXB à l’occasion de cette exposition. Le graphisme qui met en parallèle les deux ouvrages est dû à Jérôme Saint-Loubert Bié. Le catalogue dédie à Lynne Cohen prévoit des essais de Jean-Pierre Criqui, Florian Ebner, Marina Gadonneix, Matthias Pfaller et Ricarda Roggan, celui de Marina Gadonneix est accompagné par des textes de Marcelline Delbecq, Florian Ebner et Béatrice Gross. DatesAvril 12 (Mercredi) 22 h 00 min - Août 28 (Lundi) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuCentre PompidouPlace Georges-Pompidou 75004 Paris Centre PompidouPlace Georges-Pompidou 75004 ParisOuvert tous les jours de 11h à 20h sauf le mardi. La Galerie des Photographies est en accès libre, gratuite ! Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events Marina Gadonneix Missing Event Data Frank Horvat au Jeu de Paume (75) © Frank Horvat Après le succès de l’exposition Frank Horvat présentée au Château de Tours au printemps 2022, le Jeu de Paume Paris proposera à partir du 12 juin une nouvelle version enrichie de l’exposition. Elle apporte une vision renouvelée sur les quinze premières années de la carrière du photographe, de 1950 à 1965, une période bouillonnante durant laquelle il affirme une personnalité hors norme d’auteur-reporter et de photographe de mode. Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris lun12jui(jui 12)11 h 00 mindim17sep(sep 17)19 h 00 minFrank HorvatPhotographiesJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementAprès le succès de l’exposition Frank Horvat présentée au Château de Tours au printemps 2022, le Jeu de Paume souhaite proposer à Paris une nouvelle version enrichie de l’exposition. Elle Détail de l'événement Après le succès de l’exposition Frank Horvat présentée au Château de Tours au printemps 2022, le Jeu de Paume souhaite proposer à Paris une nouvelle version enrichie de l’exposition. Elle apporte une vision renouvelée sur les quinze premières années de la carrière du photographe, de 1950 à 1965, une période bouillonnante durant laquelle il affirme une personnalité hors norme d’auteur-reporter et de photographe de mode. Jeux de regard, scènes de nuit, fragilité entrevue derrière les masques, mélancolie des corps, troubles physiques et amoureux, dessinent une cartographie intime de ce photographe mû tout au long de sa vie par une recherche introspective et par une inépuisable quête de l’expérience nouvelle. Réalisée à partir des importantes archives et écrits laissés par le photographe dans sa maison-atelier de Boulogne-Billancourt, l’exposition comporte plus de 250 tirages et documents d’époque. À côté d’images emblématiques, le public pourra découvrir des ensembles de photographies moins connues voire complètement inédites. DatesJuin 12 (Lundi) 22 h 00 min - Septembre 17 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Get Directions CalendrierGoogleCal Favori0
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