Coup de cœur de Damarice Amao : Déménagement des collections du Centre Pompidou et Wolfgang Tillmans 10 heures ago
Coup de cœur de Damarice Amao : Hélène Giannechini – un désir démesuré d’amitié – Donna Gottschalk 1 jour ago
Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine 2 jours ago
Entretien avec Annie Maïllis : la place de la photographie dans « Eros dans l’arène de Picasso » 1 jour ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 6 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Voyage à Nantes, HOKUSAI au Château-Musée d’histoire de Nantes, « au-delà de la Grande Vague » : Interview Bertrand Guillet, directeur 10 heures ago
Interview Dirk Snauwaert, WIELS Bruxelles : « Réalisme magique », Nairy Baghramian, les programmes de résidence 1 jour ago
Rencontre avec Caroline Corbasson : Arles, « Something Moves », Prix Art & Environnement (Lee Ufan & Maison Guerlain) 2 jours ago
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 3 jours ago
L'Invité·e Carte blanche à Sophie Knittel : Le naufrage du photographe La Rédaction27 janvier 2022 Partager Partager Temps de lecture estimé : 3mins Pour ce troisième jour, notre invitée de la semaine, Sophie Knittel, Présidente de Freelens, photographe et commissaire d’exposition, pousse un coup de gueule sur cette photographie que l’on maltraite et que l’on humilie. Des reportages nécessitant plus de 5000 euros de production (financés par le photographe) rémunéré… 40 euros dans la presse. Des frais d’inscriptions de plus en plus fréquents et de plus en plus dispendieux qui financent des événements ou des festivals… ? Jusqu’à quand les photographes pourront-ils tenir ? Ce n’est un secret pour personne, le métier de photographe se précarise. Dans certains cas, on arrive à des situations ubuesques où, par exemple, une entreprise mise l’intégralité de sa communication sur l’image, tout en reléguant la prise de vue au second plan, notamment d’un point de vue tarifaire. La situation est encore pire en presse où les photographes sont obligés de produire eux-mêmes leurs sujets pour espérer les publier à des prix parfois scandaleux. On a vu le magazine en ligne Vice acheter par exemple quarante euros un reportage produit en quinze jours ayant nécessité plus de cinq mille euros de frais au photographe. Si l’exemple est extrême, toute la profession confirmera les tarifs excessivement bas en presse. À tel point que pour être rentable, un même sujet doit être vendu plusieurs fois, souvent à l’étranger. Dans le domaine des festivals et des expositions, la situation n’est guère plus encourageante. Pour espérer « percer », les photographes doivent être visibles. Or, la quasi-totalité des festivals impose des « frais » aux candidats. Si certains frais sont compréhensibles (c’est le cas de Freelens, par exemple qui fonctionne en tant qu’association et dont les comptes sont publics), d’autres se caractérisent par leur franche opacité. Les photographes payent vingt-cinq euros par ci, quarante par là. Les comptes sont invisibles, personne ne sait à quoi sert cet argent. Personne ne connaît la somme finale générée par les candidats. On a littéralement l’impression que les candidats financent le festival auquel, sauf surprise, ils ne participeront pas. Parfois, les sélectionnés ont la surprise de constater qu’en plus des frais de dossiers demandés, il leur incombe de produire leurs images, de les encadrer, de les accrocher, etc. Il arrive même qu’on demande une participation aux frais supplémentaires pour « louer » l’espace d’exposition. Bref, un festival photo ne tient que sur… la photo. Et c’est cette dernière qui est maltraitée, humiliée, sous-payée systématiquement. Certains festivals s’affranchissent de ces mauvaises pratiques, mais il est tout de même consternant de constater que bon nombre d’évènements assument ce schéma. Aux photographes de faire le tri entre les « vrais » et les « faux. » Il serait souhaitable d’envisager une sorte de labellisation, une carte de « bonne conduite » qui permettrait de mieux savoir où la profession met les pieds. Marque-page8
L'Invité·e Coup de cœur de Damarice Amao : Déménagement des collections du Centre Pompidou et Wolfgang Tillmans Pour sa quatrième carte blanche, notre invitée de la semaine – l’historienne de la photographie, attachée de conservation au cabinet de la ...
L'Invité·e Coup de cœur de Damarice Amao : Hélène Giannechini – un désir démesuré d’amitié – Donna Gottschalk Pour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine – l’historienne de la photographie, attachée de conservation au cabinet de la ...
L'Invité·e Coup de cœur de Damarice Amao : Stéphanie Solinas à la galerie Jean-Kenta Gauthier Pour sa première carte blanche, notre invitée de la semaine – l’historienne de la photographie, attachée de conservation au cabinet de la ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Coup de cœur de Damarice Amao : Déménagement des collections du Centre Pompidou et Wolfgang Tillmans 10 heures ago
Coup de cœur de Damarice Amao : Hélène Giannechini – un désir démesuré d’amitié – Donna Gottschalk 1 jour ago
Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine 2 jours ago
Entretien avec Annie Maïllis : la place de la photographie dans « Eros dans l’arène de Picasso » 1 jour ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 6 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Voyage à Nantes, HOKUSAI au Château-Musée d’histoire de Nantes, « au-delà de la Grande Vague » : Interview Bertrand Guillet, directeur 10 heures ago
Interview Dirk Snauwaert, WIELS Bruxelles : « Réalisme magique », Nairy Baghramian, les programmes de résidence 1 jour ago
Rencontre avec Caroline Corbasson : Arles, « Something Moves », Prix Art & Environnement (Lee Ufan & Maison Guerlain) 2 jours ago
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 3 jours ago
Voyage à Nantes, HOKUSAI au Château-Musée d’histoire de Nantes, « au-delà de la Grande Vague » : Interview Bertrand Guillet, directeur