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Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsDepuis 2004, la Ville de Clermont-Ferrand confie à un photographe le soin de porter un regard libre et attentif sur le thème de la ville en mettant en valeur son paysage, son environnement, ses habitants. Cette résidence évolue pour placer au cœur de son propos les notions de rencontre et d’échange entre un photographe et les habitants du territoire. Depuis 2012, le centre photographique l’Hôtel Fontfreyde pilote les résidences. Depuis 2020 et 2021, ce sont respectivement le photographe membre du collectif Tendance Floue Patrick Tourneboeuf et Béatrix von Conta qui travaillent actuellement sur le territoire. Patrick TOURNEBOEUF – Les Pistes de Cataroux – Résidence 2020 – en cours Patrick Tourneboeuf, du collectif Tendance Floue, photographe, grand spécialiste des paysages en mutation, des architectures et des dérives urbaines a été sélectionné pour la résidence photographique 2020 de la Ville. Il poursuit sa mission en ville et au sein des terrains de l’entreprise Michelin – sur le thème des paysages en mutation de la ville de Clermont-Ferrand. Béatrix von CONTA – Le Puy de Crouel – Résidence 2021 – en cours La photographe Béatrix von Conta qui a été sélectionnée pour la résidence de la Ville poursuit également ses séjours de création. Elle travaille sur la place de la nature en Ville et sur les présences du végétal dans les quartiers et les espaces urbains de la métropole auvergnate. La photographe Stéphanie Lacombe a été sélectionnée pour la résidence de la Ville 2022. Elle travaille sur les quartiers de Saint-Alyre, Fontgiève et Gaillard et l’évocation de leurs transformations actuelles et à venir dans une dimension relationnelle de rencontres sociales et humaines. Le photographe Alexis Cordesse est sélectionné pour la résidence de la Ville 2023. Il enquêtera à partir de la période du Festival international du court métrage sur les questions de genres et l’adolescence dans une dimension de rencontres sociales et humaines. La résidence est une démarche artistique qui vise à dresser un portrait original de la ville et à constituer un fonds photographique témoignant des évolutions de l’agglomération clermontoise, afin de constituer une mémoire photographique de la ville. Outre ses qualités artistiques, le fonds joue un rôle capital de témoin de la mémoire clermontoise. Les objectifs de la résidence sont de soutenir la création photographique contemporaine en proposant des conditions techniques et financières pour qu’un artiste puisse mener une recherche personnelle sur le territoire de la ville, d’enrichir, à partir d’œuvres produites, un fonds représentatif de la création photographique contemporaine et de susciter une rencontre avec les publics par le biais d’un projet artistique. ACTUELLEMENT À L’HÔTEL FONTFREYDE Hôtel Fontfreyde - Centre photographique34, rue des Gras 63000 Clermont-Ferrand jeu17nov(nov 17)14 h 00 min2023sam18mar(mar 18)18 h 30 minAnne-Lise BroyerJournal de l’œil (Les globes oculaires) et autres récits…Hôtel Fontfreyde - Centre photographique, 34, rue des Gras 63000 Clermont-Ferrand Détail de l'événementJournadl e l’oeil (Les globes oculaires) Dans la continuité de Vermillon et de Regards de !’égaré, Journal de l’oeil (Les Globes oculaires) tente restituer un univers littéraire singulier et sa lecture. Détail de l'événement Journadl e l’oeil (Les globes oculaires) Dans la continuité de Vermillon et de Regards de !’égaré, Journal de l’oeil (Les Globes oculaires) tente restituer un univers littéraire singulier et sa lecture. Comme s’il s’agissait, en photographiant, d’avancer dans sa vision comme on avance dans w1 livre, dans une sorte d’acuité en état d’hypnose … comme plongée, submergée par le monde. Journal de l’oeil (Les Globes oculaires) se construit principalement sur les pas de Georges Bataille … Chaque image fabriquée est un voyage dans l’oeuvre et la biographie de !’écrivain. Mais au-delà d’être précisément documentée, l’approche se veut aussi sensible, émotionnelle et intuitive. La difficulté de ce projet est peut-être de rendre compte de la puissance d’une écriture, l’enjeu étant de fabriquer non pas des images qui illustreraient une pensée, mais plutôt de trouver des images propices à produire de la pensée. Bataille, pour reprendre les propos de Didi-Huberman – (La Ressemblance ou le gai savoir visuel selon Georges Bataille, Paris, Macula, 199 5) -, accepte le danger de l’image; il tente de conjoindre risque, dialectique et figura. Il lui faut pour cela entrer dans la gueule de l’image, comme si l’image état un loup pour l’homme. C’est ainsi que cette série de photographies relève les angles morts. Cette série est travaillée par un sens de la dramatisation, elle engage l’humain, l’animal, l’animalité, la mort, l’art et contient son impossibilité. Cette expérience de l’image dit toute la sensibilité qui s’engage lorsqu’on se met à vivre dans l’écriture. Le Langage des fleurs suivi de <> Dans « Le Langage des {fours», Georges Bataille donne à entendre que la fleur a toujours été un objet fictionné, c’est-à-dire quelque chose qui s’élabore avec ma pensée, parce que ma pensée est mon langage, et que mon langage fait être la chose. Il y a selon lui un inévitable excès des mots sur les choses, une fatale trahison de la réalité des choses par les mots. Du coup, dans l’incessante profusion des signes et des symboles, le langage des fleurs en devient suspect. La fleur« symbole de l’amour» a en définitive« l’odeur de la mort». li y a une certaine désinvolture à se débarrasser de cette « banalité écoeurante » en l’identifiant comme ils l’ont tous fait {poètes, philosophes, littéraires) à la Beauté idéale. C’est pour Bataille un symbolisme trop facile. Car tout se passe comme si cette surface de l’être et cet idéal s’affirmaient aux dépens d’une vérité plus profonde, constamment maintenue en lisière quand elle n’est pas niée: que le désir et l’amour n’ont que très peu à voir avec la Beauté idéale, sauf à la flétrir et à la souiller. Voilà où voulait en venir Bataille dans « Le Langage des fleurs». D’abord composés comme des sculptures, ces bouquets sont photographiés au bord de la mort puis comme ressuscités par le dessin à même le tirage. Ces photographies dessinées, comme des vanités, rendent compte de l’épuisement d’un monde et de sa décadence, de sa beauté et de sa fragilité, de son éclat et de son pourrissement. Cette série est présentée pour la première fois et est inédite. Une sculpture sera également présentée en regard du « Langage des fleurs»: Elle est ravissante, 2016 Du Monde vers le Monde (escale à Valparaiso) En 2015, Anne-Lise Brnyer est lauréate, avec le photographe René Tanguy, de la bourse du festival de la photographie de mer de Vannes, pour Lm projet à Valparaiso et au Chili, sur les traces de Sergio Larrain. Ce travail donnera lieu à une exposition et un livre, Du monde vers le monde, (escale à Valparaiso), présentés l’année suivante dans le cadre du même .festival. « Ce voyage «du monde vers le monde» brasse un Chili à la fois fantasmé et très concret de chiens sans collier, de marins sevrés d’horizon, de sourires privés d’illusion, d’élégante beauté humaine sans le fard de l’épate. Il ne faut parfois pas plus que deux mains qui se serrent, un rideau enflant doucement à la fenêtre, une surréaliste pluie d’yeux sur la queue d’un paon, pour que la grâce s’installe et nous étreigne la certitude qu’un moment aussi anodin qu’essentiel a été cueilli là. En duel, en partage, deux visions se croisent, se cherchent, s’épousent, s’éloignent pour mieux se retrouver. Deux regards funambules se promènent en équilibre toujours instable sur le plus fragile des filigranes : le Chili de Sergio Larrain, où l’histoire et la géographie se fondent dans une vibration poétique et universelle qui abolit le temps et l’espace. ». EXTRAIT DU TEXTE DE JEAN-LUC GERMAIN. Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris et de l’Atelier National de Recherches Typographiques, Anne-Lise Broyer, née en 197 5, poursuit depuis plus de 20 ans un travail photographique singulier pouvant se résumer comme une expérience de la littérature par le regard, en nouant très intimement lecture et surgissement d’une image, écriture et photographie, comme en témoignent ses nombreuses éditions partagées. Anne-Lise Broyer questionne également les zones de frottements et d’intersection encre la photographie argentique et le dessin à la mine graphite directement sur le tirage afin d’atteindre une zone de trouble dans la perception. En mariant ces deux gestes, en reliant l’oeil à la main, c’est une nouvelle langue qui s’invente. Elle crée ainsi des situations visuelles qui renvoie continuellement à l’image photographique et à son histoire technique. Elle expose régulièrement en France et à l’étranger. Son travail est représenté par La Galerie noHonoré, Paris. www.annelisebroyer.com Dates17 Novembre 2022 14 h 00 min - 18 Mars 2023 18 h 30 min(GMT-11:00) LieuHôtel Fontfreyde - Centre photographique34, rue des Gras 63000 Clermont-FerrandOther Events Hôtel Fontfreyde - Centre photographique34, rue des Gras 63000 Clermont-FerrandOuvert du mardi au samedi de 14H à 19H Hôtel Fontfreyde - Centre photographique Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
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