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Partager Partager Co-fondatrice et directrice avec Ciléne Andréhn de la galerie suédoise établie à Paris Andréhn-Schiptjenko, je retrouve Marina Schiptjenko à l’occasion d’Art Brussels (membre du Comité de sélection) alors que la galerie participe conjointement à Art Dubaï. Une internationalisation très ambitieuse menée en parallèle d’un ancrage local depuis Paris. Andréhn-Schiptjenko gallery est une inconditionnelle de la Market Art Fair de Stockholm qui ouvre le 16 mai, tandis qu’elle participe à Independent NY et est inscrite à la prochaine Paris Gallery Week-End (23 au 25 mai) avec un solo show de l’artiste féministe suédoise, Siri Derkert, une pionnière à la Biennale de Venise de 1962 dans le pavillon nordique alors tout récent. Marina a répondu à mes questions. Andréhn-Schiptjenko © Photo Colombe Clier Installation view Art Brusels 2025, Andréhn-Schiptjenko, © Gabriele Abbruzzese Pourquoi le choix d’Art Brussels ? Il y a beaucoup de foires d’art dans le monde et Art Brussels est, dans un contexte global, une petite foire. Cela présente des avantages à bien des égards. Vous êtes moins anonyme et il est plus facile de nouer de nouvelles relations. Nous sommes également déterminés à poursuivre Art Brussels en raison de l’espace dont nous disposons à Paris. La foire attire sans aucun doute un large public européen qui ne va pas souvent à Stockholm, mais qui se rend facilement et souvent à Bruxelles. Installation view Art Dubaï 2025, Andréhn-Schiptjenko, © Gabriele Abbruzzese Vous avez également participé à Art Dubai : que retenez-vous de cette expérience ? Dubaï était très active, c’est une région où la scène artistique se développe rapidement (Biennale de Sharjah, Guggenheim, etc.). En tant que galeristes, il est important de regarder au-delà du monde occidental. Nous participons à la foire depuis quatre ans maintenant et nous développons un réseau dans la région. Vous enchaînez les foires, un rythme très exigeant dans un contexte mondial tendu : quelle est votre vision du marché ? C’est arrivé comme ça cette année, normalement Art Dubaï a lieu plusieurs semaines plus tôt dans l’année. The Independent est motivé par un projet spécifique de Gunnel Wåhlstrand, avec qui nous faisons un solo. De plus, comme nous avons deux équipes, nous pouvons nous partager le travail. Faire des foires aujourd’hui, c’est prendre un risque, mais nous pensons toujours qu’elles offrent un contexte où l’on peut élargir son réseau, non seulement parmi les collectionneurs, mais aussi parmi les artistes et les institutions. Elles vous donnent accès à de nouvelles scènes. Siri Derkert, Sara i fönstret, 1924, Unsigned, Oil on canvas mounted on canvas, 95.3 x 63.3 cm. Courtesy of the Artist and Andréhn-Schiptjenko. © Paulina Simon Paris Gallery WE Vous avez participé à Market Art Fair : qu’avez-vous proposez? Nous avons présenté deux artistes que nous avons exposés à Paris mais pas à Stockholm : Ranti Bam et Amine Habki. Tous deux font partie de la scène artistique française et ont des origines diverses, respectivement britannico-nigériane et franco-marocaine. Inspirées par leur héritage culturel respectif, leurs pratiques explorent les notions d’intimité et de vulnérabilité. La galerie est basée à Stockholm et à Paris, un emplacement stratégique ? Tout à fait. Stockholm, qui compte de très bons musées, des institutions privées et des collectionneurs, est encore trop petite. Pour nous développer, Paris était le choix qui s’imposait. Relire en complément mon interview avec Ciléne Andréhn en cliquant ici INFOS PRATIQUES : 📍 A Paris : José León Cerrillo, VANITAS 56 rue Chapon, Paris 3ème Paris Gallery Week-End : 70 galeries participantes, 150 artistes Parcours, Zooms, cartes blanches… 23 au 25 mai 2025 Siri Derkert Siri Derkert fait partie des Coups de Cœur de Anaël Pigeat. https://parisgalleryweekend.com 📍 A Stockholm : Sabine Mirless, Instruments https://www.andrehn-schiptjenko.com Read English version Co-founder and director, alongside Ciléne Andréhn, of the Swedish gallery Andréhn-Schiptjenko, now established in Paris, I meet Marina Schiptjenko on the occasion of Art Brussels (member of the Selection Committee), while the gallery is simultaneously participating in Art Dubaï. This dual presence reflects a highly ambitious international expansion balanced with by a strong local footprint in Paris. A loyal participant in Stockholm’s Market Art Fair, opening this year on May 16, Andréhn-Schiptjenko is also participating to Independent NY and gearing up for the upcoming Paris Gallery Weekend (May 23–25) with a solo show by Swedish feminist artist Siri Derkert, a pioneer who represented the Nordic Pavilion, then newly established, at the 1962 Venice Biennale. Marina answered my questions. What’s your assessment of Art Brussels? There are many art fairs around and Art Brussels is, in a global context, a small fair. This has advantages in many ways. You are less anonymous and it is easier to make new connections. We are also set on continuing doing Art Brussels because of our space in Paris. The fair is definitely attracting a large European crowd that doesn’t go to Stockholm that often but easily and often goes to Brussels. You preceded it with Art Dubai: what do you take away from that experience? Dubai was very active, it is a region where the arts scene is developing rapidly (Sharjah Biennial, Guggenheim etc). As gallerists, it’s important to look beyond the western world. We have done the fair for 4 years now and are developing a network in the region. You’re doing a string of fairs, a very demanding pace in a tense global context : what’s your vision of the market? It just happened that way this year, normally Art Dubai is serval weeks earlier in the year. The Independent is motivated by a specific project by Gunnel Wåhlstrand whom we are doing a solo with. Also, since we have two teams we can share the burden. Doing art fairs nowadays means taking a risk but we still think that they offer a context where you enlarge your network, not only among collectors but also artists and institutions. They give you access to new scenes. You’ll soon be participating in Market Art Fair: what will you be offering? We will be presenting two artists that we have exhibited in Paris but not in Stockholm: Ranti Bam and Amine Habki. Both of them are part of the French arts scene and have diverse backgrounds, respectively British-Nigerian and Franco-Moroccan. Inspired by their respective cultural heritage, their practices explore notions of intimacy and vulnerability. The gallery is based in Stockholm and Paris, a strategic location? Of course. Stockholm, which has very good museums, private institutions and collectors, is still too small. In order to expand Paris was the given choice for us. Marque-page0
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