MAC VAL : Interview Nicolas Surlapierre, directeur « Le fait divers est un moment de bascule, d’insécurité mais d’une grande profondeur dans le mystère qui l’entoure » 4 heures ago
Sophie Calle, Prix d’honneur de la Fondation Henri Cartier-Bresson, en signature à la Comète 1 jour ago
Fondation Tara Océan au CENTQUATRE : Interview avec Myriam Thomas « Scientifiques et artistes participent à changer la perception que nous avons de l’Océan » 6 jours ago
Masterclass Oeildeep : Softness Will Set You Free, un refuge dans la couleur par Maude Girard 4 jours ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 2) 11 novembre 2024
MAC VAL : Interview Nicolas Surlapierre, directeur « Le fait divers est un moment de bascule, d’insécurité mais d’une grande profondeur dans le mystère qui l’entoure » 4 heures ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 10mins« Histoire(s) sans fin » est la toute dernière exposition présentée à la Galerie Le Réverbère, à Lyon. Catherine Derioz et Jacques Damez ont annoncé avant l’été la fermeture définitive de la galerie après 43 ans d’activité. Un arrêt aussi triste que brutal. Après avoir interrogé les premiers photographes de la galerie, nous poursuivons avec un nouvel entretien avec le photographe français Lionel Fourneaux, représenté par la galerie depuis 1996 qui revient sur cette aventure photographique et se confie sur l’arrêt du Réverbère. Attractions, 2008 – 2010Impression pigmentaire sur papier Epson mat60 x 80 cm contrecollé sur Dibond© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Attractions, 2008 – 2010Impression pigmentaire sur papier Epson mat60 x 80 cm contrecollé sur Dibond© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Bruit de fond, 1998.Tirage argentique baryté de l’auteur © Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Bruit de fond, 1998Tirage argentique baryté de l’auteur21 photographies environ 40 x 55 cm© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Ericka Weidmann : Pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Catherine et Jacques et comment avez-vous intégré la galerie ? Lionel Fourneaux : Cela fait si longtemps que je me demande si nous ne nous sommes pas connus dans une vie antérieure ! Le monde de la photo était presque familial en ce temps là, dans les années 80. Je me souviens m’être rendu dans leur première librairie galerie sur la presqu’île de Lyon, un couloir très étroit garni de livres et de photos rue Neuve je crois. Nous avons ensuite véritablement partagé de longs moments dans le jardin ombragé de l’hôtel Le Calendal où l’on pénétrait par la place Dr Pomme pendant les Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles où j’avais remporté le prix du jeune photographe en 1979. J’y louais une chambre que je partageais avec mon amie Hélène Dussauchoy. Catherine et Jacques y recevaient les photographes armés de leurs portfolios pendant les heures chaudes de la journée, marquant déjà volontairement ou pas, je ne saurais dire, un écart par rapport à la majorité qui naviguait entre la place du Forum et l’hôtel l’Arlatan. Tout le monde se connaissait alors, Arles en quelques lieux rassemblait ce petit microcosme de passionnés. Mais en dépit de notre amitié, notre collaboration ne vint que plus tard. Mon travail ayant changé de nature, plus plasticien, je suis parti dans les années 90 à la recherche d’une galerie pour m’aider à le soutenir. Une première rencontre moins informelle que les précédentes dans le sud n’aboutit pas immédiatement. Le jeu des rencontres et des soutiens me firent exposer ce nouveau travail sur l’identité, la guerre chez Emmanuel Perrotin que je quittai une année plus tard, je crois que je n’appartenais pas vraiment à ce monde de l’art contemporain. C’est alors que le Réverbère qui mûrit toujours ses choix m’a proposé d’entrer dans la galerie en 1996 je crois. C’était écrit, 1998Tirage argentique baryté de l’auteur40 x 55 cm© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère La mort dans l’âme, 2000Tirage argentique baryté de l’auteur50 x 50 cm© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère La série Lacunes a été réalisée à partir d’un vieux stock de papier quadrillé, préalablement découpé en bandes, retravaillé – déchirures, lacérations, coupures, ajouts au crayon et détrempe – et agrandies sous l’agrandisseur.Lacunes, 1997Tirage argentique baryté de l’auteur© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère La série Lacunes a été réalisée à partir d’un vieux stock de papier quadrillé, préalablement découpé en bandes, retravaillé – déchirures, lacérations, coupures, ajouts au crayon et détrempe – et agrandies sous l’agrandisseur.Lacunes, 1997Tirage argentique baryté de l’auteur© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère E. W. : Que représente pour vous cette collaboration ? L. F.: Même si on ne voit pas tous les jours, la galerie est comme une deuxième maison qui vous accueille, tant et si bien qu’il m’est arrivé au début avec certains de mes camarades de dormir dans les deux chambres de la galerie, aujourd’hui réattribuées à l’activité du lieu. La posture de l’artiste est souvent solitaire, il a besoin d’un soutien, d’un débat, d’en découdre parfois le niveau d’exigence et les choix esthétiques de Catherine et Jacques n’ont pas créé que du consensus mou, loin s’en faut. Il est souvent nécessaire de confronter son travail in progress et les risques pris au « surmoi » de la galerie ! C’est aussi le plaisir intense de la rencontre avec les autres artistes à l’occasion des vernissages, débats sans oublier les nombreuses expositions collectives qui nous ont réunis sur les murs de la galerie comme ailleurs. Il y a collaboration certes, mais plus encore, l’attention que nous avons les uns pour les autres qui est la marque de l’humanité. Je ne connais pas un seul d’entre nous qui n’ai fréquenté cette famille élargie par intérêt seulement. La galerie fut le lieu des passions partagées. Le fait d’appartenir au Réverbère, marque ultime de notre qualité et reconnaissance de la valeur de notre travail a pu parfois se révéler être un léger obstacle à certaines collaborations. Etre présenté dans le petit monde de la photo comme un photographe du Réverbère, c’est un honneur, une marque de prestige saluée par tous, avec pour corollaire parfois de vous affubler du statut de personne nantie. C’est bien entendu le fruit d’une méconnaissance de la réalité. Je dois mon salut financier aux nombreux ateliers que j’ai dirigés en milieu scolaire, puis au fait d’être pendant 15 ans le photographe officiel de l’un des acteurs important du monde économique. Marges 2006Impression pigmentaire sur papier perlé60 x 80 cm contrecollé sur Dibond© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Peau de chagrin, 1994Tirage argentique baryté de l’auteur28 x 38 cm sous passe-partout© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Peau de chagrin, 1994Tirage argentique baryté de l’auteur28 x 38 cm sous passe-partout© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère E. W. : Comment voyez-vous la suite, sans Le Réverbère ? L. F. : Il y eut un avant et il y aura un après le Réverbère, rien n’est immuable. Mais l’âge venant, mais l’âge venu… Depuis quelques années, je me consacre à l’écriture autant qu’à la photographie et essaie de trouver des formes qui les accouplent. Le réseau social et le livre sont devenus mes espaces de prédilection au détriment souvent du mur de la galerie. Pour être tout à fait clair, la production d’une exposition coûte cher, très cher, les images numériques virtuelles que nous produisons tous doivent être positivées, agrandies, encadrées, protégées pour leur exposition et la vente (éventuelle), cela passe par des prestataires dont les prix justifiés certes excèdent mes moyens financiers et/ou mes choix de dépenses. Hors commande photographique, la seule rémunération provient de la vente très aléatoire des tirages à des collectionneurs et fonds publics. Voyez à quelle impasse cela conduit.. Pour autant, je crois à une suite en compagnie de Catherine et de Jacques, mais sous une autre forme qu’il leur reste à trouver, qu’il nous reste à trouver. Par leur expertise, leur notoriété, la réputation de l’enseigne, je crois volontiers à la continuation de leur passion sous une autre forme. Le marché traditionnel étant actuellement asséché, il faut peut être se tourner vers le monde de l’entreprise qui a davantage de moyens à consacrer à son besoin d’art et de culture ou vers une activité de conseil ou de formation, ce serait dommage de ne pas transmettre tous ces savoirs accumulés. Présomption d’innocence, 1994Tirages argentiques barytés de l’auteur10 photographies 28 x 28 cm sous cadres© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Un moment corps, 1995Tirage argentique baryté de l’auteur avec l’aide de Jacques Damez 100 x 100 cmMonté tendu sur châssis bois© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Un, deux, trois, soleil !Impression pigmentaire sur papier Epson mat par Laure Abouaf32 x 60 cm contre-collage sur Dibond© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère E. W. : Cherchez-vous une autre Galerie pour vous représenter (ou avez-vous déjà trouvé) ? L. F. : Non, il n’y aura pas d’autre galerie, laquelle ? La question se pose de leur survie dans le contexte économique que nous connaissons ? Il est essentiel d’être dans une galerie ou bien représenté quand on a une perspective de carrière ce qui n’est pas mon souci, je n’ai jamais fait passer mon travail d’artiste avant ma vie de famille et l’accompagnement de mes enfants vers leur vie d’adulte, ils sont la plus belle de mes créations. Il est toutefois essentiel de ne pas s’isoler, la société numérique ne nous rassemble guère, la galerie reste l’un des lieux privilégiés du vivre et créer ensemble. Envies d’ailleursHabitation Clément – Martinique, 2013Impression pigmentaire sur papier Epson mat60 x 90 cm contre-collage Forex et caisse américaineAnse Bertrand – Guadeloupe, 2018Impression pigmentaire sur papier Epson mat40 x 60 cm contre-collage Forex et caisse américaine© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère Envies d’ailleursPlage de Bananier – Guadeloupe, 2011Impression pigmentaire sur papier Epson mat60 x 90 cm contre-collage Forex et caisse américaine© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère C’est quoi pour vous l’étéPlage Saint-Clair – le Lavandou, 2015Impression pigmentaire sur papier Epson mat70 x 55 cm contrecollé sur Dibond© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère C’est quoi pour vous l’étéPlage de Cavalière – le Lavandou, 2018Impression pigmentaire sur papier Epson mat70 x 55 cm contrecollé sur Dibond© Lionel Fourneaux / Courtesy Galerie Le Reverbère L’ouvrage Timeline de Lionel Fourneaux est actuellement en cours d’une campagne de financement participatif chez CORRIDOR ÉLÉPHANT. Vous souhaitez participer au projet, rendez-vous ici : https://www.corridorelephant.com/timeline INFORMATIONS PRATIQUES Galerie Le Réverbère38 rue Burdeau 69001 Lyon ven20sep(sep 20)14 h 00 minsam28déc(déc 28)19 h 00 minHistoire(s) sans finExposition collectiveGalerie Le Réverbère, 38 rue Burdeau 69001 Lyon Détail de l'événementPhoto : © Denis Roche. 4 avril 1981, Gizeh, Egypte. 45 ans d’engagement en couple pour la photographie, 43 ans de galerie dont 35 au 38 rue Burdeau à Lyon : Détail de l'événement Photo : © Denis Roche. 4 avril 1981, Gizeh, Egypte. 45 ans d’engagement en couple pour la photographie, 43 ans de galerie dont 35 au 38 rue Burdeau à Lyon : une incroyable aventure vécue intensément avec ses hauts et ses bas, ses fous rires et ses colères, ses rencontres fabuleuses avec des artistes et des collectionneurs qui ont été au cœur de tous nos débats et états d’âme ! Et puis, 20 ans après l’ouverture, l’arrivée des assistant(e)s qui nous ont offert leur énergie, leurs compétences et ont accompagné cette utopie. Ouvrir, hors Paris, en 1981, une galerie indépendante consacrée uniquement à la photographie contemporaine dans tous ses « états » et la garder ouverte pendant 4 décennies étaient un pari fou mais gagné ! Enfin presque… car depuis une dizaine d’années le marché a beaucoup changé : il s’est codifié, « financiarisé » et concentré dans les mains d’un certain goût international qui ne permet plus la même liberté d’action et de choix. Nous avons tant aimé les 15 premières années de Paris Photo où galeristes, photographes, journalistes, institutionnels faisaient communauté avec l’équipe de la foire (merci à Rick Gadella et Valérie Fougeirol) grâce à des échanges confiants et libres, tous tendus vers un seul et même but : partager notre passion pour la Photographie avec les collectionneurs pionniers ou les amateurs curieux et cultivés. Nous étions plus brouillons peut-être mais créatifs, généreux et ouverts aux débats parfois musclés ! Petit à petit chacun a dû choisir sa « place ». La langue de bois s’est installée, les discours de l’art contemporain se sont appauvris et le tout culturel a gagné du terrain… Malgré notre réputation, nos commissariats payés et partagés avec les artistes pour des expos hors les murs ainsi que nos prestations intellectuelles se sont amenuisés pour quasi disparaitre après le Covid et nous obligent aujourd’hui à fermer la galerie et arrêter sa programmation à la fin de l’année 2024. Trop de services gratuits (entrée libre des expositions, déplacements peu ou pas remboursés, prêts d’œuvres sans rétribution aucune, visites commentées ou conférences gratuites, conception et coordination de l’agenda Photographie(s) Lyon & co, aide aux dossiers des artistes pour résidences, appels d’offre, candidatures à des prix …) dévorent le temps de notre équipe. Comme nous l’avait déclaré, il y a 20 ans l’adjoint à la culture de la Ville de Lyon : vous travaillez comme un vrai service plublic sans qu’on vous le demande et sans coûter un centime à la collectivité ! Et rien n’a changé ! Pourtant en 2023, nous étions soulagés d’avoir retrouvé notre chiffre d’affaires d’avant 2020 concernant la vente des œuvres. Mais les charges ont beaucoup augmenté et l’impérialisme des foires nous piège. Triste conclusion : le modèle économique d’une galerie de notre taille, sans soutien financier public ou privé, n’est plus viable. Pour finir en beauté cette dernière année dans notre galerie, après L’éblouissement des apparences de Yves Rozet, Silence de Julien Magre, nous vous invitons à découvrir Histoire(s) sans fin avec un choix d’œuvres emblématiques, rares, iconiques ou uniques de chacun de nos photographes. Sans fin car notre amour de la Photographie reste intact ainsi que notre croyance en la force créative de nos artistes qui n’ont de cesse de se remettre en cause et de creuser leur sillon avec intelligence et sensibilité. Nous continuerons autrement à imaginer des expositions, à donner à lire des œuvres, à offrir de la beauté et des émotions au public. Pour preuve la publication de l’essai de Jacques Damez : Denis Roche – L’endroit du temps en 2026 aux éditions de La Lettre volée ainsi que la sortie en 2025 chez Actes Sud dans la collection Photo Poche d’un Denis Roche préfacé par Jacques Damez. Nous vous espérons nombreux à la rentrée (du 21 septembre au 28 décembre 2024) pour partager ce bouquet final avec les artistes et qu’il vous donnera le désir de vous offrir une ou plusieurs photographies pour enrichir votre jardin intérieur. Avec le sourire et une note d’humour pour vous accueillir bientôt… Bye Buy ! Frédéric BELLAY, Arièle BONZON, Dirk BRAECKMAN, Pierre CANAGUIER, Thomas CHABLE, Serge CLÉMENT, Beatrix VON CONTA, Jacques DAMEZ, François DELADERRIÈRE, André FORESTIER, Lionel FOURNEAUX, Rip HOPKINS, William KLEIN, Géraldine LAY, Baudoin LOTIN, Jean-Claude PALISSE, Philippe PÉTREMANT, Bernard PLOSSU, Marc RIBOUD, Denis ROCHE, Yves ROZET DatesSeptembre 20 (Vendredi) 1 h 00 min - Décembre 28 (Samedi) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuGalerie Le Réverbère38 rue Burdeau 69001 Lyon Galerie Le Réverbère38 rue Burdeau 69001 LyonUne galerie en province. 300m2 sur les pentes de la Croix-Rousse, à Lyon. C'est le Réverbère, qu'anime un double regard aigu, exigeant et sans complaisance : celui de Catherine Dérioz et Jacques Damez, ses créateurs, dont, au fil des années, les qualités se sont faites vertus. Du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE Galeries photo : des fermetures en cascade… La fin d’une utopie. Rencontre avec Catherine Derioz et Jacques Damez de la Galerie Le Réverbère Favori5
L'Edition Incompiuto, un phénomène endémique dans le viseur de Roberto Giangrande Avec Incompiuto, paru aux éditions Lightmotiv, le photographe italien Roberto Giangrande nous amène à la rencontre de ces bâtiments, ponts, autoroutes inachevés ...
News Vous êtes photographes ? Rejoignez le collectif Tendance Floue ! Plus de trois décennies passées à raconter le monde en images. Tendance Floue est né au début des années 90, d’une volonté ...
L'Invité·e Carte blanche à Julia Gragnon : Une photographie de Dominique Tarlé Pour ses cartes blanches, notre invitée de la semaine, Julia Gragnon – fondatrice et directrice de La Galerie de l’Instant qui fête ...
MAC VAL : Interview Nicolas Surlapierre, directeur « Le fait divers est un moment de bascule, d’insécurité mais d’une grande profondeur dans le mystère qui l’entoure » 4 heures ago
Sophie Calle, Prix d’honneur de la Fondation Henri Cartier-Bresson, en signature à la Comète 1 jour ago
Fondation Tara Océan au CENTQUATRE : Interview avec Myriam Thomas « Scientifiques et artistes participent à changer la perception que nous avons de l’Océan » 6 jours ago
Masterclass Oeildeep : Softness Will Set You Free, un refuge dans la couleur par Maude Girard 4 jours ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 2) 11 novembre 2024
MAC VAL : Interview Nicolas Surlapierre, directeur « Le fait divers est un moment de bascule, d’insécurité mais d’une grande profondeur dans le mystère qui l’entoure » 4 heures ago