Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le parcours des photographes ultra-marins 2 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le parcours des photographes ultra-marins 2 jours ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 27 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
« Tipping Point » : les artistes belges s’exportent à Marseille (suite), Interview Grégory Thirion, Le Botanique, co-commissaire 2 jours ago
Les 20 ans du MAC VAL, « Forever Young » : Interview-portrait du commissaire Frank Lamy, chargé des expositions 4 jours ago
L'Invité·ePhoto Carte blanche à Reza : L’exil La Rédaction15 janvier 2020 France, Paris. © Reza Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsPour sa deuxième carte blanche, notre invité de la semaine, le photojournaliste français d’origine iranienne Reza a choisi une image qui vient illustrer son exil. Condamné au nom de ses témoignages en tant que photographe, il quitte l’Iran le 25 mars 1981 au matin. Ce cliché a été réalisé au cimetière du Père-Lachaise lors de l’enterrement de Sa’edi, écrivain iranien. L’exil France, Paris. Le 25 mars 1981, à 7h35 du matin, j’ai quitté mon pays avec mon sac d’appareils, puisque c’était au nom de mes témoignages que j’étais condamné. J’ai commencé ma longue route de l’exil. Mon voyage intérieur est l’errance d’un nomade autour de la terre interdite. Mes premières années d’exil furent sans aucun doute marquées par ce choc entre l’image rêvée d’un Occident libre et la réalité de ses démocraties. Ma liberté avait le visage vide et mon exil était doute et tristesse. Au cimetière du Père-Lachaise à Paris, un jour pluvieux et sombre de novembre, un long cortège d’exilés iraniens se rassemble pour une première expérience : l’abysse d’un ami mort dans cet ailleurs. Ce jour-là, nous sommes tous venus accompagner Sa’edi, ce penseur et écrivain iranien contraint lui aussi à l’ailleurs, dans sa dernière demeure. Nous avons alors goûté l’amertume de la mort dans cet exil, et imaginé la chair mêlée à la terre qui n’est pas sienne. Quelque temps après, le poète Shamlou, regardant cette image, dit ce poème : « Même la pierre pleure et gémit, le jour de la séparation du bien-aimé. » Photographie : Reza Texte : Rachel Deghati Cette photographie fait partie de l’ouvrage « Iran, Rêves et dérives », un portrait intime d’une nation, un récit documentaire unique sur l’un des évènements majeurs du 20e siècle. INFORMATIONS PRATIQUES Iran, Rêves et dérives Reza et Manoocher Deghati Editions Hoëbeke 288 pages 22 x 25 cm 39 € Marque-page0
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics Placée sous le signe d’un anniversaire majeur à venir — le bicentenaire de la photographie —, la 6ᵉ édition du Parlement de ...
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art Placée sous le signe d’un anniversaire majeur à venir — le bicentenaire de la photographie —, la 6ᵉ édition du Parlement de ...
L'Invité·e Carte blanche à Christoph Wiesner : Wolfgang Tillmans au Centre Pompidou Pour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, Christoph Wiesner, directeur des Rencontres d’Arles, partage son coup de cœur pour ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le parcours des photographes ultra-marins 2 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 19 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le parcours des photographes ultra-marins 2 jours ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 27 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
« Tipping Point » : les artistes belges s’exportent à Marseille (suite), Interview Grégory Thirion, Le Botanique, co-commissaire 2 jours ago
Les 20 ans du MAC VAL, « Forever Young » : Interview-portrait du commissaire Frank Lamy, chargé des expositions 4 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art