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Partager Partager EvénementsPhoto Art Paris Art Fair 2017 : Rencontre avec Guillaume Piens Marie-Elisabeth De La Fresnaye29 mars 2017 Temps de lecture estimé : 4minsLa sixième édition de la foire Art Paris Art Fair consacrée à l’Art Contemporain est inaugurée aujourd’hui au Grand Palais. A cette occasion, nous avons rencontré Guillaume Piens, le commissaire général de l’événement. 9 lives : Art Paris Art fair, cosmopolite et locale la recette gagnante ? Guillaume Piens : Oui, c’est important aujourd’hui de sortir des autoroutes de l’art et d’explorer les routes nationales et départementales. Il faut retrouver la saveur du lieu où l’on se trouve et de sa propre culture tout en étant totalement ouvert au monde. M. : L’Afrique à l’honneur, effet tendance ou marqueur différenciant ? Y a t-il un profil type de collectionneur d’art africain ? G. P. : Il y des les deux à la fois. L’art contemporain africain représente une nouvelle sève pour le marché de l’art en perpétuelle quête de nouveauté. Mais il y a également une montée en puissance de la création artistique du continent africain depuis ces dernières années. Depuis 10 ans du nord au sud de l’Afrique, s’ouvrent et se développent à rythme accéléré les initiatives privées : musées, centres d’art, galeries, foires, lieux de résidence et de formation aux pratiques curatoriales. L’invitation de l’Afrique à Art Paris Art Fair, décidée et annoncée il y deux ans, met l’accent sur une génération émergente et talentueuse d’artistes rarement présentés en France ou qui le sont pour la première fois. Quant aux collectionneurs d’art africain, il n’ y a pas de profil type. Ce que je sais c’est qu’il y a sur le continent de nouveaux collectionneurs qui s’intéressent à défendre les artistes africains d’aujourd’hui M. : Comment jugez vous le marché de l’art africain contemporain ? G. P. : C’est un marché encore très récent. Il a fallu beaucoup de temps et notamment en France pour faire sortir de son ghetto la production des artistes contemporains issus du continent africain et la considérer comme faisant partie intégrante du champ de l’art contemporain international. Il y a aujourd’hui des artistes très côtés comme Julie Mehretu, William Kentridge, Marlene Dumas, El Anatsui qui ont intégré les grandes galeries internationales et dont les oeuvres sont collectionnées par les plus grands musées et collectionneurs privés du monde. Il y a fort à parier que la multiplication d’ événements autour de la création artistique africaine contemporaine va accélérer l’intérêt pour les artistes de ce continent et la reconnaissance de leur travail. C’est très certainement un marché plein d’avenir M. : Quelle place faite vous à l’émergence et à de nouvelles galeries ? G. P. : Pour le focus africain d’Art Paris Art Fair, l’accent s’est clairement porté sur une génération émergente d’artistes nés dans les 80 qui ont bénéficié des programmes de résidences à l’étranger et sont pleinement intégrés à la création internationale. Citons notamment les noms de Mohau Modisakeng, Gareth Nyandoro, Billie Zangewa. Cette jeune génération est soutenue par des galeries comme WHATITHEWORLD (Le Cap/ Johannesburg), Tiwani Contemporary (Londres) ou Tyburn (Londres) qui seront présentes pour la première fois à Paris. De nouveaux noms seront à découvrir également au sein du programme vidéo « Les territoires du corps » conçu par Marie-Ann Yemsi, commissaire invitée pour le focus africain, tels que Binelde Hyrcan, Jackie Karuti, ou Lebohang Kganye. M. : Quelles synergies avez vous tissé avec les initiatives nombreuses de ce printemps africain parisien ? G. P. : Dans le cadre de notre parcours VIP « A Paris au printemps « , nous avons fédéré toutes les énergies autour de cette invitation de l’Afrique à Paris et le résultat est à la hauteur des espérances tant les événements sont nombreux pendant Art Paris Art Fair : La Villette présente dans le cadre de son festival 100 % Afriques une exposition Afriques Capitales confiée à Simon Njami. Le Musée Dapper expose « Les mutants de Soly Cissé » tandis que la Galerie des Galeries propose avec l’exposition « Le Jour qui vient » une rencontre avec une jeune génération d’artistes du continent africain et de ses diasporas. Le musée du Quai Branly -Jacques Chirac explore L’Afrique des routes pour ne citer que quelques-unes des expositions qui mettent l’Afrique à l’honneur. Lire également l’interview de Marie-Ann Yemsi, commissaire invitée de la Foire : http://9lives-magazine.com/11331/2017/03/27/art-paris-rencontre-marie-ann-yemsi-commissaire-invitee/ INFORMATIONS PRATIQUES Art Paris Art Fair Du 30 mars au 2 avril 2017 Le Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris http://www.artparis.com Marque-page0
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