Des clics, le podcast qui donne la parole aux femmes photographes. Entretien avec Maud Bernos 4 jours ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 4) 2 jours ago
Masterclass Oeildeep : « Au nom du père », un regard introspectif par Sylvain Renard 13 décembre 2024
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 3) 11 décembre 2024
Interview Célia Bernasconi, NMNM, Villa Paloma : Francisco Tropa, l’illusionniste virtuose ! 2 jours ago
Villa Arson : rencontre avec Sylvie Christophe, Responsable des relations internationales et des résidences 3 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 9minsSi le 8 mars est la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes, c’est tout le mois mars qui est devenu au fil des années, une période importante pour le combat des femmes. Comme l’an passé, Frédéric Martin a souhaité donner de la visibilité aux femmes photographes mais également aux éditrices des maisons d’édition. Durant tout le mois de mars, il partagera avec nous des chroniques de livres qui se conjuguent au féminin pluriel. On poursuit ce rendez-vous éditorial avec « Faire Face, histoires de violences conjugales » une trilogie de Camille Gharbi publiée aux éditions The Eyes. En 2023, 103 femmes ont été tuées par leur mari ou compagnon. Ce chiffre, en très légère baisse (118 en 2022, 122 en 2021) reste malheureusement extrêmement élevé. C’est une femme qui décède tous les trois jours. Mais derrière la froideur statistique se cache une réalité : celle d’épouses, de mères, de sœurs, de compagnes qui un jour perdent la vie parce qu’un homme a considéré qu’il avait le droit de la lui ôter. Dans le même temps presque 50 000 condamnations pour violences conjugales ont été prononcées en 2023. Ce nombre, en hausse depuis 2017, reflète très vraisemblablement une meilleure prise en compte des plaintes des victimes mais reste, là aussi, extrêmement élevé et reflète un acte trop banalisé. Couverture Faire face de Camille Gharbi © The Eyes La photographe Camille Gharbi s’est intéressée à ces phénomènes et en a tiré un ouvrage conséquent et complexe paru aux éditions The Eyes (Véronique Prugnaud). Intitulé Faire Face, histoires de violences conjugales, il aborde la question du féminicide et des violences intraconjugales en France à travers trois prismes. Preuve d’amour © Camille Gharbi PREUVES D’AMOUR VIOLENCES CONJUGALES ©camillegharbi Dans un premier temps, Camille Gharbi a photographié des objets pour la série Preuves d’amour. Un marteau, des balles, un fer à repasser… Chacune de ces natures mortes, d’une simplicité extrême, est accompagnée d’une liste comportant un prénom parfois ou simplement la mention « femme », un âge, une date et un lieu de décès. Un texte d’Ivan Jablonka accompagne ce travail. Dans un second temps, elle est allée à la rencontre de meurtier.e.s incarcéré.e.s et en a tiré la série Les monstres n’existent pas. Bien que les meurtres au sein du couple ne soient pas exclusivement le fait des hommes (et c’est pourquoi une femme apparaît), il reste néanmoins que dans plus de 80% des cas ce sont eux les responsables et coupables. Des portraits, presque de dos, réalisés en détention, sont accompagnés à chaque fois d’un texte fruit d’entretiens avec le détenu. A la fin une discussion entre Ivan Jablonka et Camille Gharbi clôt la série. Les monstres n’existent pas © Camille Gharbi Dans un troisième temps, pour la série Une chambre à soi, Camille Gharbi est partie à la rencontre de femmes hébergées par l’association FIT-Une femme un toit qui recueille des jeunes femmes de 18 à 25 ans victimes de violences familiales, conjugales, sexuelles. La photographe saisit le lieu qui leur sert de refuge pour un temps, et leur offre la parole. Camille Gharbi termine sa série par un entretien avec Carole Groulet, psychologue et psychothérapeute du SPIP de Charente-Maritime, et la journaliste du Monde, Lorraine de Foucher. Une chambre à soi © Camille Gharbi Alors que les féminicides sont malheureusement toujours plus d’actualité, que leur nombre ne baisse que très peu, le livre que nous propose Camille Gharbi est une réflexion aussi vaste qu’intéressante sur ce drame sociétal. En effet, au-delà du fait qu’il a fallu des années et des luttes acharnées pour que le mot féminicide (avec tout ce qu’il implique) prenne sa place dans le vocabulaire de la justice, des politiques et des médias, l’ouvrage pointe en quoi celui-ci n’est pas qu’un simple meurtre alors que la société le banalise depuis des décennies. C’est la plupart du temps le meurtre d’une femme par un homme, chose qui pendant longtemps était avant tout perçue comme « naturelle ». Il ne faut pas oublier les vocables d’un passé pas si lointain où l’on parlait de « crime d’honneur » ou de « crime passionnel », et d’une justice masculine qui dédouanait ainsi le coupable, le condamnant à des peines légères. LES MONSTRES N’EXISTENT PAS 2022 Travail sur la déconstruction des violences conjugales du point de vue d’auteurs de violences, incarcérés pour les faits qu’ils ont commis. © Camille Gharbi Or, tout est bien moins « romantique ». Quand Camille Gharbi photographie un marteau, un robinet ou un briquet, quand elle construit ses natures mortes avec ces objets que nous avons tous, la réalité devient glaçante et le lecteur ne peut que s’imaginer avec effroi la somme de souffrances, de barbaries qui accompagnent le crime. Chaque objet étant suivi de la litanie funèbre des prénoms de celles qui trouvèrent la mort, nous sommes face à la réalité. Il n’y a ici aucun effet, aucune recherche d’une esthétique particulière. Uniquement les choses comme elles sont : banales et tragiques. Les photographies en détention sont elles aussi très simples. Des hommes, de trois-quarts, des vêtements comme nous en portons tous, des barbes ou pas, des lunettes ou pas. Ce sont nos semblables. Parce que les monstres n’existent pas, ou du moins ils sont peut-être plus rares qu’on ne l’imagine. Toutefois les témoignages de Pi, Gabriel, Toufik sont là pour nous rappeler qu’il y a eu un avant et un après, un moment charnière où la vie s’éteint. La plupart des interviewés ne se cherchent pas d’excuses, seulement des explications, et ils acceptent dans ces témoignages leurs pleines responsabilités. Ce sont des gens comme ceux que l’on connaît, ils pourraient être nos voisins, nos collègues, peut-être même nos copains, nos frères ou pères, les photographies sont là pour nous le rappeler. Mais celles à qui ils ont ôté la vie auraient pu être nos sœurs, mères, copines, collègues ou voisines. LES MONSTRES N’EXISTENT PAS 2022 Travail sur la déconstruction des violences conjugales du point de vue d’auteurs de violences, incarcérés pour les faits qu’ils ont commis. ©camillegharbi C’est bien là toute la force de Faire Face : révéler par cette simplicité extrême des situations, par la neutralité des images toute l’ampleur de ce que ces féminicides impliquent. On tue non seulement des êtres vivants, humains, mais surtout des femmes que nous pourrions côtoyer tous les jours avec des objets de tous les jours et ça simplement parce que la culture de notre pays a été construite sur un modèle où un sexe se donne des prérogatives sur l’autre. Et surtout on tue tous les trois jours… banalement. Quand, par chance et avec un immense courage, des femmes peuvent fuir ces violences et se réfugier dans les chambres d’une association, nous nous retrouvons propulsés dans un univers d’une banalité quotidienne. Des peluches, des photographies punaisées aux murs, un maquillage, bref une somme de petites choses qui sont autant de fragments d’une existence si ce n’est heureuse au moins banale et apaisée. Pourtant les témoignages de Martha, Rebecca, Aliya, Sarah, Emna, Léna, Mina, Sofia, Victoria, et Debora sont tous plus glaçants les uns que les autres. Elle est étrange cette société tout de même où un mari peut violer sa femme, où un père peut chasser sa fille la condamnant à la rue, où une fille est mariée de force. Parce que bien souvent la mort n’est qu’un point final dramatique à une succession de souffrances inhumaines. Ces trois volets d’un même fait se relient, se complètent et dessinent les contours d’un phénomène d’une complexité extrême. Parce que Camille Gharbi choisit de faire des images dépouillées, sans artifices, elle renforce le poids de celui-ci. Faire Face est un ouvrage qui remue, un livre qui prend le lecteur aux tripes et qui le confronte à une réalité qu’il est plus que temps de connaître. En France dans les années 2020 il y a encore des femmes qui sont punies d’être des femmes. En France dans les années 2020 il y a des hommes qui considèrent que c’est tout à fait normal de punir une femme parce qu’elle est une femme. Face à cette situation, face à ce drame, il y a bien évidemment le nécessaire recourt à la loi, le besoin que les politiques prennent enfin (et vraiment) le problème à bras le corps. Mais il y a aussi la nécessité d’éduquer, d’informer, d’expliquer et de confronter. Au détour d’un collage féministe, aperçu à Paris, la phrase « Protégez vos filles » avait été écrite, aussitôt barrée et accompagnée d’un « Éduquez vos fils ». Et c’est à ça qu’un livre comme Faire Face peut et doit servir. Il faut que les hommes comprennent que le féminicide n’est pas un crime comme les autres, que les violences conjugales n’ont rien de normal non plus, et qu’il n’y a de place ni pour l’un ni pour l’autre. Camille Gharbi livre un ouvrage qui montre, qui dit, qui explique et surtout un ouvrage qui devrait être lu par les hommes. Ceux-ci ne manqueraient pas de comprendre qu’ils n’ont ni pouvoirs ni droits et que la centaine de victimes annuelle ne devrait plus être qu’un mauvais souvenir. INFORMATIONS PRATIQUES Faire Face. Histoires de violences conjugales Camille Gharbi Textes et entretiens : Raphaële Bertho, Ivan Jablonka, Lorraine de Foucher, Carole Groulet Direction artistique : Sarah Boris The Eyes Publishing 21 x 27cm, 196 pages ISBN : 979-10-92727-49-4 35 euros https://theeyes.eu/ https://www.camillegharbi.com/ ACTUELLEMENT Médiathèque François-Mitterrand Poitiers4, rue de l'Université 86000 Poitiers mar12mar(mar 12)10 h 00 minsam13avr(avr 13)18 h 00 minCamille GharbiLes monstres n'existent pasMédiathèque François-Mitterrand Poitiers, 4, rue de l'Université 86000 Poitiers Détail de l'événementCe travail photographique est une réflexion sur la violence intrafamiliale, du point de vue de leurs auteurs. Il s’agit d’une tentative de compréhension des mécanismes qui mènent aux passages à Détail de l'événement Ce travail photographique est une réflexion sur la violence intrafamiliale, du point de vue de leurs auteurs. Il s’agit d’une tentative de compréhension des mécanismes qui mènent aux passages à l’acte, pour mieux les prévenir. Sur la période 2011–2018, on estime à 295 000 le nombre de personnes victimes de violences physiques et/ou sexuelles au sein du couple, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Environ 213 000 de ces personnes, soit 72 %, sont des femmes. Ces chiffres nous parlent du nombre de victimes de violences, mais aussi de leurs auteurs, et, dans une moindre mesure, de leurs autrices. La lutte contre les violences conjugales passe par la protection des victimes, mais également par la prise en charge de leurs agresseurs, qui est la clé de voûte en matière de prévention des passages à l’acte ou de la récidive. Sans rien excuser ni minimiser, ce travail met en lumière des auteurs et des autrices d’actes violents au sein de leur couple, qui sont incarcérés pour les faits qu’ils ou elles ont commis, et qui sont engagés dans une démarche de réflexion par rapport à leurs actes. En faisant face à leurs responsabilités, en s’exprimant sur leurs gestes, ces individus peuvent contribuer à la prévention des faits pour lesquels ils ou elles sont condamnés. À travers eux, c’est notre société tout entière qui doit faire face à sa propre violence. Les conjoints violents ne sont pas des ‘monstres’ vivant à la marge, mais des êtres humains souvent bien intégrés à la société dans laquelle ils évoluent. Leurs actes nous parlent de notre monde, de du cycle de la violence au sein du couple. Leurs silhouettes, tellement banales, nous rappellent que ces passages à l’acte sont perpétrés par des personnes issues de toutes les strates de la société. Les histoires qu’ils nous livrent, individuelles et spécifiques, s’ancrent dans des problématiques sociales plus larges, qui nous concernent tous et toutes. Camille Gharbi est une photographe et artiste visuelle française. Sa pratique artistique porte sur des problématiques sociales contemporaines suivies au long cours, dont les violences de genre, la justice sociale, le vivre ensemble. Son travail se construit sur un équilibre entre deux échelles : les histoires singulières et spécifiques sont articulées à l’histoire globale et collective, afin de faire émerger la construction du fait social. Entre photographie documentaire et plasticienne, sa démarche interroge l’état du monde en jouant sur la distance et l’esthétique afin de convoquer l’empathie et le sensible. Considérant l’art comme un vecteur de transformation sociale, son travail emmène vers une politisation du regard, par l’intime et le subjectif. «C’est un sujet très important pour moi, car il est au centre de la déconstruction du cycle de la violence au sein du couple. Grâce au soutien de l’administration pénitentiaire, j’ai pu rencontrer dans des parloirs ou en détention une dizaine de détenus engagés dans une démarche de responsabilisation par rapport à leurs actes et volontaires pour participer à ce projet. Je les ai interrogés sur le regard qu’ils portaient sur ce qu’ils ont fait, la manière dont ils comprenaient comment ils en étaient arrivés là, les stratégies qu’ils pensaient mettre en place pour ne pas récidiver. J’ai enregistré puis retranscris ces échanges en un témoignage à la première personne, un récit introspectif sur la construction de leur violence. A la suite de ces entretiens individuels, j’ai réalisé de chacun d’eux un portrait, de trois-quarts dos pour la plupart, dont l’intention est de représenter sans dévoiler, pour des raisons évidentes d’anonymat et de décence. Des portraits en creux, qui font appel à l’imagination et s’appuient sur le pouvoir de la suggestion plus que celui de la représentation. Des émotions mises en images, exprimées par les auteurs et autrice lors des entretiens, viennent ponctuer les témoignages et les portraits, dans une invitation à la réflexion. Les mécanismes qui conduisent aux violences conjugales sont complexes, mais pas inéluctables. Pour que les choses changent, il est nécessaire de les regarder en face.» Camille Gharbi «Comment est-ce que c’est possible que ça arrive ? Qu’est-ce qu’on a tous comme responsabilité collective pour que ça arrive ? C’est de ça dont on parle. Si vous voulez, les monstres, ça n’existe pas. C’est notre société, c’est nous, c’est nos amis, c’est nos pères. C’est ça qu’on doit regarder. On n’est pas là pour les éliminer, on est là pour les faire changer. Mais il faut passer par un moment où ils se regardent, où on se regarde.» Adèle Haenel, Médiapart, 04/11/2019 Féminicides : Mécanique d’un crime annoncé En France, près de 1 400 femmes ont été tuées en dix ans par leur compagnon ou ex-conjoint. Le plus souvent au moment d’une séparation. En 2021, 122 femmes ont perdu la vie sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint, un chiffre en hausse de 20 % par rapport à l’année précédente. Le constat est froid, dérangeant : les femmes représentent plus de 80 % des victimes d’homicides conjugaux. En 2020, une dizaine de journalistes du Monde ont enquêté sur les quelque 120 féminicides perpétrés au sein du couple deux ans auparavant afin d’en disséquer les mécanismes. Dossier par dossier, notre cellule d’enquête a reconstitué les faits, l’histoire des auteurs et celle de leurs victimes. Une mécanique est apparue, récurrente : un homme veut posséder « sa » femme, elle tente de lui échapper, il la tue. Et cet enseignement : la plupart de ces meurtres auraient pu être empêchés si la société avait su répondre aux nombreux signaux d’alerte qui les ont annoncés. ACQUISITIONS Photographies de Camille Gharbi Cette série de photographies questionne la violence domestique et la réponse que nous lui faisons, à travers son expression la plus extrême: le féminicide conjugal. En France, une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon ou ex-compagnon. Cette information est une statistique relativement stable, qui ressort régulièrement dans la presse écrite ou audiovisuelle. Les «drames conjugaux» ou autres «crimes passionnels», ponctuent les rubriques «faits divers» des presses locales avec une constance qui flirte avec la banalité. Quelques lignes, précédées d’un titre laconique, relatent des affaires qui se répètent. C’est l’histoire d’un homme qui a tiré sur sa femme qui souhaitait le quitter, avant de retourner l’arme contre lui. Ou bien celle d’un autre, qui a poignardé sa compagne dans un «coup de folie», car il la soupçonnait de le tromper. Des «faits divers» dont la fréquence et le traitement médiatique donnent l’impression que la violence conjugale est un phénomène endémique, contre lequel on ne peut pas faire grand chose. Certains détails glaçants attirent parfois plus particulièrement l’attention des médias, et la nôtre par la même occasion. Comme l’histoire de Marcelle, retraitée, décédée le 2 mars 2017 à l’âge de 90 ans, tuée par son mari à coups de casserole. Ou celle de Thalie, consultante, décédée le 19 août 2017 à l’âge de 36 ans, battue à mort par son conjoint à coups de robinet neuf non monté. Le sordide appelle l’indignation, et soudain, par le truchement de l’objet, la violence d’un acte qui aurait presque pu passer inaperçu reprend toute sa dimension. Ainsi, pour parler de ce sujet à la fois terrible et si commun, j’ai pris le parti de photographier ces objets du quotidien qui se voient transformés en armes de crimes. Ces artefacts familiers ne permettent pas de saisir de prime abord la violence des faits auxquels ils font référence. Cette prise de distance invite à la réflexion. Les meurtres de femmes par leur compagnon ou ex-compagnon ne sont pas de simples cas isolés qui toucheraient une certaine catégorie de la population. L’analyse des articles de presse rapportant les décès des 253 femmes qui ont «succombé aux coups de leur compagnon ou ex» en 2016 et 2017 montre qu’il s’agit au contraire d’un phénomène de société qui touche toutes les catégories socio-culturelles, qui peut avoir lieu au sein de couples de tous âges et de toutes professions. Presque tous surviennent dans des contextes de séparation, de jalousie, ou de possessivité exacerbée d’un conjoint sur sa « moitié ». La récurrence de ces crimes ne relève pas du hasard. Elle révèle une profonde violence de genre qu’il est temps de remettre en question. Camille Gharbi Acquisitions par l’Artothèque Deux oeuvres de la série » Preuves d’Amour « , numérotées et signées, 2024 DatesMars 12 (Mardi) 21 h 00 min - Avril 13 (Samedi) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuMédiathèque François-Mitterrand Poitiers4, rue de l'Université 86000 Poitiers Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE EGALEMENT Faire Face. Histoires de violences conjugales. Une trilogie de Camille Gharbi Continuum des violences faites aux femmes Entretien avec le photographe Marc Melki et l’association Droits d’urgence Virginie Merle a suivi la Marche contre les violences sexistes et sexuelles Circulation(s) 2019 : Rencontre avec Camille Gharbi autour de Preuves d’amour Les crimes passionnels n’existent pas, récits de féminicides par Arianna Sanesi aux éditions D’une rive à l’autre Favori0
Interview Art Contemporain Fondation d’entreprise Hermès, rencontre avec Laurent Pejoux, directeur « Le cœur, la tête, la main » est le titre du programme d’engagement solidaire réservé aux collaborateurs de la Maison Hermès ...
Photo Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 4) Nous poursuivons aujourd’hui, la publication du journal de bord du photographe Pierre-Elie de Pibrac, actuellement en Israël dans le cadre de son ...
News Galerie Lumière des roses : fin d’une quête d’images Cela faisait 20 ans que Philippe et Marion Jacquier faisaient rayonner la Galerie Lumière des roses en partant à la quête de ...
Des clics, le podcast qui donne la parole aux femmes photographes. Entretien avec Maud Bernos 4 jours ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 4) 2 jours ago
Masterclass Oeildeep : « Au nom du père », un regard introspectif par Sylvain Renard 13 décembre 2024
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 3) 11 décembre 2024
Interview Célia Bernasconi, NMNM, Villa Paloma : Francisco Tropa, l’illusionniste virtuose ! 2 jours ago
Villa Arson : rencontre avec Sylvie Christophe, Responsable des relations internationales et des résidences 3 jours ago